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misette

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    PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Juillet 2021 - Deutéronome 11-12.docx
    PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Juillet 2021 - Deutéronome 11-12.pdf
     
    Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 11-12


    Deutéronome 11:29 : Comment l’évènement que rapporte ce verset s’est-il apparemment déroulé ? (it-1 1037).

    « Quand Jéhovah votre Dieu vous fera entrer dans le pays que vous allez posséder, vous devrez prononcer la bénédiction depuis le mont Garizim et la malédiction depuis le mont Ébal »

    Peu après la conquête de Aï, conformément aux instructions de Moïse les tribus d’Israël s’assemblèrent aux monts Guerizim et Ébal sous la direction de Josué. C’est là que le peuple écouta la lecture des bénédictions qu’il recevrait s’il obéissait à Jéhovah et des malédictions qui l’attendaient s’il lui désobéissait. Les tribus de Siméon, de Lévi, de Juda, d’Issakar, de Joseph et de Benjamin se tenaient vis-à-vis du mont Guerizim. Les Lévites et l’arche de l’alliance étaient dans la vallée, tandis que les six autres tribus se tenaient vis-à-vis du mont Ébal (Dt 11:29, 30 ; 27:11-13 ; Jos 8:28-35). Apparemment, les tribus placées vis-à-vis du mont Guerizim répondaient aux bénédictions lues dans leur direction, tandis que les autres tribus répondaient aux malédictions lues vers le mont Ébal. On a avancé que les bénédictions étaient lues en direction du mont Guerizim en raison de sa grande beauté et de sa fertilité qui contrastait avec la nudité et l’aspect rocailleux du mont Ébal ; toutefois, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. La Loi fut lue à haute voix “ devant toute la congrégation d’Israël, avec les femmes, les petits et les résidents étrangers qui marchaient au milieu d’eux ”. (Jos 8:35.) Si cette foule immense put entendre les paroles depuis ses différentes places vis-à-vis de l’une ou de l’autre montagne, c’était probablement, au moins en partie, grâce à l’excellente acoustique de l’endroit. — Voir ÉBAL (MONT). - it-1 1037


    Mont Ebal - Montagne aujourd’hui identifiée avec le djebel Eslamiyé (Har ʽÉval) et située dans le district de Samarie. Le mont Ébal fait face au mont Guerizim ; les deux montagnes sont séparées par une jolie vallée étroite, le val de Shekèm (vallée de Naplouse), où se niche la ville de Naplouse, non loin de l’ancienne Shekèm. On ne rencontre de la végétation que sur les premières pentes de cette montagne, notamment des vignes et des oliviers, car les hauteurs sont rocheuses et très dénudées. Comme d’autres montagnes de la Samarie, l’Ébal consiste en une partie centrale calcaire revêtue d’une couche de craie. Il se dresse au N.-E. du mont Guerizim et atteint plus de 900 m d’altitude par rapport au niveau de la Méditerranée. Les monts Ébal et Guerizim sont à l’O. du Jourdain.


    Il aurait été possible à Jéhovah Dieu d’amplifier miraculeusement la voix des Lévites. Cependant, il ne semble pas qu’un tel miracle ait été nécessaire. Dans cette vallée, l’acoustique est excellente. “Tous les voyageurs, a écrit le bibliste du XIXe siècle Alfred Edersheim, sont d’accord sur deux points: 1) Du mont Ébal et du mont Guérizim, il ne pouvait y avoir aucune difficulté à entendre distinctement tout ce qui se disait dans la vallée. 2) Ces deux montagnes offraient suffisamment de place pour tout Israël.” – TG1993  15/6


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Au fil des décennies, dans de nombreux endroits du monde, la prédication et les publications ont été frappées d’interdictions et de restrictions. C’est toujours le cas dans certains pays. Mais les nations auront beau essayer d’anéantir le vrai culte, elles n’y parviendront jamais ! Jéhovah protègera son peuple de son bras puissant (Deut. 11:2).

    Si nous restons attachés à Jéhovah et à la vérité, lui et son Fils, Jésus Christ, agiront en notre faveur et ne permettront à rien ni personne de nous arracher de leurs mains. Plus la fin de ce système de choses approchera, plus Satan intensifiera ses attaques contre les serviteurs de Jéhovah. Jéhovah fera en sorte que l’une des attaques de Satan soit la dernière. TG2013 15/2


    Quand Jéhovah déverse sa bénédiction sur son peuple, il lui donne toujours ce qu’il y a de meilleur (Jacques 1:17). Par exemple, le lieu d’habitation que Jéhovah a attribué aux Israélites était “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. Il est vrai que le pays d’Égypte avait été aussi qualifié de la sorte, mais le pays que Jéhovah donnait aux Israélites était différent sous un aspect essentiel au moins. C’était, comme l’avait dit Moïse à la nation, “ un pays dont Jéhovah ton Dieu prend soin ”. En d’autres termes, les Israélites prospéreraient parce que Jéhovah s’occuperait d’eux. Tant qu’ils sont restés fidèles à Jéhovah, ils ont été abondamment bénis par lui et ont bénéficié d’un mode de vie manifestement supérieur à celui de toutes les nations qui les entouraient. Oui, c’est vraiment la bénédiction de Jéhovah qui “ enrichit ” ! — Deutéronome 11:8-15. – TG2007 1/8 p29


    En quel sens les Israélites devaient-ils porter la loi de Dieu comme un fronteau entre leurs yeux ?

    Jéhovah voulait dire que les Israélites devaient garder en vue tout aussi distinctement la Loi et y prêter autant d’attention que si elle avait été écrite sur une tablette entre leurs yeux et si elle avait été un signe sur leurs mains, de sorte que, où qu’ils regardent et quoi qu’ils fassent, ils aient systématiquement la Loi devant eux. Pourtant, à un moment, après leur retour de Babylone, les Juifs forgèrent une religion formaliste fondée sur des traditions humaines (Mt 15:3, 9), dans laquelle ils firent une application littérale de cette loi. Ils utilisèrent des bandelettes de parchemin sur lesquelles étaient inscrits quatre passages de l’Écriture, à savoir Exode 13:1-10, 11-16 ; Deutéronome 6:4-9 ; 11:13-21. Plus tard au moins, ils roulèrent ce parchemin dans de petites boîtes en vélin qu’ils s’attachaient au front et au bras gauche. Les hommes les portaient pendant la prière du matin, sauf les jours de fête et le sabbat. Jésus Christ condamna l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens qui, afin d’impressionner leurs semblables par leur justice, élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture qu’ils portaient comme des moyens de protection.

    La Bible dit que ce qu’il faut garder, ce n’est pas une apparence extérieure belle ou pieuse, mais le cœur. Elle souligne également que ce n’est pas le port sur soi de textes bibliques écrits qui est d’un grand secours, mais le fait de préserver la sagesse pratique et la capacité de réflexion, ainsi que l’acquisition de l’intelligence. — it-1 p932


    Jéhovah a d’abord expliqué à ses serviteurs que leur situation allait changer. Puis il leur a donné l’avertissement suivant, qui, à première vue, semble n’avoir aucun rapport avec l’agriculture : « Prenez garde, de peur que votre cœur ne se laisse égarer, et que vous n’adoriez d’autres dieux et ne vous prosterniez devant eux » (Deut. 11:16, 17). Pourquoi Jéhovah a-t-il mis son peuple en garde contre l’idolâtrie alors qu’il venait de lui parler de nouvelles méthodes pour cultiver la terre ?

    Jéhovah savait que les Israélites seraient tentés d’aller voir comment leurs voisins cananéens faisaient pour cultiver la terre. Bien sûr, ces peuples étaient bien plus expérimentés que les Israélites, et ils avaient sans doute des techniques très utiles à leur apprendre. Mais il y avait un danger. La façon de penser de ces peuples païens était influencée par leur croyance en Baal. Pour eux, Baal était le propriétaire du ciel et celui qui donnait les pluies. Jéhovah ne voulait pas que son peuple soit trompé par ces fausses croyances. Cependant, à de nombreuses reprises, les Israélites ont choisi d’adorer Baal.  TG2019/6 p3


    Satan a habilement poussé les Israélites à adorer de faux dieux. Comment s’y est-il pris ? Il savait qu’ils auraient besoin de produire de la nourriture, et il s’est servi de ce besoin. Quand les Israélites sont entrés en Terre promise, ils ont dû changer de méthodes pour cultiver la terre. En Égypte, ils irriguaient leurs champs en utilisant l’eau du Nil. Par contre, en Terre promise, l’agriculture dépendait non pas d’un immense système de cours d’eau et de canaux, mais des pluies saisonnières et de la rosée qui se déposait sur les végétaux (Deutéronome 11:10-15). Les Israélites devaient donc apprendre de nouvelles méthodes pour cultiver la terre. Cela n’allait pas être facile, car la plupart de ceux qui avaient une expérience dans l’agriculture étaient morts dans le désert. - TG2019/6 p3


    Servir ou adorer Jéhovah impliquait d’obéir à tous ses commandements, de faire sa volonté en lui étant exclusivement attaché. Celui donc qui accomplissait un rite quelconque ou un acte de dévotion en l’honneur de n’importe quel autre dieu signifiait son abandon du vrai culte. — Dt 11:13-17  - it-1 p573


    Jéhovah dit aux Israélites qu’ils devaient attacher ses paroles “ comme un signe sur leur main ” (Dt 11:18) et qu’il avait gravé Sion sur ses paumes, autrement dit qu’il s’en souvenait et s’en souciait toujours. –it-2 p185


    Lorsque Jéhovah donna la Loi aux Israélites, il leur dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. ” (Deutéronome 11:18). Ces paroles signifiaient que les Israélites devaient constamment garder cette Loi présente à l’esprit, afin qu’elle influence toutes leurs actions et leurs pensées. – re p197
     
    L’étude familiale n’est pas la seule occasion de discuter de sujets spirituels importants. Vous rappelez-vous l’ordre que Jéhovah a donné aux parents ? Il a dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. Il faudra aussi que vous les enseigniez à vos fils, de manière à parler d’elles quand tu seras assis dans ta maison et quand tu marcheras sur la route, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. ” (Deutéronome 11:18, 19). Cela ne veut pas dire que les parents doivent constamment prêcher à leurs enfants. Mais un chef de famille qui aime ses enfants devrait saisir toute occasion d’édifier leur spiritualité. Bonheur familial p70


    La Bible contient les instructions précises que Dieu a données aux Israélites à propos des offrandes qu’ils étaient tenus de faire Deutéronome 12:4-7, 11, 17, 18. Ces exigences n’avaient rien d’excessif. Et Jéhovah avait promis que, si la nation obéissait à ses lois, il la ferait “ surabonder de prospérité ”. Les Israélites pouvaient par ailleurs faire des offrandes volontaires — aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient.

    Les chrétiens sont-ils tenus de verser des sommes déterminées ? Les chrétiens ne sont pas sous la Loi donnée à Israël. Ils ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte. Il n’en reste pas moins que, dans la véritable congrégation chrétienne, le don est une grande source de joie.- TG2009  1/8 p30


    Le peuple d’Israël était un modèle d’organisation. Par exemple, la Loi mosaïque prévoyait que des femmes fassent « un service organisé à l’entrée de la tente de réunion » (Ex. 38:8). Les déplacements du camp et du tabernacle s’effectuaient avec ordre. Lorsqu’ils obéissaient à Jéhovah, les Israélites vivaient dans l’ordre, la paix et l’unité (Deut. 11:26, 27) – TG2016/11 §8


    Au lieu d’une multitude d’autels, Israël devait avoir un seul autel pour adorer l’unique vrai Dieu, et cet autel serait placé à l’endroit que choisirait Jéhovah (Dt 12:2-6, 13, 14, 27 ; la différence avec Babylone, où 180 autels étaient consacrés rien qu’à la déesse Ishtar). Les Israélites reçurent d’abord pour instruction de construire un autel avec des pierres brutes après leur traversée du Jourdain, ce que fit Josué sur le mont Ébal (Jos 8:30-32). Après la répartition de la terre conquise, les tribus de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé bâtirent un autel bien visible, près du Jourdain. Cela jeta temporairement le trouble parmi les autres tribus, jusqu’à ce qu’on établisse qu’il ne s’agissait pas d’un acte d’apostasie, mais seulement d’un mémorial de fidélité à Jéhovah, le vrai Dieu. — it-1 p232-233

    Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire Dt 12:20-27. Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple la Salmonelle. - it-1 p894

    Les dieux de l’Antiquité étaient souvent dépeints comme des personnages lubriques et assoiffés de sang. Dans le but de les apaiser, des parents allaient jusqu’à brûler vifs leurs enfants (Deutéronome 12:31). Les Cananéens et les Israélites apostats pratiquaient les sacrifices d’enfants. À l’autre extrême, des philosophes païens enseignaient que Dieu ne connaissait ni la colère ni la pitié. –TG1994 1/11

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    Deutéronome 11:29 : Comment l’évènement que rapporte ce verset s’est-il apparemment déroulé ? (it-1 1037).

    « Quand Jéhovah votre Dieu vous fera entrer dans le pays que vous allez posséder, vous devrez prononcer la bénédiction depuis le mont Garizim et la malédiction depuis le mont Ébal »

    Peu après la conquête de Aï, conformément aux instructions de Moïse les tribus d’Israël s’assemblèrent aux monts Guerizim et Ébal sous la direction de Josué. C’est là que le peuple écouta la lecture des bénédictions qu’il recevrait s’il obéissait à Jéhovah et des malédictions qui l’attendaient s’il lui désobéissait. Les tribus de Siméon, de Lévi, de Juda, d’Issakar, de Joseph et de Benjamin se tenaient vis-à-vis du mont Guerizim. Les Lévites et l’arche de l’alliance étaient dans la vallée, tandis que les six autres tribus se tenaient vis-à-vis du mont Ébal (Dt 11:29, 30 ; 27:11-13 ; Jos 8:28-35). Apparemment, les tribus placées vis-à-vis du mont Guerizim répondaient aux bénédictions lues dans leur direction, tandis que les autres tribus répondaient aux malédictions lues vers le mont Ébal. On a avancé que les bénédictions étaient lues en direction du mont Guerizim en raison de sa grande beauté et de sa fertilité qui contrastait avec la nudité et l’aspect rocailleux du mont Ébal ; toutefois, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. La Loi fut lue à haute voix “ devant toute la congrégation d’Israël, avec les femmes, les petits et les résidents étrangers qui marchaient au milieu d’eux ”. (Jos 8:35.) Si cette foule immense put entendre les paroles depuis ses différentes places vis-à-vis de l’une ou de l’autre montagne, c’était probablement, au moins en partie, grâce à l’excellente acoustique de l’endroit. — Voir ÉBAL (MONT). - it-1 1037


    Mont Ebal - Montagne aujourd’hui identifiée avec le djebel Eslamiyé (Har ʽÉval) et située dans le district de Samarie. Le mont Ébal fait face au mont Guerizim ; les deux montagnes sont séparées par une jolie vallée étroite, le val de Shekèm (vallée de Naplouse), où se niche la ville de Naplouse, non loin de l’ancienne Shekèm. On ne rencontre de la végétation que sur les premières pentes de cette montagne, notamment des vignes et des oliviers, car les hauteurs sont rocheuses et très dénudées. Comme d’autres montagnes de la Samarie, l’Ébal consiste en une partie centrale calcaire revêtue d’une couche de craie. Il se dresse au N.-E. du mont Guerizim et atteint plus de 900 m d’altitude par rapport au niveau de la Méditerranée. Les monts Ébal et Guerizim sont à l’O. du Jourdain.


    Il aurait été possible à Jéhovah Dieu d’amplifier miraculeusement la voix des Lévites. Cependant, il ne semble pas qu’un tel miracle ait été nécessaire. Dans cette vallée, l’acoustique est excellente. “Tous les voyageurs, a écrit le bibliste du XIXe siècle Alfred Edersheim, sont d’accord sur deux points: 1) Du mont Ébal et du mont Guérizim, il ne pouvait y avoir aucune difficulté à entendre distinctement tout ce qui se disait dans la vallée. 2) Ces deux montagnes offraient suffisamment de place pour tout Israël.” – TG1993  15/6


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Au fil des décennies, dans de nombreux endroits du monde, la prédication et les publications ont été frappées d’interdictions et de restrictions. C’est toujours le cas dans certains pays. Mais les nations auront beau essayer d’anéantir le vrai culte, elles n’y parviendront jamais ! Jéhovah protègera son peuple de son bras puissant (Deut. 11:2).

    Si nous restons attachés à Jéhovah et à la vérité, lui et son Fils, Jésus Christ, agiront en notre faveur et ne permettront à rien ni personne de nous arracher de leurs mains. Plus la fin de ce système de choses approchera, plus Satan intensifiera ses attaques contre les serviteurs de Jéhovah. Jéhovah fera en sorte que l’une des attaques de Satan soit la dernière. TG2013 15/2


    Quand Jéhovah déverse sa bénédiction sur son peuple, il lui donne toujours ce qu’il y a de meilleur (Jacques 1:17). Par exemple, le lieu d’habitation que Jéhovah a attribué aux Israélites était “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. Il est vrai que le pays d’Égypte avait été aussi qualifié de la sorte, mais le pays que Jéhovah donnait aux Israélites était différent sous un aspect essentiel au moins. C’était, comme l’avait dit Moïse à la nation, “ un pays dont Jéhovah ton Dieu prend soin ”. En d’autres termes, les Israélites prospéreraient parce que Jéhovah s’occuperait d’eux. Tant qu’ils sont restés fidèles à Jéhovah, ils ont été abondamment bénis par lui et ont bénéficié d’un mode de vie manifestement supérieur à celui de toutes les nations qui les entouraient. Oui, c’est vraiment la bénédiction de Jéhovah qui “ enrichit ” ! — Deutéronome 11:8-15. – TG2007 1/8 p29


    En quel sens les Israélites devaient-ils porter la loi de Dieu comme un fronteau entre leurs yeux ?

    Jéhovah voulait dire que les Israélites devaient garder en vue tout aussi distinctement la Loi et y prêter autant d’attention que si elle avait été écrite sur une tablette entre leurs yeux et si elle avait été un signe sur leurs mains, de sorte que, où qu’ils regardent et quoi qu’ils fassent, ils aient systématiquement la Loi devant eux. Pourtant, à un moment, après leur retour de Babylone, les Juifs forgèrent une religion formaliste fondée sur des traditions humaines (Mt 15:3, 9), dans laquelle ils firent une application littérale de cette loi. Ils utilisèrent des bandelettes de parchemin sur lesquelles étaient inscrits quatre passages de l’Écriture, à savoir Exode 13:1-10, 11-16 ; Deutéronome 6:4-9 ; 11:13-21. Plus tard au moins, ils roulèrent ce parchemin dans de petites boîtes en vélin qu’ils s’attachaient au front et au bras gauche. Les hommes les portaient pendant la prière du matin, sauf les jours de fête et le sabbat. Jésus Christ condamna l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens qui, afin d’impressionner leurs semblables par leur justice, élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture qu’ils portaient comme des moyens de protection.

    La Bible dit que ce qu’il faut garder, ce n’est pas une apparence extérieure belle ou pieuse, mais le cœur. Elle souligne également que ce n’est pas le port sur soi de textes bibliques écrits qui est d’un grand secours, mais le fait de préserver la sagesse pratique et la capacité de réflexion, ainsi que l’acquisition de l’intelligence. — it-1 p932


    Jéhovah a d’abord expliqué à ses serviteurs que leur situation allait changer. Puis il leur a donné l’avertissement suivant, qui, à première vue, semble n’avoir aucun rapport avec l’agriculture : « Prenez garde, de peur que votre cœur ne se laisse égarer, et que vous n’adoriez d’autres dieux et ne vous prosterniez devant eux » (Deut. 11:16, 17). Pourquoi Jéhovah a-t-il mis son peuple en garde contre l’idolâtrie alors qu’il venait de lui parler de nouvelles méthodes pour cultiver la terre ?

    Jéhovah savait que les Israélites seraient tentés d’aller voir comment leurs voisins cananéens faisaient pour cultiver la terre. Bien sûr, ces peuples étaient bien plus expérimentés que les Israélites, et ils avaient sans doute des techniques très utiles à leur apprendre. Mais il y avait un danger. La façon de penser de ces peuples païens était influencée par leur croyance en Baal. Pour eux, Baal était le propriétaire du ciel et celui qui donnait les pluies. Jéhovah ne voulait pas que son peuple soit trompé par ces fausses croyances. Cependant, à de nombreuses reprises, les Israélites ont choisi d’adorer Baal.  TG2019/6 p3


    Satan a habilement poussé les Israélites à adorer de faux dieux. Comment s’y est-il pris ? Il savait qu’ils auraient besoin de produire de la nourriture, et il s’est servi de ce besoin. Quand les Israélites sont entrés en Terre promise, ils ont dû changer de méthodes pour cultiver la terre. En Égypte, ils irriguaient leurs champs en utilisant l’eau du Nil. Par contre, en Terre promise, l’agriculture dépendait non pas d’un immense système de cours d’eau et de canaux, mais des pluies saisonnières et de la rosée qui se déposait sur les végétaux (Deutéronome 11:10-15). Les Israélites devaient donc apprendre de nouvelles méthodes pour cultiver la terre. Cela n’allait pas être facile, car la plupart de ceux qui avaient une expérience dans l’agriculture étaient morts dans le désert. - TG2019/6 p3


    Servir ou adorer Jéhovah impliquait d’obéir à tous ses commandements, de faire sa volonté en lui étant exclusivement attaché. Celui donc qui accomplissait un rite quelconque ou un acte de dévotion en l’honneur de n’importe quel autre dieu signifiait son abandon du vrai culte. — Dt 11:13-17  - it-1 p573


    Jéhovah dit aux Israélites qu’ils devaient attacher ses paroles “ comme un signe sur leur main ” (Dt 11:18) et qu’il avait gravé Sion sur ses paumes, autrement dit qu’il s’en souvenait et s’en souciait toujours. –it-2 p185


    Lorsque Jéhovah donna la Loi aux Israélites, il leur dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. ” (Deutéronome 11:18). Ces paroles signifiaient que les Israélites devaient constamment garder cette Loi présente à l’esprit, afin qu’elle influence toutes leurs actions et leurs pensées. – re p197
     
    L’étude familiale n’est pas la seule occasion de discuter de sujets spirituels importants. Vous rappelez-vous l’ordre que Jéhovah a donné aux parents ? Il a dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. Il faudra aussi que vous les enseigniez à vos fils, de manière à parler d’elles quand tu seras assis dans ta maison et quand tu marcheras sur la route, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. ” (Deutéronome 11:18, 19). Cela ne veut pas dire que les parents doivent constamment prêcher à leurs enfants. Mais un chef de famille qui aime ses enfants devrait saisir toute occasion d’édifier leur spiritualité. Bonheur familial p70


    La Bible contient les instructions précises que Dieu a données aux Israélites à propos des offrandes qu’ils étaient tenus de faire Deutéronome 12:4-7, 11, 17, 18. Ces exigences n’avaient rien d’excessif. Et Jéhovah avait promis que, si la nation obéissait à ses lois, il la ferait “ surabonder de prospérité ”. Les Israélites pouvaient par ailleurs faire des offrandes volontaires — aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient.

    Les chrétiens sont-ils tenus de verser des sommes déterminées ? Les chrétiens ne sont pas sous la Loi donnée à Israël. Ils ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte. Il n’en reste pas moins que, dans la véritable congrégation chrétienne, le don est une grande source de joie.- TG2009  1/8 p30


    Le peuple d’Israël était un modèle d’organisation. Par exemple, la Loi mosaïque prévoyait que des femmes fassent « un service organisé à l’entrée de la tente de réunion » (Ex. 38:8). Les déplacements du camp et du tabernacle s’effectuaient avec ordre. Lorsqu’ils obéissaient à Jéhovah, les Israélites vivaient dans l’ordre, la paix et l’unité (Deut. 11:26, 27) – TG2016/11 §8


    Au lieu d’une multitude d’autels, Israël devait avoir un seul autel pour adorer l’unique vrai Dieu, et cet autel serait placé à l’endroit que choisirait Jéhovah (Dt 12:2-6, 13, 14, 27 ; la différence avec Babylone, où 180 autels étaient consacrés rien qu’à la déesse Ishtar). Les Israélites reçurent d’abord pour instruction de construire un autel avec des pierres brutes après leur traversée du Jourdain, ce que fit Josué sur le mont Ébal (Jos 8:30-32). Après la répartition de la terre conquise, les tribus de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé bâtirent un autel bien visible, près du Jourdain. Cela jeta temporairement le trouble parmi les autres tribus, jusqu’à ce qu’on établisse qu’il ne s’agissait pas d’un acte d’apostasie, mais seulement d’un mémorial de fidélité à Jéhovah, le vrai Dieu. — it-1 p232-233

    Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire Dt 12:20-27. Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple la Salmonelle. - it-1 p894

    Les dieux de l’Antiquité étaient souvent dépeints comme des personnages lubriques et assoiffés de sang. Dans le but de les apaiser, des parents allaient jusqu’à brûler vifs leurs enfants (Deutéronome 12:31). Les Cananéens et les Israélites apostats pratiquaient les sacrifices d’enfants. À l’autre extrême, des philosophes païens enseignaient que Dieu ne connaissait ni la colère ni la pitié. –TG1994 1/11

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    Deutéronome 11:29 : Comment l’évènement que rapporte ce verset s’est-il apparemment déroulé ? (it-1 1037).

    « Quand Jéhovah votre Dieu vous fera entrer dans le pays que vous allez posséder, vous devrez prononcer la bénédiction depuis le mont Garizim et la malédiction depuis le mont Ébal »

    Peu après la conquête de Aï, conformément aux instructions de Moïse les tribus d’Israël s’assemblèrent aux monts Guerizim et Ébal sous la direction de Josué. C’est là que le peuple écouta la lecture des bénédictions qu’il recevrait s’il obéissait à Jéhovah et des malédictions qui l’attendaient s’il lui désobéissait. Les tribus de Siméon, de Lévi, de Juda, d’Issakar, de Joseph et de Benjamin se tenaient vis-à-vis du mont Guerizim. Les Lévites et l’arche de l’alliance étaient dans la vallée, tandis que les six autres tribus se tenaient vis-à-vis du mont Ébal (Dt 11:29, 30 ; 27:11-13 ; Jos 8:28-35). Apparemment, les tribus placées vis-à-vis du mont Guerizim répondaient aux bénédictions lues dans leur direction, tandis que les autres tribus répondaient aux malédictions lues vers le mont Ébal. On a avancé que les bénédictions étaient lues en direction du mont Guerizim en raison de sa grande beauté et de sa fertilité qui contrastait avec la nudité et l’aspect rocailleux du mont Ébal ; toutefois, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. La Loi fut lue à haute voix “ devant toute la congrégation d’Israël, avec les femmes, les petits et les résidents étrangers qui marchaient au milieu d’eux ”. (Jos 8:35.) Si cette foule immense put entendre les paroles depuis ses différentes places vis-à-vis de l’une ou de l’autre montagne, c’était probablement, au moins en partie, grâce à l’excellente acoustique de l’endroit. — Voir ÉBAL (MONT). - it-1 1037


    Mont Ebal - Montagne aujourd’hui identifiée avec le djebel Eslamiyé (Har ʽÉval) et située dans le district de Samarie. Le mont Ébal fait face au mont Guerizim ; les deux montagnes sont séparées par une jolie vallée étroite, le val de Shekèm (vallée de Naplouse), où se niche la ville de Naplouse, non loin de l’ancienne Shekèm. On ne rencontre de la végétation que sur les premières pentes de cette montagne, notamment des vignes et des oliviers, car les hauteurs sont rocheuses et très dénudées. Comme d’autres montagnes de la Samarie, l’Ébal consiste en une partie centrale calcaire revêtue d’une couche de craie. Il se dresse au N.-E. du mont Guerizim et atteint plus de 900 m d’altitude par rapport au niveau de la Méditerranée. Les monts Ébal et Guerizim sont à l’O. du Jourdain.


    Il aurait été possible à Jéhovah Dieu d’amplifier miraculeusement la voix des Lévites. Cependant, il ne semble pas qu’un tel miracle ait été nécessaire. Dans cette vallée, l’acoustique est excellente. “Tous les voyageurs, a écrit le bibliste du XIXe siècle Alfred Edersheim, sont d’accord sur deux points: 1) Du mont Ébal et du mont Guérizim, il ne pouvait y avoir aucune difficulté à entendre distinctement tout ce qui se disait dans la vallée. 2) Ces deux montagnes offraient suffisamment de place pour tout Israël.” – TG1993  15/6


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Au fil des décennies, dans de nombreux endroits du monde, la prédication et les publications ont été frappées d’interdictions et de restrictions. C’est toujours le cas dans certains pays. Mais les nations auront beau essayer d’anéantir le vrai culte, elles n’y parviendront jamais ! Jéhovah protègera son peuple de son bras puissant (Deut. 11:2).

    Si nous restons attachés à Jéhovah et à la vérité, lui et son Fils, Jésus Christ, agiront en notre faveur et ne permettront à rien ni personne de nous arracher de leurs mains. Plus la fin de ce système de choses approchera, plus Satan intensifiera ses attaques contre les serviteurs de Jéhovah. Jéhovah fera en sorte que l’une des attaques de Satan soit la dernière. TG2013 15/2


    Quand Jéhovah déverse sa bénédiction sur son peuple, il lui donne toujours ce qu’il y a de meilleur (Jacques 1:17). Par exemple, le lieu d’habitation que Jéhovah a attribué aux Israélites était “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. Il est vrai que le pays d’Égypte avait été aussi qualifié de la sorte, mais le pays que Jéhovah donnait aux Israélites était différent sous un aspect essentiel au moins. C’était, comme l’avait dit Moïse à la nation, “ un pays dont Jéhovah ton Dieu prend soin ”. En d’autres termes, les Israélites prospéreraient parce que Jéhovah s’occuperait d’eux. Tant qu’ils sont restés fidèles à Jéhovah, ils ont été abondamment bénis par lui et ont bénéficié d’un mode de vie manifestement supérieur à celui de toutes les nations qui les entouraient. Oui, c’est vraiment la bénédiction de Jéhovah qui “ enrichit ” ! — Deutéronome 11:8-15. – TG2007 1/8 p29


    En quel sens les Israélites devaient-ils porter la loi de Dieu comme un fronteau entre leurs yeux ?

    Jéhovah voulait dire que les Israélites devaient garder en vue tout aussi distinctement la Loi et y prêter autant d’attention que si elle avait été écrite sur une tablette entre leurs yeux et si elle avait été un signe sur leurs mains, de sorte que, où qu’ils regardent et quoi qu’ils fassent, ils aient systématiquement la Loi devant eux. Pourtant, à un moment, après leur retour de Babylone, les Juifs forgèrent une religion formaliste fondée sur des traditions humaines (Mt 15:3, 9), dans laquelle ils firent une application littérale de cette loi. Ils utilisèrent des bandelettes de parchemin sur lesquelles étaient inscrits quatre passages de l’Écriture, à savoir Exode 13:1-10, 11-16 ; Deutéronome 6:4-9 ; 11:13-21. Plus tard au moins, ils roulèrent ce parchemin dans de petites boîtes en vélin qu’ils s’attachaient au front et au bras gauche. Les hommes les portaient pendant la prière du matin, sauf les jours de fête et le sabbat. Jésus Christ condamna l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens qui, afin d’impressionner leurs semblables par leur justice, élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture qu’ils portaient comme des moyens de protection.

    La Bible dit que ce qu’il faut garder, ce n’est pas une apparence extérieure belle ou pieuse, mais le cœur. Elle souligne également que ce n’est pas le port sur soi de textes bibliques écrits qui est d’un grand secours, mais le fait de préserver la sagesse pratique et la capacité de réflexion, ainsi que l’acquisition de l’intelligence. — it-1 p932


    Jéhovah a d’abord expliqué à ses serviteurs que leur situation allait changer. Puis il leur a donné l’avertissement suivant, qui, à première vue, semble n’avoir aucun rapport avec l’agriculture : « Prenez garde, de peur que votre cœur ne se laisse égarer, et que vous n’adoriez d’autres dieux et ne vous prosterniez devant eux » (Deut. 11:16, 17). Pourquoi Jéhovah a-t-il mis son peuple en garde contre l’idolâtrie alors qu’il venait de lui parler de nouvelles méthodes pour cultiver la terre ?

    Jéhovah savait que les Israélites seraient tentés d’aller voir comment leurs voisins cananéens faisaient pour cultiver la terre. Bien sûr, ces peuples étaient bien plus expérimentés que les Israélites, et ils avaient sans doute des techniques très utiles à leur apprendre. Mais il y avait un danger. La façon de penser de ces peuples païens était influencée par leur croyance en Baal. Pour eux, Baal était le propriétaire du ciel et celui qui donnait les pluies. Jéhovah ne voulait pas que son peuple soit trompé par ces fausses croyances. Cependant, à de nombreuses reprises, les Israélites ont choisi d’adorer Baal.  TG2019/6 p3


    Satan a habilement poussé les Israélites à adorer de faux dieux. Comment s’y est-il pris ? Il savait qu’ils auraient besoin de produire de la nourriture, et il s’est servi de ce besoin. Quand les Israélites sont entrés en Terre promise, ils ont dû changer de méthodes pour cultiver la terre. En Égypte, ils irriguaient leurs champs en utilisant l’eau du Nil. Par contre, en Terre promise, l’agriculture dépendait non pas d’un immense système de cours d’eau et de canaux, mais des pluies saisonnières et de la rosée qui se déposait sur les végétaux (Deutéronome 11:10-15). Les Israélites devaient donc apprendre de nouvelles méthodes pour cultiver la terre. Cela n’allait pas être facile, car la plupart de ceux qui avaient une expérience dans l’agriculture étaient morts dans le désert. - TG2019/6 p3


    Servir ou adorer Jéhovah impliquait d’obéir à tous ses commandements, de faire sa volonté en lui étant exclusivement attaché. Celui donc qui accomplissait un rite quelconque ou un acte de dévotion en l’honneur de n’importe quel autre dieu signifiait son abandon du vrai culte. — Dt 11:13-17  - it-1 p573


    Jéhovah dit aux Israélites qu’ils devaient attacher ses paroles “ comme un signe sur leur main ” (Dt 11:18) et qu’il avait gravé Sion sur ses paumes, autrement dit qu’il s’en souvenait et s’en souciait toujours. –it-2 p185


    Lorsque Jéhovah donna la Loi aux Israélites, il leur dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. ” (Deutéronome 11:18). Ces paroles signifiaient que les Israélites devaient constamment garder cette Loi présente à l’esprit, afin qu’elle influence toutes leurs actions et leurs pensées. – re p197
     
    L’étude familiale n’est pas la seule occasion de discuter de sujets spirituels importants. Vous rappelez-vous l’ordre que Jéhovah a donné aux parents ? Il a dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. Il faudra aussi que vous les enseigniez à vos fils, de manière à parler d’elles quand tu seras assis dans ta maison et quand tu marcheras sur la route, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. ” (Deutéronome 11:18, 19). Cela ne veut pas dire que les parents doivent constamment prêcher à leurs enfants. Mais un chef de famille qui aime ses enfants devrait saisir toute occasion d’édifier leur spiritualité. Bonheur familial p70


    La Bible contient les instructions précises que Dieu a données aux Israélites à propos des offrandes qu’ils étaient tenus de faire Deutéronome 12:4-7, 11, 17, 18. Ces exigences n’avaient rien d’excessif. Et Jéhovah avait promis que, si la nation obéissait à ses lois, il la ferait “ surabonder de prospérité ”. Les Israélites pouvaient par ailleurs faire des offrandes volontaires — aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient.

    Les chrétiens sont-ils tenus de verser des sommes déterminées ? Les chrétiens ne sont pas sous la Loi donnée à Israël. Ils ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte. Il n’en reste pas moins que, dans la véritable congrégation chrétienne, le don est une grande source de joie.- TG2009  1/8 p30


    Le peuple d’Israël était un modèle d’organisation. Par exemple, la Loi mosaïque prévoyait que des femmes fassent « un service organisé à l’entrée de la tente de réunion » (Ex. 38:8). Les déplacements du camp et du tabernacle s’effectuaient avec ordre. Lorsqu’ils obéissaient à Jéhovah, les Israélites vivaient dans l’ordre, la paix et l’unité (Deut. 11:26, 27) – TG2016/11 §8


    Au lieu d’une multitude d’autels, Israël devait avoir un seul autel pour adorer l’unique vrai Dieu, et cet autel serait placé à l’endroit que choisirait Jéhovah (Dt 12:2-6, 13, 14, 27 ; la différence avec Babylone, où 180 autels étaient consacrés rien qu’à la déesse Ishtar). Les Israélites reçurent d’abord pour instruction de construire un autel avec des pierres brutes après leur traversée du Jourdain, ce que fit Josué sur le mont Ébal (Jos 8:30-32). Après la répartition de la terre conquise, les tribus de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé bâtirent un autel bien visible, près du Jourdain. Cela jeta temporairement le trouble parmi les autres tribus, jusqu’à ce qu’on établisse qu’il ne s’agissait pas d’un acte d’apostasie, mais seulement d’un mémorial de fidélité à Jéhovah, le vrai Dieu. — it-1 p232-233

    Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire Dt 12:20-27. Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple la Salmonelle. - it-1 p894

    Les dieux de l’Antiquité étaient souvent dépeints comme des personnages lubriques et assoiffés de sang. Dans le but de les apaiser, des parents allaient jusqu’à brûler vifs leurs enfants (Deutéronome 12:31). Les Cananéens et les Israélites apostats pratiquaient les sacrifices d’enfants. À l’autre extrême, des philosophes païens enseignaient que Dieu ne connaissait ni la colère ni la pitié. –TG1994 1/11

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 34-36


    Nombres 35:31 : Pourquoi Adam et Ève ne bénéficieront-ils pas de la rançon payée par le sacrifice de Jésus ? w91 15/2 13 § 13

    « Vous ne devez pas accepter de rançon pour la vie d’un meurtrier qui mérite la mort, car il sera obligatoirement mis à mort.’

    13 Néanmoins, ni Adam ni Ève ne bénéficieront de la rançon. La Loi mosaïque renfermait, en effet, ce principe: “Vous ne devrez pas accepter de rançon pour l’âme d’un meurtrier qui est digne de mort.” (Nombres 35:31). Adam n’a pas été trompé: son péché était donc volontaire, délibéré (1 Timothée 2:14). C’est comme s’il avait tué ses descendants, car ils ont hérité de son imperfection, subissant du même coup une condamnation à mort. Il est clair qu’Adam méritait la mort, car, étant parfait, il avait choisi en toute liberté de désobéir à la loi de Dieu. Jéhovah serait allé à l’encontre de ses justes principes s’il avait fait bénéficier Adam de la rançon. Cependant, le salaire du péché d’Adam étant payé, la sentence de mort qui pesait sur ses descendants pouvait être annulée (Romains 5:16). Au plan juridique, le pouvoir destructeur du péché était neutralisé à sa source. Celui qui a payé la rançon a ‘goûté la mort pour tous les hommes’, supportant, pour tous les enfants d’Adam, les conséquences du péché. — w91 15/2 13 § 13


    Nos premiers parents méritaient manifestement de mourir pour avoir désobéi à Dieu volontairement et sciemment. Ils avaient de fait renoncé à la vie éternelle qui s’offrait à eux. Comme il était hors de question qu’ils puissent bénéficier du sacrifice rédempteur du Christ, à leur mort ils sont allés dans la géhenne

    Sous la Loi, le meurtrier volontaire ne pouvait être racheté. Par ses actes délibérés, Adam attira la mort sur tous les humains ; il fut donc un meurtrier. Par conséquent, Dieu ne peut accepter la vie offerte en sacrifice de Jésus comme rançon pour l’homme pécheur Adam. – it-2 p728


    Certains ne seront pas ressuscités. S’il est vrai que le sacrifice rédempteur de Christ fut donné en faveur des humains en général, Jésus indiqua que son application effective serait cependant limitée lorsqu’il dit : “ De même que le Fils de l’homme est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup. ” (Mt 20:28). Jéhovah Dieu est en droit de refuser une rançon proposée pour quelqu’un qu’il juge indigne. La rançon de Christ couvre les péchés que quelqu’un a parce qu’il descend du pécheur Adam, mais on peut aggraver son cas en se livrant délibérément et volontairement au péché, et on peut donc mourir pour ce péché qui ne saurait être couvert par la rançon - it-2 p787-788


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Nombres 35:9-29. Le fait que le meurtrier involontaire devait quitter son domicile et fuir dans une ville de refuge pendant un temps nous enseigne que la vie est sacrée et que nous devons la respecter. – TG2004  1/8 p24


    ville de refuge. Ville où une personne qui avait tué quelqu’un involontairement pouvait demander l’asile pour échapper au vengeur du sang. Les villes de refuge appartenaient aux Lévites. Il en existait six, réparties dans toute la Terre promise. Elles ont été désignées par Moïse et plus tard par Josué sous la direction de Jéhovah. Quand le fugitif arrivait à la ville de refuge, il expliquait sa situation aux anciens se trouvant à la porte de la ville ; on lui offrait alors l’hospitalité. Pour éviter que des assassins (qui avaient tué volontairement) ne profitent de cette disposition, celui qui demandait l’asile devait passer en jugement dans la ville où la mort avait eu lieu afin de prouver son innocence. S’il était reconnu innocent, il était renvoyé dans la ville de refuge et il devait rester à l’intérieur des limites de cette ville le reste de sa vie ou jusqu’à la mort du grand prêtre (Nb 35:6, 11-15, 22-29) - nwt p1834


    La ville de refuge aujourd’hui - Qu’est la ville de refuge antitypique? Il ne s’agit pas d’un lieu géographique, comme l’était par exemple Hébron, l’une des six villes de refuge lévitiques et lieu de résidence du grand prêtre d’Israël. De nos jours, la ville de refuge est la disposition que Dieu a prise, afin de nous protéger de la mort que nous méritons pour avoir violé son commandement relatif au caractère sacré du sang. Qu’il l’ait fait volontairement ou non, quiconque a commis cette infraction doit rechercher le pardon de Dieu et la remise de son péché en exerçant la foi dans le sang du Grand Prêtre, Jésus Christ. Les chrétiens oints et les membres de la “grande foule”, dont l’espérance est de vivre pour les uns au ciel et pour les autres sur la terre, ont accepté les bienfaits du sacrifice propitiatoire de Jésus et se trouvent donc dans la ville de refuge antitypique.

    Quitter la ville de refuge, c’est prendre le risque d’être détruit, car le Vengeur du sang entrera bientôt en action contre tous ceux qui sont coupables de meurtre. Ce n’est donc pas le moment d’être surpris en dehors de cette ville protectrice ni dans une zone dangereuse, un peu au delà de la limite de ses pâturages. Nous nous retrouverions à l’extérieur de la ville de refuge antitypique si nous perdions la foi dans le sacrifice propitiatoire du Grand Prêtre. Nous ne serions pas non plus en sécurité si nous adoptions des comportements propres au monde, si nous n’adhérions pas pleinement à l’organisation de Jéhovah ou si nous nous écartions des principes justes de notre Père céleste.  – TG1995  15/11 p. 17 § 8


    La Loi mosaïque marquait une différence entre un accident qui entraînait la mort et un autre sans conséquence fatale. Elle faisait également la distinction entre tuer volontairement et involontairement. Celui qui commettait un meurtre délibérément subissait inéluctablement la peine capitale ; par contre, des villes de refuge étaient prévues pour ceux qui s’étaient accidentellement rendus coupables d’homicide (Nb 35:11-25, 31). La loi s’appliquait à l’Israélite de naissance comme au résident étranger, et elle les instruisait des sacrifices propitiatoires à offrir pour les péchés accidentels ou involontaires – it-1 Accident


    Vu sous des angles différents - Il arrive que des rédacteurs bibliques relatent le même événement sous des angles différents ou qu’ils agencent leurs récits diversement. Sachant cela, il est facile de résoudre d’autres contradictions apparentes. Nombres 35:14 en offre une illustration. Dans ce verset, Moïse utilise l’expression “de ce côté-ci du Jourdain” pour désigner la région qui se trouve à l’est du fleuve. Or, Josué parle de la même région comme étant “de l’autre côté du Jourdain”. (Josué 22:4.) Quelle est donc la bonne localisation?

    Toutes les deux sont exactes. D’après le livre des Nombres, les Israélites n’avaient pas encore traversé le Jourdain pour entrer en Terre promise: pour eux, l’est du Jourdain était “de ce côté-ci”. Josué, par contre, l’avait déjà traversé et se trouvait à l’ouest du Jourdain, dans le pays de Canaan. Pour lui, l’est du Jourdain était donc “de l’autre côté”.

    L’homicide involontaire devait rester dans la ville de refuge ou dans un périmètre de 1 000 coudées (environ 440 mètres) hors de ses murs (Nombres 35:2-4). S’il s’aventurait au-delà de cette limite, il risquait de rencontrer le vengeur du sang, et celui-ci pouvait alors le mettre à mort impunément. Reste que l’homicide n’était ni enchaîné ni emprisonné. Résident de la ville de refuge, il devait apprendre un métier, travailler et se comporter en élément utile de la société – TG1995 15/11 p10-14, 17


    En Israël, l’homicide involontaire n’était autorisé à rester dans l’une des villes de refuge que s’il pouvait fournir la preuve qu’il avait une bonne conscience devant Dieu à propos du sang qu’il avait versé. Pour obtenir une bonne conscience, nous devons exercer la foi dans le sacrifice de Jésus, nous repentir de nos péchés et changer de conduite. Il nous faut demander à Dieu une bonne conscience en nous vouant à lui dans la prière par l’intermédiaire du Christ, et en symbolisant cet engagement par le baptême d’eau (1 Pierre 3:20, 21). Cette bonne conscience nous permet alors de nouer des relations pures avec Jéhovah. Le seul moyen de la garder est de nous conformer aux exigences de Dieu et d’accomplir l’œuvre qu’il nous a assignée dans la ville de refuge antitypique, à l’image des homicides involontaires d’autrefois qui devaient obéir à la Loi et accomplir les tâches qui leur étaient assignées dans la ville de refuge. La tâche principale confiée au peuple de Jéhovah de nos jours est celle qui consiste à diffuser le message du Royaume (Matthieu 24:14; 28:19, 20). La participation à cette activité nous permet d’être des habitants utiles de la ville de refuge antitypique. – TG1995 15/11 p19 §19


    Combien de temps l’homicide involontaire devait-il demeurer dans la ville de refuge? Parfois le reste de sa vie. Dans tous les cas, la Loi déclarait: “Il doit habiter dans sa ville de refuge, jusqu’à la mort du grand prêtre, et après la mort du grand prêtre, l’homicide pourra retourner au pays de sa possession.” (Nombres 35:26-28). Pourquoi la mort du grand prêtre permettait-elle à l’homicide involontaire de quitter la ville de refuge? Le grand prêtre était l’un des hommes les plus importants de la nation. Sa mort constituait donc un événement d’une telle ampleur que la nouvelle faisait le tour de toutes les tribus d’Israël.

    Tous ceux qui avaient trouvé asile dans les villes de refuge pouvaient alors rentrer chez eux sans plus craindre les vengeurs du sang. En effet, la Loi de Dieu stipulait que la possibilité offerte au vengeur du sang de tuer l’homicide prenait fin à la mort du grand prêtre, et tout le monde le savait. Quiconque vengeait la mort de son proche parent après cette limite devenait un assassin et était condamné à mort comme tel. - TG1995 15/11 p10-14, 17


    Dans l’Israël d’autrefois, Jéhovah prenait au sérieux tous les cas de meurtre. Si le meurtre était volontaire, « le vengeur du sang » (le parent masculin le plus proche de la victime) devait mettre à mort le meurtrier (Nomb. 35:19). Ainsi, le meurtrier payait de sa vie celle de l’innocent qu’il avait tué. Il devait être mis à mort rapidement pour que la Terre promise ne devienne pas impure. En effet, Jéhovah avait déclaré : « Vous ne devez pas profaner le pays où vous êtes ; car le sang [d’un humain assassiné] profane le pays » (Nomb. 35:33, 34). –

    Et quand un Israélite tuait quelqu’un par accident ? Même dans ce cas, l’homicide (le meurtrier) involontaire était coupable d’avoir tué un innocent. Mais grâce à la miséricorde de Jéhovah, il avait le droit d’échapper au vengeur du sang en s’enfuyant dans l’une des six villes de refuge. Là, il était protégé. Il devait y rester jusqu’à la mort du grand prêtre (Nomb. 35:15, 28). – TG2017.11 p9


    Si un Israélite tuait quelqu’un par accident, il devait courir jusqu’à une ville de refuge et expliquer ce qui s’était passé aux anciens à l’entrée de la ville. Les anciens devaient l’accueillir avec hospitalité (Jos. 20:4). Ensuite, ils le renvoyaient vers les anciens de la ville où le meurtre avait eu lieu, pour qu’ils jugent l’affaire (Nombres 35:24, 25). Si les anciens concluaient que la mort avait été accidentelle, ils faisaient retourner le fugitif à sa ville de refuge.

    Pourquoi les anciens devaient-ils intervenir ? Pour garder pure la congrégation d’Israël et pour aider le meurtrier involontaire à bénéficier de la miséricorde de Jéhovah. Un bibliste a expliqué que si un fugitif n’allait pas voir les anciens, c’était « à ses risques et périls. S’il était tué, c’était de sa faute, puisqu’il ne s’était pas servi du moyen que Dieu avait prévu pour le protéger ». Un meurtrier involontaire pouvait donc être aidé, mais il devait rechercher et accepter cette aide. S’il ne se réfugiait pas dans une des villes que Jéhovah avait mises à part, le vengeur du sang avait le droit de le mettre à mort.

    Aujourd’hui, un chrétien qui a commis un péché grave doit rechercher l’aide des anciens de l’assemblée pour retrouver une bonne relation avec Jéhovah. Pourquoi est-ce important ? Premièrement, l’action des anciens dans les cas de péché grave est une disposition de Jéhovah. Deuxièmement, cette disposition aide le pécheur repentant à retrouver l’approbation de Dieu et à ne pas recommencer à pécher. Troisièmement, les anciens sont établis et formés pour rassurer les pécheurs repentants, en calmant leur peine et leur sentiment de culpabilité. N’es-tu pas d’accord pour dire que cette disposition est une expression de la miséricorde de Dieu ? – TG2017.11 p9

    Pour qu’il lui soit fait miséricorde, un meurtrier involontaire devait agir : il devait fuir vers la ville de refuge la plus proche. Pour ne pas mourir, le fugitif devait atteindre cette ville sans tarder et y rester ! Cela l’obligerait à faire des sacrifices. En effet, il devrait abandonner son travail, le confort de sa maison et sa liberté de voyager — tout cela jusqu’à la mort du grand prêtre (Nomb. 35:25). Mais ces sacrifices en valaient la peine. Dans le cas où le fugitif quitterait la ville, il montrerait que cela lui était égal d’avoir tué quelqu’un et il mettrait sa propre vie en danger.

    Pareillement aujourd’hui, pour avoir la miséricorde de Dieu, un pécheur repentant doit agir. Il doit abandonner complètement sa mauvaise conduite, en rejetant non seulement tout péché grave, mais aussi tout péché qui mène à des péchés graves. . En faisant tout pour abandonner sa mauvaise conduite, un chrétien montre à Jéhovah qu’il ne minimise pas son péché et qu’il n’estime pas avoir droit à sa miséricorde automatiquement.

    Qu’est-ce qu’un chrétien doit abandonner pour continuer d’avoir la miséricorde de Dieu ? Il doit aller jusqu’à abandonner des choses qu’il aime si elles risquent de l’amener à commettre un péché. Si des amis t’encouragent à faire des choses qui déplaisent à Jéhovah, cesseras-tu de les fréquenter ? – TG2017/11 p11 §13


    Le fait de garder constamment Jéhovah présent à l’esprit nous aidera à lui obéir, ce qui nous vaudra des bénédictions. Cela exige que nous soyons disposés à obéir. Intéressons-nous à l’état d’esprit de cinq jeunes femmes, les filles de Tselophehad, qui vivaient aux jours de Moïse. Chez les Israélites, c’étaient les fils qui héritaient de leur père. Tselophehad étant mort sans avoir eu de fils, Jéhovah a donné l’ordre que ses cinq filles reçoivent la totalité de l’héritage à une condition. Elles devaient épouser des fils de Manassé pour que la terre et les biens dont elles hériteraient restent dans la même tribu. — Nomb. 36:6-8.

    Les filles de Tselophehad avaient foi que les choses tourneraient bien pour elles si elles obéissaient à Dieu. “ Comme Jéhovah l’avait ordonné à Moïse, ainsi firent les filles de Tselophehad ”, dit la Bible. “ Mahla, Tirtsa, Hogla, Milka et Noa, les filles de Tselophehad, devinrent donc les femmes des fils des frères de leur père. Elles devinrent femmes dans certaines des familles des fils de Manassé le fils de Joseph, afin que leur héritage reste dans la tribu de la famille de leur père. ” (Nomb. 36:10-12). Ces femmes obéissantes ont fait ce que Jéhovah avait ordonné. Animés par une foi semblable, les chrétiens spirituellement mûrs qui décident de se marier obéissent à Dieu en se mariant “ seulement dans le Seigneur ”. — 1 Cor. 7:39. – TG2008 15/2 p4-5

     

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 32-33


    Nombres 33:54 : Comment le pays était-il réparti entre les tribus d’Israël ? (it-1 933 § 6).

    « Vous devrez répartir le pays entre vos familles par tirage au sort. Pour un groupe nombreux, vous augmenterez l’héritage et, pour un groupe peu nombreux, vous diminuerez l’héritage. L’héritage de chacun sera là où le sort tombera. Vous recevrez votre terre en héritage selon les tribus de vos pères »

    Après que le tirage au sort avait déterminé l’emplacement géographique d’une tribu, il fallait fixer l’étendue de son territoire en fonction du deuxième facteur : sa taille. “ Vous devrez vous répartir le pays en possession, par le sort, selon vos familles. Pour celui qui est populeux, vous augmenterez son héritage ; pour celui qui est clairsemé, vous diminuerez son héritage. Où le sort sortira pour lui, là ce sera à lui. ” (Nb 33:54). Ce que le sort avait décidé concernant l’emplacement géographique approximatif était maintenu, mais on pouvait modifier la taille de l’héritage. Par exemple, quand on s’aperçut que le territoire de Juda était trop grand, on en réduisit la superficie en en attribuant des parties à la tribu de Siméon. — Jos 19:9. - it-1 933 § 6

    Le territoire des tribus d’Israël - Jéhovah fixa lui-même les frontières de la Terre promise. Il donna également des directives concernant le partage du pays entre les tribus d’Israël. Les familles reçurent des parcelles de terre précises, et ces parts furent préservées pour les générations futures. Ce qui fut fait dans l’Israël antique illustre le droit souverain que détient Jéhovah d’attribuer des terres aux humains de façon à accomplir son dessein. — it-1 p744

    Le déplacement de ce vaste camp d’un lieu à un autre (en Nombres 33, Moïse répertorie environ 40 de ces campements) témoignait aussi d’une organisation extraordinaire. Aussi longtemps que le nuage était au-dessus du tabernacle, le camp demeurait sur place. Dès que le nuage se déplaçait, le camp se déplaçait aussi. “ Sur l’ordre de Jéhovah ils campaient et sur l’ordre de Jéhovah ils partaient. ” – it-1 Camp


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Avant qu’Israël n’entre en Terre promise, les membres de la tribu de Gad ont demandé l’autorisation de s’installer dans le pays propice à l’élevage qui se situait à l’est du Jourdain (Nombres 32:1-5). En vivant à cet endroit, ils se heurteraient à de sérieuses difficultés. Les tribus qui habiteraient à l’ouest seraient protégées par la vallée du Jourdain, qui constituait une barrière naturelle contre les invasions. Mais, en ce qui concerne les terres à l’est du Jourdain, on lit dans Géographie historique de la Terre sainte (angl.), par George Smith : “ [Elles] s’étendent presque sans aucun obstacle sur le grand plateau d’Arabie. Par conséquent, elles ont de tout temps été exposées à l’invasion de nomades affamés, dont certains les envahissaient chaque année pour y faire paître leurs troupeaux. ”

    Comme la tribu de Gad, les chrétiens d’aujourd’hui supportent les menaces et les fardeaux que leur impose le système de Satan ; ils n’en sont pas dispensés par une quelconque protection miraculeuse.  – TG2004  1/6 p14


    Josué et Caleb, hommes courageux, ont prouvé que nous pouvons marcher dans les voies de Dieu. Ils ont “suivi Jéhovah sans réserve”. (Nombres 32:12.) Josué et Caleb étaient parmi les 12 hommes envoyés espionner la Terre promise. Par crainte des habitants, dix espions ont essayé de dissuader Israël d’entrer en Canaan. Toutefois, Josué et Caleb ont eu le courage de déclarer: “Si Jéhovah a pris plaisir en nous, alors, à coup sûr, il nous fera entrer dans ce pays et nous le donnera: un pays qui ruisselle de lait et de miel! Seulement, ne vous rebellez pas contre Jéhovah et ne craignez point, vous, le peuple du pays, car ils sont du pain pour nous. Leur abri s’est retiré d’au-dessus d’eux et Jéhovah est avec nous. Ne les craignez pas.” (Nombres 14:8, 9). Manquant de foi et de courage, cette génération d’Israélites n’est jamais entrée en Terre promise. Josué et Caleb, quant à eux, y sont entrés en compagnie d’une nouvelle génération. Parce que Josué et Caleb savaient que Jéhovah prendrait soin d’eux et parce qu’ils écoutaient leur Dieu avec foi, Jéhovah déclara: “Ceux-ci ont suivi Jéhovah sans réserve.” (Nomb. 32:12). Avez-vous la même foi et le même courage dans les derniers jours de ce système ?

    Bien que nous soyons, comme Josué et Caleb, des humains imparfaits, nous pouvons suivre Jéhovah sans réserve, et Dieu peut nous donner le pouvoir de marcher courageusement dans ses voies – TG1993 15/11 p14


    Qu’étaient les “ hauts lieux ” fréquemment mentionnés dans les Écritures hébraïques ?

    Alors que les Israélites s’apprêtaient à entrer en Terre promise, Jéhovah leur demanda de faire disparaître tous les lieux de culte des Cananéens qui y vivaient. Il leur ordonna : “ Vous devrez [...] détruire toutes leurs figures en pierre ; toutes leurs images en métal fondu, vous les détruirez ; et tous leurs hauts lieux sacrés, vous les anéantirez. ” (Nombres 33:52). Ces centres du faux culte étaient probablement des endroits en plein air au sommet d’une colline ou des plateformes construites ailleurs, par exemple sous des arbres ou dans des villes. Ils pouvaient comporter des autels, des colonnes ou des poteaux sacrés, des images, des autels à encens et d’autres objets pour le culte – TG2010  15/8


    Jéhovah avait ordonné aux Israélites de faire disparaître de la Terre promise tout ce qui pourrait les amener à lui désobéir (Nb 33:52). Jéhovah bénirait leur détermination à prendre complètement possession du pays (Nb 33:53).

    Si les Israélites ne chassaient pas tous leurs ennemis, des problèmes en résulteraient (Nb 33:55, 56)

    Aujourd’hui, nous rencontrons des épreuves similaires à celles que les Israélites ont connues. Notre société moderne ne manque pas d’idoles. Ce sont notamment l’argent, les personnalités du spectacle, les vedettes du sport, les systèmes politiques, certains chefs religieux, voire des membres de sa propre parenté. L’un de ces éléments, quel qu’il soit, peut devenir ce qui compte le plus pour nous dans la vie. Le fait d’entretenir une amitié étroite avec des personnes qui n’aiment pas Jéhovah peut nous mener à la ruine spirituelle. – mwb21 mars p21


    Nous pouvons comparer notre situation à celle des Israélites dans le désert. Quand ils entendaient les prêtres sonner de la trompette, ils devaient passer à l’action. Jéhovah avait demandé à Moïse de faire deux trompettes en argent martelé « pour convoquer la communauté et pour lever les camps ». Les prêtres sonnaient de la trompette de différentes façons en fonction de ce que le peuple devait faire. Pareillement, aujourd’hui, les serviteurs de Dieu sont guidés de différentes façons. À l’époque de Moïse, Jéhovah a guidé des millions d’hommes, de femmes et d’enfants dans le désert. Sans ses directives pleines d’amour, ils n’auraient pas survécu. Aujourd’hui, les conseils de Jéhovah nous permettent non seulement de survivre spirituellement en ces derniers jours, mais aussi de nous épanouir spirituellement, c’est-à-dire d’avoir une amitié étroite avec lui. Par conséquent, soyons tous déterminés à imiter les Israélites, qui, quand ils entendaient les prêtres sonner de la trompette, passaient à l’action - Nombres chapitre 33 – TG2020/6 p31

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    misette got a reaction from Claud's Lst in Perles spirituelles - Semaine du 26 Avril 2021 - Nombres 25-26   
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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 25-26


    Nombres 26:55, 56 : Pourquoi la manière dont Jéhovah a réparti le pays entre les tribus était-elle sage ? (it-1 933 § 5-6).


    « Cependant, le pays sera réparti par tirage au sort. Ils recevront leur héritage selon les noms des tribus de leurs pères. 56 Chaque héritage sera attribué par tirage au sort et proportionné à la taille du groupe. »

    Manifestement, donc, la répartition du pays entre les tribus fut régie par deux facteurs : le résultat du tirage au sort, et la taille de la tribu. Le sort ne fixait peut-être que l’emplacement approximatif du territoire que chaque tribu recevrait, indiquant un héritage dans telle ou telle partie du pays, par exemple au Nord ou au Sud, à l’Est ou à l’Ouest, dans la plaine côtière ou dans la région montagneuse. La décision du sort provenait de Jéhovah, ce qui éviterait la jalousie ou les querelles entre tribus (Pr 16:33). De cette façon, Dieu guidait aussi les choses pour que la situation de chaque tribu concorde avec la prophétie inspirée prononcée par le patriarche Jacob sur son lit de mort et consignée en Genèse 49:1-33.

    Après que le tirage au sort avait déterminé l’emplacement géographique d’une tribu, il fallait fixer l’étendue de son territoire en fonction du deuxième facteur : sa taille. “ Vous devrez vous répartir le pays en possession, par le sort, selon vos familles. Pour celui qui est populeux, vous augmenterez son héritage ; pour celui qui est clairsemé, vous diminuerez son héritage. Où le sort sortira pour lui, là ce sera à lui. ” (Nb 33:54). Ce que le sort avait décidé concernant l’emplacement géographique approximatif était maintenu, mais on pouvait modifier la taille de l’héritage. Par exemple, quand on s’aperçut que le territoire de Juda était trop grand, on en réduisit la superficie en en attribuant des parties à la tribu de Siméon. — Jos 19:9. - it-1 933 § 5-6


    Quand les Israélites sont arrivés en Terre promise, ils se sont installés là où Jéhovah leur a dit d’habiter. Nous ne savons pas où on nous dira d’habiter dans le monde nouveau. Mais si nous apprenons à coopérer, nous serons heureux de faire la volonté de Jéhovah peu importe où nous habiterons – TG2015  15/8


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Quand les belles Moabites et les belles Madianites invitèrent les hommes d’Israël à venir à leur fête, ceux-ci ont sans doute considéré cette invitation comme un geste d’hospitalité tout à fait innocent. Ils ont peut-être raisonné ainsi : “Quel mal y a-t-il à accepter l’hospitalité bienveillante des Moabites et des Madianites ? Il n’y a pas de mal à partager leur nourriture et leur vin. Les danses seront un agréable divertissement. Après le dur combat que nous avons mené contre les Amoréens, nous méritons bien un peu de détente.” Un tel raisonnement était dangereux car il justifiait les actions qui allaient les conduire dans une situation très dangereuse. Accepter l’hospitalité des Moabites et des Madianites et manger de leur nourriture délicieuse et tentante pouvait paraître peu de chose. Mais il s’agissait de mauvaises fréquentations. Ces gens étaient des adorateurs païens du sexe, qui, dans leur culte de Baal, se livraient à des rites licencieux, y compris la prostitution.

    “Le peuple commença à se livrer à la débauche avec les filles de Moab. Elles invitèrent le peuple aux sacrifices de leurs dieux ; et le peuple mangea, et se prosterna devant leurs dieux.” — Nomb. 25:1, 2. Pour avoir accepté une invitation à participer à une fête apparemment innocente, ces Israélites sont allés au désastre. La plaie fut finalement arrêtée quand Phinées transperça de sa lance Zimri et Cozbi, la femme madianite qu’il avait fait entrer dans sa tente pour coucher avec elle. Zimri était probablement un meneur parmi les infidèles. Puisque la prostitution était incluse dans le culte de Baal, on peut considérer qu’en amenant Cozbi dans sa tente pour avoir des relations sexuelles avec elle, Zimri a introduit le culte de Baal dans le camp d’Israël (Nomb. 25:6-8). Aujourd’hui, nous désirons suivre l’exemple de fidélité de Phinées et non pas celui des Israélites qui succombèrent aux désirs de la chair. Ce qui leur est arrivé est un exemple nous servant de leçon. . Il montre comment le fait d’entretenir de mauvais désirs, même quand cela paraît peu important, risque de conduire au désastre – TG1974 p44


    Le prêtre Phinées fut au nombre des fidèles. Il est mentionné en termes élogieux en raison de son intervention rapide contre Zimri et Cozbi. Il ne toléra “aucun acte de rivalité” envers le culte de Jéhovah, et cela “lui fut imputé à justice”. Jéhovah traita avec lui une alliance de paix qui devait être “pour lui et pour sa postérité après lui l’alliance d’un sacerdoce perpétuel”. — Nomb. 25:11-13. Aujourd’hui, nous désirons suivre l’exemple de fidélité de Phinées et non pas celui des Israélites qui succombèrent aux désirs de la chair. Ce qui leur est arrivé est un exemple nous servant de leçon. Il montre comment le fait d’entretenir de mauvais désirs, même quand cela paraît peu important, risque de conduire au désastre. – TG1974  15/1 p40


    Les motivations de Phinéas étaient très différentes. Peu avant d’entrer en Terre promise, bon nombre d’Israélites qui campaient dans les plaines de Moab ont suivi des femmes moabites et madianites dans l’immoralité et l’idolâtrie. Afin de purifier le camp et d’apaiser la colère ardente de Jéhovah, les juges d’Israël ont reçu l’ordre de tuer tous les hommes qui avaient ainsi dévié. Animé d’intentions immorales, le chef siméonite Zimri a osé introduire dans le camp Kozbi, une Madianite, “ sous les yeux de toute l’assemblée des fils d’Israël ”. Phinéas a agi avec fermeté : poussé par sa jalousie, son zèle, pour le culte de Jéhovah, et par son désir de maintenir la pureté morale du camp, il a exécuté les fornicateurs dans leur tente. Il a été loué pour sa “ colère jalouse ”, pour ‘ n’avoir toléré aucune rivalité ’ avec Jéhovah. Son intervention immédiate a mis fin au fléau punitif qui avait déjà emporté 24 000 âmes. Résultat, Jéhovah l’a récompensé en contractant avec lui une alliance de prêtrise qui resterait dans sa lignée pour des temps indéfinis. — Nombres 25:4-13

    En quoi ces deux expressions de jalousie étaient-elles différentes ? Sa jalousie égoïste a incité Miriam à s’opposer à son frère, tandis que Phinéas, motivé par la jalousie qui vient de Dieu, a fait justice. Il y a des moments où, comme Phinéas, nous devrions nous sentir poussés à défendre en paroles ou en actes le nom de Jéhovah, son culte et ses serviteurs. TG2002 15/10 p29


    S’il est vrai que beaucoup tombèrent dans le piège de la fornication à Sittim, il s’est trouvé des Israélites qui ont été fidèles à l’engagement de la nation vouée à Jéhovah. Citons Phinéhas, dont le zèle fut remarquable. Un jour, il aperçut un chef israélite qui amenait une femme madianite dans sa tente; alors Phinéhas se saisit d’une lance et les transperça. Jéhovah dit à Moïse: “Phinéhas (...) a fait s’en retourner mon courroux de dessus les fils d’Israël en ne tolérant au milieu d’eux aucun acte de rivalité contre moi, de sorte que je n’ai pas exterminé les fils d’Israël, bien que j’exige d’être l’objet d’un attachement exclusif.” (Nombres 25:11). Ne tolérer aucun acte de rivalité: voilà ce que signifie être voué à Dieu. Ne permettons à rien de prendre la place que devrait occuper dans notre cœur notre vœu à Jéhovah. Notre zèle pour Jéhovah non seulement nous interdit de tolérer les actes d’immoralité graves, mais nous pousse aussi à préserver la pureté de l’assemblée - TG2002 15/10 p29


    Durant la marche d’Israël dans le désert, Qorah, Dathân et Abiram se sont rebellés contre l’autorité de Moïse et d’Aaron. Par orgueil, les rebelles ont pris des dispositions de leur côté pour adorer Jéhovah. Comment Jéhovah a-t-il réagi ? Il les a exécutés (Nomb. 26:8-10). De ce récit historique se dégage un enseignement capital : la rébellion contre Jéhovah mène au désastre. Souvenons-nous également qu’« avant l’écroulement, il y a l’orgueil » (Prov. 16:18 ) – TG2014  15/8


    Nombres 26 :51 « Voici le total des Israélites enregistrés : 601 730. »

    Jéhovah ordonne maintenant à Moïse et à Éléazar de recenser de nouveau le peuple, comme cela s’était fait presque 39 ans auparavant, au mont Sinaï. Le total des enregistrés montre qu’il n’y a pas eu d’accroissement en leur sein. Au contraire, on note une diminution de 1 820 hommes. Il ne subsiste aucun des enregistrés au Sinaï aptes au service militaire, excepté Josué et Caleb. Comme Jéhovah l’avait prédit, tous sont morts dans le désert – Toute écriture p34

     
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    misette got a reaction from Claud's Lst in Perles spirituelles - Semaine du 19 Avril 2021 - Nombres 22-24   
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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 22-24


    Nombres 22:20-22 : Pourquoi Jéhovah s’est-il enflammé de colère contre Balaam ? (w04 1/8 27 § 2).

    « Alors, la nuit, Dieu vint dire à Balaam : « Si ces hommes sont venus pour te convoquer, va avec eux. Mais tu pourras dire seulement ce que je te dirai de dire. » 21 Le lendemain matin, Balaam se leva donc, sella son ânesse et partit avec les princes de Moab. 22 Mais la colère de Dieu s’enflamma parce qu’il partait ; alors l’ange de Jéhovah se posta sur la route pour s’opposer à lui. Balaam, lui, était monté sur son ânesse, et deux de ses serviteurs étaient avec lui.»

    Jéhovah avait interdit à Balaam de maudire les Israélites (Nombres 22:12). Pourtant, c’est bien dans cette intention qu’il est allé avec les hommes de Balaq. Il voulait plaire au roi de Moab afin d’obtenir une récompense de sa part. Même après avoir été contraint de bénir Israël au lieu de le maudire, Balaam a cherché à trouver faveur aux yeux du roi en lui suggérant d’utiliser des adoratrices de Baal pour séduire les Israélites. C’est donc la cupidité éhontée de Balaam qui a provoqué la colère de Jéhovah. - w04 1/8 27 § 2


    Jéhovah n’était pas satisfait de voir Balaam partir avec la délégation, dans la ferme intention de maudire Israël malgré l’ordre qu’il avait reçu de ne pas le faire. Une grande surprise attendait Balaam. En effet, son ânesse adopta soudain un comportement des plus insolites. Que se passait-il? Un ange de Jéhovah s’était posté en travers du chemin. Cet ange montra vigoureusement à Balaam que s’opposer à la volonté divine signifierait pour lui la mort. Il lui rappela aussi que tout ce qu’il était autorisé à faire, c’était à dire ce que Jéhovah voulait lui faire dire. — Nomb. 22:22-35.

    Cet incident changea-t-il quelque chose aux intentions de Balaam? On pourrait le croire, à en juger d’après les paroles suivantes qu’il adressa au roi Balak: “La parole que Dieu placera dans ma bouche, c’est celle-là que je dirai!” (Nomb. 22:38). En réalité, cependant, Balaam désirait toujours la récompense et il était décidé à faire ce qu’il pourrait pour l’obtenir. TG1978 15/7


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les humains peuvent se faire piéger. Prenons l’exemple des Israélites : Ils sont tout près de la Terre promise. Ils campent dans les plaines de Moab. Le roi de Moab promet à un homme appelé Balaam de lui donner beaucoup d’argent s’il jette une malédiction sur les Israélites. Finalement, Balaam trouve un moyen pour que ce soient les Israélites qui fassent venir la malédiction sur eux. Il choisit soigneusement son appât : des jeunes femmes moabites. Il les envoie dans le camp d’Israël pour séduire les hommes (Nombres 22:1-7). 3 L’appât de Balaam a-t-il fonctionné ? Oui. Des milliers d’hommes israélites ont ‘commis des actes sexuels immoraux avec les filles de Moab’. De plus, ils se sont mis à adorer de faux dieux dégoûtants, comme le Baal de Péor, une divinité qui prônait le culte du sexe. Finalement, 24 000 Israélites sont morts, alors qu’ils étaient à la frontière de la Terre promise. Pourquoi autant d’Israélites sont-ils tombés dans le piège de Balaam ? Parce qu’ils n’ont pensé qu’à leur plaisir égoïste et parce qu’ils ont oublié tout ce que Jéhovah avait fait pour eux.

    Le monde nouveau est pour très bientôt. D’une certaine façon, nous sommes comme les Israélites à la frontière de la Terre promise. Aujourd’hui, le monde est encore plus obsédé par le sexe que les Moabites. Cette obsession pourrait facilement influencer les serviteurs de Jéhovah. En fait, l’appât du Diable le plus efficace, c’est le sexe. Demande-toi : « Qu’est-ce que je préfère : profiter égoïstement d’un court moment de plaisir ou vivre heureux et pour toujours dans le monde nouveau ? » Cela vaut vraiment la peine d’obéir à ce commandement de Jéhovah : « Fuyez toute conduite sexuelle immorale ! » lvs chap8 §2


    Balaam, ce devin savait fort bien qu’il irait à l’encontre de la volonté du Souverain suprême s’il maudissait les Israélites. Mais si Balaam déclara publiquement qu’il ne dirait rien d’autre que ce que Jéhovah lui ordonnerait de dire, néanmoins en son for intérieur il nourrissait le désir de maudire Israël. Il convoitait la récompense offerte par Balak, le roi moabite. Mais le Dieu Tout-Puissant reprit Balaam par l’entremise de la propre ânesse du devin. Par un miracle, il fit prononcer des paroles intelligibles à cette bête de somme pourtant dépourvue de raison (Nombres 22:1-35). Une telle action n’était pas difficile pour Celui qui pourrait même faire crier des pierres (Luc 19:40). Étant donné l’avidité extrême de Balaam, c’est fort justement que Jéhovah Dieu recourut à cette forme de réprimande exceptionnelle. En essayant de résister à la volonté de Dieu concernant Israël, Balaam agissait en insensé. La réprimande de son animal domestique l’empêcha temporairement de continuer dans cette voie, car elle lui montra qu’il lui serait impossible de maudire Israël. — Nombres 23:1 à 24:9.

    Le cas de Balaam est vraiment un exemple frappant de ce que peuvent faire des hommes qui cessent de pratiquer le bien par intérêt. Même un miracle ne peut les faire renoncer à satisfaire leurs désirs cupides. Nous devrions donc éviter de fréquenter intimement quelqu’un dont les pensées, les paroles et la conduite troublent sérieusement notre conscience. Les égoïstes ne se font aucun scrupule de nuire aux autres pour arriver à leurs fins. – bw chap10 p14 6 §22


    Un exemple de la supériorité de Jéhovah sur les forces occultes est celui où les Moabites vinrent “ avec en leurs mains les paiements de la divination ” louer les services du devin mésopotamien Balaam, services qui consisteraient à maudire Israël (Nb 22:7). Balaam tenta ‘ d’aller à la rencontre de présages funestes ’, mais Jéhovah le fit prononcer seulement des bénédictions. Dans une de ses paroles proverbiales, ce devin reconnut, sous la puissance irrésistible de Jéhovah : “ Car il n’y a pas de sortilège funeste contre Jacob, ni de divination contre Israël. ” — Nb chap. 23, 24.

    Étant donné cette triste histoire de la divination, quelle folie de recourir à elle en ce “temps de la fin” pour obtenir des conseils sur l’avenir. Jéhovah est l’unique source d’informations dignes de foi touchant l’avenir. Seul, il sait dès le commencement ce qui doit arriver – it-1 p655 Divination


    Quand l’ange de Dieu a parlé à Balaam par l’intermédiaire d’une ânesse, celle-ci ne possédait pas un larynx aussi développé que celui des humains (Nombres 22:26-31). Manifestement, c’est depuis les sphères spirituelles que s’est réalisé le prodige qui a permis à cette ‘ bête de somme sans voix de s’exprimer avec une voix d’homme ’ – TG2001  15/11


     Jéhovah est “ le Dieu de vérité ”. (Ps 31:5.) Il est fidèle dans toutes ses manières d’agir. Ses promesses sont certaines, car il ne peut mentir (Nb 23:19 ). Il juge selon la vérité, c’est-à-dire selon ce que les choses sont réellement, et non en se fiant aux apparences. Tout ce qui émane de lui est pur et sans défaut. Ses décisions judiciaires, sa loi, ses commandements et sa parole sont vérité, sont toujours vrais et légitimes, et s’opposent à toute injustice et à toute erreur. – it-2 p1135 Vérité


    Jéhovah permet que les esprits méchants soient toujours en vie, mais il manifeste sa puissance, notamment en faveur de ses serviteurs ; ainsi, son nom est proclamé par toute la terre. Si vous restez proche de Dieu, vous n’aurez pas à craindre les esprits méchants (Nombres 23:21, 23). Leur pouvoir est limité.

    Aux jours de Noé, ils ont été châtiés ; plus récemment, ils ont été expulsés du ciel, et ils attendent maintenant le jugement final. En fait, ils ont peur de la destruction qui les attend. Ainsi, que les démons tentent de vous séduire par quelque appât ou qu’ils vous attaquent de différentes manières, vous pouvez leur résister. Rejetez toute forme de spiritisme, mettez en pratique les conseils de la Parole de Dieu et recherchez l’approbation de Jéhovah. Faites tout cela sans tarder, car votre vie dépend de la résistance que vous opposerez aux forces spirituelles méchantes – kl chap12 p108 §20


    Quand le prophète Balaam déclara que les tentes d’Israël étaient “ comme des aloès que Jéhovah a plantés, comme des cèdres auprès des eaux ”, peut-être pensait-il aux branches largement déployées de ces grands arbres qui faisaient qu’un groupe d’aloès ressemblait à un campement (Nb 24:6). C’est peut-être une allusion à la forme de l’arbre produisant l’aloès, qui peut atteindre 30 mètres de haut et dont les branches sont élancées. Certes, de nos jours, on ne le trouve pas en Israël. Mais le Dictionnaire de la Bible (angl.) déclare : « Rien n’empêche de penser que cet arbre ainsi que d’autres aient été cultivés dans la vallée du Jourdain, qui était alors prospère et populeuse, même si aujourd’hui on n’en rencontre pas dans cette région. » - it-1 p84 Aloes


    La prophétie de Balaam. Ce fut avant l’entrée des Israélites en Terre promise que le prophète Balaam déclara à Balaq, roi de Moab : “ Viens, que je t’avise de ce que ce peuple [Israël] fera à ton peuple plus tard, à la fin des jours. [...] À coup sûr, une étoile sortira de Jacob, un sceptre s’élèvera vraiment d’Israël. À coup sûr, il brisera les tempes de Moab et le crâne de tous les fils du tumulte de guerre. ” (Nb 24:14-17). Dans le premier accomplissement de cette prophétie, l’“ étoile ” se révéla être le roi David, vainqueur des Moabites. Par conséquent, dans cet accomplissement de la prophétie, “ la fin des jours ” commença sans doute lorsque David devint roi. Puisque David préfigurait Jésus en qualité de Roi messianique, la prophétie s’appliquerait aussi à Jésus au moment où il soumettrait ses ennemis. – it-1 p622 Derniers jours

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    misette got a reaction from Françoise Nicolay in Perles spirituelles - Semaine du 12 Avril 2021 - Nombres 20-21   
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    Nombres 20:23-27 : Que nous enseigne la manière dont Aaron a réagi à la correction et la manière dont Jéhovah le considérait malgré ses fautes ? (w14 15/6 26 § 12).

    « Alors Jéhovah dit à Moïse et à Aaron, au mont Hor, à la frontière du pays d’Édom : 24 « Aaron va être réuni à son peuple. Il n’entrera pas dans le pays que je donnerai aux Israélites, parce que vous vous êtes tous les deux rebellés contre mon ordre concernant les eaux de Meriba. 25 Prends avec toi Aaron et son fils Éléazar, et fais-les monter au mont Hor. 26 Enlève à Aaron ses vêtements et mets-les à son fils Éléazar. Et Aaron mourra là. » 27 Moïse fit donc comme Jéhovah l’avait ordonné : Ils gravirent le mont Hor sous les yeux de toute la communauté.»

    12 À chaque fois, Jéhovah aurait pu punir Aaron sur-le-champ. Mais il a discerné que cet homme n’était ni foncièrement mauvais ni le plus coupable. Il semble qu’Aaron a laissé les circonstances ou certaines influences le détourner du droit chemin. Mais quand on lui a fait prendre conscience de ses erreurs, il les a reconnues volontiers et a soutenu les jugements divins (Nomb. 12:11 ; 20:23-27). Jéhovah a choisi de se concentrer sur sa foi et son attitude repentante. Des siècles plus tard, on se souvenait toujours de lui et de ses descendants comme d’hommes craignant Jéhovah - w14 15/6 26 § 12


    Si, par trois fois, Aaron dévia, il n’apparut jamais comme l’instigateur principal de la mauvaise action ; il semble plutôt s’être laissé détourner de la voie droite sous la pression des événements ou l’influence d’autres personnes. Certes, il aurait pu, notamment lors de son premier faux pas, se conformer au principe qui se dégage de ce commandement : “ Tu ne dois pas suivre la foule dans une intention mauvaise. ” (Ex 23:2). Le nom d’Aaron est néanmoins honoré dans la suite des Écritures, et le Fils de Dieu, quand il était sur la terre, reconnut la légitimité de la prêtrise aaronique – it-1 Aaron


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les juges humains rendent parfois des sentences injustes ou excessivement sévères, mais il en va autrement de Jéhovah “ aime la justice ”. Vers la fin de leurs pérégrinations dans le désert, les Israélites ont connu une pénurie d’eau. Le peuple s’est alors querellé avec Moïse et Aaron. “ Pourquoi avez-vous amené la congrégation de Jéhovah dans ce désert pour y mourir, nous et nos bêtes de somme ? ” gémissait-il (Nombres 20 :4). Il se plaignait que le désert soit un “ lieu sinistre ” où il n’y avait pas “ de figues, de vignes et de grenades ”, fruits que précisément les espions israélites avaient rapportés de la Terre Promise des années auparavant. Il déplorait également qu’il n’y ait “ pas d’eau à boire ”. (Verset 5 ; Nombres 13:23.) En fait, il s’en prenait à Moïse et à Aaron parce que le désert n’avait rien du pays fertile où une précédente génération de mécontents avait refusé d’entrer – TG2009  1/9 p19


    Jéhovah n’a pas rejeté ceux qui murmuraient. Il a plutôt ordonné à Moïse trois choses : prendre son bâton, réunir les Israélites et “ parler au rocher, sous leurs yeux, pour qu’il donne vraiment son eau ”. (Verset 8.) Moïse a obéi aux deux premières directives, mais a désobéi à la troisième. Au lieu de parler avec foi au rocher, il a parlé avec amertume au peuple. “ Entendez donc, rebelles ! s’est-il exclamé. Est-ce de ce rocher que nous ferons sortir de l’eau pour vous ? ” (Verset 10). . Puis Moïse frappa deux fois le rocher et “ alors il sortit de l’eau en abondance ”. — Verset 11. Cet acte de Moïse, auquel était associé Aaron, constituait un péché grave. Dieu leur a dit : “ Vous vous êtes rebellés contre mon ordre. ” (Nombres 20:24). En transgressant l’ordre divin, ils sont devenus en la circonstance ce qu’ils accusaient le peuple d’être : des rebelles. La sentence était claire, Moïse et Aaron ne mèneraient pas Israël en Terre Promise. Était-ce trop sévère ? Non. - TG2009  1/9 p19


    Dieu n’avait pas demandé à Moïse de s’adresser aux Israélites, et encore moins de les déclarer rebelles. Moïse et Aaron n’ont pas rendu gloire à Dieu. ‘ Vous ne m’avez pas sanctifié ’, Jéhovah leur a-t-il reproché (Verset 12). En disant : “ Nous ferons sortir de l’eau ”, Moïse suggérait que c’étaient son frère et lui, et non Jéhovah, qui fournissaient miraculeusement de l’eau au peuple. Troisièmement, la sentence était conforme à des jugements antérieurs. Dieu n’avait pas permis à la précédente génération de rebelles d’entrer en Canaan, il a donc agi de même avec les deux hommes. Ces derniers étaient à la tête d’Israël. Ceux qui ont beaucoup de responsabilités ont davantage de comptes à rendre à Dieu. Jéhovah ne transige pas avec ce qui est droit. Parce qu’il aime la justice, il est incapable de rendre des sentences injustes. Assurément, un tel Juge mérite notre confiance et notre respect. - TG2009  1/9 p19


    Pendant des dizaines d’années, il est resté humble et a plu à Jéhovah. Puis, vers la fin des 40 années difficiles que les Israélites ont passées dans le désert, il ne s’est pas montré humble. Sa sœur, probablement celle qui avait contribué à lui sauver la vie en Égypte, venait de mourir et d’être enterrée à Kadèsh. C’est alors que les Israélites ont de nouveau critiqué la façon dont ils étaient dirigés. Cette fois, ils « s’en prirent à Moïse » au sujet d’un manque d’eau. Malgré tous les miracles que Jéhovah avait accomplis par le moyen de Moïse et malgré toutes les années où celui-ci avait guidé le peuple de façon désintéressée, les Israélites se sont plaints. Ils se sont plaints non seulement du manque d’eau, mais aussi de Moïse, comme si c’était à cause de lui qu’ils avaient soif (Nomb. 20:1-5, 9-11).

    Très en colère, Moïse a manqué de douceur et de foi. Plutôt que de parler au rocher, comme Jéhovah l’avait demandé, il s’est adressé au peuple avec colère et a laissé entendre qu’il allait lui-même faire un miracle. Puis il a frappé le rocher deux fois et de l’eau en a jailli en abondance. Poussé par l’orgueil et la colère, il a commis une grave erreur. À cause de son manque de douceur temporaire, il n’a pas été autorisé à entrer en Terre promise (Nomb. 20:12).

    Nous pouvons tirer de précieuses leçons de ce récit. Premièrement, nous devons lutter en permanence pour rester humbles. Sinon, l’orgueil pourrait vite réapparaître en nous, et nous faire parler et agir sans réfléchir. Deuxièmement, comme le stress peut nous rendre plus vulnérables, nous devons particulièrement nous efforcer de rester humbles quand on fait pression sur nous – TG2019.02 p12-13


    Rappelons-nous  le serpent de cuivre qu’avait fait Moïse lors du séjour des Israélites dans le désert. Cette représentation ou image avait une valeur symbolique et un sens prophétique (Nombres 21:4-9). Elle n’était ni adorée ni utilisée pour le culte. À l’origine, ce serpent placé en haut d’une perche était un moyen de guérison. Ceux qui, en punition, étaient mordus par un serpent pouvaient regarder le serpent de cuivre et recevoir l’aide de Dieu. Néanmoins, des siècles plus tard, les Israélites se mirent à adorer cette image et lui offrirent même de la fumée sacrificielle. Ils brûlaient de l’encens en son honneur et sont allés jusqu’à lui donner un nom : Nehoushtân. C’est pourquoi, Ézéchias, roi de Juda, la mit en pièces – TG2002  15/9 p21

    Paul aborde un exemple qui a valeur d’avertissement : “Ne mettons pas non plus à l’épreuve Jéhovah, comme certains d’entre eux le mirent à l’épreuve, et ils périrent par les serpents.” (1 Corinthiens 10:9). Paul parle ici de la période où les Israélites se sont plaints de Dieu à Moïse lorsque le peuple “commença à s’épuiser à cause du chemin”. (Nombres 21:4.) Vous arrive-t-il de commettre cette erreur? À l’époque où vous vous êtes voué à Jéhovah, pensiez-vous qu’Armaguédon était imminent? Jéhovah a-t-il manifesté sa patience plus longtemps que vous n’escomptiez ? Rappelez-vous que vous ne vous êtes pas voué à Jéhovah pour un certain temps, ou seulement jusqu’à Armaguédon. L’offrande de soi a une valeur éternelle. TG1995 3/1 §14


    Au départ, les Israélites ont dû être admiratifs devant cette manne miraculeuse. Elle avait le goût « des gâteaux plats au miel », et il y en avait largement assez pour tout le monde. Mais avec le temps, ils se sont mis à regretter la diversité des aliments qu’ils avaient en Égypte. « Nos yeux ne sont sur rien, à l’exception de cette manne », grognaient-ils (Nombres 11:6). Plus tard, ils se sont lamentés : « Notre âme a pris en aversion ce pain méprisable » (Nombres 21:5). Ils ont fini par avoir du dégoût pour le « pain du ciel » (Psaume 105:40).

    À l’évidence, on peut facilement banaliser le pain, comme bien d’autres choses. Notons toutefois que la Bible parle d’un pain très particulier qu’il ne faut surtout pas mépriser. Jésus l’a comparé à la manne que les Israélites ont rejetée avec ingratitude. Ce pain est source de bienfaits éternels. « Je suis le pain de vie, a révélé Jésus. Vos ancêtres ont mangé la manne dans le désert et pourtant ils sont morts. Ceci est le pain qui descend du ciel, afin que tout homme en mange et ne meure pas. Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel ; si quelqu’un mange de ce pain, il vivra pour toujours ; et, vraiment, le pain que je donnerai, c’est ma chair pour la vie du monde » (Jean 6:48-51).

    La plupart de ceux qui ont entendu ces paroles n’ont pas compris l’emploi figuré que Jésus faisait des mots « pain » et « chair ». Pourtant, l’illustration était très appropriée. Le pain nourrissait les Juifs au quotidien, et la manne avait nourri les Israélites pendant 40 ans dans le désert. La manne était un don de Dieu, mais personne ne pouvait vivre éternellement en la mangeant. Par contre, le sacrifice de Jésus permet à ceux qui exercent la foi en lui d’obtenir la vie éternelle. Jésus est vraiment « le pain de vie ». Comment montrer, à l’inverse des Israélites du temps de Moïse, que nous ne banalisons pas ce pain de grande valeur ? Jésus répond : « Si vous m’aimez, vous observerez mes commandements » (Jean 14:15). Si nous obéissons aux commandements de Jésus, nous pourrons savourer toutes sortes de pains pour l’éternité – TG2014 6/1 p8


    21:14, 15 — Qu’était le livre dont il est question dans ce passage ? Les Écritures mentionnent plusieurs livres auxquels les rédacteurs de la Bible se sont référés. “ Le livre des Guerres de Jéhovah ” était l’un d’eux. Il renfermait un récit historique des guerres du peuple de Jéhovah. – TG2004  1/8 p24


    Selon Nombres 21:14, on tenait un “livre des Guerres de Jéhovah”. Ce document digne de foi, cet historique des guerres menées par Jéhovah en faveur de son peuple, s’ouvrait peut-être par le récit de cette bataille livrée pour le fidèle Abraham. Moïse connaissait ce livre, mais il ne nous donne pas d’autres détails à son sujet. Nous ne sommes donc pas informés de toutes les façons par lesquelles Jéhovah s’est révélé être un guerrier durant la période couverte par ce “livre des Guerres de Jéhovah”. Toutefois, la majeure partie de la Sainte Bible ayant été rédigée depuis la mention de ce livre, nous disposons de nombreux récits des exploits militaires de Jéhovah – TG1990  1/7

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 17-19


    Nombres 18:19 : Que signifie l’expression « une alliance de sel, une alliance permanente » ? (g02 8/6 14 § 2)

    « Toutes les saintes contributions que les Israélites prélèveront pour Jéhovah, je te les ai données comme part permanente, à toi, ainsi qu’à tes fils et à tes filles. C’est une alliance de sel, une alliance permanente, devant Jéhovah pour toi et pour tes descendants. »

    Le sel est aussi devenu un symbole de stabilité et de permanence. Voilà pourquoi dans la Bible un engagement sérieux était appelé “ une alliance de sel ”. Souvent, les parties contractantes partageaient un repas, avec du sel, pour sceller leur accord. Sous la Loi mosaïque, il fallait ajouter du sel aux sacrifices offerts sur l’autel, sans doute parce qu’il représentait le fait de ne pas être corrompu ni décomposé. - g02 8/6 14 § 2


    La Bible emploie l’expression “ alliance de sel ” pour indiquer le caractère permanent et immuable d’une alliance. Chez les anciens, manger le sel ensemble était un signe d’amitié et sous-entendait une fidélité durable ; manger du sel avec les sacrifices de communion était symbole de fidélité perpétuelle - it-1 p77


    Le sel protégeant de la décomposition, il devint un symbole de stabilité et de permanence. Souvent, lorsque des alliances étaient faites, les parties contractantes mangeaient ensemble — mangeant du sel ensemble — ce qui dénotait la fidélité perpétuelle de l’une envers l’autre dans cette relation d’alliance. “ Une alliance de sel ” était pour cette raison considérée comme un engagement sérieux. – it-2 p921


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Dieu ordonna ensuite que 12 bâtons, chacun représentant une des 12 tribus, soient placés dans le tabernacle, et on écrivit le nom d’Aaron sur celui pour la tribu de Lévi (Nb 17:1-4). Le lendemain, Moïse pénétra dans la tente du Témoignage et constata que le bâton d’Aaron avait bourgeonné, fait fleurir des fleurs et produit des amandes mûres (Nb 17:8). Cela démontra sans conteste que Jéhovah avait choisi les fils d’Aaron, des Lévites, pour exercer la prêtrise et qu’il avait conféré à Aaron l’autorité de grand prêtre. Dès lors, le droit de la maison d’Aaron à la prêtrise ne fut plus jamais sérieusement remis en cause. Le bâton d’Aaron, qui avait bourgeonné, fut placé dans l’arche de l’alliance “ en signe pour les fils à l’esprit de rébellion ” ; toutefois, il semble qu’après la mort des rebelles et l’entrée de la nation dans la Terre de la promesse, le bâton fut ôté de l’Arche, car il avait servi son dessein. — Nb 17:10 – it-1 Aaron


    Si les coupes sur les branches du porte-lampes du tabernacle avaient la forme de fleurs d’amandier, c’est sans aucun doute à cause de la beauté raffinée de ces fleurs. Le bâton d’Aaron était également une branche d’amandier ; il bourgeonna miraculeusement au cours d’une nuit et produisit des amandes mûres, preuve que Dieu approuvait l’onction d’Aaron comme grand prêtre.  Nb 17:8.- it-1 p86 Amandier


    L’amandier est un des premiers arbres à fleurir à la fin de l’hiver ; c’est pourquoi son nom hébreu signifie “ celui qui se réveille ”.


    La Loi ordonnait aux Israélites de donner la dîme pour soutenir les activités religieuses de l’époque. La dîme permettait de subvenir aux besoins de ceux qui se consacraient à plein temps aux activités religieuses et qui ne possédaient pas de terres à cultiver. Il s’agissait des Lévites. Certains d’entre eux étaient prêtres (Nombres 18:20, 21). Les Lévites qui n’étaient pas prêtres recevaient des dîmes de la part du peuple, et ils devaient prélever le meilleur « dixième de ce dixième » pour le donner aux prêtres (Nombres 18:26-29). Comment on calculait la dîme. Les Israélites mettaient de côté le dixième de la production annuelle de leurs terres. Ils pouvaient choisir de payer la dîme sous forme d’argent plutôt que sous forme de produits de la terre, mais ils devaient alors prélever non pas 10% mais 12% de leur revenu annuel.

    Que se passait-il si un Israélite ne payait pas la dîme ? La Loi ne prévoyait pas de sanction pour quelqu’un qui ne donnait pas la dîme. On payait la dîme par obligation morale, et non par peur d’une sanction. Les Israélites devaient déclarer devant Dieu qu’ils avaient donné la dîme et lui demander de les bénir pour avoir rempli cette obligation. Pour Dieu, si un Israélite ne payait pas la dîme, c’était comme s’il le volait

    Une fois que Jésus est mort, payer la dîme n’a plus été une obligation. Le sacrifice de Jésus a mis fin à la Loi de Moïse, y compris à l’« ordre de percevoir des dîmes » -Lexique Dîme


    Jéhovah a dit aux Lévites : “ C’est moi qui suis ta part. ” Quel sens revêtaient ces paroles ?

    Hormis celle de Lévi, chaque tribu d’Israël a reçu un territoire. En ce qui concerne les Lévites, Jéhovah était leur “ part ”. (Nomb. 18:20) À la place d’un territoire, ils se sont vu attribuer des fonctions particulières au service de Dieu. Jéhovah a néanmoins pourvu à leurs besoins matériels élémentaires. Les Lévites n’étaient donc pas abandonnés. De nos jours, ceux qui ont le privilège de favoriser les intérêts du Royaume peuvent être convaincus que Dieu les aidera à se procurer les nécessités de la vie – TG2011  15/12 p31


    La Loi mosaïque interdisait que les Lévites reçoivent un héritage, contrairement aux autres tribus. C’est pourquoi les Israélites apportaient régulièrement des dons aux Lévites, ce qui leur permettait de se consacrer à leur travail au tabernacle (Nomb. 18:21). Les Israélites pouvaient  faire des offrandes volontaires  aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient. Les offrandes aujourd’hui - Nous pouvons tous donner quelque chose pour soutenir les activités de l’Organisation de Jéhovah en ces derniers jours. Nous pourrions  être encouragés à soutenir un projet. Mais que dire si tu as le sentiment que tes offrandes sont tellement petites qu’elles n’ont pas d’importance ? En fait, l’argent utilisé par l’organisation vient en majorité de nombreux petits dons, et non de quelques grosses offrandes. Nous ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte – TG2018/1 p17 §10,11


    Les Lévites bénéficiaient des dons faits à Jéhovah, mais eux aussi étaient tenus de faire des offrandes. Ce qu’ils donnaient devait être pris parmi ‘le meilleur de tout ce qui leur était offert en don’ (Nomb. 18:29). Pour ce qui est de la façon de pratiquer le culte, les Israélites ont reçu des instructions précises concernant les sacrifices à Jéhovah ; ils savaient quoi offrir, où l’offrir et comment l’offrir. Les plus de 600 lois qui réglementaient leur vie étaient assorties de cet ordre : « Veillez à faire exactement ce que Jéhovah votre Dieu vous a ordonné. Vous ne devez vous en écarter ni à droite ni à gauche » (Deut. 5:32).Pour ce qui nous concerne, par l’intermédiaire du prophète Isaïe, Jéhovah a révélé qu’il ne se laisse pas tromper par des actes d’adoration creux, qui ne sont pas accomplis avec les bons mobiles : « [Ces gens] m’honorent des lèvres, mais leur cœur est très éloigné de moi » (Is. 29:13). – rr chap2 p15 §23


    Hygiène en cas de contact avec un cadavre - Jusqu’à la fin du XIXe siècle, les médecins touchaient souvent des cadavres, puis des patients, sans se laver les mains entre-temps. Cette pratique a causé beaucoup de morts. Toutefois, la Loi mosaïque déclarait impur quiconque touchait un cadavre. Dans de tels cas, elle exigeait même qu’on utilise de l’eau pour la purification rituelle. Cette prescription religieuse a de toute évidence été bénéfique en matière de santé (Nombres 19:11) – wp2018/1 p6


    Le bain rituel était exigé de l’ensemble des Israélites pour différentes raisons. Celui qui était dans une tente où se trouvait un cadavre humain ou qui en touchait un était « impur » et devait se purifier avec de l’eau de purification. Si quelqu’un refusait de se soumettre à cette prescription, il ‘devait être retranché du milieu de la congrégation, car c’était le sanctuaire de Jéhovah qu’il avait souillé’ (Nb 19:20). Il est dès lors approprié de parler de se laver au sens figuré pour évoquer un état de pureté devant Jéhovah. Se baigner avec la parole véridique de Jéhovah, symbolisée par l’eau, a le pouvoir de purifier – it-2 p753

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    Nombres 11:7, 8 : Pourquoi peut-on dire que l’aspect et le goût de la manne témoignaient de la bonté de Jéhovah ? (it-2 207).

    « La manne était comme de la graine de coriandre et ressemblait au bdellium. 8 Le peuple se dispersait et la ramassait ; on la broyait dans des moulins à bras ou on la pilait dans un mortier ; puis on la cuisait dans des marmites ou on en faisait des pains ronds. Elle avait le goût d’un gâteau sucré à l’huile.»

    Description. La manne était ‘ blanche comme de la graine de coriandre ’ et son “ aspect ” celui du bdellium, substance transparente semblable à de la cire et qui prend une forme de perle. Son goût était comparable à celui des “ gâteaux plats au miel ” ou d’“ un gâteau sucré à l’huile ”. Après avoir broyé la manne dans un moulin à bras ou l’avoir pilée dans un mortier, on la faisait cuire à l’eau, ou au four sous forme de gâteaux. — it-2 p207


    Le bdellium était certainement précieux, car il est mentionné en même temps que l’or et la pierre d’onyx. Les Israélites ont dû le connaître puisque Moïse dit que la manne avait l’apparence du bdellium. Cette substance aromatique était très appréciée dans les temps anciens, à la fois des Juifs et des Gentils. Cette résine venait d’un arbre, et selon Pline, elle était transparente, cireuse et onctueuse. Son parfum se répandait à une distance considérable, son arôme et sa saveur, pareils à ceux de la myrrhe, étaient toutefois plus légers. Brûlé, le bdellium répand une odeur balsamique. Les anciens l’utilisaient de la même manière que la myrrhe, dans les parfums, l’encens et les médicaments. – TG1965  1/12 p716


    L’apparition de la manne ne relevait pas d’un phénomène naturel. Elle dépendait d’une force surnaturelle. C’est ce qui explique, par exemple, qu’elle pouvait se produire en tous lieux et en toutes saisons. Quand on voulait garder de la manne pour le lendemain, il s’y engendrait des vers et elle commençait à sentir ; toutefois, la double portion que chaque famille ramassait la veille du sabbat hebdomadaire ne s’abîmait pas pendant la nuit, si bien qu’elle pouvait être consommée le sabbat, jour où la manne n’apparaissait pas. Il est clair que la manne était une nourriture miraculeuse. – TG1999  15/8 p25


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Un incident survenu à l’époque du prophète Moïse nous aide à prendre conscience des soins pleins d’amour avec lesquels Jéhovah vient au secours de Ses serviteurs. Cela s’est passé à Tabérah, qui signifie “combustion [c.-à-d. incendie, embrasement]”. En cet endroit du désert du Sinaï, Dieu a fait s’embraser un feu contre des Israélites insatisfaits. La “multitude mélangée” qui était sortie d’Égypte avec le peuple d’Israël s’était associée à eux pour se plaindre de la nourriture fournie par Dieu. Sachant Dieu en colère et ne se sentant pas capable d’assumer ses responsabilités envers le peuple et de pourvoir à ses besoins, Moïse s’est mis à crier: “Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple, car il est trop lourd pour moi. Si donc c’est de cette façon que tu agis avec moi, tue-moi tout à fait, je te prie, si j’ai trouvé faveur à tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur!” (Nombres 11:1-15). À la suite de cela, qu’a fait Jéhovah? Il a nommé “soixante-dix hommes d’entre les anciens d’Israël” et il a mis son esprit sur eux afin qu’ils puissent participer aux tâches administratives confiées à Moïse (Nombres 11:16, 17, 24, 25). Ces hommes qualifiés ayant été désignés, il a été plus facile aux Israélites et au vaste mélange de gens de recevoir de l’aide ; À notre époque, les anciens œuvrent en qualité de responsables dans les quelque 120 400 assemblées de Témoins de Jéhovah dans le monde. – TG1993 15/5 p13 §6


    Personne ne peut se croire à l’abri de l’avidité et de la convoitise. Dans le désert, les Israélites ont fait preuve d’une avidité révoltante en une certaine occasion. Lorsque Jéhovah leur a fourni des cailles en abondance parce qu’ils se plaignaient de ne manger que de la manne, ils se sont comportés en gloutons, ce qui leur a valu un châtiment sévère. Nombres 11:4-6, 31-33. Tous ces individus avides ont été punis. Dès lors, quelle que soient notre fortune, nos privilèges de service ou notre expérience, nous pouvons tous tomber dans ce piège. Ce n’est pas pour rien que Jésus a déclaré: “Gardez-vous de toute espèce de convoitise.” — Luc 12:15. Si nous voulons suivre ce conseil, il nous faudra pratiquer la maîtrise de soi et procéder régulièrement à un examen de conscience rigoureux. L’avidité prend naissance dans le cœur. Par conséquent, il importe que nous scrutions continuellement notre cœur pour voir si d’une manière ou d’une autre ce travers n’est pas en train d’y prendre racine. La Bible nous y aidera. Comment cela? Tout d’abord parce qu’elle nous rappelle ce que Jésus et ses disciples ont dit sur l’avidité. – TG1985  1/ 4 p16 §3


    Les Israélites avaient quantité de choses spirituelles sur lesquelles fixer leurs pensées dans le désert. Ils étaient entrés en alliance avec Jéhovah et formaient une nation qui lui était vouée. Ils avaient reçu une prêtrise, un tabernacle pour centre de culte et un système d’offrandes de sacrifices à Jéhovah. Or, au lieu de se réjouir de ces dons spirituels, ils ont trouvé à redire aux dispositions d’ordre matériel prévues par Dieu. — Nombres 11:4-6.

    De nos jours, contrairement aux Israélites dans le désert, le peuple de Jéhovah a son approbation. Individuellement, cependant, chacun doit continuer à penser à Dieu s’il veut être capable de repousser les envies égoïstes susceptibles d’obscurcir sa vision spirituelle. Il nous faut être déterminé “ à rejeter l’impiété et les désirs de ce monde, et à vivre avec bon sens et justice et attachement à Dieu dans le présent système de choses ”. (Tite 2:12.) Que ceux d’entre nous qui font partie de la congrégation chrétienne depuis leur petite enfance ne pensent pas qu’ils manquent quelque chose de bon. Si de telles idées devaient un jour nous traverser l’esprit, souvenons-nous de Jéhovah et des merveilleuses bénédictions qu’il nous réserve. – TG2001  15/6 p13


    Bien des circonstances de la vie peuvent être vues sous deux angles différents : positif ou négatif ; c’est une question d’attitude d’esprit. Dans le désert, les Israélites ont été nourris miraculeusement de la manne. S’ils avaient regardé autour d’eux, ils auraient été profondément reconnaissants à Jéhovah de pourvoir à leur subsistance dans cette contrée désolée. Cela aurait été le signe d’une attitude d’esprit positive. Tout au contraire, ils se sont souvenus de la grande variété de nourriture que l’on trouvait en Égypte et se sont plaints de cette manne qu’ils jugeaient rebutante. Quelle attitude négative ! — Nombres 11:4-6.

    De nos jours, pareillement, le chrétien peut, selon son attitude d’esprit, voir les choses sous un jour soit radieux, soit désespérant. Sans une bonne attitude, il pourrait facilement perdre sa joie, ce qui serait grave, car, dit Néhémie, “ la joie de Jéhovah est notre forteresse ”. (Néhémie 8:10.) Outre qu’ils nous aident à demeurer forts, l’optimisme et la joie favorisent la paix et l’unité de l’assemblée. — TG2000  1/9 p11 §1,2

    Pourquoi n’est-il pas sage de nous dire sans arrêt que notre vie était plus agréable avant ? La nostalgie peut nous amener à nous rappeler uniquement les bonnes choses du passé et à minimiser les difficultés que nous rencontrions. Prenons le cas des Israélites. Après avoir quitté l’Égypte, ils ont vite oublié à quel point leur vie avait été difficile là-bas. De quoi se souvenaient-ils surtout ? Ils disaient : « Quels bons souvenirs nous avons du poisson que nous mangions gratuitement en Égypte, sans parler des concombres, des pastèques, des poireaux, des oignons et de l’ail ! » (Nomb. 11:5). Mais était-ce vraiment « gratuitement » qu’ils mangeaient tout cela ? Non. Ils payaient le prix fort : ils étaient esclaves, et les Égyptiens les maltraitaient ! (Ex. 1:13, 14 ; 3:6-9). Mais par la suite, ils ont oublié ces difficultés et ils se sont mis à regretter le passé. Ils rêvaient du « bon vieux temps » au lieu de se concentrer sur ce que Jéhovah venait de faire pour eux. Cela ne lui a pas du tout plu (Nomb. 11:10). – TG2020/11  p24 §6


    En aspirant à retourner en Égypte, la nation désobéissante a montré qu’elle n’accordait que peu de valeur aux bénédictions spirituelles qu’elle avait reçues ; elle leur préférait les poireaux, les oignons et l’ail du pays qu’elle avait fui (Nomb. 11:5). Aussi ingrate qu’Ésaü, elle était prête à renoncer à son précieux héritage spirituel en échange d’une nourriture savoureuse. – TG2011 15/7 p24


    Quand nous rencontrons des difficultés, il est facile de regretter le « bon vieux temps », peut-être l’époque où nous n’avions pas encore pris position pour la vérité. Quand cela nous arrive, nous avons souvent tendance à exagérer les joies et à minimiser les problèmes du passé. C’est ce qu’ont fait les Israélites après avoir quitté l’Égypte (Nb 11:5, 6). Si nous nous attardons sur de telles pensées, nous pourrions être tentés de retourner à notre ancien mode de vie. Il est de loin préférable de compter nos bénédictions actuelles et de nous concentrer sur les joies que nous apportera le Royaume. Pour tracer des sillons droits, le laboureur ne devait pas se laisser distraire par ce qui était derrière lui. Pareillement, un chrétien ne peut pas se permettre de se laisser distraire par les choses qu’il a laissées derrière lui dans le monde – mwb2018/7 p3


    Le découragement peut saper notre endurance et nuire à notre attachement à Dieu. Plus d’un serviteur de Jéhovah a connu le découragement (Nombres 11:11-15). Le découragement est particulièrement dévastateur s’il s’accompagne de ressentiment, parce qu’on nous a offensés ou encore repris ou disciplinés sévèrement. Mais la réprimande et la discipline prouvent que Dieu s’intéresse à nous et nous aime. Nous ne devrions pas considérer la discipline comme une punition, mais comme un moyen de nous former dans la voie de la justice. Si nous sommes humbles, nous apprécierons les conseils qu’on nous donne et nous les accepterons, convaincus que “ les blâmes de la discipline sont le chemin de la vie ”. (Proverbes 6:23.) De cette façon, nous serons de plus en plus attachés à Dieu. – TG2002  15/7 p13 §17


    Appuyons-nous sur l’esprit saint - Si nous gardons constamment Jéhovah devant nous, il nous conduira par son esprit saint. L’esprit de Dieu reposait sur les 70 hommes qui furent choisis pour aider Moïse à “ porter la charge du peuple ” d’Israël. Seuls Eldad et Médad sont nommés, mais l’esprit a permis à chacun d’eux de s’acquitter de ses responsabilités (Nomb. 11:13-29). Assurément, ces hommes craignaient Dieu, étaient capables, dignes de confiance et honnêtes, comme ceux qui furent choisis auparavant (Ex. 18:21). Ce sont ces mêmes qualités que l’on retrouve chez les anciens aujourd’hui. – TG2008  15/2 p6 §16


    Moïse exerçait une grande autorité sur le peuple de Dieu, mais il ne s’est pas accroché jalousement à cette autorité. Par exemple, un jour, Jéhovah lui a enlevé une partie de son esprit saint pour la donner à un groupe d’anciens qui se tenaient près de la tente de la rencontre. Peu après, Moïse a entendu dire que deux anciens qui ne s’étaient pas tenus près de la tente de la rencontre avaient eux aussi reçu de l’esprit saint et s’étaient mis à se conduire en prophètes. Comment a-t-il réagi quand Josué lui a demandé de les en empêcher ? Il n’a pas envié l’attention que Jéhovah accordait à ces deux hommes. Au contraire, il s’est réjoui avec eux de l’honneur qui leur était fait (Nomb. 11:24-29).

    Quelle leçon pouvons-nous tirer de son exemple ? Si tu es ancien, est-ce qu’on t’a déjà demandé de former quelqu’un afin qu’il exerce dans l’assemblée une responsabilité qui te plaît beaucoup ? Parlons d’une autre situation, à laquelle beaucoup de frères âgés sont confrontés. Pendant plusieurs dizaines d’années, certains ont exercé la fonction de coordinateur dans un collège d’anciens. Mais arrivés à l’âge de 80 ans, ils ont volontiers accepté que cette responsabilité soit confiée à quelqu’un d’autre. Les responsables de circonscription qui ont 70 ans acceptent humblement de cesser d’effectuer cette activité pour accomplir une autre forme de service. De plus, on a récemment demandé à des béthélites du monde entier de devenir pionniers. Ces frères et sœurs fidèles n’éprouvent pas de ressentiment envers ceux qui exercent les responsabilités qu’ils assumaient autrefois. Si nous sommes humbles et que nous nous satisfaisons de ce que nous avons, nous respecterons, l’autorité que Jéhovah a confiée à d’autres – TG2020/2 p14 §10-12


    Lorsque les Israélites ont désiré manger de la viande dans le désert, Jéhovah leur a donné des cailles en abondance. Cependant, leur avidité les a conduits à abuser égoïstement de ce don, ce qui a fait entrer Dieu dans une grande colère (Nombres 11:31-33). Depuis, Dieu n’a pas changé. Voilà pourquoi les chrétiens évitent le gaspillage, qui pourrait être un signe d’avidité. Certains peuvent penser qu’ils ont le droit de faire une consommation illimitée. Mais ces richesses ne doivent pas être gaspillées sous prétexte que nous pouvons nous les payer ou qu’elles sont abondantes. Après avoir nourri miraculeusement une foule nombreuse, Jésus a ordonné que l’on rassemble les morceaux de poisson et de pain qui restaient (Jean 6:12). Il a veillé à ne pas gaspiller ce que son Père avait offert. – RV2012/7 p10


    L’esprit de Dieu a donné de la force à Moïse - Moïse était “ de beaucoup le plus humble ” de tous les humains de son époque (Nomb. 12:3). Cet homme doux de caractère s’est vu confier d’immenses responsabilités au sein du peuple d’Israël. L’esprit saint lui a donné la capacité de prophétiser, de juger, de rédiger une portion des Écritures, de conduire la nation et d’accomplir des miracles. Cependant, à un moment donné, Moïse a trouvé sa tâche trop lourde (Nomb. 11:14, 15). Jéhovah a alors enlevé “ une partie de l’esprit ” qui était sur lui et l’a mise sur 70 anciens afin qu’ils l’épaulent (Nomb. 11:16, 17). Même si la charge lui paraissait excessivement pesante, en réalité Moïse n’était pas livré à lui-même. Les 70 désignés pour l’aider ne le seraient pas non plus. Moïse avait reçu assez d’esprit saint pour s’acquitter de ses fonctions. Après la réorganisation, il en a reçu en quantité suffisante, tout comme les 70 anciens.

    Jéhovah nous accorde autant d’esprit saint que nous en avons besoin, compte tenu de notre situation. “ Il ne donne pas l’esprit avec mesure ”, mais pleinement. Jean 1:16 ; 3:34.

    Êtes-vous en butte à des épreuves ? Vous sollicite-t-on de plus en plus ? Vous démenez-vous pour combler les besoins physiques et spirituels de votre famille tandis que le coût de la vie augmente ou malgré des soucis de santé ? Assumez-vous d’importantes responsabilités dans l’assemblée ? Soyez convaincu que, par le moyen de son esprit, Dieu peut vous communiquer la force nécessaire pour surmonter n’importe quelle difficulté. — TG2011  15/12 p18 §3-5


    À Moïse, son gendre modeste et humble qui s’épuisait à s’occuper des problèmes des autres, Jéthro donna un conseil pratique: celui de se décharger de certaines responsabilités sur d’autres hommes qualifiés (Exode 18:17-26; Nombres 12:3). “La sagesse est avec les modestes”, dit Proverbes 11:2. Être modeste, c’est connaître et accepter ses limites. Un homme modeste n’a pas de réticence à déléguer et il ne craint pas non plus de perdre son autorité en confiant des responsabilités appropriées à d’autres hommes capables (Nombres 11:16, 17, 26-29). Au contraire, il souhaite vivement les aider à progresser. — TG1995  1/12 p13 §16


    Comme Miriam était prophétesse, elle a transmis des messages de Dieu. Elle occupait une position importante en Israël et elle a chanté, avec les hommes, un chant de victoire après que Dieu a détruit l’armée égyptienne dans la mer Rouge. Miriam et Aaron ont critiqué Moïse. Ils étaient de toute évidence motivés par l’orgueil et la jalousie. Mécontents de la manière dont Jéhovah se sert de Moïse, ils veulent avoir plus d’autorité et être plus influents. Est-ce parce que Moïse est autoritaire, un homme orgueilleux qui court après la gloire ? Il a certainement des défauts, mais l’ambition et l’orgueil n’en font pas partie. Dieu « écoutait », et il a sévèrement réprimandé Miriam et Aaron (Nombres 12:1-9). Il a ensuite frappé Miriam de la lèpre, apparemment parce qu’elle avait été à l’origine des critiques. Quand Moïse a supplié Dieu d’avoir pitié d’elle, Dieu l’a guérie. Après avoir été mise en quarantaine pendant sept jours, elle a été autorisée à rejoindre le camp d’Israël (Nombres 12:10-15).

    La Bible indique que Miriam a accepté la réprimande. Des siècles plus tard, Dieu a fait allusion à l’honneur exceptionnel qu’elle avait reçu quand il a rappelé au peuple d’Israël : « J’ai envoyé devant toi Moïse, Aaron et Miriam » (Michée 6:4).

    Qu’apprenons-nous de Miriam ? L’histoire de Miriam révèle que Dieu prête attention à ce que ses adorateurs disent les uns sur les autres. Elle nous apprend aussi que, pour plaire à Dieu, nous devons rejeter l’orgueil et la jalousie, des défauts qui pourraient nous amener à salir la réputation des autres - ijwbq article 161 - Questions bibliques


    Concernant la faiblesse humaine, comment régler notre point de vue sur celui de Jéhovah ? En examinant comment il a traité diverses affaires impliquant certains de ses serviteurs. Comment aurais-tu considéré l’attitude d’Aaron lorsqu’influencé par sa sœur, Miriam, il a critiqué Moïse qui avait épousé une femme étrangère ? (Nomb. 12:1, 2). Jéhovah aurait pu punir Aaron sur-le-champ. Mais il a discerné que cet homme n’était ni foncièrement mauvais ni le plus coupable. Il semble qu’Aaron a laissé les circonstances ou certaines influences le détourner du droit chemin. Mais quand on lui a fait prendre conscience de ses erreurs, il les a reconnues volontiers et a soutenu les jugements divins. (Nomb. 12:11). Jéhovah a choisi de se concentrer sur sa foi et son attitude repentante. Des siècles plus tard, on se souvenait toujours de lui et de ses descendants comme d’hommes craignant Jéhovah.

    Afin de régler notre pensée sur celle de Jéhovah, analysons la façon dont nous considérons ceux qui semblent faibles. Par exemple, comment réagissons-nous quand un adolescent manque de bon sens dans le choix d’un divertissement ou qu’il se montre désinvolte ? Au lieu d’être excessivement critiques, réfléchissons à ce que nous pourrions faire pour l’aider à mûrir. Prendre l’initiative d’apporter notre aide à celui qui en a besoin nous rendra plus compréhensifs et nous fera grandir en amour. TG2014  15/6 p23 §11-13


    Non seulement Moïse écoutait ceux qu’il affectionnait, mais encore il priait pour eux. Il a même prié pour des personnes qui lui avaient causé du tort. Un jour, Miriam, sa sœur, a murmuré contre lui. Jéhovah l’a alors frappée de lèpre. Loin de se réjouir de cette punition, Moïse est rapidement intervenu en faveur de sa sœur. « Ô Dieu, s’il te plaît ! Guéris-la, s’il te plaît ! » a-t-il supplié (Nombres 12:13). Quel sentiment autre que l’amour aurait pu pousser Moïse à prononcer une prière aussi désintéressée ? Imitons Moïse en cultivant de l’amour pour les autres, même si cela réclame des sacrifices. – TG2013  1/ 2 p6

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 7-8


    Nombres 8:17 : Comment Jéhovah considérait-il les fils premiers-nés des Israélites ? (it-2 p637).

    « Car tout premier-né chez les Israélites est à moi, aussi bien l’homme que l’animal. Je les ai sanctifiés pour moi le jour où j’ai tué tous les premiers-nés en Égypte »

    Comme les fils premiers-nés des Israélites étaient appelés à devenir les chefs des différentes maisonnées, ils représentaient toute la nation. D’ailleurs, Jéhovah parla de la nation entière comme de son “ premier-né ” ; elle était effectivement sa nation première-née en vertu de l’alliance abrahamique (Ex 4:22). Étant donné qu’il avait gardé les premiers-nés en vie, Jéhovah ordonna que “ tout premier-né mâle qui ouvre toute matrice parmi les fils d’Israël, parmi hommes et bêtes ”, soit sanctifié pour lui (Ex 13:2). Les fils premiers-nés furent donc voués à Dieu. - it-2 p637

    Même si Israël était saint en tant que nation, à titre individuel certains de ses membres étaient considérés comme saints dans un sens particulier. Les prêtres, et surtout le grand prêtre, étaient mis à part pour le service au sanctuaire et représentaient le peuple devant Dieu. En cette qualité, ils étaient saints, et ils devaient préserver leur sanctification pour être à même d’effectuer leur service et pour que Dieu continue de les considérer comme saints. Tous les premiers-nés mâles d’Israël étaient saints pour Jéhovah puisque, au moment de la Pâque célébrée en Égypte, Jéhovah avait sauvé de la mort les premiers-nés ; en conséquence, ils lui appartenaient.  – it-2 p859


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Ce que l’organisation du camp d’Israël nous enseigne - Une fois le tabernacle installé, le camp fut organisé conformément aux directives divines données. Nb 7:3-9. Des hommes étaient nommés pour diriger les activités liées au service sacré Nb 7:10. Ainsi, ce sont “ les chefs des tribus ” qui présentèrent des offrandes après que le tabernacle eut été érigé. Les serviteurs de Dieu doivent être bien organisés et fonctionner de manière ordonnée Nb 7:11.

    Jéhovah tient compte des limites de chacun. Tout comme il a organisé le peuple d’Israël, aujourd’hui Jéhovah organise ses serviteurs. Toutefois, il voit chacun de nous individuellement et remarque les efforts que chacun de nous fournit à son service. Mwb2021/3 p2


    Associée à la présence de Dieu. Tout au long de son histoire, l’Arche fut associée à la présence de Dieu. « Quand Moïse entrait dans la tente de réunion pour parler avec [Jéhovah], alors il entendait la voix qui s’entretenait avec lui d’au-dessus du couvercle qui était sur l’arche du témoignage, d’entre les deux chérubins ; et il lui parlait » (Nb 7:89).

    Aujourd’hui, Jéhovah guide ses serviteurs au moyen de la Bible, de son esprit saint et de l’assemblée. Sa direction est si claire que c’est comme si nos « oreilles entendaient une parole derrière nous, disant : “Voici le chemin. Marchez-y” » (Is. 30:21). Jésus, qui dirige l’assemblée par l’intermédiaire de « l’esclave fidèle et avisé », se fait lui aussi l’écho de la voix de Jéhovah. Il nous faut prendre au sérieux cette direction, car notre avenir éternel dépend de notre obéissance  - it-1 p159 § 5


    Nombres 8:25, 26. Pour s’assurer que les attributions de service des Lévites seraient correctement assumées, et par égard pour ceux d’entre eux qui étaient âgés, une limite d’âge était fixée à leur service obligatoire. Ils pouvaient cependant continuer d’aider d’autres Lévites s’ils le désiraient. Bien que de nos jours aucune retraite ne soit prévue pour les proclamateurs du Royaume, le principe que l’on tire de cette loi nous enseigne une leçon précieuse. Si, en raison de son grand âge, un chrétien n’est plus en mesure d’assumer certaines obligations, il pourra participer à une forme de service que ses forces lui permettent d’accomplir. – TG2004 1/8


    Nombres 8:25, 26 - Le principe qui motivait la loi sur la retraite des Lévites s’applique-t-il de nos jours aux serviteurs de Jéhovah ?

    Les prêtres étaient aidés dans leurs tâches par tous les hommes appartenant aux trois grandes familles de la tribu de Lévi et remplissant les conditions requises. Avec le temps, les Lévites allaient se multiplier, alors que le nombre des postes de service resterait limité. Dès lors, c’est sans doute à la fois par égard pour les personnes âgées et pour éviter de surcharger les effectifs que Jéhovah a décidé de faire cesser le service obligatoire des Lévites à cinquante ans, ce qui n’empêchait d’ailleurs pas ces derniers de continuer à travailler comme volontaires au-delà de cette limite. Ils servaient probablement en qualité de conseillers et participaient à certaines tâches légères faisant partie de l’obligation des Lévites, mais ils étaient dispensés des travaux pénibles. En outre, ils enseignaient toujours la Loi au peuple. Toutefois, cette disposition ne constitue pas une règle applicable aux Israélites spirituels ou à leurs compagnons, car ceux-ci ne sont pas sous la Loi

    Si, en raison de son grand âge, un chrétien n’est plus en mesure d’assumer telle ou telle responsabilité, on jugera peut-être bon de lui confier une autre forme de service qu’il sera capable d’accomplir. En tout cas, il n’y a pas de retraite prévue pour les Témoins de Jéhovah en ce qui concerne la prédication de la bonne nouvelle du Royaume. – TG1984  15/7 p27


    Les prêtres d’Israël étaient habillés de vêtements officiels pour marquer leur nomination sacrée au service. En ce qui concerne les lévites, ils devaient laver leurs habits avant d’être présentés aux prêtres comme leurs auxiliaires au temple ( Nomb. 8:5-22). C’est un honneur de porter les vêtements figurés du vrai ministère chrétien au temple spirituel de Dieu. Jésus était ainsi vêtu d’une manière figurée quand il était sur la terre annonçant la bonne nouvelle du royaume de Dieu parmi les Juifs circoncis, les brebis perdues de la maison d’Israël. Jésus-Christ glorifié est le plus grand ministre, le principal ministre du Dieu très-haut, le Créateur de l’univers. C’est le plus grand honneur que puisse connaître une créature que d’être dans le ministère avec Jésus-Christ, le Grand Prêtre du seul vrai Dieu vivant. Les vêtements révélant que le porteur est honoré par ce ministère sont une chose à estimer et à garder. – TG1959 1/ 2 p36


    Les Israélites offraient des taureaux en sacrifice Nomb.7, et la Loi ordonnait expressément que des taureaux soient sacrifiés en certaines circonstances. Si le grand prêtre commettait un péché qui faisait venir la culpabilité sur le peuple, il devait offrir un taureau, la plus imposante et la plus onéreuse des bêtes de sacrifice. C’était sans doute parce que cela correspondait à la position prépondérante que le grand prêtre occupait en qualité de guide d’Israël dans le vrai culte. Il fallait également offrir un taureau lorsque toute l’assemblée d’Israël avait commis une erreur.

    Dans le symbolisme biblique, le taureau représente la puissance et la force. Le taureau est une image très appropriée d’un des attributs fondamentaux de Jéhovah, à savoir la puissance ou la force illimitée – it-2 Taureau

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 5-6

    Nombres 6:6, 7 : Comment Samson a-t-il pu rester naziréen après avoir touché les cadavres d’hommes qu’il avait tués?w05 15/1 30§2

    « Il ne s’approchera pas d’un mort durant tous les jours où il restera séparé pour Jéhovah. 7 Même si son père, sa mère, son frère ou sa sœur meurent, il ne pourra pas se souiller, car il a sur la tête le signe de son naziréat pour son Dieu.»

    Samson, pour sa part, fut un naziréen dans un sens différent. Avant même sa naissance, l’ange de Jéhovah avait dit à sa mère : “ Voici que tu vas être enceinte et, à coup sûr, tu mettras au monde un fils ; il ne faudra pas que le rasoir vienne sur sa tête, car l’enfant deviendra naziréen de Dieu dès qu’il sortira du ventre ; et c’est lui qui entreprendra de sauver Israël de la main des Philistins. ” (Juges 13:5). Samson ne fit pas le vœu de naziréat. C’est Dieu lui-même qui le fit naziréen et il s’agissait d’un naziréat à vie. L’interdiction de toucher un corps mort ne pouvait donc pas s’appliquer dans son cas. En effet, s’il avait touché accidentellement un cadavre, comment aurait-il pu reprendre à zéro un naziréat qui avait commencé à sa naissance et qui devait durer toute sa vie ? Manifestement, ce qu’on exigeait des naziréens désignés à vie différait sous certains aspects de ce qui était imposé aux naziréens volontaires.- w05 15/1 30 §2


    En qualité de futur chef dans le combat contre les Philistins, Samson serait amené à s’approcher des cadavres de personnes tuées à la bataille. La nature même de sa mission montrait donc qu’il n’était pas soumis à la loi prescrivant aux naziréens de ne pas toucher de corps morts. Il faut également noter que cette loi s’appliquait aux personnes qui volontairement faisaient vœu de naziréat ; mais dans le cas de Samson, les exigences qui s’appliquaient étaient celles que l’ange de Jéhovah avait précisées à sa mère. – it-2 p880


    Naziréen : On distinguait deux sortes de naziréens : ceux qui l’étaient devenus volontairement et ceux qui avaient été désignés par Dieu. Les prescriptions régissant la vie des naziréens volontaires sont consignées dans le chapitre 6 du livre des Nombres. Tant les hommes que les femmes pouvaient faire à Jéhovah le vœu particulier de vivre en naziréens pendant un temps. Toutefois, lorsqu’un homme apprenait que sa fille ou sa femme avait fait ce vœu, il pouvait l’annuler s’il ne l’approuvait pas.

    Ceux qui faisaient le vœu de naziréat devaient respecter trois restrictions principales :

    1) ne pas consommer de boissons enivrantes ; ne manger aucun produit de la vigne, que ce soit du raisin vert, mûr ou sec, ni en boire le jus, qu’il soit au stade de moût, de vin ou de vinaigre ;

    2) ne pas se couper les cheveux ;

    3) ne pas toucher un corps mort, pas même celui d’un très proche parent : père, mère, frère ou sœur. — Nb 6:1-7.

    Ceux que Jéhovah désignait lui-même pour être naziréens le restaient toute leur vie, et Jéhovah précisait quelles règles particulières ils devaient respecter – it-2 p381


    Selon la Loi mosaïque, un Israélite pouvait faire vœu de naziréat et vivre séparé des autres pendant un certain temps. Pendant toute la durée de son naziréat, il était censé ne pas toucher de cadavres. Si par hasard il touchait un corps mort, il devait se soumettre à une cérémonie de purification et faire certaines offrandes. Les jours précédents étaient nuls, et le temps de son naziréat comptait à partir de ce jour-là. C’est pourquoi celui qui servait Dieu de cette manière pendant un certain temps veillait à ne pas se souiller en touchant un corps mort. – TG1970  1/1 p30


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Lorsqu’un époux soupçonnait sa femme d’infidélité, elle devait, conformément à la loi mosaïque sur la jalousie, boire des eaux amères. Si elle était coupable d’adultère, sa cuisse se desséchait et son ventre s’enflait.

    La loi sur la jalousie est contenue Nombres 5:12-31. Lorsqu’un homme soupçonnait sa femme d’infidélité, il devait l’amener au sacrificateur. Celui-ci la plaçait devant Jéhovah, il prenait de l’eau sainte ou de l’eau pure, fraîche, y ajoutait de la poussière du sol du tabernacle et effaçait les imprécations dans les eaux. Nous ne savons pas exactement ce que signifie le fait que le ventre enflait et la cuisse se desséchait. – TG1956  1/1 p15


    « Amen » signifie « qu’il en soit ainsi » ou « certainement ». Il vient d’un mot hébreu qui veut dire « être fidèle, digne de confiance ». Il était parfois utilisé dans un cadre juridique. Après s’être engagée par un serment, une personne disait « amen » pour confirmer qu’elle avait dit la vérité et qu’elle acceptait d’être punie dans le cas où elle aurait menti (Nomb. 5:22 ‘Cette eau qui apporte la malédiction entrera dans tes intestins pour faire gonfler ton ventre et dépérir ta cuisse.’ Et la femme dira : ‘Amen ! Amen). Et lorsqu’un serment contenait une promesse, dire « amen » publiquement était une motivation de plus à tenir parole – TG2019/3 p29


    En quel sens la ‘ cuisse ’ d’une femme adultère ‘ dépérissait ’-elle ?

    Le mot “ cuisse ” est apparemment employé dans ce passage par euphémisme pour désigner les organes sexuels. Logiquement, la punition affectait les organes qui étaient impliqués dans la faute. Le terme “ dépérir ” est compris dans le sens de “ flétrir ” ou “ maigrir ”, et peut donner à penser que les organes génitaux s’atrophiaient et que la femme perdait la faculté de concevoir. Le ‘ dépérissement ’ de ces organes suggère leur dégénérescence, ce qui rendrait la conception impossible. Puisque la femme innocente devait être fécondée par son mari, il semble que la femme adultère ne devait plus pouvoir être enceinte (Nb 5:28). De plus, le ventre de la femme coupable devait gonfler en raison de la malédiction et non en conséquence de la bénédiction qu’est la grossesse - it-1 p573


    Voici quelques dispositions de la Loi concernant la femme mariée : le mari comme la femme pouvaient être mis à mort en cas d’adultère. Si un mari soupçonnait sa femme de s’être rendue coupable d’infidélité en secret, il devait l’amener au prêtre, afin que Jéhovah Dieu juge l’affaire. Si la femme était coupable, ses organes reproducteurs s’atrophiaient ; en revanche, si elle n’était pas coupable, le mari se devait de la rendre enceinte, ce qui était un aveu public de son innocence (Nb 5:12-31). Un mari pouvait divorcer d’avec sa femme s’il trouvait chez elle quelque chose d’inconvenant. Tel était probablement le cas lorsque la femme faisait preuve d’un grave manque de respect envers lui et si elle jetait l’opprobre sur leur maisonnée ou sur celle du père de son mari. Cependant, la femme était protégée par l’exigence qui, dans ce cas, obligeait le mari à rédiger pour elle un acte de divorce. Elle était dès lors libre de se remarier avec un autre homme (Dt 24:1, 2). Si une femme avait fait un vœu qui, de l’avis de son mari, était peu sage ou risquait de nuire au bonheur de la famille, il pouvait l’annuler. En fait, cette loi protégeait la femme, car elle lui épargnait les difficultés pouvant résulter d’une décision hâtive. – it-1 p872 Femme

    Sous la Loi de Moïse, l’adultère entraînait un châtiment très sévère : la mort pour les deux coupables. Nb 5:11-31

    Les chrétiens ne sont pas sous la Loi de Moïse, mais ils doivent eux aussi s’interdire l’adultère. Commettre l’adultère revient à “ pécher vraiment contre Dieu ” Jéhovah jugera les adultères, et aucun de ceux qui persistent dans cette voie ‘ n’héritera du royaume de Dieu ’.

    Comment pourrait-on se rendre coupable d’adultère spirituel ? Au sens spirituel est “ adultère ” celui qui est lié à Jéhovah par une alliance et qui se montre infidèle. Ainsi, la nation d’Israël, qui était liée à Dieu par l’alliance de la Loi, se rendit coupable d’adultère spirituel en se livrant à des pratiques de la fausse religion, notamment en participant à des rites rattachés au culte du sexe et en méprisant le septième commandement. De même aujourd’hui, si des chrétiens voués à Jéhovah et admis dans la nouvelle alliance se souillent avec le système de choses actuel, ils commettent un adultère spirituel. – it-1 p51 Adultère


    Adultère secret. Un homme qui soupçonnait sa femme de le tromper en secret, mais qui ne disposait ni d’aveux ni de témoins oculaires, pouvait amener sa femme devant le prêtre pour être jugée par Jéhovah, qui voyait et qui connaissait tous les faits. Elle n’était pas torturée pour avouer. Il n’y avait rien dans la procédure elle-même qui fasse souffrir la femme ou apparaître son innocence ou sa culpabilité ; c’était Jéhovah qui jugeait la femme et qui faisait connaître son verdict. Si elle était innocente, il ne lui arrivait rien et son mari était tenu de la féconder. Si elle était coupable, ses organes reproducteurs étaient touchés, de sorte qu’elle perdait sa faculté de concevoir. Si on avait les deux témoins nécessaires, on ne portait pas l’affaire devant Jéhovah de cette manière, mais la femme était déclarée coupable par les juges et lapidée. — Nb 5:11-31. – it-2 p665 Procès


    Nombres 6:1-7. Les naziréens devaient s’abstenir de tout produit de la vigne et de toute boisson enivrante, ce qui exigeait de l’abnégation. Ils devaient laisser pousser leurs cheveux en signe de soumission à Jéhovah, de même que les femmes devaient être soumises à leurs maris ou à leurs pères. Les naziréens devaient demeurer purs en n’ayant pas le moindre contact avec un cadavre, pas même celui d’un proche parent. À notre époque, les serviteurs à plein temps manifestent l’esprit de sacrifice par des actes d’abnégation ainsi que par leur soumission à Dieu et à la structure qu’il a mise en place. Pour s’acquitter de certaines tâches, ils doivent parfois se rendre dans un pays éloigné, ce qui peut rendre difficile, voire impossible, leur retour dans leur pays d’origine pour assister aux funérailles d’un des leurs. – TG2004  1/8 p24


    En plus du culte normalement exigé par la Loi, les Israélites pouvaient volontairement se séparer “par un vœu, un vœu de nazaréen, pour se consacrer à Jéhovah”. Pendant ce temps-là, ils devaient cesser certaines activités normales de la vie, afin de se tenir spécialement ‘séparés en l’honneur de Jéhovah’. (Nomb. 6:2-8)

    De nos jours, il ne nous est pas possible de faire un vœu de nazaréen; toutefois, en qualité de proclamateur, nous pouvons accomplir quelque chose de semblable en devenant pionnier auxiliaire ou permanent – km1971/3


    L’âme meurt-elle ? Aujourd’hui encore, beaucoup croient que l’âme est une partie immatérielle, spirituelle, de l’individu et qu’elle survit à la mort du corps. Ce n’est toutefois pas ce qu’enseigne la Bible. Par exemple, en Nombres 6:6 il est question d’“âme morte”. L’être humain est lui-même une âme, quand il meurt il est une “âme morte”. Il n’est plus en vie, mais inconscient. Cependant, le Dieu Tout-Puissant a le pouvoir de le ressusciter et de lui rendre la vie. L’âme n’est donc pas une partie immatérielle de notre personne. Nous sommes une âme. L’âme peut bel et bien mourir. – RV1991  22/4

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 1-2

    Nombres 1:2, 3 : Quel était le but des enregistrements nationaux en Israël ? (it-1 767).

    « Faites le recensement de toute la communauté des Israélites individuellement, selon leurs familles, selon leurs groupes de familles, en comptant les noms de tous les hommes. 3 Aaron et toi enregistrerez selon leurs troupes tous ceux qui ont 20 ans et plus, et qui peuvent servir dans l’armée d’Israël.»

    Relevé de population, habituellement effectué par nom et par ligne généalogique, selon la tribu et la maisonnée. C’était plus qu’un simple recensement ou dénombrement. Les enregistrements nationaux dont parle la Bible servaient plusieurs desseins, comme l’imposition, la conscription ou (pour les Lévites concernés à l’époque) les attributions de service au sanctuaire. It-1p767


    Environ un an après l’Exode, on enregistra les hommes âgés de 20 ans et au-dessus, aptes à servir dans l’armée. On en dénombra au total 603 550. Les Lévites, qui étaient exemptés du service militaire, ne furent pas inclus dans ces recensements, mais comptés séparément. Les Lévites étaient dispensés du service militaire, parce qu’ils servaient au sanctuaire. Cette loi faisait nettement passer le culte de Jéhovah avant les besoins militaires – TG1970  1/10


    Êtes-vous horrifié de savoir que dans certains pays on forme des enfants à la guerre ? Dans l’ancien Israël, aucun garçon de moins de 20 ans n’était incorporable (Nombres 1:2, 3). L’homme trop craintif pouvait être exempté. Le jeune marié était dispensé de ce service dangereux pendant un an pour qu’il puisse engendrer un héritier et le voir. – cf chap13 §18


    À cause de leur rébellion, Jéhovah condamna les Israélites à errer dans le désert pendant 40 ans jusqu’à ce que soient morts tous les mâles enregistrés (sauf les Lévites, qui n’étaient pas enregistrés pour le service militaire comme les autres Israélites ; Nb 1:2, 3, 47) depuis l’âge de 20 ans et au-dessus. Parmi les enregistrés, seuls Josué et Caleb entreraient en Terre promise ; quant aux dix espions infidèles, ils mourraient d’un fléau venant de Jéhovah. – it-2 Josué


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Événements au mont Sinaï (1:1–10:10). Les Israélites se trouvent dans la région montagneuse du Sinaï depuis environ un an déjà. Là, ils ont été formés en une organisation fortement structurée. Sur l’ordre de Jéhovah un recensement de tous les hommes est effectué, depuis l’âge de 20 ans et au-dessus. L’importance numérique des tribus varie de 32 200 hommes robustes en Manassé à 74 600 en Juda, soit un total de 603 550 hommes aptes au service dans l’armée d’Israël, sans compter les Lévites, les femmes et les enfants — la population du camp s’élevant probablement à trois millions ou plus. La tente de réunion est située au centre du camp, avec les Lévites. Les autres Israélites campent aux places qui leur sont assignées de chaque côté, par division de trois tribus, chaque tribu ayant reçu des instructions quant à son ordre de marche lors des déplacements. Jéhovah donne les directives, et le récit dit : “ Les fils d’Israël se mirent à faire selon tout ce que Jéhovah avait ordonné à Moïse. ” (2:34). Ils obéissent à Jéhovah et se montrent respectueux vis-à-vis de Moïse, le représentant visible de Dieu. - Toute Écriture p32 §12


    Nous montrons que nous accordons de la valeur à notre relation avec Jéhovah par notre façon de traiter nos compagnons chrétiens. Eux aussi appartiennent à Jéhovah. Si nous gardons cela à l’esprit, nous les traiterons toujours avec amour et bonté. Pour comprendre comment nous devons traiter nos compagnons chrétiens, réfléchissons à ce qui suit. Dans le Temple, il y avait des ustensiles qui ne devaient servir qu’au culte de Jéhovah. La Loi mosaïque donnait des instructions précises sur leur utilisation, et ceux qui désobéissaient à ces instructions devaient être mis à mort (Nomb. 1:50, 51). Si la façon dont on utilisait des objets pour le culte était aussi importante pour Jéhovah, combien plus la façon dont on traite ses serviteurs fidèles, qui lui ont offert leur vie ! Il a indiqué à quel point ils ont de la valeur pour lui en disant : « Celui qui vous touche, touche à la prunelle de mes yeux » (Zach. 2:8). Jéhovah prête attention à la façon dont ses serviteurs se comportent les uns envers les autres – TG2018/7 §15-17


    Quelle vue d’ensemble le camp des Israélites dans le désert offrait-il? Celle d’un impressionnant déploiement de tentes bien agencé, abritant peut-être trois millions de personnes ou plus, regroupées selon les sections de trois tribus, au nord, au sud, à l’est et à l’ouest. En y regardant d’un peu plus près, l’on remarquait également un autre ensemble situé plus au milieu du camp. Ces quatre groupes de tentes plus petits abritaient les familles de la tribu de Lévi. Au centre du campement, dans un secteur délimité par une cloison de tissu, se trouvait un édifice hors du commun. Il s’agissait de la “tente de réunion” que des Israélites “sages de cœur” avaient dressée selon le plan indiqué par Jéhovah. Nombres 1:52, 53; 2:3, 10, 17, 18, 25 – TG1994 1/12


    Quand les tribus commençaient à partir, certains trouvaient peut-être difficile d’attendre leur tour. Tous avaient entendu la sonnerie de trompette, mais tous ne pouvaient pas partir en même temps. La première sonnerie de trompette modulée signalait que les tribus qui campaient à l’est (Juda, Issachar et Zabulon) devaient se mettre en route (Nomb. 2:3-7). Après leur départ, les prêtres faisaient retentir une deuxième sonnerie modulée pour indiquer aux trois tribus qui campaient au sud qu’il leur fallait partir à leur tour. Ils continuaient ainsi jusqu’à ce que tout le camp se soit mis en marche.

    À l’époque de Moïse, Jéhovah a guidé des millions d’hommes, de femmes et d’enfants dans le désert. Sans ses directives pleines d’amour, ils n’auraient pas survécu. Aujourd’hui, les conseils de Jéhovah nous permettent non seulement de survivre spirituellement en ces derniers jours, mais aussi de nous épanouir spirituellement, c’est-à-dire d’avoir une amitié étroite avec lui. Par conséquent, soyons tous déterminés à imiter les Israélites, qui, quand ils entendaient les prêtres sonner de la trompette, passaient à l’action ! – TG2020/6 p31


    La structure tribale. L’organisation des Israélites était en grande partie centrée sur la structure tribale. Dans le désert, tant l’ordre de marche que le plan de campement furent établis d’après les tribus (Nb 2:1-31). Les héritages territoriaux furent proportionnels aux tribus, et des lois spéciales furent données pour éviter que la terre passe d’une tribu à l’autre. It-2 p1101


    Les prêtres et les Lévites consacrés étaient exemptés de la conscription pour le service militaire en Israël. (Nomb. 1:45-54 ; 2:32, 33) Puisque les Témoins de Jéhovah sont consacrés à Dieu comme disciples de Jésus-Christ, ils doivent être exemptés de la même façon des devoirs militaires avec des armes charnelles. Dieu les exempte aujourd’hui, ne leur demandant pas de combattre comme le firent dans les temps anciens Josué, Gédéon, Samson, Jephthé, Barak et David. Jéhovah Dieu a fait de ces témoins chrétiens ses ministres de l’évangile du Royaume. – TG1951 15/5


    Jéhovah Dieu s’est servi de Moïse afin d’organiser les Israélites pour le vrai culte. Considérez ne serait-ce que les dispositions prises pour leur campement pendant leur séjour dans le désert du Sinaï. Le désordre aurait sûrement régné si chaque famille avait été autorisée à planter sa tente où bon lui semblait.

    Jéhovah a donné à la nation des instructions détaillées sur l’endroit où chaque tribu devait s’installer (Nombres 2:1-34). La Loi de Moïse comprenait aussi des règles sanitaires précises, relatives par exemple à l’élimination des déchets humains. Même si Jéhovah se servait d’humains, c’est lui qui organisait et dirigeait son peuple. Quand un changement en matière d’organisation s’avérait nécessaire, Jéhovah l’opérait. Qu’en est-il aujourd’hui ? Jéhovah Dieu continue de diriger son peuple comme par le passé. Pour vivre dans l’unité, il faut de l’ordre, et l’ordre nécessite de l’organisation. À l’heure actuelle, Jéhovah se sert de son organisation pour accomplir son dessein concernant les humains. — TG2011/6


    La nation d’Israël était organisée en tribus, en familles et en maisonnées. Quand les tribus se déplaçaient dans le désert, chacune d’elles avait sa place assignée par Jéhovah. Lorsque les Israélites campaient autour du tabernacle, chaque tribu devait s’installer en un endroit bien déterminé (Nombres 2:1-34). Jéhovah guidait leurs déplacements au moyen d’une nuée. TG1986 1/6 §6


    Lv 2:1, 2 — Qu’étaient, dans le désert, les “ signes ” autour desquels les divisions de trois tribus devaient camper ? La Bible ne précise pas ce qu’étaient ces signes. Cependant, ils n’étaient pas considérés comme sacrés et leur utilisation n’avait aucune signification religieuse. Ils n’avaient qu’un rôle pratique : aider chacun à trouver sa place dans le camp. – TG2004 1/8


    Le fait de saluer un drapeau représentant l’État ou de s’agenouiller devant lui est-il réellement incompatible avec l’attachement exclusif dû à Jéhovah Dieu ? Autrefois, les Israélites dans le désert avaient des “ signes ”, ou étendards, autour desquels ils se rassemblaient par divisions de trois tribus (Nombres 2:1, 2). À propos des mots hébreux correspondant à ces enseignes, la Cyclopedia de McClintock et Strong déclare : “ Aucun d’eux n’exprime l’idée que le mot ‘ étendard ’ évoque à notre esprit, c’est-à-dire un drapeau. ” En outre, les étendards d’Israël n’étaient pas considérés comme sacrés et leur utilisation n’avait aucun caractère cérémoniel. Ils n’avaient qu’un rôle pratique : indiquer le point de ralliement. – TG2002 15/9

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    Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 14-15

    Lévitique 14:14, 17, 25, 28 : Que pouvons-nous apprendre de la méthode de purification d’un lépreux qui était déclaré pur ? it-2 453 §5

    Verset 14 « Le prêtre prendra ensuite un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 17 « Le prêtre mettra un peu du reste de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, par-dessus le sang du sacrifice de réparation. »

    Verset 25 « Puis le prêtre tuera le jeune bélier du sacrifice de réparation, et il prendra un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 28 « Et le prêtre mettra un peu de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, aux endroits où il a mis le sang du sacrifice de réparation. »

    Lors de l’installation de la prêtrise en Israël, Moïse reçut l’ordre de prendre du sang du bélier de l’installation et d’en mettre sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron et de chacun de ses fils, ainsi que sur leur main droite et leur pied droit, pour montrer que les paroles qu’ils écouteraient, le travail qu’ils feraient et la façon dont ils marcheraient devaient être directement influencés par ce qui se déroulait alors (Lv 8:22-24). De même, dans le cas d’un lépreux qui se purifiait, la Loi prévoyait que le prêtre lui mette sur le lobe de l’oreille droite un peu du sang du bélier présenté en sacrifice de culpabilité, ainsi qu’un peu de l’huile offerte. Des dispositions similaires étaient prises lorsqu’un homme désirait rester l’esclave de son maître pour des temps indéfinis. Dans ce cas, l’esclave était amené près du montant de la porte et son maître lui perçait l’oreille avec un poinçon. Cette marque bien visible faite à l’organe de l’ouïe montrait sans doute que l’esclave désirait continuer de prêter attention à son maître avec obéissance - it-2 p453 §5


    À l’origine, les prescriptions de la Loi exigeaient qu’avant de reprendre une vie normale un lépreux guéri se plie à une cérémonie complexe en deux parties ; lors de la première phase, il fallait de l’eau, du bois de cèdre, du tissu teint en écarlate de cochenille, de l’hysope et deux oiseaux. Ces choses étaient fournies par le lépreux guéri au moment où il se présentait au prêtre à l’extérieur du camp d’Israël. Un des oiseaux était alors tué au-dessus d’une eau courante, et son sang était recueilli dans un récipient de terre. Le cèdre, le tissu écarlate, l’hysope et l’oiseau vivant étaient trempés dans le sang ; le prêtre aspergeait sept fois le lépreux guéri avec le sang, et l’oiseau vivant était relâché. Après avoir été déclaré pur, l’homme se rasait, se baignait, lavait ses vêtements et entrait au camp, mais il lui fallait demeurer sept jours hors de sa tente. Le septième jour, il rasait de nouveau tout son poil, y compris ses sourcils. Le lendemain, il apportait deux béliers et une agnelle de moins d’un an avec un peu de farine et d’huile, cela constituant un sacrifice de culpabilité, un sacrifice pour le péché, un holocauste et une offrande de grain. Le sacrifice de culpabilité comportant un bélier et de l’huile était d’abord présenté en offrande balancée devant Jéhovah par le prêtre, qui tuait ensuite le bélier ; il mettait un peu du sang du bélier sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce droit et sur le gros orteil droit de celui qui se purifiait. De façon similaire, une partie de l’huile était ensuite appliquée par-dessus le sang aux trois endroits précités ; une partie de l’huile était aussi répandue par aspersion sept fois devant Jéhovah, et le reste était mis sur la tête de celui qui se purifiait. Le prêtre offrait alors le sacrifice pour le péché, l’holocauste et l’offrande de grain, faisant propitiation et déclarant pur le lépreux guéri. Si en raison de sa situation l’homme était très pauvre, il pouvait apporter deux tourterelles ou deux jeunes pigeons à la place de l’agnelle et d’un des béliers sacrifiés pour le péché et en holocauste. - it-2 Pur
    Lévitique 14:43-45 : Qu’enseignait au sujet de Jéhovah la loi sur la contamination d’une maison par la lèpre maligne ? g 1/06 14, encadré

    « Si, malgré cela, la contamination réapparaît et fait éruption dans la maison après qu’on aura arraché les pierres, et raclé et réenduit la maison, 44 le prêtre ira l’inspecter : si la contamination s’est étendue dans la maison, c’est une lèpre maligne. La maison est impure. 45 Il fera alors abattre la maison et transporter ses pierres, son bois, et tout le plâtre et le mortier hors de la ville, dans un lieu impur. »

    La Bible évoque “ la plaie de la lèpre dans une maison ”, c’est-à-dire dans l’édifice lui-même (Lévitique 14:34-48). Pour expliquer ce phénomène, également appelé “ lèpre maligne ”, on a émis l’idée qu’il s’agissait d’une sorte de moisissure ; mais cela ne reste qu’une hypothèse. Toujours est-il que la Loi de Dieu obligeait le propriétaire à ôter les pierres contaminées et à racler tout l’intérieur de la maison ; ce qui était suspect devait être emmené en dehors de la ville, “ dans un lieu impur ”. Si la plaie revenait, il fallait déclarer la maison impure et la détruire ; on en rejetait les matériaux. Les instructions très précises de Jéhovah reflétaient le profond amour qu’il éprouve pour ses serviteurs et son souci de leur bien-être. - g 1/06 14, encadré

    Un lieu propice à l’instruction spirituelle. Depuis des temps reculés, le foyer fonctionnait comme un centre où se transmettait l’instruction relative au culte pur. La loi que Dieu donna à Israël ordonnait explicitement aux pères d’enseigner leurs fils lorsqu’ils étaient assis dans la maison, ainsi qu’à d’autres moments. Étant donné que la maison avait cet usage sacré, celles qui étaient souillées par une “ lèpre maligne ” devaient être démolies. La loi concernant les maisons lépreuses rappelait aux Israélites qu’ils ne pouvaient vivre que dans des maisons qui étaient pures du point de vue de Dieu. Si des dépressions vert-jaune ou rougeâtres apparaissaient dans le mur d’une maison, le prêtre imposait une quarantaine. Il pouvait s’avérer nécessaire d’arracher les pierres contaminées et de racler l’intérieur de la maison ; on se débarrassait des pierres et du mortier raclé dans un lieu impur hors de la ville. Si la plaie revenait, la maison était déclarée impure et détruite, et on se défaisait des matériaux dans un lieu impur. Quant à la maison déclarée pure, des dispositions étaient prévues pour sa purification. – it-2 Maison

    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    En Lv 14:5, l’expression hébraïque traduite par « eau courante » signifie littéralement « eau vive ». Jéhovah est présenté comme « la source d’eau vive », c’est-à-dire la source de l’eau symbolique qui donne la vie éternelle. L’eau de la vie représente l’ensemble des dispositions prises par Dieu pour guérir les hommes obéissants du péché et de la mort, et leur donner une vie parfaite et sans fin dans un paradis terrestre. Le sacrifice rédempteur de Jésus Christ est à la base même de ces dispositions. Quand il a parlé avec la Samaritaine, Jésus a utilisé l’expression « eau vive » dans un sens figuré, mais il semble que cette femme a d’abord pris cette expression au sens propre (Jean 4:11). – mwbr2018/9 p1-8

    Si le lépreux guérissait, il existait des dispositions lui permettant de se purifier rituellement, qui comprenaient un sacrifice offert par le prêtre en sa faveur (Lv 14:1-32). Par contre, quand le prêtre déclarait impur le lépreux dont le mal persistait, il fallait que les vêtements de ce dernier soient déchirés, que sa tête soit échevelée, qu’il se couvre la moustache ou la lèvre supérieure et qu’il crie : “ Impur, impur ! ” Il devait demeurer à l’écart en dehors du camp. Cette mesure était prise afin que le lépreux ne contamine pas ceux au milieu desquels Jéhovah résidait. Il semble qu’aux temps bibliques les lépreux se fréquentaient ou vivaient en groupes, ce qui leur permettait de s’entraider – it-2 Lèpre

    La lèpre aujourd’hui est-elle la même qu’aux temps bibliques ? La lèpre produisait des symptômes observables non seulement chez les humains, mais aussi dans les vêtements et les maisons, chose qu’une bactérie ne fait pas. — Lévitique  14:34. Les symptômes permettant d’identifier la lèpre chez les humains de nos jours ne correspondent pas exactement à la description de la lèpre aux temps bibliques. De l’avis de certains, cela tient au fait que la nature des maladies change au fil du temps. D’autres pensent que la lèpre dont il est question dans la Bible évoque plusieurs maladies du même genre. – TG1998 1/ 4 p22

    La maladie appelée aujourd’hui lèpre, ou maladie de Hansen, qui n’est que peu contagieuse, se présente sous trois formes principales. La première, nodulaire, provoque un épaississement de la peau et la formation de nodules, d’abord sur le visage, puis sur d’autres parties du corps. Elle entraîne aussi une dégénérescence des muqueuses du nez et de la gorge. C’est ce qu’on appelle la lèpre noire. Une autre forme est la lèpre anesthésique, appelée parfois lèpre blanche. Moins grave que la précédente, elle attaque essentiellement les nerfs périphériques. Elle rend parfois la peau douloureuse au toucher, mais elle peut aussi provoquer l’insensibilité. Le troisième type de lèpre est mixte, associant les symptômes des deux formes précédentes.

    Au fur et à mesure que la lèpre progresse vers sa phase finale, les enflures qui se sont formées suppurent ; il peut y avoir chute de la barbe et des sourcils et décollement des ongles, qui pourrissent et tombent. Ensuite les doigts, les membres, le nez ou les yeux du malade peuvent être rongés lentement. Enfin, dans les cas les plus graves, la mort s’ensuit. Le terme “ lèpre ” dans la Bible incluait certainement cette grave maladie, car Aaron dit qu’à cause d’elle la chair est “ à demi rongée ”.

    Dans la Loi mosaïque, Jéhovah fournit à Israël des renseignements qui permettaient au prêtre de diagnostiquer la lèpre et de la différencier d’autres affections cutanées moins graves. La lèpre pouvait commencer par une éruption, une dartre, une tache, un furoncle ou une cicatrice due au feu. Parfois, les symptômes étaient très évidents. Le poil, dans la partie atteinte, était devenu blanc et le mal paraissait plus profond que la peau. Par exemple, une éruption blanche dans la peau pouvait faire virer le poil au blanc et la chair à vif apparaître dans l’éruption. Cela signifiait que la personne avait la lèpre, et elle devait être déclarée impure. Dans d’autres cas, toutefois, le mal n’était pas plus profond que la peau. La personne était alors mise en quarantaine, puis le prêtre l’examinait et prenait une décision définitive à son sujet.

    Il était reconnu que la lèpre pouvait atteindre un stade où elle n’était pas contagieuse. Quand elle recouvrait tout le corps, que celui-ci était devenu tout blanc, sans qu’on voie de chair vive, c’était la preuve que la maladie n’agissait plus et que seules restaient les marques des ravages qu’elle avait causés. Le prêtre déclarait alors la personne pure, car le mal ne constituait plus un danger pour quiconque – it-2 Lèpre


    Sous la Loi, quiconque touchait une selle sur laquelle était montée une personne ayant un écoulement devenait impur, tout comme celui qui touchait un objet sur lequel s’était assise une femme ayant ses règles. — Lv 15:9 – it-2 Selle


    En Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. – TG1989 1/6 p14 §18


    Les Écritures associent les règles à la souillure et à l’impureté (Lv 12:2 ; Éz 22:10 ; 36:17), et une forme du mot hébreu qui les désigne (niddah) est parfois rendue par ‘ souillure des règles ’. (Lv 15:25, 26.) Une forme d’un autre terme hébreu, dawèh, qui peut évoquer la maladie (Lm 5:17), est traduite par “ femme qui a ses règles ”. (Lv 15:33 ; Is 30:22.) Ce sont également les règles que sous-entend la locution : “ Ce que les femmes ont coutume d’avoir. ” — Gn 31:35. – it-2 Règles


    Une femme était également regardée comme impure pendant la période où elle avait un écoulement de sang anormal ou ‘ un flux qui se prolongeait au-delà du temps de la souillure de ses règles ’ ; dans cet intervalle, elle rendait impurs les objets sur lesquels elle se couchait ou s’asseyait et les personnes qui touchaient ces objets. Une fois que l’écoulement anormal avait cessé, elle devait compter sept jours, et alors elle devenait pure. Le huitième jour, elle apportait deux tourterelles ou deux jeunes pigeons au prêtre, qui faisait propitiation pour elle en présentant l’une de ces créatures à Jéhovah comme sacrifice pour le péché et l’autre comme holocauste. — Lv 15:19-30 - it-2 Règles


    L’homme et la femme qui, délibérément, avaient des rapports sexuels alors que la femme était dans la souillure de ses règles étaient retranchés (Lv 18:19 ; 20:18). L’interdiction de s’unir sexuellement pendant les règles était probablement bénéfique pour la santé ; par exemple, cela protégeait peut-être de l’urétrite simple, une inflammation de la région génitale. On peut supposer également que les prescriptions de la Loi concernant les règles ou le flux de sang rappelaient le caractère sacré du sang. Ces prescriptions n’étaient pas discriminatoires à l’égard des femmes, car les hommes aussi étaient sujets à l’impureté par des écoulements auxquels ils étaient prédisposés (Lv 15:1-17). Les prescriptions concernant les règles montraient justement que Jéhovah est plein d’égards pour les femmes. Quoique le mari chrétien ne soit pas sous la Loi, il est bien que lui aussi tienne compte des cycles et des vicissitudes de sa femme, demeurant avec elle “ selon la connaissance ” et lui assignant de l’honneur “ comme à un vase plus faible, le vase féminin ”. — 1P 3:7. - it-2 Règles


    La Loi favorisait aussi la pureté mentale des Israélites. Par exemple, ses prescriptions concernant la vie intime du couple contribuaient à élever les pensées de l’homme (Lévitique 15:16-33). Les Israélites apprirent à se dominer dans le domaine sexuel, à ne pas céder à la passion débridée comme le faisaient les Cananéens. La Loi apprenait même à ceux qui l’observaient à maîtriser leurs sentiments et leurs désirs, car elle condamnait la convoitise. – TG1987  1/11 §13


    Même un état d’impureté permanente de la part des Israélites était, semble-t-il, considéré comme quelque chose qui souillait le tabernacle (Lv 15:31). Ceux qui présentaient des offrandes pour la purification de la lèpre n’apportaient leur sacrifice que jusqu’à la porte de la cour (Lv 14:11). Aucune personne impure ne pouvait donc participer à un sacrifice de communion au tabernacle ou au temple, sous peine de mort. – it-2 p142 Lieu saint


    La Loi que Jéhovah a donnée à Moïse pour les Israélites nous montre aussi que la propreté était très importante. Par exemple, pour que Jéhovah accepte leur culte, les Israélites devaient être propres. Dans certaines situations, si quelqu’un désobéissait aux lois sur la pureté, il était puni de mort (Lévitique 15:31). Les normes de Jéhovah n’ont pas changé. Aujourd’hui, il veut toujours qu’ils soient purs. Pour Jéhovah, être pur, ce n’est pas simplement être propre et avoir des vêtements et une maison propres. La pureté concerne toute notre vie. Elle concerne notre culte, notre conduite et nos pensées. Pour être purs aux yeux de Jéhovah, nous devons être purs dans tous les domaines de notre vie. – lvs chap8 §8

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    Lévitique 5:1 : Comment ce verset s’applique-t-il aux chrétiens ? (w16.02 30 § 14).

    « “Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute. »

    14 La bonté peut t’aider à te montrer d’abord fidèle à Jéhovah tout en te montrant fidèle aux autres. Illustrons : Tu sais peut-être de source sûre qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave. Et tu te sens peut-être tenu de lui rester fidèle, particulièrement s’il s’agit d’un proche, comme un ami ou un membre de ta famille. Mais si tu cherchais à couvrir sa faute, tu serais infidèle à Dieu. Ta fidélité à Jéhovah doit bien entendu avoir la première place. Alors, comme Nathân, sois bon mais ferme. Encourage ce proche à rechercher l’aide des anciens. S’il ne l’a pas fait dans un délai raisonnable, ta fidélité à Jéhovah devrait te pousser à signaler sa faute aux anciens de la congrégation. En agissant ainsi, tu te montres fidèle à Jéhovah et bon envers ton proche. En quel sens ? Tu donnes ainsi aux anciens la possibilité d’essayer de le redresser avec douceur w16.02 30


    Pour certaines offenses graves, telles que les actes sexuels immoraux, l’adultère, l’homosexualité, le blasphème, l’apostasie, l’idolâtrie, etc., le pardon de la personne offensée n’est pas suffisant. La pureté spirituelle et morale de l’assemblée étant menacée, de tels péchés graves doivent être révélés aux anciens et traités par eux. Des anciens peuvent apprendre qu’un péché a été commis soit parce que le chrétien concerné vient se confesser, soit parce qu’un autre chrétien leur fait part de ce qu’il sait (Lév. 5:1). Quelle que soit la manière dont ils sont informés d’une faute grave commise par un Témoin de Jéhovah, deux anciens doivent en premier lieu vérifier les faits. S’il s’avère que l’information qui leur a été communiquée est fondée et qu’il y a des preuves qu’un péché grave a été commis, le collège des anciens désigne un comité de discipline religieuse composé d’au moins trois d’entre eux pour traiter l’affaire. – Livre Organisés (od) chap14 p141 §21


    Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute  - od p193


    Jéhovah a donné aux anciens la responsabilité d’aider les membres de l’assemblée. C’est plus facile pour les anciens de nous aider quand nous sommes honnêtes avec eux. Imagine une autre situation : Tu découvres qu’un de tes amis a commis une faute grave. Vas-tu te dire : « Si je suis vraiment son ami, je ne vais pas en parler » ? Ou bien te souviendras-tu que les anciens sont là pour lui donner l’aide dont il a besoin pour reconstruire et fortifier sa relation avec Jéhovah ? lvs chap14 p187§11


    Lévitique 5:15, 16 : Comment pourrait-on se montrer « infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah » ? (it-2 861 § 8).

    « Si quelqu’un se montre infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah, il amènera à Jéhovah, comme sacrifice de réparation, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail ; sa valeur en sicles d’argent est fixée d’après le sicle de référence du lieu saint. 16 Il donnera aussi la compensation pour le péché qu’il a commis contre le lieu saint, et il y ajoutera un cinquième de la valeur. Il donnera cela au prêtre, pour que le prêtre fasse le rite de réconciliation pour lui avec le bélier du sacrifice de réparation, et il lui sera pardonné. »

    Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — it-2 861 § 8


    En Israël, toutes les choses saintes aux yeux de Jéhovah étaient sacrées, et les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de les prendre à la légère ni d’en faire un usage indigne et profane. Citons à titre d’exemple la loi relative à la dîme. Si un homme mettait de côté la dîme de sa récolte de blé, et que lui ou un membre quelconque de sa famille en prélevât involontairement une partie pour l’usage domestique, par exemple la cuisine, cette personne transgressait la loi divine touchant les choses saintes. Était-ce une affaire de peu d’importance, sur laquelle il suffisait de fermer les yeux ?

    Certainement pas. La Loi de Dieu exigeait que le coupable restitue, avec vingt pour cent en plus, la valeur de la chose dont il avait frustré le sanctuaire, et qu’il offre en outre en sacrifice un bélier sans défaut de son troupeau. Ainsi la Loi engendrait un profond respect pour les choses saintes appartenant à Jéhovah (Lév. 5:14-16). Cela ne devrait-il pas nous montrer qu’il est important pour nous de traiter aujourd’hui les choses utilisées dans le service de Jéhovah avec tout le respect qui convient ? – TG1971  15/3 p166


    Quelqu’un qui péchait involontairement contre les choses saintes de Jéhovah (par exemple, s’appropriait involontairement du grain mis à part comme dîme pour le sanctuaire, et s’en servait pour son usage personnel ou pour celui de sa maisonnée [un usage ordinaire, ce qui profanait la chose sanctifiée]) (Lv 5:15a) : il fallait donner au sanctuaire la compensation plus un cinquième (Lv 5:16). Un bélier était présenté en sacrifice de culpabilité. — it-2 Sacrifices


    Les chapitres 5 et 6 du Lévitique nous éclairent sur la signification et le but des sacrifices de culpabilité. Même si c’était involontairement, peut-être un transgresseur avait-il violé les droits de son semblable ou de Jéhovah Dieu, ce qui demandait réparation. Plusieurs sortes de péchés sont mentionnées. Certains étaient d’ordre privé (5:2-6), d’autres étaient des péchés “ contre les choses saintes de Jéhovah ” (5:14-16), d’autres encore, sans être dus entièrement à l’ignorance, résultaient de mauvais désirs ou de faiblesses de la chair (6:1-3). Non seulement le transgresseur devait confesser ces péchés, mais il lui fallait aussi, quand les circonstances l’exigeaient, compenser le préjudice, puis présenter un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. -TG2000  15/8 §11


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les chefs devaient être respectés, mais ils n’étaient pas dispensés d’obéir à la loi de Dieu. Quand ils péchaient contre la Loi, ils devaient se soumettre à ses ordonnances concernant de tels péchés. En raison de leur position de responsabilité et des conséquences que leur conduite, leur exemple et leur influence avaient sur les autres, quand ils transgressaient involontairement un commandement divin, les sacrifices pour le péché qu’ils offraient étaient différents. Le grand prêtre devait offrir un jeune taureau, un chef était tenu de présenter un chevreau, et toute autre personne du peuple soit une chevrette, soit une agnelle. — Lv 4:3, 22, 23, 27, 28, 32. – it-1 p435


    Selon la Loi, aucun sacrifice pour le péché, dont le sang était apporté dans le sanctuaire pour faire propitiation, ne devait être mangé par le prêtre. Sa carcasse et ses excréments devaient être brûlés dans un lieu pur hors du camp (Lv 4:11, 12), afin que rien de l’animal ne serve à un autre usage ou ne soit laissé se décomposer. L’animal était “ pur ”, c’est-à-dire sanctifié pour Jéhovah, et donc devait être brûlé dans un lieu pur – it-1 p831


    La culpabilité rendait toujours passible d’une sanction ; il n’y avait pas d’exception. On ne pouvait pas fermer les yeux sur une faute. Chaque fois que la Loi l’exigeait, la punition devait être infligée ou, dans certains cas, la compensation fournie. Puis, pour faire la paix avec Dieu, le coupable devait présenter un sacrifice au sanctuaire. Il fallait un sacrifice pour la propitiation dans tous les cas de culpabilité (Lv 5:1-19). Même un péché involontaire entraînait la culpabilité, et il fallait faire des sacrifices pour la propitiation (Lv 4:1-35). Dans le cas de certains délits comme la tromperie, la spoliation ou l’extorsion, si le pécheur se repentait et se confessait volontairement, il devait donner la compensation et présenter aussi un sacrifice de culpabilité. it-2 p665 Procès


    Dans la Loi que Dieu a donnée à la nation d’Israël, nous trouvons des instructions précises sur la marche à suivre lorsqu’une personne péchait. Par exemple, si un individu péchait contre son semblable ou enfreignait une loi de Dieu, il devait se confesser à un prêtre nommé de la tribu de Lévi, qui faisait alors propitiation pour lui en offrant à Dieu un sacrifice pour le pardon du péché. — Lévitique 5:1-6.

    La confession des péchés est restée une exigence de Dieu dans la congrégation chrétienne du 1er siècle de notre ère. Puisque le pardon ne peut venir que de Dieu, c’est à lui que l’on doit se confesser. Pour obtenir le pardon il faut non seulement reconnaître et confesser son péché, mais aussi être disposé à abandonner sa mauvaise conduite.  TG2010  1/9 p22


    Sous la Loi, quiconque formulait un tel vœu irréfléchi était coupable devant Dieu et devait présenter une offrande de culpabilité pour son péché (Lv 5:4-6). Un vœu n’a aucune valeur aux yeux de Dieu s’il n’est pas conforme à ses lois justes et ne vient pas du genre de cœur et d’esprit qui conviennent. – it-2 p1164 Vœu


    La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue. Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. (Lév. 5:4-7, 11) Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ. Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés. Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir – TG2012  15/10 p27 §16


    Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Pense aux types de sacrifices qu’il acceptait de la part des Israélites. Certains avaient les moyens d’offrir un agneau ou une chèvre. Mais quelqu’un qui était pauvre était autorisé à offrir « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». Et si c’était encore trop cher pour lui, Jéhovah acceptait « un dixième d’épha de farine fine » (Lév. 5:7, 11). La farine coûtait moins cher, mais Jéhovah appréciait ce sacrifice, du moment qu’il s’agissait de « farine fine », c’est-à-dire d’excellente qualité.

    À notre époque, notre Dieu bienveillant voit les choses de la même façon. Souviens-toi de la veuve qui a offert les deux petites pièces de monnaie. Elle était précieuse aux yeux de Jéhovah parce qu’elle donnait tout ce qu’elle pouvait – TG2019/1 p8 §4,5


    Voyons comment la nature raisonnable de Jéhovah transparaissait dans la Loi mosaïque. Si un Israélite était trop pauvre pour offrir un agneau ou une chèvre en sacrifice, il pouvait offrir deux tourterelles ou deux pigeons. Et s’il était pauvre au point de ne même pas pouvoir se procurer deux pigeons ? Jéhovah lui permettait alors d’offrir un peu de farine. Toutefois, note bien cette précision : il ne devait pas amener n’importe quelle farine, mais de la « fleur de farine », celle qu’on utilisait pour les invités de marque (Gen. 18:6). Pourquoi n’est-ce pas un détail ? (Lévitique 5:7, 11).

    Imagine que tu sois un Israélite ayant peu de moyens. Tu arrives au tabernacle avec la petite quantité de farine que tu comptes offrir et tu remarques des Israélites plus riches qui apportent du bétail. Avec ton offrande de farine apparemment de peu de valeur, tu es peut-être mal à l’aise. Puis tu te rappelles qu’aux yeux de Jéhovah ton offrande a une grande valeur. Pourquoi ? Notamment parce qu’il a exigé que la farine soit de haute qualité. C’est comme s’il avait dit au pauvre : « Je sais que tu ne peux pas offrir autant que d’autres, mais je sais que tu m’offres ce que tu as de meilleur. » Jéhovah se montre assurément raisonnable en tenant compte des limites et de la situation de ses serviteurs. Voilà qui nous réconforte : Jéhovah, le Dieu raisonnable, accepte notre service pourvu que nous l’offrions de toute notre âme TG2013 15/6 p15-16


    Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 4 :9) La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.

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    Lévitique 5:1 : Comment ce verset s’applique-t-il aux chrétiens ? (w16.02 30 § 14).

    « “Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute. »

    14 La bonté peut t’aider à te montrer d’abord fidèle à Jéhovah tout en te montrant fidèle aux autres. Illustrons : Tu sais peut-être de source sûre qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave. Et tu te sens peut-être tenu de lui rester fidèle, particulièrement s’il s’agit d’un proche, comme un ami ou un membre de ta famille. Mais si tu cherchais à couvrir sa faute, tu serais infidèle à Dieu. Ta fidélité à Jéhovah doit bien entendu avoir la première place. Alors, comme Nathân, sois bon mais ferme. Encourage ce proche à rechercher l’aide des anciens. S’il ne l’a pas fait dans un délai raisonnable, ta fidélité à Jéhovah devrait te pousser à signaler sa faute aux anciens de la congrégation. En agissant ainsi, tu te montres fidèle à Jéhovah et bon envers ton proche. En quel sens ? Tu donnes ainsi aux anciens la possibilité d’essayer de le redresser avec douceur w16.02 30


    Pour certaines offenses graves, telles que les actes sexuels immoraux, l’adultère, l’homosexualité, le blasphème, l’apostasie, l’idolâtrie, etc., le pardon de la personne offensée n’est pas suffisant. La pureté spirituelle et morale de l’assemblée étant menacée, de tels péchés graves doivent être révélés aux anciens et traités par eux. Des anciens peuvent apprendre qu’un péché a été commis soit parce que le chrétien concerné vient se confesser, soit parce qu’un autre chrétien leur fait part de ce qu’il sait (Lév. 5:1). Quelle que soit la manière dont ils sont informés d’une faute grave commise par un Témoin de Jéhovah, deux anciens doivent en premier lieu vérifier les faits. S’il s’avère que l’information qui leur a été communiquée est fondée et qu’il y a des preuves qu’un péché grave a été commis, le collège des anciens désigne un comité de discipline religieuse composé d’au moins trois d’entre eux pour traiter l’affaire. – Livre Organisés (od) chap14 p141 §21


    Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute  - od p193


    Jéhovah a donné aux anciens la responsabilité d’aider les membres de l’assemblée. C’est plus facile pour les anciens de nous aider quand nous sommes honnêtes avec eux. Imagine une autre situation : Tu découvres qu’un de tes amis a commis une faute grave. Vas-tu te dire : « Si je suis vraiment son ami, je ne vais pas en parler » ? Ou bien te souviendras-tu que les anciens sont là pour lui donner l’aide dont il a besoin pour reconstruire et fortifier sa relation avec Jéhovah ? lvs chap14 p187§11


    Lévitique 5:15, 16 : Comment pourrait-on se montrer « infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah » ? (it-2 861 § 8).

    « Si quelqu’un se montre infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah, il amènera à Jéhovah, comme sacrifice de réparation, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail ; sa valeur en sicles d’argent est fixée d’après le sicle de référence du lieu saint. 16 Il donnera aussi la compensation pour le péché qu’il a commis contre le lieu saint, et il y ajoutera un cinquième de la valeur. Il donnera cela au prêtre, pour que le prêtre fasse le rite de réconciliation pour lui avec le bélier du sacrifice de réparation, et il lui sera pardonné. »

    Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — it-2 861 § 8


    En Israël, toutes les choses saintes aux yeux de Jéhovah étaient sacrées, et les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de les prendre à la légère ni d’en faire un usage indigne et profane. Citons à titre d’exemple la loi relative à la dîme. Si un homme mettait de côté la dîme de sa récolte de blé, et que lui ou un membre quelconque de sa famille en prélevât involontairement une partie pour l’usage domestique, par exemple la cuisine, cette personne transgressait la loi divine touchant les choses saintes. Était-ce une affaire de peu d’importance, sur laquelle il suffisait de fermer les yeux ?

    Certainement pas. La Loi de Dieu exigeait que le coupable restitue, avec vingt pour cent en plus, la valeur de la chose dont il avait frustré le sanctuaire, et qu’il offre en outre en sacrifice un bélier sans défaut de son troupeau. Ainsi la Loi engendrait un profond respect pour les choses saintes appartenant à Jéhovah (Lév. 5:14-16). Cela ne devrait-il pas nous montrer qu’il est important pour nous de traiter aujourd’hui les choses utilisées dans le service de Jéhovah avec tout le respect qui convient ? – TG1971  15/3 p166


    Quelqu’un qui péchait involontairement contre les choses saintes de Jéhovah (par exemple, s’appropriait involontairement du grain mis à part comme dîme pour le sanctuaire, et s’en servait pour son usage personnel ou pour celui de sa maisonnée [un usage ordinaire, ce qui profanait la chose sanctifiée]) (Lv 5:15a) : il fallait donner au sanctuaire la compensation plus un cinquième (Lv 5:16). Un bélier était présenté en sacrifice de culpabilité. — it-2 Sacrifices


    Les chapitres 5 et 6 du Lévitique nous éclairent sur la signification et le but des sacrifices de culpabilité. Même si c’était involontairement, peut-être un transgresseur avait-il violé les droits de son semblable ou de Jéhovah Dieu, ce qui demandait réparation. Plusieurs sortes de péchés sont mentionnées. Certains étaient d’ordre privé (5:2-6), d’autres étaient des péchés “ contre les choses saintes de Jéhovah ” (5:14-16), d’autres encore, sans être dus entièrement à l’ignorance, résultaient de mauvais désirs ou de faiblesses de la chair (6:1-3). Non seulement le transgresseur devait confesser ces péchés, mais il lui fallait aussi, quand les circonstances l’exigeaient, compenser le préjudice, puis présenter un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. -TG2000  15/8 §11


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les chefs devaient être respectés, mais ils n’étaient pas dispensés d’obéir à la loi de Dieu. Quand ils péchaient contre la Loi, ils devaient se soumettre à ses ordonnances concernant de tels péchés. En raison de leur position de responsabilité et des conséquences que leur conduite, leur exemple et leur influence avaient sur les autres, quand ils transgressaient involontairement un commandement divin, les sacrifices pour le péché qu’ils offraient étaient différents. Le grand prêtre devait offrir un jeune taureau, un chef était tenu de présenter un chevreau, et toute autre personne du peuple soit une chevrette, soit une agnelle. — Lv 4:3, 22, 23, 27, 28, 32. – it-1 p435


    Selon la Loi, aucun sacrifice pour le péché, dont le sang était apporté dans le sanctuaire pour faire propitiation, ne devait être mangé par le prêtre. Sa carcasse et ses excréments devaient être brûlés dans un lieu pur hors du camp (Lv 4:11, 12), afin que rien de l’animal ne serve à un autre usage ou ne soit laissé se décomposer. L’animal était “ pur ”, c’est-à-dire sanctifié pour Jéhovah, et donc devait être brûlé dans un lieu pur – it-1 p831


    La culpabilité rendait toujours passible d’une sanction ; il n’y avait pas d’exception. On ne pouvait pas fermer les yeux sur une faute. Chaque fois que la Loi l’exigeait, la punition devait être infligée ou, dans certains cas, la compensation fournie. Puis, pour faire la paix avec Dieu, le coupable devait présenter un sacrifice au sanctuaire. Il fallait un sacrifice pour la propitiation dans tous les cas de culpabilité (Lv 5:1-19). Même un péché involontaire entraînait la culpabilité, et il fallait faire des sacrifices pour la propitiation (Lv 4:1-35). Dans le cas de certains délits comme la tromperie, la spoliation ou l’extorsion, si le pécheur se repentait et se confessait volontairement, il devait donner la compensation et présenter aussi un sacrifice de culpabilité. it-2 p665 Procès


    Dans la Loi que Dieu a donnée à la nation d’Israël, nous trouvons des instructions précises sur la marche à suivre lorsqu’une personne péchait. Par exemple, si un individu péchait contre son semblable ou enfreignait une loi de Dieu, il devait se confesser à un prêtre nommé de la tribu de Lévi, qui faisait alors propitiation pour lui en offrant à Dieu un sacrifice pour le pardon du péché. — Lévitique 5:1-6.

    La confession des péchés est restée une exigence de Dieu dans la congrégation chrétienne du 1er siècle de notre ère. Puisque le pardon ne peut venir que de Dieu, c’est à lui que l’on doit se confesser. Pour obtenir le pardon il faut non seulement reconnaître et confesser son péché, mais aussi être disposé à abandonner sa mauvaise conduite.  TG2010  1/9 p22


    Sous la Loi, quiconque formulait un tel vœu irréfléchi était coupable devant Dieu et devait présenter une offrande de culpabilité pour son péché (Lv 5:4-6). Un vœu n’a aucune valeur aux yeux de Dieu s’il n’est pas conforme à ses lois justes et ne vient pas du genre de cœur et d’esprit qui conviennent. – it-2 p1164 Vœu


    La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue. Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. (Lév. 5:4-7, 11) Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ. Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés. Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir – TG2012  15/10 p27 §16


    Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Pense aux types de sacrifices qu’il acceptait de la part des Israélites. Certains avaient les moyens d’offrir un agneau ou une chèvre. Mais quelqu’un qui était pauvre était autorisé à offrir « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». Et si c’était encore trop cher pour lui, Jéhovah acceptait « un dixième d’épha de farine fine » (Lév. 5:7, 11). La farine coûtait moins cher, mais Jéhovah appréciait ce sacrifice, du moment qu’il s’agissait de « farine fine », c’est-à-dire d’excellente qualité.

    À notre époque, notre Dieu bienveillant voit les choses de la même façon. Souviens-toi de la veuve qui a offert les deux petites pièces de monnaie. Elle était précieuse aux yeux de Jéhovah parce qu’elle donnait tout ce qu’elle pouvait – TG2019/1 p8 §4,5


    Voyons comment la nature raisonnable de Jéhovah transparaissait dans la Loi mosaïque. Si un Israélite était trop pauvre pour offrir un agneau ou une chèvre en sacrifice, il pouvait offrir deux tourterelles ou deux pigeons. Et s’il était pauvre au point de ne même pas pouvoir se procurer deux pigeons ? Jéhovah lui permettait alors d’offrir un peu de farine. Toutefois, note bien cette précision : il ne devait pas amener n’importe quelle farine, mais de la « fleur de farine », celle qu’on utilisait pour les invités de marque (Gen. 18:6). Pourquoi n’est-ce pas un détail ? (Lévitique 5:7, 11).

    Imagine que tu sois un Israélite ayant peu de moyens. Tu arrives au tabernacle avec la petite quantité de farine que tu comptes offrir et tu remarques des Israélites plus riches qui apportent du bétail. Avec ton offrande de farine apparemment de peu de valeur, tu es peut-être mal à l’aise. Puis tu te rappelles qu’aux yeux de Jéhovah ton offrande a une grande valeur. Pourquoi ? Notamment parce qu’il a exigé que la farine soit de haute qualité. C’est comme s’il avait dit au pauvre : « Je sais que tu ne peux pas offrir autant que d’autres, mais je sais que tu m’offres ce que tu as de meilleur. » Jéhovah se montre assurément raisonnable en tenant compte des limites et de la situation de ses serviteurs. Voilà qui nous réconforte : Jéhovah, le Dieu raisonnable, accepte notre service pourvu que nous l’offrions de toute notre âme TG2013 15/6 p15-16


    Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 4 :9) La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.

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    Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 39-40

    Exode 39:34 : Qu’est-ce qui peut expliquer que les Israélites aient pu se procurer des peaux de phoque pour le tabernacle (it-2 510).

    «  sa couverture en peaux de béliers teintes en rouge, sa couverture en peaux de phoques, le rideau de séparation »

    Comment les Israélites purent s’en procurer. Si le taḥash de la Bible désigne bien une espèce de phoque, on peut se demander comment les Israélites purent se procurer des peaux de phoques. Bien qu’on associe généralement les phoques à l’Arctique et à l’Antarctique, il faut savoir que certaines espèces préfèrent des climats plus tempérés. Aujourd’hui encore, quelques phoques moines peuplent certaines parties de la Méditerranée ainsi que d’autres mers chaudes. Au cours des siècles, l’homme a considérablement réduit le nombre des phoques ; il se peut donc que dans les temps bibliques ces animaux aient abondé en Méditerranée et dans la mer Rouge. Encore en 1832, une édition du Dictionnaire de la Bible d’Augustin Calmet (p. 139) faisait cette remarque : “ On trouve des phoques sur un grand nombre des petites îles de la mer Rouge, autour de la péninsule du Sinaï. ” —

    Les Égyptiens de l’Antiquité faisaient du commerce sur la mer Rouge et recevaient évidemment des produits provenant de nombreuses régions de la Méditerranée. Il leur était donc possible de se procurer des peaux de phoques. Par conséquent, lorsque les Israélites quittèrent l’Égypte, il se peut qu’ils aient emporté les peaux de phoques qu’ils possédaient déjà, ainsi que d’autres qu’ils reçurent quand les Égyptiens leur remirent de nombreuses choses de valeur. — it-2 p510

    Des phoques en mers chaudes ? Les phoques sont souvent présentés évoluant dans les mers glacées de l’Arctique ou de l’Antarctique. Mais savez-vous que certains phoques peuvent s’épanouir sous des climats tempérés, allongés au soleil sur le sable de plages désertes?

    Faisons connaissance avec le phoque moine de la Méditerranée. Ce phoque des mers chaudes, dont la taille peut atteindre 3,50 mètres, est couvert d’un pelage ras et dru à taches brunes; sa face ventrale est d’un blanc jaunâtre. Ces couleurs caractéristiques rappellent l’habit de certains moines, ce qui expliquerait son nom.

    Plusieurs passages bibliques parlent d’une peau (taḥash en hébreu) qui couvrait le tabernacle et les ustensiles du sanctuaire (Exode 25:5; 26:14; Nombres 4:8). Certains biblistes pensent que taḥash désigne la peau de phoque. S’agit-il de la peau du phoque moine? La présence de cet animal, jadis, dans les eaux de la mer Méditerranée appuie cette hypothèse - RV 1994 22/10 p31


    Exode 40:34 : Lorsque le nuage s’est mis à couvrir la tente de la rencontre, qu’est-ce que cela a indiqué ? (w15 15/7 21 § 1).

    « Et le nuage se mit à couvrir la tente de la rencontre, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle »

    Le tabernacle achevé, un nuage « se mit à couvrir la tente de réunion, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle » (Ex. 40:34). Quelle preuve manifeste de l’approbation divine ! À ton avis, qu’ont éprouvé Betsalel et Oholiab à ce moment-là ? Bien que leur nom n’ait pas été gravé sur leurs œuvres, ils ont dû éprouver une grande satisfaction en constatant que Jéhovah bénissait leur dur travail. Leurs ouvrages ont continué de servir au culte pour Jéhovah pendant des années, ce qui les a sûrement réjouis. Dans le monde nouveau, quand ils ressusciteront, ils seront sans aucun doute ravis d’apprendre que le tabernacle a servi au vrai culte pendant quelque 500 ans - w15 15/7 21 § 1

    Cette manifestation divine prouvait que Bézalel et Oholiab s’étaient bien acquittés de leur tâche et que Jéhovah l’agréait. Son esprit avait agi par leur entremise. Nous pouvons être certains d’une chose: l’esprit saint soutient le culte pur de Jéhovah. Il déploie tout particulièrement son activité en faveur de ceux qui pratiquent le culte du seul vrai Dieu et qui lui accordent leur soutien. Nous en avons pour preuve les événements qui se sont produits à l’époque où des juges spécialement choisis gouvernaient le peuple d’Israël. – hs p68

    Le nuage demeura au-dessus du Très-Saint, dans lequel se trouvait l’arche de l’alliance, et il devenait une colonne de feu la nuit. Ce nuage était sans aucun doute visible de n’importe quel endroit du camp, dont il marquait le centre. Lorsqu’il s’élevait, les Israélites se préparaient à lever le camp. Quand il se déplaçait, ils le suivaient jusqu’au campement suivant, dont l’emplacement précis, néanmoins, était peut-être choisi avec l’aide de Hobab, qui connaissait bien le pays, y compris les points d’eau et d’autres caractéristiques nécessaires à un camp aux proportions aussi énormes.

    À l’intérieur du Très-Saint, au-dessus de l’arche de l’alliance, il y avait un nuage très brillant, la seule lumière à éclairer ce compartiment. En hébreu postbiblique, on l’appela la Shekina. Le jour des Propitiations, lorsqu’il entrait dans le Très-Saint avec le sang des animaux, le grand prêtre se tenait symboliquement en présence de Jéhovah. Le reste du temps, quand, sans entrer dans le Très-Saint, il se plaçait devant le rideau pour interroger Jéhovah sur une affaire importante, on considérait qu’il se tenait devant Dieu – it-2 p423 Nuage


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Vêtements officiels. S’il portait des vêtements de lin semblables à ceux des sous-prêtres quand il vaquait à ses activités courantes, le grand prêtre revêtait des vêtements spéciaux, de gloire et de beauté, à certaines occasions. Les chapitres Exode 28 et 39  les décrivent ainsi que leur confection sous la direction de Moïse, selon ce que Dieu avait ordonné. Le vêtement de dessous était la robe de fin lin (probablement blanc), en tissu quadrillé. Cette robe avait apparemment des manches longues et descendait jusqu’aux chevilles. Elle était vraisemblablement tissée d’une seule pièce. Une écharpe de fin lin retors, tissée avec du fil teint bleu, pourpre rougeâtre et écarlate de cochenille, entourait le corps, probablement au-dessus de la taille. — Exode 28:39 ; 39:29.

    L’éphod, sorte de tablier formé d’un devant et d’un dos, et qui descendait un peu au-dessous de la taille, était porté par tous les prêtres et parfois par des gens qui n’appartenaient pas à la prêtrise. L’éphod qui faisait partie des vêtements du grand prêtre pour la beauté était un ouvrage de broderie spéciale. Il se composait de fin lin retors, de laine teinte en pourpre rougeâtre, de tissu teint en écarlate de cochenille et de fils d’or qu’on préparait en martelant de l’or en feuilles minces, puis en les découpant en fils (Ex 39:2, 3). – it-1 p1005 grand prêtre

    Le grand prêtre d’Israël. En Israël, le turban du grand prêtre avait sur le devant, au-dessus du front du prêtre, une plaque d’or, “ le signe saint de consécration ”, sur laquelle étaient écrits “ en gravures de sceau ” les mots : “ La sainteté appartient à Jéhovah. ” (Ex 39:30). En sa qualité de principal représentant du culte de Jéhovah en Israël, il convenait que le grand prêtre fasse que sa fonction reste sainte ; de plus, cette inscription rappelait à tout Israël la nécessité de demeurer saint constamment au service de Jéhovah. En outre, ce signe préfigurait très bien le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, et le fait que Jéhovah le consacrerait au service sacerdotal qui soutient Sa sainteté -  it-1 p931

    Le lieu où les Israélites offraient leurs sacrifices avait-il de l’importance ? Oui. Jéhovah a demandé à son peuple de construire un tabernacle qui est devenu le centre du culte pur (Ex. 40:1-3, 29, 34). À l’époque, si les Israélites voulaient que Dieu approuve leurs offrandes, ils devaient les apporter au tabernacle (Deut. 12:17, 18) Mais il y avait plus important encore : leurs mobiles ! Les Israélites devaient avoir un amour sincère pour Jéhovah et pour ses normes – rr chap2 p15 §24

    La pureté physique est requise de ceux qui adorent Jéhovah dans la sainteté et la pureté. C’est ce que montrent les activités au tabernacle et le service au temple. Lors de leur installation, le grand prêtre Aaron et ses fils se baignèrent avant de revêtir leurs vêtements officiels (Exode 40:12-15). Pour se laver les mains et les pieds, les prêtres se servaient de l’eau que contenait le bassin de cuivre dans la cour du tabernacle et, par la suite, l’immense mer en métal fondu dans le temple de Salomon (Exode 40:30-32). Le jour des Propitiations, le grand prêtre se baignait deux fois – it-1 p257

    Lorsqu’en 29 de notre ère Jésus s’est fait baptiser et a été oint de l’esprit saint, il a été offert sur l’autel de la volonté divine (Luc 3:21, 22). Cet événement a été le point de départ d’une vie sacrificielle qui a duré trois ans et demi (Hébreux 10:5-10). Pendant cette période, Jésus a eu avec Dieu des relations de personne qui a été engendrée de l’esprit. Les autres humains ne pouvaient comprendre pleinement cette position unique qu’il occupait vis-à-vis de son Père céleste. Leur discernement se trouvait borné comme par un voile, comparable à celui qui empêchait de voir à l’intérieur du Saint depuis la cour du tabernacle. — Exode 40:28. – TG2000  15/1 p15

    Combien de temps les colonnes de nuage et de feu miraculeuses restèrent-elles avec le camp d’Israël ?

    Jéhovah guida miraculeusement les Israélites hors d’Égypte et dans le désert en ‘ marchant en avant d’eux, le jour dans une colonne de nuage [...], et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer ’. (Ex 13:21.) Il ne s’agissait pas de deux colonnes, mais d’une seule “ colonne de feu et de nuage ” qui apparaissait normalement comme un nuage le jour et comme un feu la nuit (Ex 14:24). Quand les Égyptiens se lancèrent à la poursuite des Israélites, la colonne se plaça sur les arrières de ces derniers, peut-être en se déployant comme une muraille. Elle provoquait des ténèbres du côté des Égyptiens, mais répandait de la lumière du côté des Israélites. Après la construction du tabernacle, la présence de la colonne au-dessus servait à signaler que Jéhovah résidait dans son lieu saint (Ex 40:35). La colonne représentait Jéhovah, et c’est depuis la colonne qu’il parlait aux Israélites. La dernière mention de cette colonne dans l’Histoire fut faite juste avant l’entrée d’Israël en Terre promise. Une fois installé dans son pays, le peuple n’eut plus besoin de la colonne pour le guider comme lors de ses pérégrinations – it-1 Colonne

    Pendant les 40 années où les Israélites avaient dû errer dans le désert, Dieu s’était montré fidèle en assurant leur subsistance Il les avait également guidés, se servant notamment d’un nuage le jour et d’un feu la nuit pour les mener jusqu’à “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. (Exode 3:8 ; 40:36-38.) Quand le moment de pénétrer en Terre promise était arrivé, Jéhovah avait désigné Josué comme successeur de Moïse. On pouvait s’attendre à ce que les occupants du pays opposent de la résistance. Mais il n’y avait pas lieu de craindre ; Jéhovah n’avait-il pas marché avec son peuple pendant des dizaines d’années ? Les Israélites avaient toutes les raisons de voir en Jéhovah un Dieu en qui ils pouvaient placer leur confiance.

    Dans leur marche vers le monde nouveau promis par Dieu, les chrétiens de notre temps cheminent dans le désert qu’est le monde méchant, certains depuis plus de 40 ans. Aujourd’hui, ils sont aux portes du monde nouveau. Cependant, la voie n’est pas dégagée ; il y a encore des ennemis bien décidés à empêcher quiconque de pénétrer dans ce qui deviendra comme une Terre promise, plus glorieuse que celle d’autrefois qui ruisselait de lait et de miel. Combien sont donc appropriées pour les chrétiens de notre époque ces paroles de Moïse reprises par Paul : “ Je ne te quitterai en aucune façon ni ne t’abandonnerai en aucune façon. ” Tous ceux qui restent forts, courageux, pleins de foi, et qui mettent leur confiance en Jéhovah, sont assurés d’être récompensés. – TG1998  15/8 p10 §4,5

    Que Dieu soit ordonné, cela ressort clairement des dispositions qu’il prit en rapport avec le tabernacle, ou la tente, qui servait à la nation d’Israël pour que celle-ci lui rende un culte. Seuls les membres des familles sacerdotales (les Lévites) étaient autorisés à pénétrer dans le tabernacle. En outre, Jéhovah indiqua à Moïse quelle devait être la place exacte de chaque objet dans le tabernacle, et il donna des instructions détaillées sur l’usage que devaient en faire les prêtres et les Lévites (Exode 40). De cette manière, les non-Lévites pouvaient au moins se représenter mentalement ce qui se passait dans le tabernacle en rapport avec le culte rendu à Jéhovah. Cela leur permettait sans aucun doute de se sentir concernés par ces dispositions et leur donnait le sentiment de n’être pas étrangers au tabernacle. Ne pensez-vous pas qu’ils ont dû être très reconnaissants que Jéhovah soit un Dieu d’ordre ? – RV1987  22/8 p23

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    Exode 21:5, 6 : Comment ces versets illustrent-ils les bienfaits qu’on retire à se vouer à Jéhovah ? (w10 15/1 4 § 4-5).

    « Mais si l’esclave dit avec insistance : “J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas être libéré”, 6 son maître devra l’amener devant le vrai Dieu. Puis son maître l’amènera près de la porte ou du montant de la porte, et il lui percera l’oreille avec un poinçon, et il sera son esclave à vie. »

    4 Pour le chrétien, l’offrande de soi est un pas essentiel. Ce n’est pas simplement un engagement moral. Pourquoi cette précision est-elle importante ? Pour le comprendre, arrêtons-nous sur la notion d’engagement moral entre humains. Prenons l’exemple de l’amitié. Pour avoir un ami, il faut accepter les obligations qu’entraîne l’amitié. Cela suppose donc un engagement : on se sent tenu de témoigner de l’intérêt à son ami. Une des plus belles amitiés relatées dans la Bible est celle de David et de Yonathân. Les deux hommes avaient même conclu entre eux une alliance d’amitié. (Lire 1 Samuel 17:57 ; 18:1, 3.) Il est rare que des amis poussent l’engagement réciproque à ce point ; mais, de façon générale, l’amitié s’épanouit quand on est prêt à assumer les obligations qui en découlent. — Prov. 17:17 ; 18:24.

    5 La Loi que Dieu avait donnée à Israël aborde un autre domaine dans lequel l’engagement était synonyme de bienfaits. Si un esclave avait un bon maître, il pouvait souhaiter rester à son service définitivement pour bénéficier de la sécurité que cela procurait. D’ailleurs, la Loi prévoyait un rituel scellant cet accord : “ Si l’esclave dit avec insistance : ‘ J’aime vraiment mon maître, ma femme et mes fils, je ne veux pas sortir libre ’, alors son maître devra le faire approcher du vrai Dieu et devra l’amener près de la porte ou du montant de la porte ; et son maître devra lui percer l’oreille avec un poinçon, et il devra être son esclave pour des temps indéfinis. ” — Ex. 21:5, 6. - w10 15/1 4 § 4-5


    La loi que Jéhovah avait donnée aux Israélites révèle à quel genre d’esclavage il veut que nous nous soumettions. Elle exigeait que, la septième année de sa servitude, un esclave hébreu soit affranchi (Ex. 21:2). Cependant, elle comportait une clause étonnante : L’esclave qui aimait vraiment son maître pouvait, s’il le souhaitait, rester à son service. Le maître devait alors l’amener près de la porte, ou du montant de la porte, et lui percer l’oreille avec un poinçon (Ex. 21:5, 6). Cela signifiait qu’il était esclave pour toujours.  Si l’oreille était concernée par ce rituel, ce n’est pas par hasard. En hébreu, la notion d’obéissance s’exprime par un terme qui signifie fondamentalement entendre ou écouter. Ainsi, l’esclave volontaire désirait continuer à servir son maître avec obéissance. Cet exemple nous éclaire sur ce que suppose l’offrande de soi : une obéissance volontaire motivée par l’amour pour Jéhovah.

    Quand nous nous sommes présentés au baptême chrétien, nous avions au préalable décidé de servir Jéhovah, d’être ses esclaves. Notre désir de lui obéir et de faire sa volonté nous a poussés à lui vouer notre vie. Personne ne nous y a forcés. Même un jeune qui se fait baptiser ne le fait qu’après s’être personnellement voué à Jéhovah, pas juste pour plaire à ses parents. Le fondement de l’offrande de soi chrétienne est l’amour pour le Maître céleste, Jéhovah – TG2013  15/10 p12 §2,3


    Les ayant rachetés d’Égypte, Jéhovah était le légitime propriétaire des Israélites; pourtant, Dieu bon et miséricordieux, il leur permit d’exprimer de plein gré leur désir de le servir. Il exposa aussi les clauses de l’alliance entre lui et les Israélites. . Lorsque Moïse leur eut transmis ces conditions, ils déclarèrent: “Tout ce qu’a prononcé Jéhovah, nous voulons bien l’exécuter et nous voulons bien obéir.” De plein gré, ils devinrent une nation vouée au Souverain Seigneur Jéhovah. Jéhovah, le Créateur, mérite toujours autant qu’on lui soit dévoué de toute son âme. Mais l’offrande de soi ne doit pas être motivée par la crédulité, un mouvement passager du cœur ou la pression de l’entourage, — pas même des parents. Elle doit être motivée par une connaissance exacte de la vérité concernant Jéhovah et par la reconnaissance pour ce qu’il a fait en notre faveur. Tout comme il a donné aux Israélites l’occasion d’exprimer de leur plein gré l’offrande de leur personne, il nous accorde la possibilité de nous vouer de notre plein gré à lui et de le montrer publiquement. – TG1995  1/3 p9 §9,10


    En Israël, il arrivait qu’un Hébreu dût se vendre comme esclave, un homme réduit en esclavage, qui est entièrement dévoué à son maître et qui dit même : “ J’aime mon maître. ” Le chrétien devrait, lui aussi, avoir cet état d’esprit. Il devrait toujours se voir dans cette position d’esclave et être désireux de servir son Maître, Jéhovah, qui lui a donné la vie et toutes ses bénédictions. Personne ne devrait jamais vouloir s’affranchir de Jéhovah et suivre son propre chemin. C’est à juste titre que Jéhovah réclame un dévouement exclusif. Mais celui qui apporte un tel dévouement au Maître souverain de l’univers doit l’apporter de son plein gré. On ne le forcera pas à apporter pareil dévouement. Il doit avoir le désir d’être ainsi dévoué. Personne ne le poussera de force dans cette position ou dans le service de Jéhovah. Mais parce qu’il a étudié la Parole de Dieu et qu’il veut faire la volonté divine, il est enclin à être en plein accord avec Dieu et ses desseins, il préfère être son esclave, à l’exemple de Jésus-Christ qui prit plaisir à faire la volonté de son Père. Celui qui s’est voué à Jéhovah pour le servir est semblable à l’esclave hébreu qui veut rester esclave pour un temps indéterminé.

    Toutes les personnes qui ont voué leur vie au service de Jéhovah doivent bien comprendre qu’être chrétien est chose sérieuse ; et, comme le dit Moïse : “ Tu ne prendras pas le nom de Jéhovah, ton Dieu, d’une manière vaine, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prend son nom d’une manière vaine. ”. On ne devrait pas croire que parce qu’on s’est voué à Jéhovah et qu’on s’est fait baptiser, Dieu est obligé de tout faire pour nous. Dieu exécutera certainement les termes de l’accord en accordant des bénédictions et sa protection ; mais l’esclave qui veut apporter un dévouement exclusif à Jéhovah doit aussi exécuter les clauses de l’accord le concernant. Il doit aussi montrer qu’il est esclave et faire preuve d’obéissance au Maître souverain. Notre vie dépend de la pure adoration et le Père aime ceux qui lui rendent un tel culte, car c’est un Dieu exigeant un dévouement exclusif.- TG1956  15/3 p88 §17-21


    Exode 21:14 : Quelle est l’explication plausible de ce verset ? (it-1 545 § 4).

    « Si un homme se met très en colère contre son semblable et le tue volontairement, il devra mourir même s’il s’est réfugié près de mon autel. »

    La déclaration renfermée en Exode 21:14 peut vouloir dire que, s’il était coupable de meurtre, même un prêtre devait être exécuté, ou que le geste de saisir les cornes de l’autel ne protégeait pas le meurtrier volontaire - it-1 545 § 4


    En Israël, aucun asile n’était accordé aux meurtriers volontaires. Même un prêtre lévitique servant à l’autel de Dieu devait, s’il avait tué par ruse, être emmené et exécuté. Par ailleurs, plaider la négligence pour obtenir miséricorde était irrecevable selon la Loi s’il y avait mort d’homme. Par exemple, un homme qui construisait une habitation devait installer un parapet sur son toit en terrasse sous peine de charger la maison d’un meurtre si quelqu’un venait à faire une chute mortelle.

    Autre cas de figure: si le propriétaire d’un taureau ayant l’habitude d’encorner en avait été averti, qu’il n’avait pas mis l’animal sous garde et que celui-ci tuait quelqu’un, le propriétaire était coupable d’un meurtre et donc passible de mort. Que Dieu tient la vie pour précieuse, c’est ce que montre encore le fait que quiconque frappait mortellement un voleur se rendait coupable de meurtre si cela se passait en plein jour, cas où le malfaiteur pouvait être vu et reconnu. Il est donc clair que les prescriptions parfaitement équilibrées de Dieu ne permettaient pas aux meurtriers volontaires d’échapper à la peine capitale.

    Quand un meurtre était commis en Israël, le sang de la victime devait être vengé. La loi ‘vie pour vie’ était exécutée quand le meurtrier était mis à mort par “le vengeur du sang”, le parent masculin le plus proche de la victime. – TG1995  15/11 p10 §5,6


    Si un homme était un prêtre servant à l’autel de Dieu, il ne devait pas être traité comme un innocent, mais emmené pour être exécuté parce qu’il avait commis un meurtre prémédité. Ou si un meurtrier volontaire se réfugiait près de l’autel comme lieu d’asile et saisissait une de ses cornes dans l’espoir d’être protégé par la sainteté de l’autel, il devait en être arraché et mis à mort comme il le méritait. Dieu ne protège pas les criminels volontaires ni par sa loi ni par les choses saintes de son organisation. – TG1956  1/6 p166 §4


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    L’esclavage, une bénédiction – L’esclavage était utile à l’homme pauvre, car elle lui procurait la nourriture, le vêtement et l’abri, à lui et à sa famille, et en même temps il faisait un travail honorable pour subvenir à ses besoins. Un esclave israélite pouvait être racheté par un parent et affranchi. Sinon, la septième année, il était automatiquement libéré, mais pas dans le dénuement. Il recevait du grain, de l’huile et du vin, selon les moyens de son maître (Ex. 21:2). Ainsi, l’esclave pouvait prendre un bon départ jusqu’à ce qu’il soit en mesure de subvenir à ses besoins par son travail ou ses affaires. Les esclaves avaient diverses possibilités. Quelques-uns sont devenus riches, car ils avaient le droit de faire fructifier leur argent (Lév. 25:49). Grâce à leur zèle et à leur honnêteté, de nombreux esclaves ont été élevés à des positions très honorables ; certains se sont vus confier toutes les affaires de leur maître. - TG1970  1/10 p597 §9

    Les femmes étaient protégées par les lois sur le mariage. Dieu n’étant pas encore intervenu pour restaurer la monogamie originelle, la polygamie était pratiquée, mais elle était réglementée. La nourriture, le vêtement et les droits conjugaux étaient garantis à la jeune esclave juive qui avait été prise pour femme par un homme, même si celui-ci accordait ensuite ses faveurs à une autre femme (Ex. 21:7-11). Le soldat qui épousait une jeune vierge captive ne pouvait pas la vendre plus tard comme esclave. - TG1970  1/10 p597 §16

    Toute personne était considérée comme sacrée. Les femmes étaient protégées contre le viol (Deut. 22:25-27). Le kidnapping était un crime puni de la peine capitale. L’homme entre les mains de qui on retrouvait la personne enlevée ou celui qui l’avait vendue comme esclave devait être mis à mort sans faute. — Ex. 21:16 - TG1970  1/10 p597 §19

    Le cercle familial servait de base à l’union de la nation. On y enseignait un profond respect des chefs et des parents (Ex. 22:28). Par exemple, quiconque frappait son père ou sa mère, ou prononçait une malédiction sur eux, était mis à mort (Ex. 21:15, 17). Le respect du foyer et de la famille favorisait le respect des chefs de la nation et plus particulièrement de Jéhovah Dieu, le Chef suprême. - TG1970  1/10 p597 §20


    La Loi de Dieu autorisait-elle la vengeance ?

    L’expression biblique « œil pour œil, dent pour dent » a provoqué bien des débats (Exode 21:24). Pour certains, cela veut dire que Dieu approuve la vengeance. Mais cette idée s’oppose à ce commandement de Dieu : « Tu ne dois pas te venger, ni garder rancune aux fils de ton peuple » (Lévitique 19:18). Alors comment comprendre les paroles d’Exode ?

    Exode 21:22 prend le cas où deux hommes sont en train de se battre et où l’un d’eux bouscule une femme enceinte, provoquant un accouchement prématuré. Le mari de cette femme n’était pas autorisé à se venger. Si la mère et le bébé restaient en vie, l’homme qui avait bousculé la femme devait payer « une indemnité, selon ce que le propriétaire de la femme lui imposait ; et il devait la donner par l’intermédiaire des juges ». En d’autres termes, les juges condamnaient le fautif à payer des dommages-intérêts au mari. Et si la femme ou le bébé mourait, le coupable était condamné à mort.

    Dans ce cas, c’était le tribunal, et non la victime, qui appliquait le principe de « vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent »... (Exode 21:23, 24, note). Ce principe rappelait aux juges que leur punition ne devait être ni excessive ni trop légère. Le bibliste Richard Friedman a écrit : « Le principe de base qui s’en dégage, c’est que la punition devait correspondre au délit et ne jamais aller au-delà. »

    Mais alors, d’où vient l’idée que la Loi de Dieu autorisait la vengeance personnelle ? La réponse ressort de Matthieu 5:38, 39, où Jésus déclare : « Vous avez entendu qu’il a été dit : “Œil pour œil et dent pour dent.” » Apparemment, à l’époque de Jésus, certains chefs religieux avaient introduit la loi du talion dans leur tradition orale pour justifier la vengeance personnelle. Cependant, Jésus a clairement expliqué que la Loi de Dieu n’appuyait pas cet enseignement, disant : « Ne vous opposez pas à celui qui est méchant ; mais qui te gifle sur la joue droite, tourne aussi vers lui l’autre joue. » - TG2014 9/1 p8-9


    La restitution et la compensation étaient incluses dans la Loi que Dieu avait donnée à Israël. Si, par exemple, un homme avait volé un taureau, il devait compenser au double, ou même plus dans certains cas. Sinon, il devait se louer comme travailleur à gages jusqu’à ce qu’il ait payé tout son dû à la victime (Ex. 22:1-9). Des compensations étaient aussi prévues en cas de calomnie, de blessures ou de déprédations (Ex. 21:35, 36). On constate que ces lois justes protégeaient la victime, lui permettaient d’être indemnisée, donnaient une sérieuse leçon au malfaiteur et ne faisaient pas supporter à la collectivité le fardeau d’un système pénitentiaire.

    Tout en reconnaissant la sagesse du système judiciaire que Dieu avait donné à Israël, on pourrait se dire qu’il appartient au passé et se demander qui pourrait bien rétablir une telle justice pour tous à une époque aussi difficile que la nôtre.

    La justice viendra d’en haut. Nous avons l’assurance que Jéhovah l’établira. Il y aura donc bien une justice pour tous – TG1977  1/6 p325


    Si un Israélite tuait quelqu’un, il n’était pas exécuté automatiquement. Les anciens de la ville devaient d’abord vérifier les faits pour pouvoir décider si la peine de mort était méritée ou non. Ils jugeaient aussi des affaires du quotidien, comme des conflits entre conjoints et des querelles concernant des biens (Ex. 21:35). Quand les anciens se montraient justes et que les Israélites obéissaient à la Loi, toute la nation en tirait profit. De plus, cela honorait Jéhovah

    Leçons : Jéhovah s’intéresse à chaque aspect de notre vie. Il veut que nous traitions les autres avec justice et amour. Et il remarque ce que nous faisons et disons même dans notre vie privée – TG2019/2 p13 §17,18


    Les lois sur le crime - La Loi ne prévoyait pas de prison. Ce n’est que plus tard, au temps des rois, que les prisons furent indûment introduites en Israël (Jér. 37:15, 16 ; 38:6, 28). Le fait qu’aucune peine de prison n’était infligée pour quelque crime que ce soit signifiait que les criminels n’étaient pas nourris ni logés aux frais des Israélites laborieux qui obéissaient à la Loi. Lorsqu’un homme avait volé quelque chose à un de ses frères, il n’était pas mis en prison, car il aurait été ainsi incapable de rendre ce qu’il avait dérobé, et sa victime aurait souffert une perte. Il devait plutôt rendre le double de ce qu’il avait volé ou même davantage, selon la nature des objets dérobés et l’usage qu’il en avait fait (Ex. 22:1, 4, 7). S’il ne payait pas, il était alors vendu comme esclave ; il devait ainsi travailler jusqu’à ce qu’il fût en mesure de payer la somme prévue par les juges et correspondant à la valeur de ce qu’il avait dérobé (Ex. 22:3). Non seulement cette loi venait en aide à la victime du voleur, mais elle était une vigoureuse mise en garde contre le vol. - TG1970  1/10 p597 §17


    Condamné par Dieu.- La Bible parle du vol, il s’agit dans la plupart des cas de l’action illégale qui consiste à prendre ce qui appartient à autrui. La loi que Jéhovah donna à Israël déclarait explicitement : “ Tu ne dois pas voler. ”. Le voleur devait compenser au double, au quadruple et parfois même jusqu’au quintuple, selon ce que stipulait la Loi. S’il ne le pouvait pas, il était vendu en esclavage et ne retrouvait sa liberté sans doute qu’après avoir donné toute la compensation exigée (Ex 22:1-12). Le voleur déshonoré (Jr 2:26) devait non seulement donner la compensation, mais aussi apporter un sacrifice de culpabilité et demander au prêtre de faire propitiation pour ses péchés – it-2 p1169 Voleur


    Que se passait-il si le malfaiteur n’était pas en mesure de dédommager sa victime ? Il était vendu comme esclave et le prix était employé comme compensation. Il servait son maître jusqu’à ce qu’il eût acquitté sa dette. Cependant, en tant qu’esclave, il devait, selon la loi, être bien traité, comme un salarié. Ainsi la victime était dédommagée, de même que celui qui avait acheté l’esclave puisqu’en retour il bénéficiait du travail de ce dernier. — Ex. 22:3.

    Aujourd’hui, celui qui a attaqué quelqu’un est puni d’une peine d’emprisonnement ou condamné avec sursis sous surveillance, mais la victime perdra peut-être des semaines ou des mois de travail. Qui la dédommagera ? Pas le malfaiteur. Peut-être n’a-t-elle aucun revenu, et dans ce cas elle est à la charge de la société. – RV1972  8/5 p13


    Témoignages et éléments de preuve. Si quelqu’un était témoin, de sédition ou d’un meurtre (crimes qui souillaient le pays) ou de certains autres délits graves, il avait l’obligation de révéler et d’attester ce qu’il savait, sans quoi il tombait sous le coup d’une imprécation divine, proclamée publiquement. Toutefois, un seul témoin ne suffisait pas pour établir un fait. Il en fallait au moins deux. Les témoins étaient tenus par la Loi de dire la vérité (Ex 23:7) et parfois on les faisait jurer (Mt 26:63), en particulier lorsque celui vers qui convergeaient les soupçons était le seul témoin de l’affaire (Ex 22:10, 11). Comparaître en procès devant les juges ou se présenter au sanctuaire pour le jugement d’une affaire équivalait à se tenir devant Jéhovah ; ainsi, les témoins devaient reconnaître qu’ils avaient des comptes à rendre à Dieu (Ex 22:8). Même le lien familial le plus étroit ne devait pas empêcher de témoigner contre quelqu’un qui transgressait la Loi par méchanceté, un apostat ou un rebelle par exemple ----– it-2 p665 Procès


    Le gouvernement d’Israël était unique en ce sens que Jéhovah était son Souverain suprême et absolu. Non seulement il en était le Roi, mais aussi le Dieu et le Chef religieux. L’État d’Israël était tout à fait différent des autres gouvernements, qui séparent généralement les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Jéhovah lui-même élaborait les lois, tout en étant aussi le Juge suprême qui les interprétait et les appliquait. L’idolâtrie était un crime de lèse-majesté. De même, celui qui s’opposait aux lois du pays se dressait contre le Chef religieux, ce qui revenait à apostasier ou à blasphémer. C’est pourquoi Dieu déclara à Israël : “Celui qui offre des sacrifices aux dieux sera voué à l’anathème ; on n’en offrira qu’à Jéhovah, à lui seul.” “Si, oubliant Jéhovah, ton Dieu, il t’arrive d’aller après d’autres dieux, de les servir et de te prosterner devant eux, j’atteste aujourd’hui contre vous que vous périrez certainement.” (Ex. 22:20). L’obéissance aux lois faisait donc partie du vrai culte. – TG1970  1/10 p597 §4


    “ PÈRE des orphelins de père [...], tel est Dieu dans sa demeure sainte. ” (Psaume 68:5). Ces paroles inspirées révèlent un aspect touchant de la personnalité de Jéhovah Dieu : il est sensible à la condition des défavorisés. Son souci pour les enfants qui perdent un parent apparaît clairement dans la Loi qu’il donna à Israël.

    Dieu fait cette mise en garde : “ Vous ne devez affliger [...] aucun orphelin de père. ” (Exode 22 :22). Il ne s’agissait pas là d’un simple appel aux sentiments humanitaires ; c’était un ordre divin. Un enfant qui perdait son père, donc celui qui assurait sa protection et sa subsistance, était vulnérable. Personne ne devait en aucune manière “ affliger ” un tel enfant

    La Loi poursuit : “ Si tu l’affliges de quelque manière, alors si jamais il vient à crier vers moi, je ne manquerai pas d’entendre sa clameur. ” (Verset 23). Remarquons le passage du “ vous ” au “ tu ” entre les versets 22 et 23. L’individu comme la nation dans son ensemble étaient tenus d’obéir à ce précepte divin. Jéhovah observait ; il prêtait l’oreille aux orphelins de père, toujours disposé à répondre à leurs appels au secours

    Que se passait-il, donc, si quelqu’un faisait du tort à un orphelin de père, lui donnant un motif de crier vers Dieu ? “ Ma colère s’enflammera, dit Jéhovah aux éventuels coupables, et, à coup sûr, je vous tuerai par l’épée. ” (Verset 24). Jéhovah ne laissait pas aux juges d’Israël le soin de faire respecter ce commandement. Il se chargeait lui-même d’exécuter la sentence envers quiconque profitait d’un enfant sans défense*

    Jéhovah n’a pas changé. Il a profondément pitié de l’enfant privé d’un de ses parents ou des deux. Quand un enfant, innocent, subit de mauvais traitements, le Père des orphelins de père entre dans une juste colère. Ceux qui cherchent à exploiter un enfant vulnérable n’échapperont pas à “ la colère ardente de Jéhovah ”. Ces individus mauvais apprendront que “ c’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ” – TG2009 1/ 4 p31


    Non seulement Jéhovah est compatissant, mais il enseigne à ses serviteurs à l’être aussi. Prenons l’exemple de sa loi qui autorisait un prêteur d’argent à prendre le vêtement de son emprunteur comme garantie de remboursement (Exode 22:26, 27 « Si tu prends en gage le vêtement de ton semblable, tu le lui rendras avant le coucher du soleil. 27 Car c’est sa seule couverture, le vêtement qui lui couvre le corps. Dans quoi dormira-t-il ? Quand sa plainte montera vers moi, j’entendrai vraiment, car je suis compatissant ». Pour que l’emprunteur n’ait pas froid pendant la nuit, le prêteur devait lui rendre son vêtement avant le coucher du soleil. Un prêteur sans pitié risquait de ne pas vouloir rendre le vêtement. Mais par cette loi, Jéhovah enseignait aux Israélites à ne pas être insensibles. Ils devaient être compatissants.

    Le principe contenu dans cette loi nous pousse à l’action. En effet, laisserions-nous notre frère ou notre sœur « avoir froid » si nous pouvions faire quelque chose pour soulager sa souffrance ? – TG2017/9 p9

  19. Thanks
    misette got a reaction from folens in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 21-22 - Semaine du 31 Aout 2020   
    Oui, pas de problème  Merci
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    misette got a reaction from souflette in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 4-5 - Semaine du 29 Juin 2020   
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    Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 4-5


    Exode 4:24-26 : Pour quelle raison possible Séphora a-t-elle appelé Jéhovah « un mari de sang » ? (w04 15/3 28 § 4).

    « En cours de route, à l’endroit où ils logeaient, Jéhovah le rencontra et il cherchait à le faire mourir. Finalement, Séphora prit un silex, circoncit son fils et fit en sorte que le prépuce touche ses pieds. Puis elle dit : « C’est parce que tu es pour moi un mari de sang. » Alors Dieu le laissa tranquille. C’est à cause de la circoncision qu’à cette époque Séphora a dit « un mari de sang »

    L’expression employée par Tsippora, “ tu es pour moi un époux de sang ”, est inhabituelle. Que révèle-t-elle au sujet de celle qui l’a prononcée ? En satisfaisant aux exigences de l’alliance de la circoncision, Tsippora reconnaissait l’existence d’une relation d’alliance avec Jéhovah. Plus tard, l’alliance de la Loi contractée avec les Israélites a montré que, dans une relation d’alliance, Jéhovah pouvait être considéré comme un mari, et l’autre partie contractante comme une femme (Jérémie 31:32). Ainsi, en s’adressant à Jéhovah (par l’intermédiaire de Son représentant angélique) comme à “ un époux de sang ”, Tsippora semble avoir manifesté sa soumission aux termes de l’alliance. C’était comme si elle avait accepté la position de femme dans l’alliance de la circoncision, Jéhovah Dieu étant le mari. Quoi qu’il en soit, en s’empressant d’obéir au commandement de Dieu, elle a sauvé la vie de son fils - w04 15/3 28 § 4


    Si Séphora a prononcé ces paroles inhabituelles : “Tu es pour moi un époux de sang” c’est manifestement parce que la circoncision impliquait une alliance. L’auteur de cette alliance était Jéhovah Dieu, représenté ici par son ange. En s’adressant à Jéhovah, par l’intermédiaire de son ange, comme à “un époux de sang”, Séphora ne le critiquait pas, mais reconnaissait s’être alors soumise aux termes de cette alliance. C’était comme si elle avait accepté une position comparable à celle d’une femme dans l’alliance de la circoncision, Jéhovah étant son époux. Séphora ayant obéi à cette juste exigence de Dieu, la vie de son fils n’était plus en danger. – TG1975  1/10 p607


    Dans Exode 4:24-26 il est question d’un incident qui s’est passé pendant ce voyage de retour : “ Et il arriva, en chemin, à la couchée, que l’Éternel rencontra Moïse, et chercha à le faire mourir. Et Séphora prit une pierre tranchante, et coupa le prépuce de son fils, et le jeta à ses pieds en disant : Certes tu m’es un époux de sang ! Et l’Éternel se désista de lui. Alors elle dit : Époux de sang ! à cause de la circoncision. ” (La). Il semble que Moïse s’était rendu coupable sous un certain rapport. Pour le moins il n’avait pas circoncis son fils et avait ainsi omis d’observer l’alliance de la circoncision que Dieu avait faite avec son ancêtre Abraham (Gen. 17:9-14). Jéhovah rencontra Moïse pendant qu’il était en route, par l’intermédiaire de l’ange qui le remplaçait, et était sur le point de tuer l’enfant incirconcis. Séphora, la femme de Moïse, reconnut ce qu’il fallait faire pour rectifier la chose. Elle prit une pierre aiguë, instrument en usage à cette époque, coupa le prépuce de son fils et ne le jeta pas aux pieds de Moïse, mais aux pieds de l’ange qui remplaçait Jéhovah. Après qu’elle eut satisfait à cette exigence, la colère de Jéhovah s’apaisa, et l’enfant conserva la vie.

    Puis Séphora dit à Jéhovah, par l’intermédiaire de l’ange qui le remplaçait : “ Certainement, tu m’es un époux de sang ! ” (Ostervald). En satisfaisant aux exigences de l’alliance de la circoncision, Séphora reconnut une relation d’alliance avec Jéhovah et y entra et Jéhovah fut pour elle comme un époux et elle fut pour lui comme une épouse. Le fait qu’une telle relation d’alliance avec Jéhovah peut lui donner le caractère d’un époux qui a épousé l’autre partie de l’alliance ressort de l’alliance de la loi faite avec Israël. En raison de cette alliance, Jéhovah déclara à propos des Israélites : “ Et toutefois, je leur avais été pour époux. ” (Jér. 31:32). Ainsi, du fait de ce rite de la circoncision, Séphora dit à l’ange remplaçant Jéhovah : “ Tu m’es un époux de sang ! ” Donc, grâce à l’action rapide de Séphora, “ il le laissa ”, c’est-à-dire l’ange de Jéhovah laissa l’enfant et ne le tua pas, comme il l’eût fait sans cela (Gen. 17:14). Toutefois, d’après la tradition juive, la vie de Moïse était menacée à cause de sa négligence. Moïse était responsable de ce qu’il faisait de son fils. – TG1953 p335-336


    Exode 5:2 : En quel sens Pharaon ne connaissait-il pas Jéhovah ? (it-1 1257 § 3).

    « Pharaon répondit : « Qui est Jéhovah, à qui je devrais obéir en laissant partir Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah. Et je ne laisserai pas partir Israël. »

    “ Connaître ” ne signifie donc pas forcément seulement se faire une idée ou être conscient de l’existence de quelque chose ou de quelqu’un. Le sot Nabal connaissait le nom de David, pourtant il demanda “ Qui est David ? ” une manière de dire “ Qu’est-ce que David ? ” (1S 25:9-11 ; voir aussi 2S 8:13). De même, Pharaon avait dit à Moïse : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah ; d’ailleurs je ne renverrai pas Israël. ” (Ex 5:1, 2). Par ces paroles, Pharaon entendait manifestement qu’à ses yeux Jéhovah n’était pas le vrai Dieu ou qu’il n’avait aucune autorité sur le roi d’Égypte et ses affaires, qu’il n’avait pas la puissance d’accomplir Sa volonté, exposée par Moïse et Aaron. Mais à présent, Pharaon et toute l’Égypte, de même que les Israélites, allaient connaître la signification réelle de ce nom, la personne qu’il désignait. Comme Jéhovah l’expliqua à Moïse, ils allaient apprendre cela en voyant Dieu mener à bien Son dessein envers les Israélites : il les libérerait, leur donnerait la Terre promise, accomplissant de la sorte l’alliance qu’il avait conclue avec leurs ancêtres. Par ce moyen, comme l’annonçait Dieu, ‘ vraiment ils sauraient qu’il était Jéhovah leur Dieu ’. — Ex 6:4-8 ; voir TOUT-PUISSANT. - it-1 1257 § 3


    Pharaon s’opposait au dessein de Jéhovah, car il ne voulait pas perdre cette grande nation d’esclaves. En outre, quand Moïse vint lui demander, au nom de Jéhovah, de renvoyer les Israélites afin qu’ils célèbrent à Dieu une fête dans le désert, Pharaon demanda : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah. ” (Ex 5:2). Pharaon se considérait comme un dieu et ne reconnaissait pas l’autorité de Jéhovah, bien qu’il eût sans doute entendu plusieurs fois les Hébreux utiliser ce nom. Depuis le début, le peuple de Jéhovah connaissait son nom ; Abraham s’était même adressé à Dieu en l’appelant Jéhovah.- it-1 p842

    Le monarque égyptien ne voulait pas entendre parler de Jéhovah ; il n’avait que mépris pour le Dieu d’Israël, qu’il considérait comme quantité négligeable. Pharaon était un homme arrogant et irrespectueux. Pareille attitude, si courante de nos jours, fait méconnaître une vérité fondamentale : Jéhovah est le Souverain Seigneur. Bientôt, tous ceux qui méprisent ou défient Jéhovah seront obligés d’admettre qu’il est le vrai Dieu, Ceux-là ressemblent à Pharaon– cl chap1 p6 §12

    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    • Quel exemple Jéhovah nous a-il laissé quant aux bonnes manières ?

    Malgré sa position élevée, Jéhovah traite les humains avec prévenance et respect. Il s’est adressé à Moïse en employant un terme hébreu souvent traduit par “ s’il te plaît ”. ( Ex. 4:6.) Il écoute les humains. Par nos paroles et notre conduite, nous nous distinguerons toujours de ceux qui préfèrent l’impolitesse. Nous rendrons honneur au nom de Jéhovah et nous inciterons les gens sincères à s’associer à nous dans le vrai culte.– TG2009  15/12 p3


    Par son ange, Jéhovah donna des pouvoirs à Moïse, qui put ainsi établir sa qualité d’envoyé de Dieu devant les anciens d’Israël. Il s’agissait de trois miracles devant servir de signes. Ex 4:1-9. C’est la première fois dans les Écritures qu’on voit un humain recevoir le pouvoir d’opérer des miracles. – it-2 p307 Moïse


    Moïse a toujours cherché à mieux connaître les qualités de Jéhovah et à faire sa volonté. Par exemple, quand il a reçu la mission de libérer la nation d’Israël de l’esclavage, il manquait de confiance en lui. À plusieurs reprises, il a dit à Jéhovah qu’il ne se sentait pas capable de l’accomplir. Mais Jéhovah lui a manifesté une réelle compassion : il a compris ce qu’il ressentait et il l’a aidé (Ex. 4:10-16). Grâce à son soutien, Moïse a pu transmettre de terribles messages de jugement à Pharaon. Puis Jéhovah a sauvé les Israélites et a fait disparaître Pharaon et ses armées dans la mer Rouge. Moïse a ainsi été témoin de sa puissance.

    Quelle est la leçon ? Pour bien connaître Jéhovah, nous ne devons pas seulement savoir quelles sont ses qualités. Il nous faut aussi faire sa volonté. Une façon de faire la volonté de Jéhovah est donc d’enseigner aux autres qui il est. TG2019/12 p16 §10


    Moïse a cherché à échapper à sa mission en disant qu’il ne s’exprimait pas bien. Alors Dieu lui a dit : « Je serai avec toi quand tu parleras et je t’enseignerai ce que tu devras dire. » Moïse s’est-il enfin laissé convaincre ? Manifestement non, puisqu’il a demandé à Dieu d’envoyer quelqu’un d’autre ! À ce moment-là, Jéhovah s’est mis en colère. Cependant, par égard pour les sentiments de Moïse, il a décidé qu’Aaron parlerait à sa place (Ex. 4:10-16).

    Que nous enseigne ce récit à propos de Jéhovah ? Étant le Tout-Puissant, il aurait pu chercher à impressionner Moïse pour le forcer à obéir. Au lieu de cela, il s’est montré patient et bon ; il a tout fait pour rassurer son serviteur humble et modeste. Cette façon de faire a-t-elle fonctionné ? Absolument ! Moïse est devenu un guide remarquable. Il s’est efforcé de traiter les autres avec douceur et égards, comme Jéhovah l’avait fait pour lui

    La leçon pour nous ? Si tu es un mari, un parent ou un ancien, tu as une certaine autorité sur ta femme, tes enfants ou les membres de ton assemblée. C’est donc très important que tu imites Jéhovah en leur manifestant des égards, de la bonté et de la patience. Si tu imites Jéhovah et Jésus Christ, le Grand Moïse, tu seras quelqu’un d’encourageant et les autres viendront plus facilement te parler. De plus, tu seras un bel exemple à imiter – TG2018/8 p23 §8-10


    Notre capacité de parler est un vrai miracle. La faculté de parler est un don de Jéhovah. Pense un instant au mécanisme qui se met en route quand tu parles. Pour chaque mot que tu prononces, ton cerveau doit coordonner les mouvements d’une centaine de muscles se trouvant dans ta langue, ta gorge, tes lèvres, ta mâchoire et ta cage thoracique. Chacun de ces muscles doit intervenir à un moment précis pour que les mots soient compréhensibles. À propos de la capacité de parler une langue, une étude publiée en 2019 montre que les nouveau-nés sont capables d’isoler et de reconnaître les mots. Cette découverte confirme ce que beaucoup de chercheurs pensaient jusque-là : nous naissons avec la capacité d’apprendre une langue et de comprendre son fonctionnement. C’est sûr, notre capacité de parler est un beau cadeau de Dieu (Ex.4:11). – TG2020/5 p20 §9


    4:11 — En quel sens Jéhovah ‘ établit-il le muet, le sourd et l’aveugle ’ ? S’il est arrivé que Jéhovah rende aveugles ou muets certains individus, il n’est pas responsable de l’ensemble de ces infirmités. Celles-ci sont dues au péché héréditaire. Ce sont nos premiers parents, Adam et Ève, qui, délibérément, se sont rebellés contre Dieu et ont perdu leur perfection, et par conséquent la faculté d’engendrer des enfants parfaits. À mesure que leurs descendants se sont mariés et ont eu des enfants, de plus en plus d’imperfections, dont des tares physiques, ont surgi chez les humains. Ce n’est pas Jéhovah Dieu qui les a provoquées, mais il les a laissées apparaître. En ce sens il put dire qu’il ‘ établissait ’ le muet, le sourd ou l’aveugle. Toutefois, étant donné que Dieu tolère cette situation, il peut se présenter comme celui qui “ établit ” le muet, le sourd et l’aveugle. Jéhovah peut faire qu’une personne devienne littéralement sourde, muette ou aveugle. Le père de Jean le baptiseur fut rendu temporairement muet pour ne pas avoir cru. Dieu peut aussi ‘ établir ’ que certaines personnes soient sourdes spirituellement en les laissant demeurer dans cet état si tel est leur choix – TG2004  15/3 p24


    Puisque Jéhovah n’empêche pas les individus de s’obstiner dans leur conduite, il est dit de lui qu’il ‘ les laisse s’obstiner ’ ou qu’il ‘ endurcit leur cœur ’. Quand finalement il exécute la vengeance sur les obstinés, cela a comme conséquences de manifester son grand pouvoir et de faire proclamer son nom. Jéhovah prévient bien à l’avance du jugement qu’il fera venir sur les obstinés ; c’est pourquoi l’exécution de ce jugement ne peut être attribuée à d’autres causes ou à une autre source. On en tient un exemple notoire dans ce que Dieu fit à l’égard du pharaon qui refusa de laisser les Israélites quitter l’Égypte. Jéhovah avait prédit que le cœur de Pharaon s’obstinerait. Aussi Moïse et Aaron ne sont-ils pas surpris d’entendre cette réponse pleine de morgue : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah ; d’ailleurs je ne renverrai pas Israël. ” (Exode 4:21 ; 5:2). Dès lors, une terrible confrontation est inéluctable. Au cours d’une autre audience, Moïse et Aaron donnent à Pharaon la preuve éclatante qu’ils sont des représentants du vrai Dieu, du Tout-Puissant Jéhovah fit venir dix plaies dévastatrices sur le pays d’Égypte. Chaque fois que Pharaon endurcissait son cœur après qu’une plaie avait pris fin, Jéhovah se servait de l’occasion pour manifester davantage encore sa grande puissance par d’autres miracles C’est pourquoi certains Égyptiens en vinrent à comprendre que Jéhovah est un Dieu à qui il faut obéir. — it-2 p431


    “ Israël est mon fils. ” S’adressant à Pharaon, qui se prenait pour un dieu et un fils du dieu égyptien Râ, Jéhovah appela Israël “ mon fils, mon premier-né ”, et intima cet ordre au monarque : “ Renvoie mon fils pour qu’il me serve. ” (Ex 4:22, 23). Par conséquent, Dieu considérait toute la nation d’Israël comme son “ fils ”, parce qu’elle était son peuple choisi, un “ bien particulier, parmi tous les peuples ”.Jéhovah considérait Israël comme son fils premier-né. Il avait le droit légal de la libérer d’Égypte sans payer de prix. Exode 4 :22 – it-1 p842 Exode – it-1 p898

    Pharaon et ses serviteurs ont aussi reçu des avertissements avant la dixième plaie. Toutefois, ils ont agi stupidement en les rejetant (Ex. 4:22, 23). À cause de cela, leurs fils premiers-nés sont morts. Quel malheur !. Auraient-ils eu le temps de tenir compte des avertissements qu’ils avaient reçus ? Oui ! Moïse avait immédiatement prévenu les Israélites : il leur avait dit que cette dixième plaie était sur le point de frapper le pays et il leur avait expliqué ce qu’ils devaient faire pour sauver leur famille. Parce qu’elles ont obéi à Jéhovah, au moins trois millions de personnes — des Israélites et « une foule de non-Israélites, dont des Égyptiens » — ont pu quitter l’Égypte.

    Ces exemples le montrent, Jéhovah a toujours veillé à ce que les gens aient assez de temps pour réagir à ses avertissements. Pour quelle raison ? Dieu s’est toujours soucié des humains : il voulait qu’ils se repentent et qu’ils tiennent compte de ses avertissements avant qu’il exécute ses jugements – TG2019/10 p7


    Les hommes d’Israël changèrent également de façon sensible. Au début, ils avaient accepté Moïse comme l’envoyé de Jéhovah, mais, après que Pharaon avait imposé au peuple des conditions de travail plus pénibles, ils s’étaient plaints de Moïse à tel point que celui-ci, en proie au découragement, avait imploré Jéhovah (Ex 4:29-31 ; 5:19-23). À ce moment-là, le Très-Haut l’avait fortifié en lui révélant qu’Il était sur le point d’accomplir ce qu’Abraham, Isaac et Jacob avaient attendu, c’est-à-dire révéler pleinement la signification de son nom Jéhovah en délivrant Israël et en en faisant une grande nation dans la terre de la promesse (Ex 6:1-8). Même alors, les hommes d’Israël n’avaient pas écouté Moïse. Mais après la neuvième plaie, ils se rallièrent unanimement à lui, coopérant si bien qu’après la dixième plaie Moïse put les organiser et les faire sortir de façon ordonnée, “ en formation de combat ”. – it-2 Moïse


    Projetez-vous mentalement la scène : Moïse, 80 ans, et Aaron son frère se trouvent devant l’homme le plus puissant du monde, le pharaon d’Égypte. Aux yeux des Égyptiens, cet homme est plus qu’un représentant des dieux : il est un dieu. Ils le considèrent comme l’incarnation même d’Horus, le dieu à tête de faucon qui, avec Isis et Osiris, forme la principale trinité du panthéon égyptien.

    Impossible d’approcher Pharaon sans remarquer sur le devant de sa couronne, sinistre présage, une tête de cobra redressée. Ce serpent était censé cracher un feu destructeur sur tout ennemi de Pharaon. Pourtant, Moïse et Aaron se présentent devant ce roi-dieu pour formuler une requête exceptionnelle : qu’il renvoie les esclaves israélites afin qu’ils puissent célébrer une fête pour leur Dieu, Jéhovah. — Exode 5:1 « Après cela, Moïse et Aaron se présentèrent devant Pharaon et lui dirent : « Voici ce que dit Jéhovah le Dieu d’Israël : “Laisse partir mon peuple pour qu’il célèbre une fête pour moi dans le désert.” »

    Leçons pour nous - Comment Moïse et Aaron ont-ils pu approcher le puissant pharaon d’Égypte ? Au début, Moïse ne se croyait pas à la hauteur, disant qu’il avait “ la bouche pesante et la langue pesante ”. Bien que Jéhovah se soit engagé à le soutenir, Moïse lui a demandé : “ Envoie, s’il te plaît, par la main de qui tu enverras ”, autrement dit Moïse prie Dieu d’utiliser quelqu’un d’autre (Exode 4:10, 13). Mais Jéhovah se servira de l’humble Moïse et lui donnera la sagesse et la force nécessaires pour s’acquitter de sa mission. De nos jours, les serviteurs de Jéhovah Dieu et de Jésus Christ s’acquittent de la mission consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations. Pour accomplir notre part dans ce domaine, nous devons utiliser au mieux notre connaissance des Écritures et nos aptitudes éventuelles. Au lieu de nous arrêter sur notre incompétence, acceptons avec foi les tâches que Dieu nous confie. Il peut nous qualifier, nous fortifier pour accomplir sa volonté TG1996  15/1 p24


    Jésus-Christ -Pourquoi est-il appelé “ la Parole ” ? Le nom (ou, peut-être, le titre) “ la Parole ” (Jn 1:1) semble indiquer la fonction que le Fils premier-né de Dieu remplit après que d’autres créatures intelligentes eurent été formées. On trouve une expression analogue en Exode 4:16 où Jéhovah dit à Moïse au sujet de son frère Aaron : “ Il faudra qu’il parle pour toi au peuple ; et voici ce qui devra arriver : il te servira de bouche, et toi tu lui serviras de Dieu. ” En sa qualité de porte-parole du principal représentant de Dieu sur terre, Aaron servait de “ bouche ” à Moïse. Ainsi en était-il de la Parole, ou Logos, qui devint Jésus Christ. Jéhovah employait sans doute son Fils pour transmettre des renseignements et des directives aux autres membres de sa famille de fils spirituels, tout comme il utilisa ce Fils sur la terre pour communiquer son message aux hommes. Montrant qu’il était la Parole, ou le Porte-parole, de Dieu, Jésus déclara aux Juifs qui l’écoutaient : “ Ce que j’enseigne n’est pas de moi, mais de celui qui m’a envoyé. Si quelqu’un désire faire Sa volonté, il saura, en ce qui concerne l’enseignement, s’il vient de Dieu ou si je parle en tirant ce que j’enseigne de mon propre fonds. ”- it-2 Jésus-Christ

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    misette got a reaction from jpl in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 36-37 - Semaine du 4 Mai 2020   
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    misette got a reaction from Claud's Lst in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 29-30 - Semaine du 30 Mars 2020   
    Patience pour le confinement et dans la vérité on ne s'ennuie pas
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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Révélation 17-19

    Rév. 17:8 : Explique en quel sens « la bête sauvage était, mais n’est pas, et pourtant sera présente » (re 247-248 § 5-6).

    « La bête sauvage que tu as vue était, mais n’est pas, et pourtant elle est sur le point de monter de l’abîme, et elle va s’en aller à la destruction. Et les habitants de la terre (ceux dont les noms n’ont pas été écrits dans le rouleau de vie depuis la fondation du monde) s’étonneront quand ils verront que la bête sauvage était, mais n’est pas, et pourtant sera présente. »

    5 “ La bête sauvage [...] était. ” Effectivement, elle avait existé, à partir du 10 janvier 1920, sous la forme de la Société des Nations, et 63 nations en ont fait partie à un moment ou à un autre. Mais, tour à tour, le Japon, l’Allemagne et l’Italie la quittèrent, et l’ex-Union soviétique en fut exclue.

    Puis, en septembre 1939, le dictateur nazi de l’Allemagne déclencha la Seconde Guerre mondiale. N’ayant pas réussi à maintenir la paix sur la terre, la Société des Nations tomba en fait dans l’inactivité, l’abîme. En 1942, c’en était fini de cette organisation. C’est précisément à ce moment crucial — ni avant ni après — que Jéhovah fit comprendre à son peuple la signification de la vision dans toute sa profondeur. À l’Assemblée théocratique du monde nouveau, Nathan Knorr pouvait déclarer, conformément à la prophétie, que “ la bête sauvage [...] n’est pas ”. Ensuite, il posa cette question : “ La Société des Nations restera-t-elle dans l’abîme ? ” Citant Révélation 17:8, il répondit : “ Les nations s’uniront de nouveau. ” Cela s’est effectivement passé ainsi, ce qui justifiait la parole prophétique de Jéhovah.

    Alors qu’elle se trouvait dans l’abîme, elle ‘ n’était pas ’. Autrement dit, elle était inopérante, inerte, quasiment morte.

    Dans les Écritures, le mot “ abîme ” désigne un lieu d’inactivité, parfois même la mort. C’était la Société des Nations, la bête sauvage de couleur écarlate qui est allée dans l’abîme, autrement dit a cessé d’exister en tant qu’organisation pour la paix mondiale, quand a éclaté la Deuxième Guerre mondiale

    Elle monte de l’abîme

    6 La bête sauvage de couleur écarlate est effectivement remontée de l’abîme. Le 26 juin 1945, à San Francisco, au son de fanfares bruyantes, 50 nations ratifièrent la charte de l’Organisation des Nations unies, laquelle avait pour objectif le “ maintien de la paix et de la sécurité internationales ”. Il y avait de nombreuses similitudes entre la Société des Nations et l’ONU. Une encyclopédie (The World Book Encyclopedia) fait cette remarque : “ À certains égards, l’ONU ressemble à la Société des Nations, qui fut organisée après la Première Guerre mondiale [...]. Bon nombre des nations qui ont fondé l’ONU avaient aussi fondé la SDN. Comme la SDN, l’ONU a été créée pour contribuer au maintien de la paix entre les nations. Les principaux organismes de l’ONU ressemblent dans une grande mesure à ceux de la SDN. ” L’ONU est donc en réalité une renaissance de la bête sauvage de couleur écarlate. Elle compte davantage de membres (plus de 190 – aujourd’hui 197) que n’en comptait la SDN (63) ; elle s’est également attribué des responsabilités plus étendues que celle-ci. - re 247-248 § 5-6

    La Société des Nations a essayé d’agir comme une puissance mondiale sur la scène terrestre. Cependant, elle n’a pas pu empêcher la Seconde Guerre mondiale, qui a éclaté en 1939. C’est alors que la bête a disparu, comme dans un abîme. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Puissance anglo-américaine s’est évertuée à faire renaître cette organisation internationale. En 1941, le premier ministre de Grande-Bretagne, Winston Churchill, et le président des États-Unis, Franklin Roosevelt, ont tenu des conversations secrètes à bord d’un navire sur l’Atlantique. Les deux hommes ont fait une déclaration commune concernant “leurs espoirs d’un avenir meilleur pour le monde” et “l’établissement d’un système général de sécurité plus étendu et permanent”. L’année suivante à Washington, 26 pays ont souscrit à la proposition anglo-américaine de ce que l’on a appelé la “Déclaration des Nations unies”. Cela a débouché sur la création de l’Organisation des Nations unies, le 24 octobre 1945. La bête écarlate était remontée de l’abîme, sous un nouveau nom. Aujourd’hui, 197 pays adhèrent à cette organisation qui, selon leurs espérances, doit perpétuer le système actuel de la domination politique humaine. – TG1986 1/2 p7

    La Bible ne dit pas combien de temps la destruction de Babylone la Grande prendra, mais nous savons qu’elle durera relativement peu de temps – TG2019/10


    Rév. 17:16, 17 : Comment savons-nous que la fausse religion ne va pas disparaître après un long déclin ? (w12 15/6 18 § 17).

    « Quant aux dix cornes que tu as vues et à la bête sauvage, elles haïront la prostituée et la dévasteront et la laisseront nue ; elles mangeront ses chairs et la brûleront complètement. 17 Car Dieu leur a mis dans le cœur d’exécuter son intention, oui, d’exécuter leur seule et même intention en donnant leur pouvoir royal à la bête sauvage, jusqu’à ce que les paroles de Dieu se soient accomplies »

    17 La fausse religion ne va pas pour autant décliner lentement, puis disparaître. Elle continuera d’exercer une forte influence, essayant de plier à sa volonté les rois, ou dirigeants, jusqu’à ce que Dieu implante son idée dans leur cœur. Sous peu, Jéhovah va amener les éléments politiques du monde de Satan, représentés par les Nations unies, à attaquer la fausse religion. Ils vont enrayer son influence et piller ses richesses. Une telle fin semblait des plus improbables il y a quelques décennies. Mais aujourd’hui, la prostituée est en équilibre instable sur le dos de la bête de couleur écarlate. Et elle ne va pas glisser en douceur de sa monture. Sa chute sera brusque et violente. - w12 15/6 18 § 17

    Quelle est la “ pensée ” de Dieu ? De faire en sorte que les bourreaux de Babylone la Grande se liguent pour la détruire complètement. Bien sûr, en l’attaquant, les dirigeants auront pour but d’exécuter “ leur seule pensée ”. Ils penseront servir leurs intérêts nationalistes en se retournant contre la grande prostituée. Ils en viendront peut-être à voir en l’existence prolongée de la religion sur leur territoire une menace pour leur souveraineté. Mais, en fait, c’est Jéhovah qui dirigera les événements ; c’est sa pensée qu’ils exécuteront en détruisant d’un seul coup son ennemie séculaire et adultère.  Au moment fixé, les nations verront, semble-t-il, la nécessité de consolider les Nations unies. Elles renforceront l’influence de cette organisation en lui remettant tout le pouvoir et la puissance dont elles disposent pour qu’elle puisse se retourner contre la fausse religion et lutter victorieusement contre elle “ jusqu’à ce que les paroles de Dieu se soient accomplies ”. C’est ainsi que la vieille prostituée disparaîtra complètement – re p258 §17

    La destruction de Babylone la Grande entraînera-t-elle la mort de tous les membres des fausses religions ? Il semble que non. Zacharie 13:4-6 laisse supposer que même certains chefs religieux abandonneront leur culte et nieront avoir appartenu à une fausse religion. Il a écrit au sujet d’un individu qui aura appartenu à une fausse religion : « Il dira : “Je ne suis pas prophète. Je suis un homme qui cultive le sol, car un homme tiré du sol m’a acquis depuis ma jeunesse.” Et l’on ne manquera pas de lui dire : “Qu’est-ce que ces blessures sur ta personne entre tes mains ?” Et il devra dire : “Celles dont j’ai été frappé dans la maison de ceux qui m’aiment intensément” ». – TG2015  15/7 p15


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Dieu laisse les nations Rév. 17:13, 14, 17 devenir  puissantes et même s’unir contre lui, afin de pouvoir à bon droit les détruire d’un coup. It-2 p43

    Les évènements qui se produisent sur la scène mondiale indiquent clairement que les prophéties bibliques sont en train de s’accomplir et que la fin de ce système de choses est imminente. Par conséquent, ne pensons pas qu’il faudra beaucoup de temps pour que l’état du monde évolue au point d’amener « les dix cornes » et « la bête sauvage », dont parle Révélation 17:16, à attaquer Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion. Souvenons-nous que Dieu « leur [mettra] au cœur d’exécuter sa pensée » pour qu’elles passent à l’action, ce qui peut arriver n’importe quand (Rév. 17:17). La fin de l’ensemble de ce système de choses n’est pas loin. Nous avons tout lieu de suivre cet avertissement de Jésus : « Faites attention à vous-mêmes, de peur que vos cœurs ne s’alourdissent dans les excès de table et les excès de boisson et les inquiétudes de la vie, et que soudain ce jour-là ne soit sur vous à l’instant même, comme un piège ». Soyons résolus à servir Jéhovah avec un sentiment d’urgence, convaincus qu’il « agit pour celui qui continue de l’attendre » (Is. 64:4). TG2015 15/8 §17

    Nous vivons dans un monde rempli d’immoralité et où le faux culte est très présent. Beaucoup sont influencés par Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, que la Bible appelle « une demeure de démons » (Rév. 18:2). Nous sommes donc comme des étrangers dans ce monde. Remarquant que nous sommes très différents, certains se moquent de nous. Alors, rapprochons-nous de notre Dieu, Jéhovah. Si nous lui faisons humblement confiance et si nous lui obéissons, il nous considérera nous aussi comme « désirables », ou précieux – TG2018/2 p3 §14

    Dieu ne permettra pas aux nations de détruire son peuple. Ses serviteurs portent son nom avec fierté, et ils obéissent à son ordre de sortir de Babylone la Grande (Rév. 18:4). De plus, ils font tout pour aider les gens à sortir d’elle eux aussi. Ils ne subiront donc pas « avec elle les fléaux qui vont la frapper ». Mais leur foi sera quand même mise à l’épreuve. TG2019/9 p8§12

    Aujourd’hui, Jéhovah utilise ses anges pour protéger et fortifier son peuple. Les serviteurs oints de Jéhovah étaient symboliquement prisonniers de Babylone la Grande, la fausse religion. Mais depuis que Jéhovah les a délivrés en 1919, le vrai culte continue de progresser malgré une forte opposition (Rév. 18:4). Puisque les anges protègent l’organisation de Jéhovah, nous n’avons pas à craindre qu’elle redevienne esclave de la fausse religion. Au contraire, nous pouvons être sûrs que tous les serviteurs de Jéhovah resteront heureux et actifs à son service. – TG2017/10 p26 §10

    Pourquoi Jéhovah détruira-t-il Babylone la Grande ? Révélation 17:1 - Babylone la Grande a sali la réputation de Dieu. Elle a enseigné de nombreux mensonges sur Dieu. Elle s’est prostituée sur le plan spirituel en faisant des alliances avec les dirigeants de la terre. Elle a utilisé son pouvoir et son influence pour exploiter les gens. Et elle a versé beaucoup de sang, y compris le sang de serviteurs de Dieu (Rév. 19:2). – TG2019/9 p8 §10

    Devons-nous prier les anges pour obtenir leur aide ? Non. La prière est un acte d’adoration qui revient uniquement à Dieu (Révélation 19:10). Étant au service de Dieu, les anges reçoivent leurs ordres de lui, et non des humains. Voilà pourquoi nous devons toujours adresser nos prières à Dieu, et à lui seul, par l’intermédiaire de Jésus – TG2014  1/9 p16

    A Armaguédon, les ennemis de Dieu vont mourir, alors que ceux qui l’aiment seront sauvés. Mais il y a une grande différence entre ces deux conflits. À Armaguédon, les serviteurs de Dieu ne combattront pas. Ils ne seront même pas armés. Leur « force sera de rester calmes et d’avoir confiance » en Jéhovah et dans ses armées célestes (Rév. 19:11-15). Comment Dieu vaincra-t-il ses ennemis à Armaguédon ? Il dispose de nombreux moyens. Il peut, par exemple, se servir de tremblements de terre, de la grêle ou de la foudre. Il peut aussi pousser ses ennemis à s’attaquer les uns aux autres. Et il peut envoyer ses anges détruire les méchants. Quels que soient les moyens qu’il utilisera, sa victoire sera complète. Tous ses ennemis seront détruits. Et tous les justes seront sauvés – TG2019/9 p8 §6

    Très bientôt, les puissances politiques du monde de Satan vont s’unir pour essayer de détruire le peuple de Dieu. Rév.19 :19 Devons-nous en avoir peur ? Pas du tout ! Nous avons l’armée de Jéhovah à nos côtés. Pendant la grande tribulation, ses anges protégeront son peuple et détruiront tous les opposants à sa souveraineté. Quel grand jour ce sera ! -TG2017/10 p26 §11


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Le mot “ antichrist ” doit comprendre les persécuteurs de ces disciples, y compris la symbolique “ Babylone la Grande ”et les apostats. Rév. 17:5, 6. Font également partie de l’antichrist des royaumes, des nations et des organisations, ainsi que l’indique la description symbolique dans Révélation 17:8-15 ; 19:19-21. Ceux qui composent l’antichrist vont droit à la destruction, le salaire de leur opposition. – it-1 p129

    Antichrist : ce nom signifie “ contre (ou : à la place de) Christ ”. Il apparaît cinq fois dans les Écritures, au singulier ou au pluriel, et uniquement dans deux des lettres de Jean.

    Lors d’un discours, prononcé par Anthony Morris, qui avait pour thème “ Qu’attendons-nous ? ” Frère Morris a rappelé à l’auditoire les événements qui, selon les prophéties, doivent encore se produire et que tous les fidèles attendent impatiemment. Citons le cri “ Paix et sécurité ! ” et la destruction de la fausse religion (1 Thess. 5:2, 3 ; Rév. 17:15-17). L’orateur a recommandé de ne pas s’écrier trop vite : “ C’est Armaguédon ! ” face à des événements qui ne réalisent pas les prophéties. La bonne attitude consiste plutôt à rester dans l’attente, avec joie et patience, conformément à Michée 7:7. Frère Morris a de plus incité tous les assistants à faire corps avec le Collège central, comme des soldats sur le point d’affronter le moment le plus crucial de la bataille. “ Que votre cœur soit fort, vous tous qui attendez Jéhovah ”, a-t-il conclu. – TG2011  15/8 p18

    L’exécution du jugement de Dieu sur « la grande prostituée » (Révélation 17:1, 6 ; 18:24). Babylone la Grande a sali la réputation de Dieu. Elle a enseigné de nombreux mensonges sur Dieu. Elle s’est prostituée sur le plan spirituel en faisant des alliances avec les dirigeants de la terre. Elle a utilisé son pouvoir et son influence pour exploiter les gens. Et elle a versé beaucoup de sang, y compris le sang de serviteurs de Dieu – Rév. 19 :2 – TG2019/9 p8 §10

    Un jour, le Mémorial sera célébré pour la dernière fois. Comment le savons-nous ? L’apôtre Paul a expliqué qu’en célébrant le Mémorial, les chrétiens oints « continuent à proclamer la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il arrive » (1 Cor. 11:26). Ici, le mot « arrive » fait référence au même évènement que la « venue » dont Jésus a parlé dans sa prophétie sur le temps de la fin.

     À propos de la grande tribulation maintenant toute proche, il a déclaré : « Le signe du Fils de l’homme apparaîtra dans le ciel, et alors toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine en se lamentant, et elles verront le Fils de l’homme venir sur les nuages du ciel avec puissance et grande gloire. Et [Jésus] enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:29-31). Le rassemblement de « ceux qu’il a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). Le Mémorial qui sera célébré avant que Jésus rassemble les oints dans le ciel sera donc le dernier de tous, puisque Jésus sera « arrivé ». ws2018/1 p14 §15

    Babylone la Grande est vêtue de “ pourpre et d’écarlate ”, les couleurs royales ; et elle est “ parée d’or et de pierres précieuses et de perles ”. Voilà qui est approprié ! Pensez seulement aux magnifiques édifices, aux statues et aux peintures rares, aux icônes sans prix et à tout l’attirail religieux ainsi qu’aux propriétés et à l’argent que les religions du présent monde ont accumulés. Que ce soit au Vatican, dans les monastères et les temples exotiques de l’Orient, Babylone la Grande a amassé — et parfois perdu — de fabuleuses richesses. Voyez maintenant ce que la prostituée a dans sa main. Jean a dû avoir le souffle coupé à cette vue : une coupe d’or “ pleine de choses immondes et des impuretés de sa fornication ”. C’est la coupe qui contient le “ vin de la fureur de sa fornication ”, vin avec lequel elle a enivré toutes les nations (Révélation 17:4). Elle paraît précieuse à l’extérieur, mais son contenu est répugnant et impur. Cette coupe renferme toutes les pratiques et tous les mensonges répugnants dont la grande prostituée s’est servie pour séduire les nations et leur imposer son influence. Plus révoltant encore, Jean voit que la prostituée elle-même est ivre, ivre du sang des serviteurs de Dieu. En fait, nous lisons un peu plus loin que “ chez elle on a trouvé le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qu’on a tués sur la terre ”. (Révélation 18:24.) Que de meurtres – re chap33 p244 §24,25

    Pour « sortir » de Babylone la Grande, nous devons montrer clairement que nous ne faisons plus partie d’aucune fausse religion. Par exemple, nous devrons peut-être demander que notre nom soit enlevé de la liste des membres de notre ancienne religion. Mais ce n’est pas tout. Nous devons aussi rejeter et détester toutes les choses mauvaises que pratiquent les fausses religions. Les fausses religions permettent et encouragent l’avidité, les actes sexuels immoraux et l’immixtion dans la politique Révélation 18:7, 9, 11-17. À cause de toutes ces choses, des millions de personnes sont mortes au cours des siècles. – lvs chap7 p89 §23

    Le rassemblement de « ceux qu’il (Jésus) a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). – TG2018/1 p12 §15

    Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, connaîtra une fin méritée. « Peuples, [...] foules, [...] nations, et [...] langues » seront incapables de lui apporter un soutien efficace. Les indices de sa mort prochaine sont déjà visibles (Rév. 16:12 ; 17:15-18 ; 18:7, 8, 21). En effet, on observe déjà un manque de soutien dans les médias, qui de plus en plus durcissent le ton contre la religion et les chefs religieux. Pourtant, les chefs de Babylone la Grande ne se sentent pas en danger. Comme ils se trompent ! À la suite de la proclamation « Paix et sécurité ! », les éléments politiques du système de Satan s’en prendront subitement à la fausse religion et l’extermineront. Jamais plus on ne verra Babylone la Grande ! Il vaut vraiment la peine d’attendre patiemment ces évènements décisifs (Rév. 18:8, 10). – TG2013  15/11 p10 §14

    Usage figuré. Babylone la Grande est décrite revêtue de fin lin et de pourpre et d’écarlate, symboles de luxe (Rév.18:16). En revanche, dans le cas de l’épouse de Christ il est dit clairement que le fin lin de ses vêtements représente “ les actes de justice des saints ”. Pareillement, il est dit des armées célestes qu’elles sont vêtues de fin lin, blanc et pur, ce qui indique qu’elles font la guerre avec justice. — Rév. 19:8, 11, 14 – it-2 p144

    Jésus est aussi « la vérité ». Il parlait et vivait en accord avec la vérité ; c’était comme si la vérité s’était manifestée en sa personne. De plus, il a accompli de nombreuses prophéties, qui sont devenues « “oui” par son moyen » (2 Corinthiens 1:20. Ces prophéties nous aident à comprendre le rôle essentiel qu’il joue dans la réalisation du projet de Dieu - (Révélation 19:10). -jy p6

    Nous savons que chaque session d’assemblée débute à une heure précise. Par contre, nous avons beau essayer, nous ne pouvons pas déterminer l’année, et encore moins le jour et l’heure, où débutera la grande tribulation. Lorsqu’il était sur terre, Jésus a dit : « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » (Mat. 24:36). Toutefois, Christ a reçu au ciel les pleins pouvoirs pour faire la guerre au monde de Satan (Rév. 19:11-16). Il est donc raisonnable d’en conclure qu’il sait à présent quand aura lieu Armaguedon. Mais nous, nous l’ignorons. Il est impératif de rester vigilants jusqu’à cette tribulation. Jéhovah, lui, a toujours su quand elle arrivera. Il a fixé le moment précis où la fin viendra. Il compte le temps qui reste avant le début de la grande tribulation. Elle « ne sera pas en retard » - w2016/7 p13 §4

    Comment devrions-nous nous imaginer Jésus aujourd’hui ? Plus de 60 ans après la mort de Jésus, l’apôtre Jean l’a vu en visions. Il a vu le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », le Roi du Royaume de Dieu ; ce Roi vaincra bientôt les ennemis de Dieu, démons et humains, et apportera des bienfaits éternels à l’humanité (Révélation 19:16 ) – wp2017/6 p8

    Jésus Christ, le “ Roi des rois ”, assurera ensuite la pleine maîtrise des éléments naturels (Révélation 19:16). Il veillera à ce que les sujets de son Royaume ne soient plus les victimes de calamités quelconques. Il emploiera sa puissance pour réguler les influences climatiques afin que le cycle des saisons assure le bien-être des humains. On verra ainsi se réaliser une promesse que Jéhovah a faite jadis à son peuple : “ À coup sûr, je vous donnerai vos averses en leur temps, et la terre donnera vraiment sa production, et l’arbre des champs donnera son fruit. ” (Lévitique 26:4). Les hommes pourront alors construire des maisons sans craindre de les voir rasées par un cataclysme  - TG2011  12/1 p8

     
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    Révélation 16:13, 14 : Comment les nations seront-elles rassemblées pour « la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant » ? (w09 15/2 4 § 5).

    « Et j’ai vu trois paroles inspirées impures qui ressemblaient à des grenouilles sortir de la gueule du dragon et de la gueule de la bête sauvage et de la bouche du faux prophète. 14 Ce sont en effet des paroles inspirées par des démons, et elles produisent des signes, et elles sortent vers les rois de toute la terre habitée, afin de les rassembler pour la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant. »

    Les “ paroles inspirées impures ” symbolisent la propagande démoniaque qui a pour but d’empêcher que les rois de la terre ne se laissent ébranler par le déversement des sept bols de la fureur de Dieu, mais aussi de manœuvrer ces rois pour qu’ils s’opposent à Jéhovah. - w09 15/2 4 § 5


    Satan sera très en colère. Il exprimera sa colère en se servant d’une propagande démoniaque — des « paroles inspirées impures » — pour pousser une coalition de nations à s’attaquer aux serviteurs de Jéhovah. Cette coalition de nations est appelée « Gog du pays de Magog ». Comme un marionnettiste, Satan va manipuler les puissances politiques et les forces armées pour qu’elles lancent un assaut sur tous ceux qui adorent Jéhovah Dieu. Quand ces nations se mettront à attaquer les serviteurs de Dieu, elles seront arrivées au lieu symbolique appelé Armaguédon – TG2019/9 §13


    En Révélation 16:13, des “ paroles inspirées impures ” sont comparées à des grenouilles, ce qui est approprié puisque, sous la Loi mosaïque, les grenouilles étaient impures, impropres à la consommation.- it-1 p1029


    Révélation 16:21 : Quel message allons-nous sûrement proclamer juste avant la fin du monde de Satan ? (w15 15/7 16 § 9).

    « Puis d’énormes grêlons, d’environ un talent chacun, sont tombés du ciel sur les humains, et les humains ont blasphémé contre Dieu à cause du fléau de la grêle, car ce fléau était d’une ampleur exceptionnelle. »

    9 Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée ! (Mat. 24:14). Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21). - w15 15/7 16 § 9


    Les grêlons symboliques mentionnés en Révélation 16:21, d’un poids d’environ un talent (20,4 kg selon le système grec), seraient une plaie dévastatrice.

    La fin de ce monde approchant, la proclamation des jugements de Jéhovah à l’encontre du système mauvais de Satan comprendra probablement des messages verbaux très virulents représentés, selon toute vraisemblance, par de la grêle. Cela dit, la majorité des humains continuera à blasphémer Dieu. – TG2009  15/2 p4


    Le moment viendra peut-être où notre message sera comme “ un grand cri de guerre ”. Dans le livre de la Révélation, de puissants messages de jugement sont décrits comme “ une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent ”. Quel rôle le ministère de maison en maison jouera-t-il dans la proclamation de ces ultimes messages de jugement ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce dont nous pouvons être sûrs, c’est qu’avant la fin de “ la grande tribulation ”, le nom de Jéhovah aura été rendu public comme jamais dans toute l’histoire humaine – TG2008  15/7 p7 §16


    Pendant la grande tribulation, notre message sera sans doute différent de celui que nous prêchons maintenant. Aujourd’hui, nous annonçons la bonne nouvelle du Royaume et nous nous efforçons de faire des disciples. Mais pendant la grande tribulation, nous prêcherons certainement un message percutant comparable à d’énormes grêlons (Rév. 16:21). Nous proclamerons peut-être la destruction très prochaine du monde de Satan. Le moment venu, nous saurons exactement quel message proclamer et comment le faire. Utiliserons-nous les mêmes méthodes que celles que nous utilisons depuis plus de 100 ans pour accomplir notre ministère ? Ou en utiliserons-nous d’autres ? Nous verrons bien. En tout cas, il semble que nous aurons l’honneur de proclamer courageusement le message de jugement de Jéhovah

    Notre message poussera très probablement les nations à essayer de mettre définitivement fin à notre prédication. Tout comme nous avons besoin du soutien de Jéhovah quand nous prêchons aujourd’hui, nous aurons besoin de compter sur lui à ce moment-là. Nous pouvons être sûrs que notre Dieu nous ‘remplira de force’ pour que nous puissions faire sa volonté  - TG2019/10  §8,9


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    La Bible parle d’un ange qui dit aux habitants de toute la terre d’adorer Dieu (Révélation 14:6, 7). Comment fait-il ? Est-ce qu’il crie du haut du ciel pour être entendu par tout le monde ? — Non. Ce sont les disciples de Jésus sur la terre qui parlent de Dieu autour d’eux, et les anges les aident dans cette tâche. Ils veillent à ce que tous les humains qui veulent vraiment connaître Dieu aient l’occasion d’entendre parler de lui. Nous aussi, nous pouvons participer à cette prédication et recevoir l’aide des anges. – Enseignant p65


    ‘ Une bonne nouvelle éternelle à annoncer ’ et qu’il dit d’une voix forte : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire, parce que l’heure de son jugement est venue. ” (Révélation 14:6, 7). Cette “ heure ” de jugement est une période courte qui englobe à la fois le moment où les jugements divins décrits dans la prophétie sont prononcés et celui où ils sont exécutés. Nous vivons actuellement cette période. Aujourd’hui, avant que l’heure du jugement ne s’achève, l’exhortation retentit : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire. ” Qu’implique-t-elle ? Craindre Dieu comme il convient, c’est se détourner du mal – TG2005  1/5 p23


    Révélation 15:3 dit : « Grandes et prodigieuses sont tes œuvres, Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant. Justes et vraies sont tes manières d’agir, Roi d’éternité. » Que veut dire le titre « Tout-Puissant » ? Que Jéhovah est la personne la plus puissante de l’univers. Et que veut dire le titre « Roi d’éternité » ? Qu’il est éternel, c’est-à-dire qu’il a toujours existé – Enseigne p13


    La Bible dit de Jéhovah : “ Toi seul tu es fidèle. ” (Révélation 15:4). Comment est-ce possible ? Des humains et des anges n’ont-ils pas, eux aussi, manifesté une fidélité remarquable. Et Jésus Christ ? N’est-il pas le “ fidèle ” de Dieu ? Alors pourquoi affirmer que Jéhovah seul est fidèle ? C’est d’abord parce que la fidélité relève de l’amour. Puisque “ Dieu est amour ”, qu’il en est la personnification, qui donc pourrait manifester la fidélité plus complètement que lui. Les anges et les humains ont bien la faculté de refléter ses attributs, mais lui seul est fidèle au sens absolu. Et puis, étant “ l’Ancien des jours ”, il exerce la bonté de cœur depuis plus longtemps que n’importe laquelle de ses créatures, céleste ou terrestre. Jéhovah est donc le modèle suprême de fidélité ; aucune de ses créatures ne soutient la comparaison. - Approchez-vous de Jéhovah  p282 §7,8


    Que se passera-t-il après la destruction des fausses religions ? Ce sera le moment de révéler ce que nous avons vraiment dans le cœur. Il ne faut pas s’attendre à ce que l’interruption, le répit, qui se produira durant la grande tribulation donne lieu à un afflux de nouveaux croyants. Par contre, elle offrira à tous les vrais croyants la possibilité de prouver leur amour pour Jéhovah et de soutenir les frères du Christ. Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du Ier siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations. Serons-nous disposés à subir des pertes matérielles pour rester fidèles ? Serons-nous prêts à faire tout ce qu’il faudra pour prouver notre fidélité à Jéhovah ? Songe un peu : Comme le prophète Daniel en son temps, nous serons les seuls, en ces jours-là, à continuer d’adorer Dieu, coûte que coûte. Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée.

    Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21).  TG2015 15/7 p16


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Rév.13:1-4, 18. “ Une bête sauvage ” symbolisant les gouvernements humains monte “ de la mer ”, c’est-à-dire des masses agitées de l’humanité. Cette bête, que Satan a créée et dotée de pouvoir, porte le nombre 666, ce qui souligne son degré élevé d’imperfection. Sachant ce que représente cette bête, nous ne la suivons pas avec admiration ni ne l’adorons, contrairement à ce que font les humains en général. – TG2009  15/2 p4

    Rév.13:8 — Qu’est-ce que “ le rouleau de vie de l’Agneau ” ? Il s’agit d’un rouleau symbolique où ne sont inscrits que les noms de ceux qui sont appelés à régner avec Jésus Christ dans son Royaume céleste, y compris les noms des chrétiens oints qui sont encore sur la terre. Les premiers noms qui y ont été inscrits l’ont été à la Pentecôte de l’an 33. Par la suite, un nombre sans cesse croissant de noms y a été ajouté. Depuis 1918, l’œuvre consistant à sceller le reste des 144 000 héritiers du Royaume est entrée dans sa phase finale. Bientôt, tous auront leur nom écrit de façon indélébile dans le rouleau de vie de l’Agneau.– TG2009  15/2 p3

    Adorer la “ bête sauvage ” et son “ image ”, leur rendre hommage ou s’incliner devant elles revient à les servir, car leurs adorateurs s’identifient à des partisans de “ la bête sauvage ” et de son “ image ” par une marque sur la main (avec laquelle on sert) ou sur le front (visible de tous). Puisque c’est le Diable qui donne à la bête sauvage son pouvoir, adorer la bête sauvage signifie en réalité adorer ou servir le Diable. — Ré 13:4, 15-17 - it-1 p574

    13:11-13 — En quel sens la bête sauvage à deux cornes agit-elle comme un dragon et fait-elle descendre du feu du ciel ? Le fait que la bête sauvage à deux cornes, identifiée à la Puissance mondiale anglo-américaine, parle comme un dragon signifie qu’elle recourt aux menaces, aux pressions et à la violence pour forcer les gens à accepter son type de domination. Elle fait descendre du feu du ciel en ce sens qu’elle s’attribue le rôle d’un prophète en prétendant qu’elle a vaincu les forces du mal au cours des deux guerres mondiales du XXe siècle et qu’elle l’a emporté sur le communisme. – TG2009  15/2

    La virginité spirituelle. Tout comme le grand prêtre en Israël ne pouvait épouser qu’une vierge, de même le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, ne peut avoir au ciel qu’une “ vierge ” pour “ épouse ” spirituelle. L’épouse de Christ se compose de 144 000 personnes ointes de l’esprit, qui, individuellement, préservent leur ‘ virginité ’ en se tenant séparées du monde et en se gardant pures sur les plans moral et doctrinal. — Ré 14:1, 4 – it-1 p1153

    En raison de toute la propagande satanique faite dans le monde, les paroles que Jean met maintenant par écrit sont vraiment appropriées : “ Écoute ! Je viens comme un voleur. Heureux celui qui reste éveillé et garde ses vêtements de dessus, pour qu’il ne marche pas nu et qu’on regarde sa honte. ” (Révélation 16:15). Qui vient “ comme un voleur ” ? Jésus lui-même, qui arrive à une heure non précisée en qualité d’Exécuteur au service de Jéhovah. Lorsqu’il était encore sur la terre, Jésus a également comparé sa venue à celle d’un voleur, en disant : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Voilà pourquoi, vous aussi, montrez-vous prêts, car c’est à une heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme vient. ” (Matthieu 24:42, 44 ; Luc 12:37, 40). Faisant écho à cet avertissement, l’apôtre Paul a dit : “ Le jour de Jéhovah vient exactement comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : ‘ Paix et sécurité ! ’ alors une destruction subite sera sur eux à l’instant même. ” “ Paix et sécurité ! ” : toute proclamation de ce genre est trompeuse ; elle émane de Satan. – re chap32 §27

    En Révélation 16:15, Jésus nous avertit qu’une chose similaire peut arriver de nos jours. Les prêtres et les Lévites préfiguraient les frères oints de Jésus. Mais, par extension, la mise en garde de Jésus concerne aussi la grande foule. Les vêtements de dessus en question identifient ceux qui les portent à des chrétiens Témoins de Jéhovah. S’ils laissaient les pressions que le monde de Satan exerce sur eux les faire sombrer dans le sommeil, ou l’inactivité, ils perdraient probablement ces vêtements de dessus ; en d’autres termes, ils cesseraient d’être identifiés à des chrétiens purs. Cette situation les couvrirait de honte. Ils risqueraient d’aller à un échec complet. - re chap32 §30

    “ Et elles [les paroles inspirées par les démons] les ont rassemblés [les rois ou dirigeants humains] au lieu qu’on appelle en hébreu Armaguédon. ” (Révélation 16:16). Ce nom n’apparaît qu’une seule fois dans la Bible, mais il a enflammé l’imagination des hommes. Les dirigeants du monde mettent les hommes en garde contre l’éventualité d’un Armaguédon nucléaire. Le terme Armaguédon étant également associé à la ville antique de Meguiddo, qui fut le théâtre de nombreuses batailles décisives aux temps bibliques, des chefs religieux en ont déduit que la guerre ultime qui sera livrée sur la terre aura lieu dans cette petite région du globe. Ils sont en cela fort éloignés de la vérité.

    Ce nom ne désigne toutefois pas un lieu réel, mais représente la situation dans laquelle toutes les nations en opposition avec Jéhovah Dieu sont rassemblées et seront finalement détruites par lui. Il s’agit d’une situation mondiale - re chap32 §31,32

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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 2 JEAN 1 - JUDE
    Jude 4, 12 : Pourquoi les hommes sans respect pour Dieu qui s’étaient glissés dans l’assemblée ont-ils été comparés à « des rochers cachés sous l’eau lors de [...] festins d’amour » ? (it-1 879 ; it-2 805 § 3).

    verset 4 ‘ « Ce qui m’y a poussé, c’est que certains hommes, qui ont été désignés il y a longtemps par les Écritures pour être condamnés, se sont glissés parmi vous. Ce sont des hommes sans respect pour Dieu, qui prennent la faveur imméritée de notre Dieu comme prétexte pour avoir une conduite indigne et effrontée, et qui trahissent notre seul propriétaire et Seigneur, Jésus Christ. »

    verset 12  « Ceux-là sont des rochers cachés sous l’eau lors de vos festins d’amour, lorsqu’ils mangent avec vous ; des bergers qui se nourrissent eux-mêmes sans crainte ; des nuages sans eau emportés ici et là par le vent ; des arbres sans fruits à la fin de l’automne, qui sont morts deux fois et ont été déracinés »


    La Bible ne décrit pas ces festins d’amour et ne précise pas à quelle fréquence ils avaient lieu (Jude 12). Comme ils ne furent ordonnés ni par le Seigneur Jésus Christ ni par ses apôtres, il est clair qu’il ne faut pas les considérer comme obligatoires ou permanents. Certains pensent qu’il s’agissait de festins auxquels les chrétiens riches invitaient leurs coreligionnaires indigents. Tous, ensemble, les orphelins de père, les veuves, les riches et les moins fortunés partageaient une table bien garnie dans un esprit fraternel. – it-1 p879


    Un autre mot grec, spilas, s’applique sans doute à un rocher ou à un récif caché sous l’eau. Jude s’en sert dans une image pour désigner des hommes qui s’étaient glissés dans la congrégation chrétienne avec des mobiles malhonnêtes. De même que des rochers cachés étaient dangereux pour les bateaux, de même ces hommes constituaient un réel danger pour les autres membres de la congrégation. Jude déclare à leur sujet : “ Ceux-là sont dans vos festins d’amour les rochers cachés sous l’eau, tandis qu’ils font bonne chère avec vous. ” — Jude 12. – it-2 p805 §3


    Certains de ceux qui pratiquent le dérèglement cherchent à séduire et à tromper d’autres membres de la congrégation chrétienne en soutenant que la faveur imméritée de Dieu est grande et qu’il passera sur leurs péchés parce qu’il est conscient de leurs imperfections et de la faiblesse de leur chair. Mais Jude, demi-frère de Jésus, qualifia ceux qui raisonnent ainsi d’“ impies qui transforment la faveur imméritée de notre Dieu et en font un prétexte pour se livrer au dérèglement, et qui trahissent notre seul Propriétaire et Seigneur, Jésus Christ ”. (Jude 4.) Il ne sert à rien que ces hommes se réclament du christianisme. Leur service ne peut être agréé de Dieu, pensée qu’un sage écrivain d’Israël formula ainsi : “ Le sacrifice des méchants est chose détestable. Combien plus lorsqu’on l’apporte avec une conduite déréglée Pr 21:27. Ils manifestent souvent un esprit d’indépendance et de rébellion qui les empêche de reconnaître que Jéhovah dirige son organisation. it-1 p622


    La faveur imméritée de Jéhovah nous procure de nombreux bienfaits, mais nous ne devons pas avoir la présomption de penser qu’il accepte n’importe quelle conduite. Certains premiers chrétiens cherchaient à « transforme[r] la faveur imméritée de [...] Dieu » en « prétexte pour se livrer au dérèglement » (Jude 4). Ces chrétiens infidèles pensaient apparemment qu’ils pouvaient pécher et ensuite compter sur Jéhovah pour leur pardonner. Pire, ils essayaient d’entraîner leurs frères dans leur conduite méprisante. Tout en fréquentant la congrégation, ces individus exerçaient une influence corruptrice. Aujourd’hui encore, celui qui agit ainsi a « outragé avec mépris l’esprit de la faveur imméritée » Satan fait croire à certains chrétiens qu’ils peuvent présumer de la miséricorde de Dieu et commettre des péchés impunément. Mais si Jéhovah est désireux de pardonner aux pécheurs repentants, il attend toutefois de nous que nous livrions un dur combat contre nos tendances pécheresses – TG2016/7 p25 §16,17

    En Jude 12, les personnes immorales qui s’introduisent dans l’assemblée sont comparées à des arbres d’automne sans fruits, morts deux fois. S’il est dit d’eux qu’ils sont “ morts deux fois ”, c’est peut-être pour souligner qu’ils sont bel et bien morts. Cela peut aussi vouloir dire qu’ils sont morts sous deux rapports : 1) ils sont stériles, autrement dit ne portent pas de fruits et 2) ils sont littéralement morts et n’ont aucune vitalité. Ceux qui se réclament du christianisme, mais qui pratiquent l’immoralité, se livrant à la corruption et contaminant l’assemblée, sont comparés dans leur abandon avide aux désirs charnels à des nuages sans eau poussés par les vents - it-1 p155


    Les apostats qui feignent d’aimer sont aussi dangereux pour notre foi que les rochers cachés sous l’eau le sont pour les bateaux ou les nageurs. Les faux enseignants peuvent paraître généreux mais, sur le plan spirituel, ils sont aussi vides que des nuages sans eau. Ils sont sans fruits, à l’instar des arbres morts à la fin de l’automne. Ils sont voués à la destruction, comme le sont les arbres déracinés. La sagesse nous dicte de fuir les apostats – TG2008  15/12 p29


    Comme un rocher déchiqueté qui se cache juste sous la surface d’eaux calmes, L’individu hypocrite peut causer le naufrage spirituel de ceux qui sont sans méfiance. Une telle personne fait peut-être miroiter de grands moments de rafraîchissement spirituel, mais il est en réalité un ‘ nuage sans eau ’ qui n’a rien à offrir. Comme un arbre sans fruits, le trompeur ne produit aucun des fruits du christianisme. Incontestablement, nous devons nous en méfier, mais sans soupçonner tout le monde. – TG2001  15/11 p22


    Jude 14, 15 : Pourquoi Hénoch a-t-il parlé au passé d’un évènement futur et quelle est la réalisation de cette prophétie ? wp17.1 12 § 1, 3

    « Oui, Hénoch, le septième depuis Adam, a lui aussi prophétisé à leur sujet, quand il a dit : « Voici que Jéhovah est venu avec ses saintes myriades, 15 pour prononcer un jugement contre tous, et pour déclarer coupables toutes les personnes sans respect pour Dieu à propos de toutes leurs actions injustes qu’elles ont commises d’une manière injuste, et à propos de toutes les choses scandaleuses que des pécheurs sans respect pour Dieu ont proférées contre lui. »


    Qu’a prophétisé Hénoch ? Jude rapporte : « Voyez ! Jéhovah est venu avec ses saintes myriades, pour exécuter le jugement contre tous, et pour déclarer coupables tous les impies à propos de toutes leurs actions impies qu’ils ont commises d’une manière impie, et à propos de toutes les choses scandaleuses que des pécheurs impies ont proférées contre lui » (Jude 14, 15). La première chose que vous pouvez remarquer, c’est que Hénoch parle au passé, comme si Dieu avait déjà fait ce que la prophétie annonce. C’est un modèle que de nombreuses prophéties ont ensuite suivi : le prophète parle d’une chose dont la réalisation est si certaine qu’elle est présentée comme si elle avait déjà eu lieu ! (Isaïe 46:10). - wp17 1


    La foi de Hénoch peut nous inciter à nous demander si nous voyons le monde dans lequel nous vivons comme Dieu le voit. Le jugement que Hénoch a proclamé avec hardiesse est encore valable aujourd’hui ; il s’applique à notre monde tout comme il s’appliquait à celui de Hénoch. Conformément à la déclaration de Hénoch, aux jours de Noé, Jéhovah a amené le Déluge sur un monde impie. Mais cette destruction établit un modèle pour une destruction plus grande qui est encore à venir (Matthieu 24:38, 39 ; 2 Pierre 2:4-6). Aujourd’hui, comme à l’époque, Jéhovah se tient prêt avec ses saintes myriades pour exécuter un jugement juste contre un monde impie. Chacun de nous doit prendre à cœur l’avertissement de Hénoch et l’annoncer à d’autres.

    Notre famille et nos amis s’éloigneront peut-être de nous. Par moments, nous nous sentirons peut-être seuls. Mais Jéhovah n’a pas abandonné Hénoch, et aujourd’hui, il n’abandonnera pas ses fidèles serviteurs ! – wp17 3


    Hénoch avait annoncé une époque où Jéhovah jugerait tous les impies et leurs actes d’impiété. On notera que Hénoch s’exprimait au passé, car les jugements de Dieu étaient irrévocables, de sorte que l’on pouvait considérer qu’ils avaient déjà eu lieu. Les humains se sont peut-être moqués de Hénoch, comme plus tard de Noé, mais tous ces moqueurs ont bel et bien péri lors du déluge. Ces paroles trouveront leur accomplissement final à Armaguédon. Cela dit, il est fort probable que, du temps de Hénoch, de nombreux “ pécheurs impies ” se sont irrités de sa prophétie. Jéhovah a vraiment fait preuve d’amour en mettant son prophète hors de leur portée. – TG1998  1/6


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Certains prétendus chrétiens du 1er siècle niaient que Jésus soit venu dans la chair (2 Jean 7-11). Parce qu’ils avaient adopté ce point de vue erroné, quelques-uns ont rejeté la vérité au sujet de Jésus, le Messie. L’apôtre Jean a qualifié d’antichrists ceux qui ne croyaient pas que Jésus était venu dans la chair. Ils pouvaient bien croire en Dieu, aux Écritures hébraïques, accepter Jésus comme le Fils de Dieu, etc. Mais ils n’étaient pas d’accord sur le fait que Jésus était réellement venu dans la chair: c’est pourquoi ils ont été appelés l’“antichrist”. Jean ajoute à propos de ceux qui avaient ce genre d’opinions différentes: “Si quelqu’un vient à vous sans apporter cet enseignement, ne le recevez pas chez vous et ne lui dites pas de salut. Car celui qui lui dit un salut s’associe à ses œuvres méchantes.” — II Jean 7. Marcher par l’esprit saint nous empêchera de tomber dans une telle apostasie. Ce n’est qu’en restant spirituellement éveillés que nous conserverons la faveur imméritée de Jéhovah et que nous “ continuerons à marcher dans la vérité ”. (3 Jean 3, 4.) Soyons donc déterminés à rejeter toute apostasie, afin de conserver des relations étroites avec notre Père céleste. – TG2007  15/7 §7

    Jude 7 déclare : “ Sodome et Gomorrhe et les villes d’alentour, après qu’elles eurent commis [...] la fornication avec excès et furent allées après la chair pour un usage contre nature, sont placées devant nous comme un exemple qui est un avertissement. ” Les habitants de Sodome et de Gomorrhe n’ont jamais reçu de lois concernant la moralité de la part de Dieu ; cependant, comme chaque être humain, ils possédaient une conscience donnée par Dieu. Par conséquent, Dieu pouvait en toute justice les tenir pour responsables de leurs actes. Pareillement, Dieu tient aujourd’hui les humains pour responsables de leurs actes, qu’ils acceptent sa Parole, la Sainte Bible, ou non – RV2001  8/3 p9

    Nous ‘ continuons à glorifier Dieu ’ en marchant dans ses voies droites au lieu d’agir à notre guise. Caïn a commis un meurtre parce qu’il a agi à sa guise et n’a pas écouté Jéhovah qui l’avait averti que le péché s’apprêtait à fondre sur lui. Balaam a accepté de l’argent du roi de Moab, mais il a essayé vainement de maudire Israël (Nombres 24:10). Enfin, Dieu a mis à mort le Lévite Coré et d’autres parce qu’ils s’étaient rebellés contre l’autorité de Moïse et d’Aaron (Nombres 16:1-3, 31-33). Nous ne voulons certainement pas aller dans le “ chemin de Caïn ” l’assassin, ni nous jeter dans “ l’égarement de Balaam ”, ni périr dans “ les propos séditieux de Coré ”. (Jude 11) – TG2005  15/11 p30 §18


    “ En vous bâtissant sur votre très sainte foi, [...] gardez-vous dans l’amour de Dieu. ” — Jude 20, 21. Dans ce passage où il a exhorté les chrétiens à ‘ se garder dans l’amour de Dieu ’, il a aussi révélé le moyen d’y parvenir : “ En vous bâtissant sur votre très sainte foi. ” De quelle façon pouvez-vous vous bâtir, rendre votre foi plus solide, afin de demeurer dans l’amour de Dieu ? En premier lieu, il vous faut affermir votre foi dans la loi divine. Le meilleur moyen de bâtir notre foi dans le Législateur suprême et dans la sagesse de ses lois, c’est de mettre en pratique les commandements de Dieu dans notre vie. Egalement, atteindre la maturité. Un chrétien mûr est un homme spirituel. Il porte sur les choses le même regard que Jéhovah. – Livre « Amour de Dieu », p196-205


    Jude 20, 21 — Comment pouvons-nous ‘ nous garder dans l’amour de Dieu ’ ? Il y a trois conditions à remplir :

    1) nous bâtir sur notre “ très sainte foi ”, en étudiant avec sérieux la Parole de Dieu et en participant avec zèle à l’œuvre de prédication ;

    2) prier “ avec de l’esprit saint ”, ou conformément à son influence ;

    3) exercer la foi dans ce qui rend la vie éternelle possible : le sacrifice rédempteur de Jésus Christ – TG2008  15/12 p29
     


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Les démons sont dangereux, mais nous n’avons pas à être terrifiés. Leur pouvoir est limité. Quand ces anges désobéissants sont retournés au ciel, ils n’ont pas pu réintégrer la famille des anges fidèles. Ils ont été privés de toute lumière spirituelle venant de Dieu, ce qui ne leur laisse que de sombres perspectives pour l’avenir. Ils ont en effet été enfermés dans une condition d’obscurité spirituelle que la Bible nomme le Tartare (2 Pierre 2:4). Jéhovah les a entourés de “ liens éternels ” qui les tiennent dans cette obscurité spirituelle. Qui plus est, ils sont à présent dans l’incapacité de se matérialiser. — Jude 6. TG2006  15/1 p7


    Au 1er siècle, certains se sont dressés contre ceux qui avaient été établis à la tête de la congrégation. Ce faisant, ils ‘ repoussaient la seigneurie ’. (Jude 8.) Ils n’étaient sans doute pas satisfaits de ce qu’on leur avait confié et cherchaient à monter les autres contre des frères qui assumaient pourtant consciencieusement leurs fonctions théocratiques – TG2012  15/10 p13 §6


    Jude a rapporté un épisode de l’existence préhumaine de Jésus qui montre son humilité (Jude 9). L’archange Michel, c’est-à-dire Jésus, « eut un différend avec le Diable » et « discutait » avec lui. Le débat tournait autour du « corps de Moïse ». Souvenons-nous qu’après la mort de Moïse, Jéhovah a enterré son corps dans un lieu inconnu (Deut. 34:5, 6). Peut-être le Diable voulait-il l’utiliser comme relique pour instaurer un culte idolâtrique. Quoi qu’il en soit, Michel a pris une position courageuse. Cependant, reconnaissant qu’il ne lui appartenait pas de porter un jugement, le Chef des anges a préféré porter l’affaire devant le Juge suprême, Jéhovah. Ainsi, même provoqué par le Diable, Michel a refusé d’abuser de son autorité. Quelle humilité ! – TG2015  15/2 p6 §6


    Nous ne devons rien enlever à la Parole de Dieu, car l’ensemble des enseignements chrétiens qu’elle renferme constitue “ la vérité ”, ou encore “ la vérité de la bonne nouvelle ”. Pour être sauvé, il est capital de ‘ marcher ’ dans cette vérité, c’est-à-dire d’y adhérer. 2 Jean 4 Cette vérité est la somme des enseignements chrétiens contenus dans la Bible Le christianisme étant “ la voie de la vérité ”, en aidant les autres à en servir la cause, nous devenons “ des compagnons de travail dans la vérité ”.. La Bible est la seule et unique source de vérité – TG1996  15/5 §18

     

    « Beaucoup de trompeurs sont sortis dans le monde, des gens qui ne confessent pas Jésus Christ comme venant dans la chair. Voilà le trompeur et l’antichrist » (2 Jean 7). Jean avait compris que l’antichrist englobe tous ceux qui propagent délibérément des mensonges religieux sur Jésus Christ et ses enseignements. Au 1er siècle, des faux prophètes et des apostats étaient déjà actifs et s’efforçaient d’affaiblir la congrégation chrétienne. Qu’en est-il de nos jours ? Les individus et les organisations qui constituent l’antichrist s’opposent toujours au Christ et à ses enseignements. Ils propagent volontairement des mensonges et des idées trompeuses dans le but de rendre obscures l’identité du Père, Jéhovah, et celle de son Fils, Jésus Christ. Nous avons de bonnes raisons de nous méfier de ces mensonges religieux. – TG2015  1/6 p14


    Après la mort des apôtres, de faux enseignants ont fait entrer dans l’assemblée des idées fausses et des fêtes et des coutumes païennes. Ils ont même donné un nouveau nom à des fêtes païennes pour donner l’impression qu’elles étaient chrétiennes. 2 Jean 6, 7. Beaucoup de ces fêtes sont toujours populaires aujourd’hui. Et elles favorisent de fausses croyances, et même le spiritisme. Aujourd’hui, partout dans le monde, les fêtes ont une grande importance dans la vie des gens. LVS ch13


    Quand l’hospitalité n’est pas souhaitable. La Bible enjoint aux chrétiens de ne pas offrir l’hospitalité à certaines personnes. “ Tout homme qui va de l’avant et ne demeure pas dans l’enseignement du Christ n’a pas Dieu. [...] Si quelqu’un vient vers vous et n’apporte pas cet enseignement, ne le recevez jamais chez vous et ne lui adressez pas non plus de salutation. Car celui qui lui adresse une salutation participe à ses œuvres mauvaises. ” (2Jn 9-11). Garder une telle personne chez soi ou fraterniser avec elle est spirituellement dangereux pour soi et, en quelque sorte, excuse la conduite de la personne. Cela peut égarer d’autres chrétiens et jeter l’opprobre sur l’assemblée. Les chrétiens ne devraient pas recevoir chez eux des enseignants apostats, ni même leur adresser de salutation – it-1 Hospitalité

     
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