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misette

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    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8   
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8.docx
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8.pdf
     
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 7-8

    Romains 8:6 : Quelle différence y a-t-il entre « fixer sa pensée sur la chair » et « fixer sa pensée sur l’esprit » ? (w17.06 3)

    « En effet, fixer sa pensée sur la chair mène à la mort, mais fixer sa pensée sur l’esprit mène à la vie et à la paix »

    Celui qui pense à la chair se concentre sur ses désirs et ses penchants imparfaits ; il parle constamment des choses de la chair et s’en délecte. Celui qui pense à l’esprit donne la priorité aux choses qui sont en accord avec Dieu et ses pensées ; il se laisse diriger par l’esprit saint. « Penser à la chair » conduit à la mort ; « penser à l’esprit » conduit à la vie et à la paix – w17 06

    Avant d’effectuer une action, bonne ou mauvaise, nous y avons forcément pensé. Celui qui fixe constamment son attention sur les choses de la chair ne tarde pas à développer une attitude mentale axée uniquement sur elles. Celles-ci finissent en général par avoir entièrement prise sur ses opinions, ses centres d’intérêt et ce qu’il affectionne.

    “ Penser à la chair [...] signifie la mort ” — spirituelle aujourd’hui et physique dans un proche avenir. Pourquoi ? “ Parce que penser à la chair signifie inimitié contre Dieu, car elle n’est pas soumise à la loi de Dieu, et même, elle ne peut pas l’être. Ceux donc qui vivent selon la chair ne peuvent plaire à Dieu. ”

    “ Penser à l’esprit signifie vie ”, la vie éternelle dans l’avenir, “ et paix ”, la paix intérieure et la paix avec Dieu dès aujourd’hui. Dans la pratique, qu’implique “ penser à l’esprit ” ? Fixer constamment son attention sur les choses de l’esprit de manière à développer une attitude mentale axée sur elles. Notre façon de penser est alors “ soumise à la loi de Dieu ” et s’harmonise avec la sienne. Ainsi, lorsque se présente une tentation, nous n’avons aucun doute quant à la conduite à adopter. Nous sommes poussés vers le bon choix, un choix guidé par l’esprit de Dieu.

    Il est donc essentiel de fixer nos pensées sur les choses de l’esprit. Pour y parvenir, ‘ mobilisons nos facultés mentales pour l’action ’, mettons au centre de notre vie des activités spirituelles régulières, comme la prière, la lecture et l’étude de la Bible, les réunions et la prédication

    Ne permettons pas aux choses de la chair d’être une source de distraction. En pensant aux choses de l’esprit, nous continuerons à marcher selon l’esprit. Cela nous vaudra des bénédictions, car penser à l’esprit signifie vie et paix  - TG2011 15/11 p14 §15-18

    Etre une personne spirituelle n’est pas une simple question de convenance personnelle ou de tendance naturelle. Il s’agit en réalité d’une question de vie ou de mort. En quel sens quelqu’un de spirituel reçoit-il ‘ vie et paix ’ ? D’après la Bible, une telle personne est, dès à présent, en paix avec elle-même ainsi qu’avec Dieu et, dans l’avenir, elle recevra la vie éternelle en récompense. – TG2007  1/8 p4


    Romains 8:26, 27 : Comment Jéhovah peut-il répondre aux « gémissements qui ne sont pas exprimés » ?(w09 15/11 7 § 20).

    « Pareillement, l’esprit aussi vient à notre aide quand nous sommes faibles ; car le problème, c’est que nous ne savons pas toujours ce qu’il nous faut demander dans nos prières, mais lorsque nos gémissements ne sont pas exprimés, l’esprit lui-même intercède en notre faveur. 27 Et celui qui examine les cœurs sait quelle est l’intention de l’esprit, parce que c’est selon la volonté de Dieu qu’il intercède en faveur des saints ».

    20 Il peut nous arriver de ne pas savoir quoi dire dans nos prières personnelles. “ Le problème, explique Paul, le voici : ce pour quoi nous devons prier comme nous en avons besoin, nous ne le savons pas, mais l’esprit [saint] lui-même sollicite pour nous avec des gémissements qui n’ont pas été exprimés. Cependant, celui qui scrute les cœurs [c’est-à-dire Dieu] sait quelle est l’intention de l’esprit. ” (Rom. 8:26, 27). Jéhovah a fait consigner dans les Écritures de nombreuses prières. Il considère que ces requêtes inspirées correspondent à ce que nous aurions souhaité lui demander, et il les exauce. Dieu nous connaît intimement et il comprend les sentiments que les écrivains de la Bible ont décrits sous l’impulsion de l’esprit. Jéhovah répond à nos supplications quand l’esprit “ sollicite ”, autrement dit intercède, pour nous. Mais à mesure que notre connaissance biblique s’affine, nous trouvons plus facilement les mots pour exprimer nos requêtes. – TG2009  15/11 p7§20

    En Romains 8:26, 27, Paul explique que les serviteurs de Dieu ne savent pas toujours exactement quoi demander comme ils en ont besoin quand ils prient. Cependant, Dieu sait qu’ils désirent que sa volonté soit faite. Il sait aussi de quoi ses serviteurs ont besoin. Par le passé, Dieu a fait consigner dans sa Parole de nombreuses prières inspirées, qui expriment sa volonté ou sa pensée à leur égard. Il agrée donc ces prières inspirées comme étant ce que son peuple aimerait dire et ce pour quoi il aimerait prier, et en conséquence il les exauce. Dieu connaît les cœurs sincères et il connaît aussi la “ pensée ” des choses qu’il a fait dire à son esprit par l’intermédiaire des rédacteurs de la Bible. Il sait “ quelle est l’intention [la pensée] de l’esprit ” lorsque celui-ci “ sollicite ”, ou intercède, pour eux. - it-2 p524-525

    Nos gémissements intérieurs demeurent souvent inexprimés parce que nous ne comprenons pas totalement la situation dans laquelle nous nous trouvons ou parce que nous ne savons pas que dire à Jéhovah. C’est dans ces moments-là que l’esprit saint peut intercéder pour nous. Paul a écrit: “Le problème se pose: ce que nous devons demander dans nos prières comme il le faudrait, nous ne le savons pas, mais l’esprit lui-même sollicite pour nous par des gémissements inexprimés.” (Romains 8:26). Comment cela? La Parole de Dieu renferme des prophéties et des prières inspirées qui se rapportent à notre situation. Jéhovah les laisse en quelque sorte intercéder pour nous. Il considère que c’est ce que nous dirions si nous comprenions comment elles s’appliquent à notre cas, et il nous exauce en conséquence. – TG1991 15/12 p18 §18

    Parfois, nous avons du mal à savoir exactement quoi demander dans la prière. Dans ce cas, Dieu peut même voir les sentiments que nous n’avons pas su exprimer ; il fait appel à sa connaissance parfaite de notre situation pour répondre précisément à nos besoins (Romains 8:26, 27). Quand nous nous rendons compte que Dieu est intervenu dans notre vie, même de façon discrète, nous nous sentons attirés par lui. – TG2014  1/ 4 p4


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Nous sommes tous issus d’Adam. Que nous le voulions ou non, nous avons hérité de lui un corps imparfait, soumis au péché et à la mort. Paul décrit bien notre triste condition. « Je suis charnel, écrit-il, vendu sous le péché. Homme misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps voué à cette mort ? » Paul répond lui-même à sa question : « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur ! » (Romains 7:14, 24, 25). – TG2015  1/3 p4


    Jéhovah est conscient du pouvoir du péché. Sa Parole présente le péché comme une force qui tient l’homme dans son étreinte mortelle. Et quelle étreinte ! Dans sa lettre aux Romains, l’apôtre Paul explique : nous sommes “ sous le péché ”, comme des soldats sont sous les ordres de leur commandant (Romains 3:9) ; le péché “ a régné ” sur les humains comme un roi (Romains 5:21) ; il “ réside ” en nous (Romains 7:17, 20) ; sa “ loi ” est constamment à l’œuvre en nous, cherchant à diriger nos actions (Romains 7:23, 25). Quelle terrible emprise le péché exerce sur notre chair déchue  Romains 7:21, 24. cl chap26 §5

    Satan veut détruire notre amitié avec Jéhovah. Il aimerait détruire notre relation avec Jéhovah, que ce soit en nous attaquant frontalement par la persécution ou sournoisement en rongeant lentement notre foi. Le découragement est une de ses tactiques sournoises les plus efficaces. C’est efficace, car cela détruit peu à peu notre amitié avec Jéhovah. Parfois Paul était découragé. Un jour il a dit qu’il était un « homme misérable ». Il pensait qu’il ne valait rien. (Romains 7:21-24) Pourtant Paul avait une belle amitié avec Jéhovah, et il faisait sans doute partie du collège central. Alors pourquoi était-il découragé ? C’était à cause de ses points faibles. Il voulait faire le bien mais ce n’était pas toujours facile. Si nous sommes découragé à cause de nos points faibles, nous serons rassuré de savoir que Paul a eu les mêmes sentiments. – TG2014  15/9 p12 §12

    L’apôtre Paul a encouragé tous les chrétiens à ne pas banaliser, ou considérer comme ordinaire, la liberté que Jéhovah nous a donnée par le moyen de son Fils, Jésus Christ. Paul était profondément malheureux et avait la conscience troublée parce qu’il était captif du péché et de la mort. Mais il a déclaré avec reconnaissance : « Grâces soient rendues à Dieu [ou : Je remercie Dieu] par Jésus Christ notre Seigneur ! » Pourquoi ? Il a expliqué à ses compagnons chrétiens : « Car la loi de l’esprit qui donne la vie en union avec Christ Jésus vous a libérés de la loi du péché et de la mort » (Rom. 7:24, 25 ; 8:2). À l’exemple de Paul, nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah nous a libérés du péché et de la mort. Grâce à la rançon, nous pouvons servir notre Dieu avec une conscience nette et y prendre vraiment plaisir – TG2018 Avril p8 §7

    Paul s’est exclamé : « Homme misérable que je suis ! » (Rom. 7:24). Beaucoup d’entre nous se disent la même chose. Pourquoi ? Parce que même si nous désirons réellement plaire à Jéhovah, nous n’y arrivons pas toujours à cause de notre imperfection, et cela nous décourage. Mais la Bible nous assure que «ceux qui se réfugient en Jéhovah» n’ont pas à se sentir écrasés par la culpabilité – TG2017 Novembre p8 §1,2

    Romains 7:21-25. Paul savait bien comme cela peut être dur de lutter contre de mauvais désirs et des faiblesses. Mais il était sûr qu’il pouvait gagner le combat s’il priait Jéhovah pour lui demander son aide, et s’il manifestait sa foi dans le sacrifice de Jésus. Et nous ? Pouvons-nous gagner le combat contre nos faiblesses ? Oui, si comme Paul nous comptons entièrement sur la force de Jéhovah et pas sur la nôtre, et si nous avons foi en la rançon. – ws2016/9 p8 §14

    Jéhovah n’acceptera notre culte que s’il est saint, ou pur. Notre culte ne peut pas être pur si nous faisons des choses que Jéhovah déteste, comme la violence, les actes sexuels immoraux et tout ce qui a un lien avec le spiritisme (Romains  8:13). Mais si nous nous divertissons avec ces choses, cela ne plaira pas non plus à Jéhovah. Notre culte ne sera pas pur et Jéhovah ne l’acceptera pas. Cela mettra sérieusement en danger notre amitié avec lui. – lvs chap6 p75 §6

    Tous ceux qui sont fidèles à Jéhovah et à son organisation recevront des bienfaits. Les chrétiens oints seront rois avec Jésus dans le ciel. (Romains 8:16, 17) Les autres chrétiens recevront la vie sans fin dans le Paradis. Tous les adorateurs de Jéhovah ont la belle mission de parler aux gens de ces bienfaits. Si nous rendons notre amitié avec Jéhovah plus forte et si nous continuons à progresser spirituellement en avançant au rythme de l’organisation de Jéhovah, en marchant constamment à son allure, nous aussi nous pourrons recevoir des bienfaits extraordinaires. – ws2014  15/5 p21 §16

    Dieu ne manifeste pas son amour uniquement en comblant nos besoins physiques. Il nous a aussi accordé de l’honneur et de la dignité en mettant en nous des besoins spirituels et en nous donnant la capacité de les combler. Grâce à cela, les humains qui obéissent à Dieu peuvent espérer faire un jour partie de sa famille, être ses « enfants » (Romains 8:19-21).- TG2014  1/3 p3

    Romains 8:21 nous garantit que le monde nouveau viendra bel et bien. Ce verset promet que « la création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu ». La question est de savoir si nous y serons, si nous obtiendrons la récompense – TG2016/12 p13 §4

    Quand nous rendons témoignage, nous pouvons expliquer que, sous le règne de Christ, l’humanité bénéficiera de l’application complète du sacrifice rédempteur et sera progressivement amenée à la perfection. La Bible déclare : « La création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu » (Rom. 8:21). Cela sera possible uniquement grâce à la faveur extraordinaire de Jéhovah. – TG2016/7 p30 §18

    L’amour de Dieu pour les humains est si grand qu’il ne leur refuse pas le bien, quoi qu’il lui en coûte. Son amour est éternel. Nous pourrons toujours compter dessus. Tout humain sensible à l’amour de Jéhovah et qui se soumet avec obéissance à sa domination connaîtra un avenir merveilleux  « Je suis convaincu, a écrit Paul, que ni mort ni vie, ni anges ni gouvernements, ni choses présentes ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre création ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus notre Seigneur » (Rom. 8:38, 39). – TG2015 15/11 p16 §15


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Satan sait que nous avons des points faibles. Parfois il profite de nos points faibles pour nous pousser à faire des choses mauvaises. Alors cela devient difficile de rester fidèles à Jéhovah. Il y a des signaux qui nous avertissent d’un danger. Par exemple, ne plus prier, ou prêcher moins, ou aller moins souvent aux réunions. C’est dangereux de penser que ce n’est pas grave. Nous risquons peu à peu de ne plus entendre ce que Jéhovah nous dit. Satan va en profiter et il va nous pousser à obéir à nos mauvais désirs. Finalement, nous risquons de faire une action mauvaise que nous ne pensions jamais faire. (Romains 7:15) Mais cela n’arrivera pas si nous faisons des changements dans notre conduite dès que nous voyons le signal d’un danger. Si nous écoutons bien la voix de Jéhovah, nous n’écouterons jamais la voix d’étrangers. – ws2014  15/8 p21 §8

    Tout le monde peut être tenté, même des adultes. En effet, la tentation peut se manifester de différentes façons. L’apôtre Paul n’était pas tout jeune quand il a écrit : « Je prends en effet plaisir à la loi de Dieu [...], mais je vois dans mes membres une autre loi qui fait la guerre contre la loi de mon intelligence et qui m’emmène captif vers la loi du péché » (Romains 7:22, 23).

    Si Paul a résisté à l’envie de céder, nous aussi nous pouvons y arriver ! Et puis, pourquoi devenir esclave de nos désirs ? (1 Corinthiens 9:27). Si nous sommes jeune et si nous apprenons dès maintenant à résister à la tentation, nous allons nous épargner bien des soucis et cela nous sera également utile quand nous serons adulte. – RV2014/10 p8

    La liberté que l’esprit de Jéhovah procure est plus qu’une libération d’un esclavage physique. L’esprit de Jéhovah libère de l’imperfection et de la mort, ainsi que du faux culte et de ses pratiques (Romains 8:2). Quelle liberté extraordinaire ! Même quelqu’un qui est en prison ou esclave peut en ressentir les bienfaits – TG2018 Avril p8 §5

    Les chrétiens oints pensent toujours au Royaume céleste de Dieu et à leur espérance d’être « cohéritiers de Christ » (Rom. 8:14-17). Et ceux qui ont une espérance terrestre ? Comment les paroles de Paul s’appliquent-elles à eux ? Comment les « autres brebis » peuvent-elles penser toujours aux « choses d’en haut » ? Bien qu’elles n’aient pas l’espérance céleste, les autres brebis aussi peuvent penser toujours aux choses d’en haut. Comment ? En accordant la priorité à Jéhovah Dieu et aux intérêts du Royaume. Notre chair imparfaite nous porte à nous adonner à des choses qui flattent nos sens (Romains 7:21-25). Sans l’action de l’esprit saint de Dieu dans notre vie, nous pourrions céder à « des œuvres des ténèbres » Pour rester vigilant spirituellement, il nous faut donc penser toujours aux choses d’en haut. Nous pouvons le faire sous trois rapports. Notre conduite, notre mentalité, notre soutien à la prédication – TG2014  15/10 p28

    Dans le monde d’aujourd’hui, le chagrin, les souffrances et la mort sont partout. Les humains gémissent, souffrent et meurent (Romains 8:22) C’est pour cela que nous avons besoin du monde nouveau de Jéhovah où la guérison physique complète promise par Dieu aura lieu. Dans ce monde-là, tous les humains auront ce que Jéhovah a promis : une santé parfaite. Notre reconnaissance sincère envers Dieu et notre foi profonde dans ses promesses devraient dès maintenant nous pousser à faire tout notre possible pour être dignes de vivre dans le monde nouveau. – TG2015  15/6 p12 §18

    Une image nette de notre récompense invisible nous aide à persévérer, à être joyeux et à prendre des décisions en fonction de notre espoir de vivre éternellement. Paul a écrit à des chrétiens oints : « Si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous continuons à l’attendre avec endurance » (Rom. 8:25). En fait, ces paroles s’appliquent à tous les chrétiens qui espèrent vivre éternellement. Bien que nous n’ayons pas encore reçu notre « récompense », notre foi est si forte que nous continuons à l’attendre patiemment. Comme Moïse, nous ne considérons aucune année passée à servir Jéhovah comme du temps perdu. TG2014  15/4 p3

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    misette got a reaction from Claud's Lst in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 FEVRIER 2019 - ROMAINS 4-6   
    Je te remercie beaucoup c'est très encourageant. Tant que  nous disposons de cette nourriture spirituelle, profitons-en !
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    misette got a reaction from Coco in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 FEVRIER 2019 - ROMAINS 4-6   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 4-6

    Romains 6:3-5 : Que signifie être baptisé « dans Christ Jésus » et « dans sa mort » ? (w08 15/6 29 § 7).

    « ou bien ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? 4 Nous avons donc été enterrés avec lui par notre baptême dans sa mort, afin que, de même que Christ a été ressuscité par la gloire du Père, nous aussi nous menions une vie nouvelle. 5 Si nous nous sommes unis à lui dans la ressemblance de sa mort, à coup sûr nous serons aussi unis à lui dans la ressemblance de sa résurrection »

    Quand Jéhovah oint des disciples de Christ avec l’esprit saint, ceux-ci sont unis à Jésus et deviennent des membres de la congrégation, qui est le corps de Christ, dont lui-même est la Tête (1 Cor. 12:12, 13, 27 ; Col. 1:18). C’est leur baptême dans Christ Jésus. Les chrétiens oints sont aussi “ baptisés dans [l]a mort ” de Christ en ce sens que leur vie constitue un sacrifice et qu’ils renoncent à tout espoir de vie éternelle sur la terre. Leur mort a donc un caractère sacrificiel, comme celle de Jésus, même si elle n’a pas de valeur rédemptrice. Ce baptême dans la mort de Christ s’achève quand ils meurent et qu’ils sont ressuscités pour la vie au ciel. - w08 15/6 29 § 7

    Romains 6:3, qui dit : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” Ce verset ne laisse aucun doute : il n’est pas question d’un baptême auquel un chrétien se soumet en faveur de quelqu’un qui est déjà mort, mais plutôt de quelque chose qui a une incidence sur son propre avenir.

    C’est Jéhovah Dieu qui se charge de donner ce baptême dans Christ Jésus ainsi que le baptême dans sa mort. Il oignit Jésus, ce qui fit de lui le Christ ou Oint. Ainsi, Dieu baptisa Jésus avec l’esprit saint afin que, par Jésus, ses disciples puissent être par la suite baptisés avec de l’esprit saint. Par conséquent, ceux qui deviennent ses cohéritiers, qui ont l’espérance céleste, doivent être “ baptisés dans Christ Jésus ”, c’est-à-dire dans Jésus Oint, qui, au moment de son onction, fut aussi engendré pour être un fils spirituel de Dieu. Ils deviennent de cette manière unis à lui, leur Chef, et deviennent membres de la congrégation qui est le corps de Christ. L’objectif des disciples chrétiens qui sont baptisés dans Christ Jésus consiste à rester intègres dans l’épreuve à partir du moment où ils sont baptisés dans Christ ; ils affrontent chaque jour la mort pour finalement mourir intègres. Le baptême de ces chrétiens oints dans la mort de Christ s’achève quand, après être morts fidèles, ils sont ressuscités créatures spirituelles pour régner avec Christ au ciel - it-1 p266-267


    Romains 6:7 : Pourquoi les ressuscités ne seront-ils pas jugés en fonction des péchés qu’ils auront commis avant leur mort ? (w14 1/6 11 § 1).

    « Car celui qui est mort a été acquitté de son péché ».

    Après leur résurrection, les injustes seront-ils jugés sur la base de leurs actions passées ? Non. Une fois morts, les injustes auront payé pour leurs péchés. Ils seront donc jugés sur la base de ce qu’ils feront après leur résurrection, et non de ce qu’ils auront fait quand ils étaient dans l’ignorance, avant de mourir. Comment pourront-ils mettre à profit leur nouvelle vie ? Les injustes ressuscités auront l’occasion de prendre connaissance des lois de Dieu, qui seront révélées à l’ouverture de rouleaux symboliques. Ils seront alors jugés « selon leurs actions », c’est-à-dire selon leur façon de réagir aux lois de Dieu (Révélation 20:12, 13). Pour bon nombre de ces injustes, ce sera, non une seconde chance, mais la première véritable occasion d’obtenir la vie éternelle sur terre en apprenant à connaître la volonté de Dieu et en l’accomplissant - w14 1/6 11 § 1

    Les ressuscités seront jugés en fonction de ce qu’ils feront pendant le jour du jugement, et non sur la base de ce qu’ils auront fait avant leur résurrection. . Des “ rouleaux ” seront ouverts, et ce sont les actions que chacun accomplira après avoir pris connaissance de ces rouleaux qui détermineront si son nom sera écrit ou pas dans “ le rouleau de vie ”.Quand une personne meurt, elle ne continue pas à payer pour ses péchés. – TG2014  1/7

    Les personnes qui sont mortes ont été acquittées — c’est-à-dire pardonnées — de leurs péchés. Après la mort, il n’y a pas d’autre punition pour les péchés. – wp2016/1 p16


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Comme Abraham, nous attendons que les promesses de Jéhovah se réalisent. Nous devons penser aux choses d’en haut. Sinon nous risquons de penser que ses promesses mettent trop de temps à se réaliser et nous prêcherons peut-être moins. Abraham a fait tout ce qu’il a pu pour Jéhovah. Et il pensait aux bienfaits que Jéhovah allait lui apporter. Il a eu foi en Jéhovah. C’est pour cela que Jéhovah a dit qu’il était son ami. (Romains 4:3) – ws2014  15/10 p22 §9

    4:9-12. La foi d’Abraham lui a été comptée comme justice bien avant qu’il n’ait été circoncis, à l’âge de 99 ans. Dieu a ainsi montré de façon magistrale à quelle condition on peut être juste à ses yeux.

    Abraham, Isaac, Jacob et tous les fidèles serviteurs de Jéhovah qui sont morts ? « Ils sont tous vivants pour lui » (Luc 20:38). Jéhovah est le Dieu des vivants. Jéhovah est tellement certain de les ressusciter qu’il les considère comme vivants (Romains 4:16, 17). Il les gardera dans sa mémoire infinie jusqu’au moment où il a prévu de les ramener à la vie. Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. La perspective de retrouver un être cher nous attire-t-elle ? Dans ce cas, souvenons-nous que Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. Rien ne peut l’empêcher de réaliser sa promesse.  – TG2013  1/ 2 p7

    La foi d’Abraham était étroitement liée à son espérance. “ S’appuyant [...] sur l’espérance, il eut foi, pour qu’il devienne le père de beaucoup de nations. ” (Romains 4:18). C’est là un deuxième élément qui peut nous aider. Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. Si nous croyons vraiment à l’espérance chrétienne, toute notre vie sera, comme dans le cas d’Abraham, une démonstration de notre foi. – TG1999  1/1 §9

    Quatre choses ont affermi la foi d’Abraham - Premièrement, il a démontré sa foi en Jéhovah en tenant compte de ce que Dieu lui disait. De nos jours, Jéhovah nous parle à travers la Bible, sa Parole inspirée Deuxièmement, sa foi était étroitement liée à son espérance (Romains 4:18). Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Troisièmement, Abraham parlait souvent avec Jéhovah. Nous aussi nous pouvons parler avec Jéhovah en utilisant le don qu’est la prière par l’intermédiaire de Jésus Christ. Quatrièmement, Jéhovah soutenait Abraham quand ce dernier se laissait guider par Lui. Ces mêmes choses peuvent fortifier notre foi aujourd’hui. – TG1999  1/1

    Paul a parlé d’Abraham, d’un homme de foi qui a vécu avant que Jéhovah ne donne la Loi à Israël et bien avant que Jésus ne meure pour nos péchés. Jéhovah a pourtant noté la foi remarquable d’Abraham et il l’a considéré comme juste (Romains 4:20-22). Pareillement aujourd’hui, Jéhovah peut considérer comme justes les chrétiens qui manifestent la foi et nourrissent l’espérance de vivre éternellement sur la terre. – TG2016/12 p13 §3

    Les humbles ne peuvent connaître Jéhovah et devenir ses intimes que par l’intermédiaire de Jésus. C’est seulement grâce à Jésus que Jéhovah permet aux gens modestes d’être ses amis. Les humains étaient tous esclaves du péché. Comment les Écritures soulignent-elles cette vérité ? Paul a écrit : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:6-8). Jéhovah a fourni le sacrifice rédempteur de Jésus, non parce que les humains en sont dignes, mais parce qu’il les aime. – ws2014  15/8 p15 §9

    Dieu nous a « aimés le premier ». Comment ? L’apôtre Paul répond : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:8). Par ce sacrifice remarquable, le sacrifice de son propre fils comme rançon en faveur des humains croyants, Jéhovah a démontré la véritable nature de l’amour. L’amour s’exprime en donnant et en agissant de manière désintéressée, ou avec abnégation. Grâce à cet acte extrêmement généreux, nous avons la possibilité d’aller vers Dieu pour bénéficier de son amour et, en retour, de lui montrer le nôtre TG2015 15/9 p23§2

    La réconciliation rendue possible. Le péché crée une séparation entre Dieu et l’homme, car Jéhovah condamne le péché. Pour que le fossé entre l’homme et son Créateur puisse être comblé, il fallait donc que le péché soit réellement couvert. Mais Jéhovah Dieu a rendu possible la réconciliation entre lui et les humains pécheurs grâce à l’homme parfait Jésus Christ. Ainsi, l’apôtre Paul écrivit : “ Nous nous glorifions aussi en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, grâce à qui nous avons maintenant reçu la réconciliation. ” (Romains 5:11). Pour obtenir la faveur de Jéhovah, il faut accepter la réconciliation que Dieu offre par l’intermédiaire de Jésus Christ. Ce n’est que par ce moyen qu’il est possible d’accéder à la condition qui fut celle d’Adam avant qu’il ne pèche. Dieu révéla tout son amour en rendant cette réconciliation possible. Romains 5:6-10. - it-2 p679

    Pourquoi Jéhovah peut traiter avec des humains imparfaits. Les normes de justice de Jéhovah lui permirent d’agir différemment avec les enfants d’Adam et Ève qu’avec Adam et Ève eux-mêmes. Pourquoi cela ? Ayant hérité du péché, c’est involontairement qu’ils viennent au monde créatures imparfaites, naturellement enclines au mal (Romains 5:12). Jéhovah avait donc une raison d’être miséricordieux envers eux - it-1 p1263

    Comment pouvons-nous « saisir fermement la vie véritable » ? Nous devons mettre en pratique ce que nous apprenons dans la Bible. Mais ce n’est pas grâce à nos efforts que nous obtiendrons la vie véritable. Nous ne pouvons pas gagner la vie éternelle. C’est un cadeau de Jéhovah, une « faveur imméritée » (Romains 5:15). Notre Père céleste veut vraiment offrir ce cadeau à ses serviteurs. – bhs chap19 §22

    C’est Jéhovah qui nous a donné un corps et la vie. Nous devons donc les utiliser comme il le veut. Nous devons prendre soin de notre corps. Sinon, aux yeux de Dieu, nous serons impurs (Romains 6:19). Nous ne pouvons pas adorer Jéhovah, qui nous a donné la vie, si, pour nous, la vie n’est pas précieuse. Ce sera peut-être très difficile d’abandonner de mauvaises habitudes. Mais si, parce que nous respectons la vie, nous faisons des efforts pour y arriver, Jéhovah nous aidera. – bhs chap13 §7


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Qu’est-ce qui a aidé Abraham et Sara à rester fidèle à Jéhovah et à conserver leur joie ? Dans ses vieux jours, Abraham, qui croyait aux promesses divines, « devint puissant par sa foi » (Rom. 4:19, 20). Nous aussi, nous devons avoir une foi forte. Une telle foi ne dépend pas de notre âge, de nos aptitudes ou de notre situation. Nous renforçons notre foi en priant, en examinant la Parole de Dieu et en assistant aux réunions chrétiennes. – TG2015  15/7  p12

    Quand nous prêchons, nous ressentons une paix durable parce que nous savons que nous faisons plaisir à Jéhovah et à Jésus, et cette paix nous aide à faire preuve d’endurance dans la prédication (Rom. 5:3, 4) – TG2018 P Mai p17 §15

    Pour contrebalancer le péché d’Adam, il fallait que Jésus meure, non en enfant parfait, mais en homme parfait. N’oublions pas en effet qu’Adam avait péché volontairement, totalement conscient de la gravité et des conséquences de son acte. Pour que Jésus devienne “ le dernier Adam ” et couvre ce péché, il était nécessaire que sa fidélité à Jéhovah soit le fruit d’une décision mûre et consciente. L’ensemble de sa vie fidèle, achevée par sa mort sacrificielle, a ainsi constitué “ un seul acte de justification ”. Romains 5:18, 19. – cl p145

    En quel sens Jésus est-il “ celui qui seul a l’immortalité ” ? - Le premier dont la Bible dit qu’il a reçu le don de l’immortalité est Jésus Christ. Les paroles inspirées de l’apôtre Paul en Romains 6:9 révèlent que Jésus ne possédait pas l’immortalité avant d’être ressuscité par Dieu. On lit : “ Christ, maintenant qu’il a été relevé d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. ”C’est pourquoi, lorsque 1 Timothée 6:15, 16 présente Jésus comme “ le Roi de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent ”, cela signifie qu’il se distingue de tous les autres rois et seigneurs en ce qu’il est “ celui qui seul a l’immortalité ”. En effet, les autres rois et seigneurs meurent puisqu’ils sont mortels, comme moururent aussi les grands prêtres d’Israël. En revanche, Jésus glorifié, établi par Dieu Grand Prêtre à la manière de Melkisédeck, a “ une vie indestructible ”. Hé 7:15-17, 23-25. Ici, le mot “ indestructible ” traduit le terme grec akatalutos, qui signifie littéralement “ indissoluble ” La vie immortelle que Jésus reçut à sa résurrection n’est pas seulement une vie sans fin : elle est à l’abri de toute détérioration ou dissolution, à l’abri de toute destruction - it-1 p1175

  4. Thanks
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 4-6

    Romains 6:3-5 : Que signifie être baptisé « dans Christ Jésus » et « dans sa mort » ? (w08 15/6 29 § 7).

    « ou bien ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? 4 Nous avons donc été enterrés avec lui par notre baptême dans sa mort, afin que, de même que Christ a été ressuscité par la gloire du Père, nous aussi nous menions une vie nouvelle. 5 Si nous nous sommes unis à lui dans la ressemblance de sa mort, à coup sûr nous serons aussi unis à lui dans la ressemblance de sa résurrection »

    Quand Jéhovah oint des disciples de Christ avec l’esprit saint, ceux-ci sont unis à Jésus et deviennent des membres de la congrégation, qui est le corps de Christ, dont lui-même est la Tête (1 Cor. 12:12, 13, 27 ; Col. 1:18). C’est leur baptême dans Christ Jésus. Les chrétiens oints sont aussi “ baptisés dans [l]a mort ” de Christ en ce sens que leur vie constitue un sacrifice et qu’ils renoncent à tout espoir de vie éternelle sur la terre. Leur mort a donc un caractère sacrificiel, comme celle de Jésus, même si elle n’a pas de valeur rédemptrice. Ce baptême dans la mort de Christ s’achève quand ils meurent et qu’ils sont ressuscités pour la vie au ciel. - w08 15/6 29 § 7

    Romains 6:3, qui dit : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” Ce verset ne laisse aucun doute : il n’est pas question d’un baptême auquel un chrétien se soumet en faveur de quelqu’un qui est déjà mort, mais plutôt de quelque chose qui a une incidence sur son propre avenir.

    C’est Jéhovah Dieu qui se charge de donner ce baptême dans Christ Jésus ainsi que le baptême dans sa mort. Il oignit Jésus, ce qui fit de lui le Christ ou Oint. Ainsi, Dieu baptisa Jésus avec l’esprit saint afin que, par Jésus, ses disciples puissent être par la suite baptisés avec de l’esprit saint. Par conséquent, ceux qui deviennent ses cohéritiers, qui ont l’espérance céleste, doivent être “ baptisés dans Christ Jésus ”, c’est-à-dire dans Jésus Oint, qui, au moment de son onction, fut aussi engendré pour être un fils spirituel de Dieu. Ils deviennent de cette manière unis à lui, leur Chef, et deviennent membres de la congrégation qui est le corps de Christ. L’objectif des disciples chrétiens qui sont baptisés dans Christ Jésus consiste à rester intègres dans l’épreuve à partir du moment où ils sont baptisés dans Christ ; ils affrontent chaque jour la mort pour finalement mourir intègres. Le baptême de ces chrétiens oints dans la mort de Christ s’achève quand, après être morts fidèles, ils sont ressuscités créatures spirituelles pour régner avec Christ au ciel - it-1 p266-267


    Romains 6:7 : Pourquoi les ressuscités ne seront-ils pas jugés en fonction des péchés qu’ils auront commis avant leur mort ? (w14 1/6 11 § 1).

    « Car celui qui est mort a été acquitté de son péché ».

    Après leur résurrection, les injustes seront-ils jugés sur la base de leurs actions passées ? Non. Une fois morts, les injustes auront payé pour leurs péchés. Ils seront donc jugés sur la base de ce qu’ils feront après leur résurrection, et non de ce qu’ils auront fait quand ils étaient dans l’ignorance, avant de mourir. Comment pourront-ils mettre à profit leur nouvelle vie ? Les injustes ressuscités auront l’occasion de prendre connaissance des lois de Dieu, qui seront révélées à l’ouverture de rouleaux symboliques. Ils seront alors jugés « selon leurs actions », c’est-à-dire selon leur façon de réagir aux lois de Dieu (Révélation 20:12, 13). Pour bon nombre de ces injustes, ce sera, non une seconde chance, mais la première véritable occasion d’obtenir la vie éternelle sur terre en apprenant à connaître la volonté de Dieu et en l’accomplissant - w14 1/6 11 § 1

    Les ressuscités seront jugés en fonction de ce qu’ils feront pendant le jour du jugement, et non sur la base de ce qu’ils auront fait avant leur résurrection. . Des “ rouleaux ” seront ouverts, et ce sont les actions que chacun accomplira après avoir pris connaissance de ces rouleaux qui détermineront si son nom sera écrit ou pas dans “ le rouleau de vie ”.Quand une personne meurt, elle ne continue pas à payer pour ses péchés. – TG2014  1/7

    Les personnes qui sont mortes ont été acquittées — c’est-à-dire pardonnées — de leurs péchés. Après la mort, il n’y a pas d’autre punition pour les péchés. – wp2016/1 p16


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Comme Abraham, nous attendons que les promesses de Jéhovah se réalisent. Nous devons penser aux choses d’en haut. Sinon nous risquons de penser que ses promesses mettent trop de temps à se réaliser et nous prêcherons peut-être moins. Abraham a fait tout ce qu’il a pu pour Jéhovah. Et il pensait aux bienfaits que Jéhovah allait lui apporter. Il a eu foi en Jéhovah. C’est pour cela que Jéhovah a dit qu’il était son ami. (Romains 4:3) – ws2014  15/10 p22 §9

    4:9-12. La foi d’Abraham lui a été comptée comme justice bien avant qu’il n’ait été circoncis, à l’âge de 99 ans. Dieu a ainsi montré de façon magistrale à quelle condition on peut être juste à ses yeux.

    Abraham, Isaac, Jacob et tous les fidèles serviteurs de Jéhovah qui sont morts ? « Ils sont tous vivants pour lui » (Luc 20:38). Jéhovah est le Dieu des vivants. Jéhovah est tellement certain de les ressusciter qu’il les considère comme vivants (Romains 4:16, 17). Il les gardera dans sa mémoire infinie jusqu’au moment où il a prévu de les ramener à la vie. Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. La perspective de retrouver un être cher nous attire-t-elle ? Dans ce cas, souvenons-nous que Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. Rien ne peut l’empêcher de réaliser sa promesse.  – TG2013  1/ 2 p7

    La foi d’Abraham était étroitement liée à son espérance. “ S’appuyant [...] sur l’espérance, il eut foi, pour qu’il devienne le père de beaucoup de nations. ” (Romains 4:18). C’est là un deuxième élément qui peut nous aider. Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. Si nous croyons vraiment à l’espérance chrétienne, toute notre vie sera, comme dans le cas d’Abraham, une démonstration de notre foi. – TG1999  1/1 §9

    Quatre choses ont affermi la foi d’Abraham - Premièrement, il a démontré sa foi en Jéhovah en tenant compte de ce que Dieu lui disait. De nos jours, Jéhovah nous parle à travers la Bible, sa Parole inspirée Deuxièmement, sa foi était étroitement liée à son espérance (Romains 4:18). Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Troisièmement, Abraham parlait souvent avec Jéhovah. Nous aussi nous pouvons parler avec Jéhovah en utilisant le don qu’est la prière par l’intermédiaire de Jésus Christ. Quatrièmement, Jéhovah soutenait Abraham quand ce dernier se laissait guider par Lui. Ces mêmes choses peuvent fortifier notre foi aujourd’hui. – TG1999  1/1

    Paul a parlé d’Abraham, d’un homme de foi qui a vécu avant que Jéhovah ne donne la Loi à Israël et bien avant que Jésus ne meure pour nos péchés. Jéhovah a pourtant noté la foi remarquable d’Abraham et il l’a considéré comme juste (Romains 4:20-22). Pareillement aujourd’hui, Jéhovah peut considérer comme justes les chrétiens qui manifestent la foi et nourrissent l’espérance de vivre éternellement sur la terre. – TG2016/12 p13 §3

    Les humbles ne peuvent connaître Jéhovah et devenir ses intimes que par l’intermédiaire de Jésus. C’est seulement grâce à Jésus que Jéhovah permet aux gens modestes d’être ses amis. Les humains étaient tous esclaves du péché. Comment les Écritures soulignent-elles cette vérité ? Paul a écrit : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:6-8). Jéhovah a fourni le sacrifice rédempteur de Jésus, non parce que les humains en sont dignes, mais parce qu’il les aime. – ws2014  15/8 p15 §9

    Dieu nous a « aimés le premier ». Comment ? L’apôtre Paul répond : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:8). Par ce sacrifice remarquable, le sacrifice de son propre fils comme rançon en faveur des humains croyants, Jéhovah a démontré la véritable nature de l’amour. L’amour s’exprime en donnant et en agissant de manière désintéressée, ou avec abnégation. Grâce à cet acte extrêmement généreux, nous avons la possibilité d’aller vers Dieu pour bénéficier de son amour et, en retour, de lui montrer le nôtre TG2015 15/9 p23§2

    La réconciliation rendue possible. Le péché crée une séparation entre Dieu et l’homme, car Jéhovah condamne le péché. Pour que le fossé entre l’homme et son Créateur puisse être comblé, il fallait donc que le péché soit réellement couvert. Mais Jéhovah Dieu a rendu possible la réconciliation entre lui et les humains pécheurs grâce à l’homme parfait Jésus Christ. Ainsi, l’apôtre Paul écrivit : “ Nous nous glorifions aussi en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, grâce à qui nous avons maintenant reçu la réconciliation. ” (Romains 5:11). Pour obtenir la faveur de Jéhovah, il faut accepter la réconciliation que Dieu offre par l’intermédiaire de Jésus Christ. Ce n’est que par ce moyen qu’il est possible d’accéder à la condition qui fut celle d’Adam avant qu’il ne pèche. Dieu révéla tout son amour en rendant cette réconciliation possible. Romains 5:6-10. - it-2 p679

    Pourquoi Jéhovah peut traiter avec des humains imparfaits. Les normes de justice de Jéhovah lui permirent d’agir différemment avec les enfants d’Adam et Ève qu’avec Adam et Ève eux-mêmes. Pourquoi cela ? Ayant hérité du péché, c’est involontairement qu’ils viennent au monde créatures imparfaites, naturellement enclines au mal (Romains 5:12). Jéhovah avait donc une raison d’être miséricordieux envers eux - it-1 p1263

    Comment pouvons-nous « saisir fermement la vie véritable » ? Nous devons mettre en pratique ce que nous apprenons dans la Bible. Mais ce n’est pas grâce à nos efforts que nous obtiendrons la vie véritable. Nous ne pouvons pas gagner la vie éternelle. C’est un cadeau de Jéhovah, une « faveur imméritée » (Romains 5:15). Notre Père céleste veut vraiment offrir ce cadeau à ses serviteurs. – bhs chap19 §22

    C’est Jéhovah qui nous a donné un corps et la vie. Nous devons donc les utiliser comme il le veut. Nous devons prendre soin de notre corps. Sinon, aux yeux de Dieu, nous serons impurs (Romains 6:19). Nous ne pouvons pas adorer Jéhovah, qui nous a donné la vie, si, pour nous, la vie n’est pas précieuse. Ce sera peut-être très difficile d’abandonner de mauvaises habitudes. Mais si, parce que nous respectons la vie, nous faisons des efforts pour y arriver, Jéhovah nous aidera. – bhs chap13 §7


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Qu’est-ce qui a aidé Abraham et Sara à rester fidèle à Jéhovah et à conserver leur joie ? Dans ses vieux jours, Abraham, qui croyait aux promesses divines, « devint puissant par sa foi » (Rom. 4:19, 20). Nous aussi, nous devons avoir une foi forte. Une telle foi ne dépend pas de notre âge, de nos aptitudes ou de notre situation. Nous renforçons notre foi en priant, en examinant la Parole de Dieu et en assistant aux réunions chrétiennes. – TG2015  15/7  p12

    Quand nous prêchons, nous ressentons une paix durable parce que nous savons que nous faisons plaisir à Jéhovah et à Jésus, et cette paix nous aide à faire preuve d’endurance dans la prédication (Rom. 5:3, 4) – TG2018 P Mai p17 §15

    Pour contrebalancer le péché d’Adam, il fallait que Jésus meure, non en enfant parfait, mais en homme parfait. N’oublions pas en effet qu’Adam avait péché volontairement, totalement conscient de la gravité et des conséquences de son acte. Pour que Jésus devienne “ le dernier Adam ” et couvre ce péché, il était nécessaire que sa fidélité à Jéhovah soit le fruit d’une décision mûre et consciente. L’ensemble de sa vie fidèle, achevée par sa mort sacrificielle, a ainsi constitué “ un seul acte de justification ”. Romains 5:18, 19. – cl p145

    En quel sens Jésus est-il “ celui qui seul a l’immortalité ” ? - Le premier dont la Bible dit qu’il a reçu le don de l’immortalité est Jésus Christ. Les paroles inspirées de l’apôtre Paul en Romains 6:9 révèlent que Jésus ne possédait pas l’immortalité avant d’être ressuscité par Dieu. On lit : “ Christ, maintenant qu’il a été relevé d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. ”C’est pourquoi, lorsque 1 Timothée 6:15, 16 présente Jésus comme “ le Roi de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent ”, cela signifie qu’il se distingue de tous les autres rois et seigneurs en ce qu’il est “ celui qui seul a l’immortalité ”. En effet, les autres rois et seigneurs meurent puisqu’ils sont mortels, comme moururent aussi les grands prêtres d’Israël. En revanche, Jésus glorifié, établi par Dieu Grand Prêtre à la manière de Melkisédeck, a “ une vie indestructible ”. Hé 7:15-17, 23-25. Ici, le mot “ indestructible ” traduit le terme grec akatalutos, qui signifie littéralement “ indissoluble ” La vie immortelle que Jésus reçut à sa résurrection n’est pas seulement une vie sans fin : elle est à l’abri de toute détérioration ou dissolution, à l’abri de toute destruction - it-1 p1175

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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 4-6

    Romains 6:3-5 : Que signifie être baptisé « dans Christ Jésus » et « dans sa mort » ? (w08 15/6 29 § 7).

    « ou bien ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? 4 Nous avons donc été enterrés avec lui par notre baptême dans sa mort, afin que, de même que Christ a été ressuscité par la gloire du Père, nous aussi nous menions une vie nouvelle. 5 Si nous nous sommes unis à lui dans la ressemblance de sa mort, à coup sûr nous serons aussi unis à lui dans la ressemblance de sa résurrection »

    Quand Jéhovah oint des disciples de Christ avec l’esprit saint, ceux-ci sont unis à Jésus et deviennent des membres de la congrégation, qui est le corps de Christ, dont lui-même est la Tête (1 Cor. 12:12, 13, 27 ; Col. 1:18). C’est leur baptême dans Christ Jésus. Les chrétiens oints sont aussi “ baptisés dans [l]a mort ” de Christ en ce sens que leur vie constitue un sacrifice et qu’ils renoncent à tout espoir de vie éternelle sur la terre. Leur mort a donc un caractère sacrificiel, comme celle de Jésus, même si elle n’a pas de valeur rédemptrice. Ce baptême dans la mort de Christ s’achève quand ils meurent et qu’ils sont ressuscités pour la vie au ciel. - w08 15/6 29 § 7

    Romains 6:3, qui dit : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” Ce verset ne laisse aucun doute : il n’est pas question d’un baptême auquel un chrétien se soumet en faveur de quelqu’un qui est déjà mort, mais plutôt de quelque chose qui a une incidence sur son propre avenir.

    C’est Jéhovah Dieu qui se charge de donner ce baptême dans Christ Jésus ainsi que le baptême dans sa mort. Il oignit Jésus, ce qui fit de lui le Christ ou Oint. Ainsi, Dieu baptisa Jésus avec l’esprit saint afin que, par Jésus, ses disciples puissent être par la suite baptisés avec de l’esprit saint. Par conséquent, ceux qui deviennent ses cohéritiers, qui ont l’espérance céleste, doivent être “ baptisés dans Christ Jésus ”, c’est-à-dire dans Jésus Oint, qui, au moment de son onction, fut aussi engendré pour être un fils spirituel de Dieu. Ils deviennent de cette manière unis à lui, leur Chef, et deviennent membres de la congrégation qui est le corps de Christ. L’objectif des disciples chrétiens qui sont baptisés dans Christ Jésus consiste à rester intègres dans l’épreuve à partir du moment où ils sont baptisés dans Christ ; ils affrontent chaque jour la mort pour finalement mourir intègres. Le baptême de ces chrétiens oints dans la mort de Christ s’achève quand, après être morts fidèles, ils sont ressuscités créatures spirituelles pour régner avec Christ au ciel - it-1 p266-267


    Romains 6:7 : Pourquoi les ressuscités ne seront-ils pas jugés en fonction des péchés qu’ils auront commis avant leur mort ? (w14 1/6 11 § 1).

    « Car celui qui est mort a été acquitté de son péché ».

    Après leur résurrection, les injustes seront-ils jugés sur la base de leurs actions passées ? Non. Une fois morts, les injustes auront payé pour leurs péchés. Ils seront donc jugés sur la base de ce qu’ils feront après leur résurrection, et non de ce qu’ils auront fait quand ils étaient dans l’ignorance, avant de mourir. Comment pourront-ils mettre à profit leur nouvelle vie ? Les injustes ressuscités auront l’occasion de prendre connaissance des lois de Dieu, qui seront révélées à l’ouverture de rouleaux symboliques. Ils seront alors jugés « selon leurs actions », c’est-à-dire selon leur façon de réagir aux lois de Dieu (Révélation 20:12, 13). Pour bon nombre de ces injustes, ce sera, non une seconde chance, mais la première véritable occasion d’obtenir la vie éternelle sur terre en apprenant à connaître la volonté de Dieu et en l’accomplissant - w14 1/6 11 § 1

    Les ressuscités seront jugés en fonction de ce qu’ils feront pendant le jour du jugement, et non sur la base de ce qu’ils auront fait avant leur résurrection. . Des “ rouleaux ” seront ouverts, et ce sont les actions que chacun accomplira après avoir pris connaissance de ces rouleaux qui détermineront si son nom sera écrit ou pas dans “ le rouleau de vie ”.Quand une personne meurt, elle ne continue pas à payer pour ses péchés. – TG2014  1/7

    Les personnes qui sont mortes ont été acquittées — c’est-à-dire pardonnées — de leurs péchés. Après la mort, il n’y a pas d’autre punition pour les péchés. – wp2016/1 p16


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Comme Abraham, nous attendons que les promesses de Jéhovah se réalisent. Nous devons penser aux choses d’en haut. Sinon nous risquons de penser que ses promesses mettent trop de temps à se réaliser et nous prêcherons peut-être moins. Abraham a fait tout ce qu’il a pu pour Jéhovah. Et il pensait aux bienfaits que Jéhovah allait lui apporter. Il a eu foi en Jéhovah. C’est pour cela que Jéhovah a dit qu’il était son ami. (Romains 4:3) – ws2014  15/10 p22 §9

    4:9-12. La foi d’Abraham lui a été comptée comme justice bien avant qu’il n’ait été circoncis, à l’âge de 99 ans. Dieu a ainsi montré de façon magistrale à quelle condition on peut être juste à ses yeux.

    Abraham, Isaac, Jacob et tous les fidèles serviteurs de Jéhovah qui sont morts ? « Ils sont tous vivants pour lui » (Luc 20:38). Jéhovah est le Dieu des vivants. Jéhovah est tellement certain de les ressusciter qu’il les considère comme vivants (Romains 4:16, 17). Il les gardera dans sa mémoire infinie jusqu’au moment où il a prévu de les ramener à la vie. Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. La perspective de retrouver un être cher nous attire-t-elle ? Dans ce cas, souvenons-nous que Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. Rien ne peut l’empêcher de réaliser sa promesse.  – TG2013  1/ 2 p7

    La foi d’Abraham était étroitement liée à son espérance. “ S’appuyant [...] sur l’espérance, il eut foi, pour qu’il devienne le père de beaucoup de nations. ” (Romains 4:18). C’est là un deuxième élément qui peut nous aider. Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. Si nous croyons vraiment à l’espérance chrétienne, toute notre vie sera, comme dans le cas d’Abraham, une démonstration de notre foi. – TG1999  1/1 §9

    Quatre choses ont affermi la foi d’Abraham - Premièrement, il a démontré sa foi en Jéhovah en tenant compte de ce que Dieu lui disait. De nos jours, Jéhovah nous parle à travers la Bible, sa Parole inspirée Deuxièmement, sa foi était étroitement liée à son espérance (Romains 4:18). Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Troisièmement, Abraham parlait souvent avec Jéhovah. Nous aussi nous pouvons parler avec Jéhovah en utilisant le don qu’est la prière par l’intermédiaire de Jésus Christ. Quatrièmement, Jéhovah soutenait Abraham quand ce dernier se laissait guider par Lui. Ces mêmes choses peuvent fortifier notre foi aujourd’hui. – TG1999  1/1

    Paul a parlé d’Abraham, d’un homme de foi qui a vécu avant que Jéhovah ne donne la Loi à Israël et bien avant que Jésus ne meure pour nos péchés. Jéhovah a pourtant noté la foi remarquable d’Abraham et il l’a considéré comme juste (Romains 4:20-22). Pareillement aujourd’hui, Jéhovah peut considérer comme justes les chrétiens qui manifestent la foi et nourrissent l’espérance de vivre éternellement sur la terre. – TG2016/12 p13 §3

    Les humbles ne peuvent connaître Jéhovah et devenir ses intimes que par l’intermédiaire de Jésus. C’est seulement grâce à Jésus que Jéhovah permet aux gens modestes d’être ses amis. Les humains étaient tous esclaves du péché. Comment les Écritures soulignent-elles cette vérité ? Paul a écrit : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:6-8). Jéhovah a fourni le sacrifice rédempteur de Jésus, non parce que les humains en sont dignes, mais parce qu’il les aime. – ws2014  15/8 p15 §9

    Dieu nous a « aimés le premier ». Comment ? L’apôtre Paul répond : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:8). Par ce sacrifice remarquable, le sacrifice de son propre fils comme rançon en faveur des humains croyants, Jéhovah a démontré la véritable nature de l’amour. L’amour s’exprime en donnant et en agissant de manière désintéressée, ou avec abnégation. Grâce à cet acte extrêmement généreux, nous avons la possibilité d’aller vers Dieu pour bénéficier de son amour et, en retour, de lui montrer le nôtre TG2015 15/9 p23§2

    La réconciliation rendue possible. Le péché crée une séparation entre Dieu et l’homme, car Jéhovah condamne le péché. Pour que le fossé entre l’homme et son Créateur puisse être comblé, il fallait donc que le péché soit réellement couvert. Mais Jéhovah Dieu a rendu possible la réconciliation entre lui et les humains pécheurs grâce à l’homme parfait Jésus Christ. Ainsi, l’apôtre Paul écrivit : “ Nous nous glorifions aussi en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, grâce à qui nous avons maintenant reçu la réconciliation. ” (Romains 5:11). Pour obtenir la faveur de Jéhovah, il faut accepter la réconciliation que Dieu offre par l’intermédiaire de Jésus Christ. Ce n’est que par ce moyen qu’il est possible d’accéder à la condition qui fut celle d’Adam avant qu’il ne pèche. Dieu révéla tout son amour en rendant cette réconciliation possible. Romains 5:6-10. - it-2 p679

    Pourquoi Jéhovah peut traiter avec des humains imparfaits. Les normes de justice de Jéhovah lui permirent d’agir différemment avec les enfants d’Adam et Ève qu’avec Adam et Ève eux-mêmes. Pourquoi cela ? Ayant hérité du péché, c’est involontairement qu’ils viennent au monde créatures imparfaites, naturellement enclines au mal (Romains 5:12). Jéhovah avait donc une raison d’être miséricordieux envers eux - it-1 p1263

    Comment pouvons-nous « saisir fermement la vie véritable » ? Nous devons mettre en pratique ce que nous apprenons dans la Bible. Mais ce n’est pas grâce à nos efforts que nous obtiendrons la vie véritable. Nous ne pouvons pas gagner la vie éternelle. C’est un cadeau de Jéhovah, une « faveur imméritée » (Romains 5:15). Notre Père céleste veut vraiment offrir ce cadeau à ses serviteurs. – bhs chap19 §22

    C’est Jéhovah qui nous a donné un corps et la vie. Nous devons donc les utiliser comme il le veut. Nous devons prendre soin de notre corps. Sinon, aux yeux de Dieu, nous serons impurs (Romains 6:19). Nous ne pouvons pas adorer Jéhovah, qui nous a donné la vie, si, pour nous, la vie n’est pas précieuse. Ce sera peut-être très difficile d’abandonner de mauvaises habitudes. Mais si, parce que nous respectons la vie, nous faisons des efforts pour y arriver, Jéhovah nous aidera. – bhs chap13 §7


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Qu’est-ce qui a aidé Abraham et Sara à rester fidèle à Jéhovah et à conserver leur joie ? Dans ses vieux jours, Abraham, qui croyait aux promesses divines, « devint puissant par sa foi » (Rom. 4:19, 20). Nous aussi, nous devons avoir une foi forte. Une telle foi ne dépend pas de notre âge, de nos aptitudes ou de notre situation. Nous renforçons notre foi en priant, en examinant la Parole de Dieu et en assistant aux réunions chrétiennes. – TG2015  15/7  p12

    Quand nous prêchons, nous ressentons une paix durable parce que nous savons que nous faisons plaisir à Jéhovah et à Jésus, et cette paix nous aide à faire preuve d’endurance dans la prédication (Rom. 5:3, 4) – TG2018 P Mai p17 §15

    Pour contrebalancer le péché d’Adam, il fallait que Jésus meure, non en enfant parfait, mais en homme parfait. N’oublions pas en effet qu’Adam avait péché volontairement, totalement conscient de la gravité et des conséquences de son acte. Pour que Jésus devienne “ le dernier Adam ” et couvre ce péché, il était nécessaire que sa fidélité à Jéhovah soit le fruit d’une décision mûre et consciente. L’ensemble de sa vie fidèle, achevée par sa mort sacrificielle, a ainsi constitué “ un seul acte de justification ”. Romains 5:18, 19. – cl p145

    En quel sens Jésus est-il “ celui qui seul a l’immortalité ” ? - Le premier dont la Bible dit qu’il a reçu le don de l’immortalité est Jésus Christ. Les paroles inspirées de l’apôtre Paul en Romains 6:9 révèlent que Jésus ne possédait pas l’immortalité avant d’être ressuscité par Dieu. On lit : “ Christ, maintenant qu’il a été relevé d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. ”C’est pourquoi, lorsque 1 Timothée 6:15, 16 présente Jésus comme “ le Roi de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent ”, cela signifie qu’il se distingue de tous les autres rois et seigneurs en ce qu’il est “ celui qui seul a l’immortalité ”. En effet, les autres rois et seigneurs meurent puisqu’ils sont mortels, comme moururent aussi les grands prêtres d’Israël. En revanche, Jésus glorifié, établi par Dieu Grand Prêtre à la manière de Melkisédeck, a “ une vie indestructible ”. Hé 7:15-17, 23-25. Ici, le mot “ indestructible ” traduit le terme grec akatalutos, qui signifie littéralement “ indissoluble ” La vie immortelle que Jésus reçut à sa résurrection n’est pas seulement une vie sans fin : elle est à l’abri de toute détérioration ou dissolution, à l’abri de toute destruction - it-1 p1175

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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 1-3

    Romains 3:4 : De quelles façons Dieu peut-il être « reconnu véridique » ? (w08 15/6 30 § 5).

    « Bien sûr que non ! Mais que Dieu soit reconnu véridique, même si tout homme est reconnu menteur, comme c’est écrit : « Pour que tu te révèles juste dans tes paroles et que tu l’emportes lorsqu’on te juge. »

    Quand la parole de l’homme est en contradiction avec ce que Dieu dit dans sa Parole, nous sommes convaincus “ que Dieu sera trouvé véridique ”. Nous nous fions donc au message de la Bible et nous agissons en harmonie avec la volonté de Dieu. En participant avec zèle à l’œuvre consistant à prêcher le Royaume et à faire des disciples, nous pouvons aider autrui à constater que Dieu est véridique. - w08 15/6 30 § 5

    Jéhovah est fidèle dans toutes ses manières d’agir. Ses promesses sont certaines, car il ne peut mentir. Il juge selon la vérité, c’est-à-dire selon ce que les choses sont réellement, et non en se fiant aux apparences.

    L’honneur de Dieu est lié à sa parole. Il ne peut donc la laisser irréalisée, car cela signifierait alors qu’il n’est pas tout-puissant, qu’il n’est pas véridique et qu’il n’est pas le “Dieu de vérité”. À notre époque, sa parole n’est pas retournée à lui sans résultats quand vint le moment de libérer le reste des Israélites spirituels de la domination de Babylone la Grande et de le rétablir dans sa faveur et à son service sur la terre à partir de 1919. – livre Détresse (sl) chap7 §16

    Jéhovah est “ abondant [...] en vérité ”. (Exode 34:6.). Il ne trompe jamais ses fidèles. Le nom même de Jéhovah atteste de sa véracité. Ce nom signifie “ Il fait devenir ”. Il présente Jéhovah comme le Dieu qui devient Celui qui réalise progressivement toutes ses promesses. Personne d’autre n’a cette capacité. Puisqu’il est le Suprême, rien ne peut contrecarrer l’accomplissement de ses desseins. Non seulement il est véridique, mais lui seul a le pouvoir et la sagesse nécessaires pour faire se réaliser toutes ses paroles. Jéhovah est le Dieu de vérité. Il détient la vérité sur tout. Étant véridique dans toutes ses voies, Jéhovah attend de ses adorateurs qu’ils soient eux aussi véridiques. Quiconque souhaite être l’ami de Jéhovah doit exprimer la vérité “ dans son cœur ”, et pas simplement avec ses lèvres. Les vrais amis de Dieu doivent avoir le cœur sincère et faire preuve d’une “ foi sans hypocrisie ”, car les actes de véracité viennent du cœur. – TG2003  1/8


    Romains 3:24, 25 : Comment « la rançon payée par Christ Jésus » pouvait-elle, avant d’avoir été payée, couvrir « les péchés qui s’étaient produits dans le passé » ? (w08 15/6 29 § 6).

    « et c’est comme don gratuit qu’ils sont déclarés justes par sa faveur imméritée, en raison de la libération par la rançon payée par Christ Jésus.  Dieu l’a présenté comme offrande de réconciliation, réconciliation rendue possible grâce à la foi en son sang. C’était pour manifester sa propre justice, parce que Dieu dans son indulgence pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé »

    La première prophétie messianique, consignée en Genèse 3:15, s’est réalisée en 33 de n. è. quand Jésus a été mis à mort sur un poteau de supplice (Gal. 3:13, 16). Toutefois, à l’instant où Jéhovah a prononcé cette prophétie, de son point de vue, le prix de la rançon était pour ainsi dire déjà payé, car rien ne peut empêcher Dieu de réaliser ce qu’il décide de faire. Par conséquent, sur la base du sacrifice à venir de Jésus Christ, Jéhovah a pu pardonner les péchés des descendants d’Adam qui exerçaient la foi dans cette promesse. La rançon rend également possible la résurrection de ces humains des temps préchrétiens - w08 15/6 29 § 6

    Pour compenser la perte de la vie humaine parfaite, il fallait offrir, ou sacrifier, une vie d’égale valeur à celle d’Adam : une vie humaine parfaite. Aucun descendant imparfait d’Adam ne pouvait payer un tel prix. Seul Jésus le pouvait. En donnant sa vie, Jésus a payé la rançon qui permettrait de délivrer l’humanité de l’esclavage du péché. Il a ainsi offert aux descendants du premier couple humain la possibilité de goûter la même vie parfaite que ce couple avait connue. – TG2014  1/3

    Jéhovah a fait en sorte que même les humains, ayant vécu avant Christ, bénéficient de la rançon. À ses yeux, dès l’instant où il a annoncé la venue d’un Sauveur pour l’humanité, la rançon était pour ainsi dire payée, car il sait que son dessein ne peut échouer. Des siècles plus tard, l’apôtre Paul a exprimé sa gratitude envers Dieu pour « la libération par la rançon payée par Christ Jésus ». Il a ajouté que Dieu « pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé pendant qu’il usait de patience » (Rom. 3:21-26). Ainsi, sans le sacrifice de Jésus, aucun humain ne pourrait être proche de Dieu. - TG2014  15/8 §8

    Après la rébellion d’Adam et Ève, Jéhovah a révélé son intention de produire une Semence qui serait meurtrie au talon (Genèse 3:15). Cette prophétie s’est réalisée lorsque les ennemis de Dieu ont mis à mort Jésus Christ sur un poteau de supplice. Rien ne peut empêcher le Dieu Tout-Puissant, Jéhovah, de réaliser ce qu’il souhaite. C’est pourquoi, à peine l’homme était-il tombé dans le péché que Dieu, par anticipation, considérait la rançon comme déjà payée ; il pouvait dès lors entretenir des relations avec ceux qui exerçaient la foi dans l’accomplissement de ses promesses. C’est ce qui a permis à des descendants d’Adam, eux aussi pécheurs, tels que Hénok, Noé et Abraham, de marcher avec lui et d’être ses amis, sans pour autant nuire à sa sainteté.

    L’aspect le plus remarquable de la rançon ne réside pas dans ce qu’elle nous apporte, mais dans ce qu’elle révèle sur Jéhovah : elle montre qu’il est un Dieu d’une justice parfaite qui peut entretenir des relations avec des humains pécheurs tout en demeurant pur et saint. S’il ne s’était pas proposé de fournir la rançon, aucun descendant d’Adam, pas même Hénok, Noé ou Abraham, n’aurait pu marcher avec Jéhovah ni être son ami. . N’avons-nous pas toutes les raisons d’être reconnaissants à Jéhovah d’avoir envoyé son Fils bien-aimé sur la terre, et à Jésus d’avoir offert sa vie en rançon pour nous ? – TG2005  1/11


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    L’apôtre Paul a mentionné un aspect primordial de notre service sacré quand il a écrit : “ Dieu, à qui j’offre un service sacré avec mon esprit pour ce qui est de la bonne nouvelle concernant son Fils, m’est témoin que sans cesse je fais toujours mention de vous dans mes prières. ” (Romains 1:9). La prédication de la bonne nouvelle n’est donc pas seulement un service public accompli en faveur de ceux qui l’entendent, mais aussi un acte d’adoration envers Jéhovah Dieu. Qu’on nous écoute ou pas, cette œuvre est un service sacré offert à Jéhovah. Les efforts que nous faisons pour parler à nos semblables des qualités et des desseins bienveillants de notre cher Père céleste nous procurent assurément beaucoup de joie – TG2000 p15/11  12 §12
    Manifestations et causes de la colère. Dieu manifeste sa colère directement ou indirectement. Pour l’exprimer, il peut se servir de ses lois qui régissent les choses naturelles, ou bien de personnes comme instruments. Ceux qui violent ses lois morales s’exposent à sa colère et reçoivent en eux-mêmes “ le plein salaire que méritait leur égarement ”. Ils connaissent une mentalité désapprouvée, la déchéance, la maladie, la querelle et la mort (Romains 1:18, 24, 27-32). Jésus Christ est le principal exécuteur de la colère de Dieu ; il manifestera complètement la colère divine pour la déverser sur les méchants - it-1 p494

    Le témoignage de la création. Les œuvres de création attestent que Dieu existe. Mais, selon Paul, même certaines personnes qui ont “ connu Dieu ” ont caché cette vérité. Au lieu de servir Dieu conformément à la vérité concernant son dessein éternel et sa Divinité, elles se sont fait des idoles et les ont adorées. N’étant pas des dieux réels, les idoles sont un mensonge (Jr 10:14). Venant des Israélites, le culte de ces “ dieux de la nature ” était de l’apostasie : ils étouffaient la vérité au profit d’un mensonge, comportement opposé à toute raison qui consiste à adorer la création plutôt que Celui qui l’a créée. Par conséquent, ces personnes, bien qu’ayant la vérité de Dieu, l’ont troquée “ contre le mensonge et [...] ont vénéré la création — lui offrant un service sacré — plutôt que Celui qui a créé ”. En se tournant vers le mensonge de l’idolâtrie, elles sont tombées dans toutes sortes de pratiques dépravées. Romains 1:18-31. - it-2 p1135

    Quand nous voyons le monde impur dans lequel nous vivons, nous ne pouvons que nous exclamer: C’est exactement comme aux jours de Noé, ou comme au temps de Sodome et de Gomorrhe! Nos contemporains ressemblent vraiment aux Cananéens dépravés et aux Israélites qui retombaient continuellement dans le péché! Alors que le monde s’enfonce toujours plus dans le bourbier de l’immoralité, nous pouvons nous rappeler l’avertissement suivant de l’apôtre Paul: “Ceux qui pratiquent de telles choses méritent la mort.” (Rom. 1:18, 26-32). Non, le Dieu d’amour ne tolérera pas plus longtemps l’incroyable méchanceté du présent système de choses. Il va bel et bien détruire ceux qui souillent la terre, sa propriété – TG1981  15/4 p8 §12

    Jéhovah ne bénit pas l’actuel système de choses méchant. Paul a déclaré que “ la colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété ”. (Rom. 1:18-20.) Cette future expression de la colère de Dieu, appelée Armaguédon dans la Bible, prouvera sans conteste qu’il existe bel et bien. Il ne permettra pas que ceux qui ont rejeté sa souveraineté dominent indéfiniment la terre. La Bible avertit qu’il va prochainement passer à l’action contre eux. Ceux qui persistent à mener une vie contraire aux principes divins n’échapperont donc pas aux conséquences de leurs actes. De nos jours, la colère de Dieu ressort des messages de condamnation qui s’abattent telles des plaies sur le monde de Satan et dont nombre de nos publication se font l’écho - TG 2010  15/8 p13 §5

    La patience de Jéhovah concourt au salut - Depuis le moment où les humains ont lamentablement péché jusqu’à aujourd’hui, Jéhovah a été un Dieu patient. Avant le déluge, sa patience a permis qu’un avertissement suffisant soit lancé et qu’un moyen de salut soit construit. Mais sa patience a atteint ses limites, et le déluge est venu. Pareillement de nos jours, Jéhovah déploie une grande patience ; elle s’exerce d’ailleurs plus longtemps que certains ne l’imaginaient. Mais ce n’est pas une raison pour abandonner. Cela reviendrait à critiquer la patience divine. Paul a demandé en effet : “ Méprises-tu la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, parce que tu ne sais pas que la bonté de Dieu veut te conduire à la repentance ? ” — Romains 2:4. Si nous imitons son amour et sa patience, nous continuerons avec longanimité de prêcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu et d’enseigner autrui à se soumettre au Royaume. Arrêter de prêcher reviendrait à vouloir mettre un terme à la patience de Jéhovah et à ne pas admettre son dessein, qui est de conduire les gens à la repentance. Quand nous réfléchissons à la patience que Jéhovah nous manifeste, cela nous encourage à être plus patients avec les autres. Aucun de nous ne peut savoir dans quelle mesure nous avons encore besoin de la patience de Dieu pour obtenir son approbation et le salut. Aussi, ne considérons pas avec impatience la manière dont Jéhovah règle les choses. – TG2001 1/11 p13 §17-19

    Dans la congrégation chrétienne primitive, Juifs et non-Juifs étaient égaux. “ Gloire, honneur et paix pour tout homme qui fait ce qui est bon, a expliqué Paul, pour le Juif d’abord et aussi pour le Grec. Car il n’y a pas de partialité chez Dieu. ” (Romains 2:10, 11). Ce n’était pas leur origine ethnique qui déterminait si des personnes bénéficiaient ou non de la faveur imméritée de Jéhovah, mais leur réaction lorsqu’elles apprenaient à le connaître et découvraient quelles perspectives la rançon offerte par son Fils, Jésus, leur ouvrait. Jéhovah accorde la louange en toute impartialité. Et nous ? – TG2003  15/6  p14 §11

    Dieu veut que nous comprenions ses normes de justice et qu’elles nous soient profitables, c’est pourquoi il nous a dotés d’une conscience. La Bible parle de la conscience comme d’une loi écrite dans notre cœur qui « témoigne » pour dire si ce que nous faisons est bien ou mal (Romains 2:15). Qu’est-ce que cela nous apporte ? Quand notre conscience est éduquée selon les normes de Dieu, elle peut nous retenir de commettre des actions mauvaises ou nuisibles. Et si nous faisons une erreur, elle peut nous pousser à nous repentir et à rectifier notre conduite. Assurément, bien comprendre les normes de justice de Dieu nous est profitable et nous rapproche de lui – TG2019 publique n°1

    PARDONNÉS GRÂCE À LA FAVEUR IMMÉRITÉE - Au chapitre 3, nous lisons : « Tous [...] ont péché [...], et c’est comme don gratuit qu’ils sont déclarés justes par sa faveur imméritée, en raison de la libération par la rançon payée par Christ Jésus » (Rom. 3:23, 24). Qu’entendait Paul par « faveur imméritée » ? Il a utilisé un mot grec qui, selon un ouvrage de référence, désigne « la faveur divine, [...] un bienfait conféré généreusement sans espoir ou attente de retour ». Elle n’est ni gagnée ni méritée. Jéhovah n’était pas obligé d’envoyer son Fils sur la terre pour fournir la rançon. De plus, étant imparfaits et pécheurs, les humains ne méritaient pas ce que Dieu et Jésus ont fait en donnant une rançon permettant le pardon. Recevoir le pardon et la perspective de vivre éternellement est donc véritablement une faveur qui est imméritée. Nous devons attacher une grande valeur au don de la faveur imméritée de Dieu et le laisser influencer notre vie chaque jour. – TG2016/12 §4,7

    L’apôtre Paul écrivit ces mots à la congrégation de Rome qui comptait des chrétiens juifs et non juifs : “Dieu est-il le Dieu des Juifs seulement? Ne l’est-il pas aussi des gens des nations? Oui, aussi des gens des nations, si vraiment Dieu est un seul qui déclarera justes les circoncis par suite de la foi et justes les incirconcis grâce à leur foi.” — Rom. 3:29, 30. Dieu a donc en vue pour notre temps non pas un gouvernement national, mais un gouvernement universel pour des gens de toutes nationalités. L’alliance que Jéhovah avait conclue avec Abraham, quelque 2 000 ans avant l’époque de Paul, avait promis des bénédictions pour les gens de toutes les nations, ce qui montrait que Dieu s’intéresse à toute l’humanité  – TG1978  1/6  p17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    La Parole écrite de Dieu est appelée “ les saintes Écritures ”, ou les “ écrits sacrés ”. Elle fut rédigée sous l’influence de l’esprit saint, et elle a le pouvoir de sanctifier, autrement dit de rendre saints, ceux qui obéissent à ses commandements.  -     Romains 1:2 - it-2 p861

    Par amour pour ses frères de Rome, Paul a écrit : “ Je désire ardemment vous voir pour vous communiquer quelque don spirituel, afin que vous soyez affermis ; ou plutôt pour qu’il y ait un échange d’encouragements parmi vous, chacun étant encouragé grâce à la foi de l’autre, la vôtre comme la mienne. ” (Romains 1:11, 12). Paul tenait pour un don spirituel la capacité d’affermir la foi d’autrui par des paroles. Par l’échange de tels dons spirituels, ces chrétiens allaient consolider la foi l’un de l’autre et s’encourageraient mutuellement. Et cela est toujours nécessaire. Dans le système méchant qui nous entoure nous subissons tous d’une manière ou d’une autre des pressions. Un échange régulier d’encouragements peut toutefois nous aider à persévérer. Cette notion d’échange, donner et recevoir, est importante pour garder de la vigueur spirituelle. S’il est vrai que de temps à autre nous avons tous besoin de réconfort, nous avons également tous la possibilité de bâtir spirituellement autrui. – TG1998  15/2  p26-27

    À la Pentecôte, Pierre parla à ceux qui étaient venus de pays lointains, y compris à des prosélytes, en les qualifiant tous de “ frères ”. Parfois, on distinguait les chrétiens en les appelant ‘ frères ,’ des chrétiennes qu’on appelait ‘ sœurs ’, mais il était d’usage d’employer le terme “ frères ” pour saluer des groupes mixtes et de ne pas l’appliquer qu’aux hommes. Ils faisaient désormais partie d’une seule famille spirituelle, et ils étaient unis par l’amour et la foi. C’est pourquoi, dans leurs lettres aux congrégations, les apôtres appelaient souvent les autres disciples « frères »  Romains 1 :13 – TG2018/6 §8

    L’apôtre Paul se sentait personnellement tenu de communiquer la bonne nouvelle aux autres. Il a écrit : “ Je suis débiteur des Grecs et des Barbares, des sages et des insensés : il y a donc chez moi un ardent désir de vous annoncer la bonne nouvelle, à vous aussi qui êtes à Rome. ” (Rom. 1:14, 15). Par gratitude pour la miséricorde qui lui avait été manifestée, Paul se sentait tenu d’essayer d’aider les autres à bénéficier, tout comme lui, de la faveur imméritée (1 Tim. 1:12-16). C’était comme s’il avait une dette envers chaque personne qu’il rencontrait, dette qu’il ne pouvait rembourser qu’en lui annonçant la bonne nouvelle. Avez-vous le sentiment d’avoir une telle dette envers les gens de votre territoire ? – TG2008  15/7 p6 §13

    1:14, 15. L’apôtre Paul se sentait dans l’obligation de prêcher. Il savait que Jéhovah avait fait en sorte que toutes sortes d’hommes puissent être sauvés grâce au sang précieux de son Fils. Inlassablement et avec empressement, il s’est appliqué à s’acquitter de la dette qu’il avait envers ses semblables en leur annonçant la bonne nouvelle. Comme Paul, les chrétiens de notre époque s’efforcent d’annoncer la bonne nouvelle à leurs contemporains en toute occasion. La “ grande tribulation ” approchant à grands pas, il est urgent que nous recherchions les personnes bien disposées. Que l’amour sincère pour notre prochain nous incite à nous activer dans cette œuvre salvatrice. Nous avons de nombreuses raisons d’annoncer la bonne nouvelle avec zèle. L’une d’elles est que nous sommes débiteurs des humains qui ont été achetés avec le sang de Jésus et que nous sommes dans l’obligation de les aider spirituellement. – TG2008  15/6 p30

    L’usage naturel du corps. Il ne convient pas que l’homme et la femme utilisent leur corps de quelque manière qui ne soit pas en harmonie avec les fonctions pour lesquelles Dieu l’a créé. À cet égard, tout ce qui n’est pas naturel est péché. Les Écritures expliquent ce qu’est l’impureté et quelle condamnation encourent ceux qui s’y livrent : “ Voilà pourquoi Dieu les a livrés à des désirs sexuels honteux, car leurs femelles ont changé l’usage naturel de leur corps en celui contre nature ; et pareillement les mâles aussi ont laissé l’usage naturel de la femelle et se sont enflammés dans leur passion les uns pour les autres, mâles avec mâles, faisant ce qui est obscène et recevant en eux-mêmes le plein salaire que méritait leur égarement. ” De telles personnes s’abaissent au niveau de la bête (Romains 1:26, 27). Elles vont après les choses mauvaises de la chair parce que, comme les animaux, elles sont dépourvues de raison, n’ayant aucune spiritualité. – it-2 p378

    Pourquoi une partie de la Bible a-t-elle été rédigée en grec ? Selon l’apôtre Paul, “ les déclarations sacrées de Dieu ” furent confiées aux Juifs (Romains 3:1, 2). Par conséquent, la première partie de la Bible fut presque intégralement rédigée en hébreu, la langue des Juifs. Par contre, les Écritures chrétiennes furent rédigées en grec. Pourquoi ? Au IVe siècle avant notre ère, les soldats d’Alexandre le Grand parlaient différents dialectes du grec classique, qui allaient bientôt fusionner pour former la koinè ou grec commun. Les conquêtes d’Alexandre contribuèrent à faire du grec commun la langue internationale. À l’époque de ces conquêtes, les Juifs étaient très largement dispersés. Beaucoup n’étaient jamais revenus en Palestine après l’exil babylonien, qui avait pris fin des siècles auparavant. Nombre de Juifs finirent donc par ne plus comprendre l’hébreu ancestral et par parler le grec (Actes 6:1). C’est à leur intention que fut réalisée la Septante, une traduction des Écritures hébraïques en koinè.

    Le Dictionnaire de la Bible fait remarquer qu’aucune autre langue ne possédait “ la richesse, la souplesse et le caractère universel et international du grec ”. Son vocabulaire étendu et précis, sa grammaire aux ressources multiples et ses verbes capables de rendre de subtiles nuances de sens en faisaient “ une langue de communication, de circulation, de propagation, précisément la langue qu’il fallait au christianisme ”. On comprend dès lors pourquoi le grec a été choisi pour consigner par écrit le message chrétien – TG2009  1/4

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    Thursday,  24. Jan. 2019
    Be wise, my son, and make my heart rejoice, so that I can make a reply to him who taunts me.—Prov. 27:11.
    Why is it comforting to reflect on the value of our faithfulness? Because it means that our trials serve a purpose. Far from indicating Jehovah’s displeasure, they provide for us a means to show that we support God’s sovereignty. Our endurance produces “an approved condition” and strengthens our hope. (Rom. 5:3-5) The record of Job bears out that “Jehovah is very tender in affection and merciful.” (Jas. 5:11) So we can be sure that he will reward us and all who uphold his sovereignty. Knowing this helps us “endure fully with patience and joy.” (Col. 1:11) Granted, keeping our eyes on the vindication of Jehovah’s sovereignty can be challenging. Therefore, we do well to remind ourselves regularly of the importance of supporting God’s sovereignty when we face difficult circumstances. w17.06 26 ¶15-16
    https://wol.jw.org/en/wol/dt/r1/lp-e/2019/1/24
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 25-26
    Actes 26:14 : Qu’est-ce qu’un aiguillon ? (nwtsty, note d’étude ; nwt, lexique à « aiguillon »
    « Alors que nous étions tous tombés par terre, j’ai entendu une voix qui me disait en langue hébraïque : “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Tu te fais du mal à toujours lancer des ruades contre les aiguillons.”
    lancer des ruades contre les aiguillons : Un aiguillon est un bâton pouvant mesurer 2,50 mètres muni d’une pointe servant à faire avancer un animal (Juges 3:31 - L’aiguillon pouvait servir d’arme. Shamgar, un juge et guerrier israélite, a massacré 600 Philistins “ avec un aiguillon à bovins ”).
    L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est un proverbe que l’on rencontre dans la littérature grecque. C’est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul. Saul s’est comporté un peu de cette manière avant de devenir chrétien.
    En combattant les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Jéhovah, il risquait de se causer beaucoup de tort (cf. Ac 5: 38, 39 ; 1Tm 1:13, 14). Ec 12:11 parle d’« aiguillons » dans un sens figuré, pour désigner les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à suivre un conseil, à prendre de bonnes décisions.
    aiguillon. Long bâton muni d’une pointe en métal, que les fermiers utilisent pour faire avancer les animaux. Dans la Bible, les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à mettre en pratique de bons conseils sont comparées à un aiguillon. L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul (Ac 26:14 ; Jg 3:31).
    L’expression imagée “ ruer contre les aiguillons ” vient de la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres de l’aiguillon par des ruades, ce qui le blesse. Par conséquent, cette expression dénote une opposition ou une rébellion contre une autorité légitime ou une situation à laquelle on ne peut rien changer, opposition qui occasionne des blessures. C’est exactement ainsi que Saul agissait avant de devenir chrétien, en combattant les disciples de Jésus Christ, qui bénéficiaient du soutien de Dieu it-1 Aiguillon
    Se pourrait-il que nous aussi nous soyons en train de “ ruer contre les aiguillons ” sans en avoir conscience ? La Bible compare “ les paroles des sages ” à des aiguillons qui nous poussent dans la bonne direction. Les conseils divinement inspirés de la Parole de Dieu peuvent nous stimuler et nous guider comme il faut, à condition de le leur permettre. Résister à cette stimulation ne peut que nous être préjudiciable.
    Saul a tenu compte des paroles de Jésus ; il a corrigé sa voie. Il est devenu un chrétien très aimé : l’apôtre Paul. De la même façon, notre soumission aux instructions divines nous procurera des bénédictions éternelles – TG2003  1/10 p32
    “Ruer contre les aiguillons” - Avant de se convertir au christianisme, Paul (Saul) persécutait cruellement les vrais serviteurs de Dieu. Quand il se manifesta à Paul, Jésus lui dit: “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” (Actes 26:14). Que voulait dire Jésus?
    Jésus Christ considère que ce qu’on fait à ses disciples, c’est à lui-même qu’on le fait. Par conséquent, en persécutant les chrétiens, Paul persécutait en réalité Jésus Christ. Il combattait ce que Dieu défendait, et ce à son propre détriment. On pouvait dire que Paul ‘ruait contre les aiguillons’. Un aiguillon est un bâton pointu, parfois ferré, dont on se sert pour conduire le bétail ou les animaux de labour. L’animal rétif qui regimbe contre les coups d’aiguillon n’obtient aucun soulagement, mais se fait plutôt du tort. De même, Paul n’avait aucun intérêt à persécuter ceux que Dieu approuvait. Les efforts qu’il faisait dans ce sens étaient aussi vains que ceux d’une bête de trait qui regimbe contre les coups d’aiguillon.

    Actes 26:27 : Devant quel dilemme le roi Agrippa se trouve-t-il quand Paul lui demande s’il croit les Prophètes ? w03 15/11 16-17§ 14
    « Crois-tu les Prophètes, roi Agrippa ? Je sais que tu crois. »
    Paul sait qu’Agrippa professe le judaïsme. S’appuyant sur les connaissances religieuses du roi, il lui explique qu’il prêche “ sans dire rien d’autre que les choses dont les Prophètes ainsi que Moïse ont déclaré qu’elles allaient arriver ” concernant la mort et la résurrection du Messie (Actes 26:22, 23). Puis il l’interpelle : “ Roi Agrippa, crois-tu les Prophètes ? ” Voilà Agrippa devant un dilemme. S’il répond non, c’en est fini de sa réputation de Juif. Mais s’il va dans le sens de Paul, il manifeste publiquement son accord avec lui et risque alors d’être taxé de chrétien. Avec sagesse, Paul répond lui-même : “ Je sais que tu crois. ” La réaction d’Agrippa est spontanée : “ En peu de temps tu me persuaderais de devenir chrétien. ” (Actes 26:27, 28). Agrippa n’est pas devenu chrétien. Reste que le message de Paul a éveillé un certain écho en son cœur. TG2003 15/11
    Agrippa était une personne juif circoncis, ne Mais jamais DeViNT chrétien. Le continue à faire de la politique dans le Païen du solde Empire romain. Le témoignage de Paul sur lui fait un grand gâteau.
    Grâce à la qualité de sa défense, Paul a fait ressentir le pouvoir pénétrant de la Parole de Dieu à un haut personnage (Hébreux 4:12). En quoi résidait l’efficacité de Paul ? Quand on analyse sa défense, deux points essentiels se révèlent : 1) Paul était persuasif. 2) Il utilisait sa connaissance de la Parole de Dieu avec l’habileté d’un bon artisan.
     
     
     
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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 23-24

    Actes 23:6 : Pourquoi Paul a-t-il dit : « Je suis pharisien » ? (nwtsty, note d’étude)

    « Paul savait qu’une partie du sanhédrin était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens. Il cria donc : « Hommes, frères, je suis pharisien, fils de pharisiens. C’est à propos de l’espérance en la résurrection des morts qu’on me juge ! »

    je suis pharisien : Parmi ceux qui écoutaient Paul, certains le connaissaient (Actes 22:5). Lorsqu’il s’est présenté comme fils de pharisiens, les pharisiens du sanhédrin ont sûrement compris que Paul reconnaissait qu’il avait avec eux un héritage commun, même s’il était devenu un chrétien zélé. Il ne se présentait pas sous un faux jour. Cependant, dans ce contexte, la déclaration de Paul « je suis pharisien » peut être comprise dans un sens relatif ; par ces mots, Paul s’identifiait aux pharisiens plutôt qu’aux sadducéens parce que, comme les pharisiens, il croyait en la résurrection. Il créait ainsi un terrain d’entente avec les pharisiens présents.

    En soulevant ce sujet polémique, Paul espérait certainement amener des membres du sanhédrin à prendre parti pour lui, et sa stratégie a fonctionné (Actes 23:7-9). Cette déclaration de Paul en Actes 23:6 s’accorde aussi avec la description qu’il a faite plus tard de lui-même quand il a présenté sa défense devant le roi Agrippa (Actes 26:5). Et lorsqu’il a écrit depuis Rome aux chrétiens de Philippes, Paul a de nouveau parlé de son passé de pharisien (Php 3:5). Il est également intéressant de noter comment Actes 15:5 parle de certains chrétiens qui, auparavant, étaient pharisiens. - nwtsty, note d’étude

    Pourquoi Paul s’est-il dit Pharisien ? Parce qu’il était “ fils de Pharisiens ”, d’une famille qui appartenait à cette secte. Pharisien ”, nom qui signifie “ séparé ”. Par conséquent, beaucoup le considéraient encore comme tel. Toutefois, comment a-t-il pu cautionner la croyance pharisienne en la résurrection ? Les Pharisiens pensaient qu’une âme consciente survivait à la mort et que les âmes des justes revivaient dans des corps humains. Paul ne croyait pas à ces choses, mais en la résurrection qu’avait enseignée Jésus. N’empêche qu’il était d’accord avec les Pharisiens sur l’espoir d’une vie après la mort, contrairement aux Sadducéens, qui ne croyaient pas en une vie future. En matière de croyances, les Sadducéens étaient conservateurs et s’appuyaient surtout sur leurs propres interprétations des écrits de Moïse, ce qui les oppose à la puissante secte des Pharisiens. Le Sanhédrin était divisé entre les Pharisiens et les Sadducéens. En plus de ces deux sectes, il y avait aussi les Hérodiens, les “partisans d’Hérode”

    Mais quand Paul apprit que l’ensemble des traditions religieuses que suivaient les Pharisiens n’avait pas l’approbation de Dieu, il n’hésita pas à changer de religion pour devenir chrétien, même si cela causait un grand chagrin à ses parents juifs.

    Nous pourrions raisonner de la même façon quand nous discutons avec des catholiques ou des protestants. Nous pourrions leur dire que nous croyons en Dieu comme eux. Évidemment, pour eux c’est la Trinité et pour nous c’est le Dieu de la Bible. N’empêche que nous avons en commun la croyance en l’existence de Dieu. – bt p187 §18

    Actes 24:24, 27 : Qui était Drusille ? (nwtsty, note d’étude sur Actes 24:24).

    Verset 24 « Quelques jours plus tard, Félix arriva avec Drusille, sa femme, qui était Juive. Il fit amener Paul et l’écouta parler de la foi en Christ Jésus »

    Verset 27 « Au bout de deux ans, Félix fut remplacé par Porcius Festus ; mais voulant gagner la faveur des Juifs, Félix laissa Paul en prison »

    Drusille : La troisième et la plus jeune des filles de l’Hérode dont il est question en Actes 12:1, c’est-à-dire Hérode Agrippa Ier. Elle est née vers 38 de n. ère ; c’était la soeur d’Agrippa II et de Bérénice (voir lexique à « Hérode »). Le gouverneur Félix était son second mari. Elle a d’abord été mariée au roi syrien Aziz d’Émèse, mais a divorcé d’avec lui pour épouser Félix, vers 54 de n. ère ; elle avait environ 16 ans. Elle était peut-être présente quand Paul a parlé devant Félix « de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir » (Actes 24:25). Lorsque Félix a cédé sa place de gouverneur à Festus, il a laissé Paul en prison, voulant gagner la faveur des Juifs; certains pensent qu’il a agi ainsi pour faire plaisir à sa femme, qui était Juive (Actes 24:27).

    Drusille n’avait pas encore six ans qu’on arrangea son mariage avec le prince Épiphane de Commagène, mais il n’eut jamais lieu parce que le futur mari refusa de se convertir au judaïsme. Azizus d’Émèse, un roi de Syrie, accepta la clause de la circoncision et Drusille devint sa femme à l’âge de 14 ans. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée par la jalousie de sa sœur Bérénice, moins séduisante qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer d’avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers 54 de n. è. Elle était peut-être présente quand Paul, prisonnier, “ se mit à parler de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir ”, sujets qui s’avérèrent des plus troublants pour le gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes, afin de “ se concilier la faveur des Juifs ” ; certains pensent qu’il voulut plaire à sa jeune femme, “ qui était Juive ”. (Ac 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix fut un autre Agrippa ; il aurait péri dans la grande éruption du Vésuve, en 79 de n. è. – it-1 Drusille

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah, par le Seigneur Jésus Christ, a soutenu Paul durant tous ses procès. On se souvient que Jésus avait dit : “ Bon courage ! ” à l’apôtre dans une vision (Actes 23:11). Aujourd’hui aussi, les serviteurs de Dieu rencontrent des obstacles et des menaces. Jéhovah ne nous soustrait pas à toutes les difficultés, mais il nous donne la sagesse et la force qu’il faut pour endurer. Nous pouvons toujours compter sur la “ puissance qui passe la normale ” que fournit notre Dieu d’amour – bt chap25

    Au moment de sa libération, dont les Actes ne parlent pas, Paul avait passé environ quatre ans en détention : deux à Césarée et deux à Rome (Actes 23:35 ; 24:27). Mais il est resté positif, en faisant tout son possible dans le service de Dieu. De même, à notre époque, beaucoup de serviteurs de Dieu détenus injustement en raison de leur foi restent joyeux et continuent de prêcher.- bt chap 27 §23

    Qu’en est-il des milliards d’humains qui sont morts sans avoir pu connaître Jéhovah ni le servir ? La rançon rend possible la résurrection des morts. Notre Père céleste aimant les ramènera à la vie et leur offrira la possibilité de découvrir son dessein et d’obtenir la vie éternelle (Actes 24:15). Jéhovah veut que les humains vivent, et non qu’ils meurent. Étant la Source de la vie, il devient le Père de tout humain qui ressuscite. Il est donc tout à fait approprié que Jésus nous ait enseigné à prier ainsi : « Notre Père dans les cieux » (Mat. 6:9). Jéhovah a confié à Jésus un rôle important dans la résurrection des morts. Dans le Paradis, Jésus se révélera être « la résurrection et la vie » (Jean 11:25). Imagine les joyeuses retrouvailles quand les morts reviendront à la vie sur terre ! Cette merveilleuse espérance de la résurrection nous remplit d’amour pour notre Père céleste.– TG2017 Février p10 §10

    Une bonne conscience - Quand Paul écrivit : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes ” (Actes 24:16), il entendait qu’il dirigeait et redressait constamment sa vie pour qu’elle soit en conformité avec la Parole de Dieu et les enseignements de Christ, car il savait qu’en fin de compte c’est Dieu et non sa propre conscience qui serait son juge. Il faut s’approcher de Jéhovah avec une conscience purifiée. Le chrétien doit s’efforcer constamment de garder une conscience droite en toutes choses - it-1 p514

    Garder une bonne conscience exige des efforts constants. L’apôtre Paul a déclaré un jour : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes. ” (Actes 24:16). Étant chrétien, Paul s’analysait et se corrigeait constamment pour être sûr de ne pas offenser Dieu. C’est Dieu, il le savait, qui détermine finalement si notre conduite est juste ou non.Aussi, gardez une bonne conscience, sans jamais cesser de l’éduquer. Quand vous avez des décisions à prendre, recherchez la direction de Dieu. Étudiez la Bible et laissez ses principes modeler votre esprit et votre cœur. Si vous avez des questions graves à résoudre, vérifiez auprès de chrétiens mûrs que vous avez bien compris les principes bibliques en jeu. Réfléchissez à l’effet que votre décision aura sur votre conscience, sur les autres et, surtout, sur vos relations avec Jéhovah. En nous dotant d’une conscience, notre bon Père céleste, Jéhovah Dieu, nous a fait un don extraordinaire. Utilisons-la en harmonie avec la volonté de son Créateur, et elle nous rapprochera de lui. Efforçons-nous d’‘ avoir une bonne conscience ’ en toutes circonstances, et nous montrerons que nous sommes faits à l’image de Dieu – TG2005 1/10 p14-15

    Avec courage, Paul a parlé des rappels de Dieu à des dirigeants de son époque. Il a par exemple donné le témoignage au gouverneur romain Félix, qui “ l’écouta sur la foi en Christ Jésus ”. (Actes 24:24, 25.) Avec le soutien de Jéhovah, nous pouvons nous aussi être des témoins courageux, qui n’ont jamais “ honte de la bonne nouvelle ”Si nous chérissons “ la parole de vérité ” et que nous ‘ gardions la loi de Dieu constamment ’, nous aurons le courage nécessaire pour donner le témoignage sans craindre la honte. Grâce à une étude assidue de la Parole écrite de Dieu, nous serons à même de ‘ parler de ses rappels devant des rois ’. (Psaume 119:46.) La prière et l’esprit de Jéhovah également nous aideront à dire ce qu’il faut, comme il le faut – TG2005  15/4 §14

    Paul a parlé “de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir”. (Actes 24:25.) Il est possible que ces paroles aient rendu manifeste le contraste entre les principes de justice établis par Dieu, et la cruauté et l’injustice qui régnaient dans le monde auquel appartenaient Félix et Drusille. Paul espérait peut-être pousser Félix à faire preuve de justice dans l’affaire qui se présentait. Mais pourquoi parler “de maîtrise de soi et du jugement à venir”? Ce couple immoral se renseignait sur ce qu’impliquait “la foi en Christ Jésus”. Il lui fallait donc savoir que suivre Jésus nécessite de dominer ses pensées, ses paroles et ses actes, autrement dit d’exercer la maîtrise de soi. Tous les humains devront rendre des comptes à Dieu de leurs pensées, de leurs paroles et de leurs actions. Ainsi, il existait un jugement plus important que celui de Félix dans l’affaire de Paul, c’était le jugement divin qui attendait le gouverneur et sa femme. Il est donc compréhensible qu’en entendant le message de Paul, ‘Félix ait pris peur’. – TG1993 15/8 p17-19 §3


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Paul savait quand demander pardon. Une fois, il a dû se défendre devant le Sanhédrin, la cour suprême juive, ce qu’il a fait en des termes très francs. Vexé, le grand prêtre Ananias a ordonné à ceux qui se tenaient près de l’apôtre de le frapper sur la bouche. Et Paul de répondre : “ Dieu va te frapper, mur blanchi ! Est-ce que tout à la fois tu sièges là pour me juger selon la Loi et, transgressant la Loi, tu ordonnes de me frapper ? ” Quand les autres personnes présentes ont accusé Paul d’avoir insulté le grand prêtre, il a immédiatement reconnu sa faute, disant : “ Frères, je ne savais pas que c’était le grand prêtre. Car il est écrit : ‘ Tu ne dois pas parler en mal d’un chef de ton peuple. ’ ” — Actes 23:1-5.

    Paul avait raison de dire qu’un homme établi juge ne devait pas recourir à la violence. Cependant, il s’est excusé pour avoir — sans le savoir — parlé au grand prêtre d’une façon qui pouvait être considérée comme irrespectueuse. Du coup, le Sanhédrin a écouté ce qu’il avait à dire. Connaissant la controverse qui divisait les membres de la cour, l’apôtre leur a expliqué qu’il était jugé pour sa croyance en la résurrection. Pour finir, une grande dissension a suivi, les Pharisiens prenant parti pour Paul. — Actes 23:6-10.

    Quelle leçon tirer de ces deux exemples bibliques ? Dans les deux cas, l’expression de regrets sincères a préservé la communication. Une telle démarche peut donc nous aider à faire la paix. Si, reconnaissant nos fautes, nous nous excusons pour le mal commis, des discussions constructives s’offriront à nous. – TG2002 1/11


    Mur blanchi - Les Juifs enduisaient souvent de chaux les murs de leurs maisons : un îlot de constructions blanches au sommet d’une colline était donc facilement repérable à des kilomètres à la ronde (Actes 23:3). Sous le soleil éclatant de la Palestine, ces villes brillaient tel un phare, tout comme certaines villes méditerranéennes encore aujourd’hui – it-2 Mur


    L’apôtre Paul fut ‘ traîné devant des rois et des gouverneurs ’. Guidé par le Seigneur Jésus Christ, c’est avec l’objectif de rendre témoignage devant le plus puissant dirigeant de l’époque qu’il s’est exclamé : “ J’en appelle à César ! ” (Actes 23:11). Aujourd’hui de même, des situations difficiles ont souvent abouti à ce qu’un excellent témoignage soit donné tant à des autorités qu’à la population. Les Témoins de Jéhovah usent des dispositions susceptibles de servir “la défense et l’affermissement légal de la bonne nouvelle”.  – TG2003  1/10 §17


    La nuit qui a suivi les incidents du Sanhédrin, Paul a reçu un encouragement précieux. Le récit inspiré précise : “ Le Seigneur se tint près de lui et dit : ‘ Bon courage ! Car, de même que dans Jérusalem tu as pleinement rendu témoignage sur les choses qui me concernent, ainsi il faut également que tu témoignes à Rome. ’ ” (Actes 23:11). Fort de cet encouragement de Jésus, Paul était certain d’être libéré. Il savait qu’il continuerait à vivre pour aller à Rome et avoir l’honneur d’y rendre témoignage à Jésus.

    L’encouragement à Paul est arrivé au bon moment. Dès le lendemain, plus de 40 Juifs “ formèrent une conspiration et s’engagèrent par une imprécation, disant qu’ils ne mangeraient ni ne boiraient jusqu’à ce qu’ils aient tué Paul ”. Cette “ conspiration par serment ” montrait à quel point ils étaient déterminés à supprimer l’apôtre. En effet, ils disaient en quelque sorte : ‘ Qu’il nous arrive malheur si notre complot échoue ! ’ (Actes 23:12-15). Leur plan, approuvé par les prêtres en chef et les anciens, consistait à faire ramener Paul au Sanhédrin pour prolonger l’interrogatoire, prétendument pour vérifier des détails le concernant. Mais, en fait, ils lui tendraient un guet-apens et le tueraient.

    Or le neveu de Paul a eu vent du complot et lui en a parlé. Aussitôt, Paul lui a demandé d’aller en informer le commandant romain Claude Lysias (Actes 23:16-22). Qu’apprenons-nous de ce récit, où apparaît le neveu de Paul ? — Qu’il faut du courage pour parler quand c’est nécessaire, mais qu’ainsi on peut sauver des vies. Assurément, Jéhovah aime les jeunes qui, comme ce neveu de Paul resté anonyme, font courageusement passer le bien du peuple de Dieu avant le leur et se démènent fidèlement pour servir les intérêts du Royaume. – bt chap24

    L’apôtre Paul a été taxé de “ peste ” et l’on a vu en lui le chef d’une secte qui suscitait des séditions “ dans toute la terre habitée ”. Actes 24:2-5. Nous ne sommes pas surpris que les vrais chrétiens soient aujourd’hui victimes de déformations des faits, de calomnies et de campagnes de diffamation. Il n’est pas rare qu’on accable les serviteurs de Jéhovah de propos calomnieux et de fausses accusations. – TG2007  15/12 § 5,6

    Paul nous a laissé un bon exemple à suivre si jamais nous comparaissions devant des autorités profanes à cause de notre religion et qu’on nous accuse faussement d’être des agitateurs, des séditieux ou des membres d’une “ secte dangereuse ”. Paul n’a pas usé de flatteries serviles envers le gouverneur comme l’avait fait Tertullus. Il est resté calme et respectueux. Avec tact, il a donné un témoignage clair et véridique. Il a signalé que les “ Juifs du district d’Asie ” qui l’avaient accusé de souiller le temple n’étaient pas présents et que, légalement, il aurait dû pouvoir se confronter à eux et entendre leurs accusations. — Actes 24:18, 19.- bt p192 §13

    Le cas de l’apôtre Paul illustre bien quelle attitude les chrétiens doivent avoir quand on veut leur extorquer des pots-de-vin. Le gouverneur romain Félix chercha à extorquer de l’argent à Paul en prolongeant sa détention pendant deux ans. Paul s’en rendit compte, mais il ne fit aucune offre à Félix pour obtenir sa libération. Par la suite, Félix fut remplacé par Festus. Quand Paul en appela à César, le procurateur romain Festus l’envoya à Rome- Actes 24:26, 27. - it-1 p853-854

  10. Thanks
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    « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants »
    La mère : « Déjà, toute petite, les questions spirituelles m’intéressaient.
    Mon rêve, c’était de me marier avec un homme croyant, avec qui je pourrais servir Dieu et mener une vie paisible.
    Je n’ai pas connu ça avec mes parents. Souvent, on s’entendait mieux avec la domestique qu’avec ma mère ».
    Le père : « Mon père était un homme très distant. Il était toujours très pris par son travail et il passait beaucoup de temps avec ses amis. On s’est mariés en 1971 à Paris ».
    La mère : « On s’est fait baptiser en 1974 ».
    Le père : « Je me suis rendu compte que je ne savais pas vraiment comment élever des enfants, alors j’ai commencé à appliquer ce que disait la Bible.
    Pour enseigner les enfants comme Dieu le veut, il fallait d’abord que moi-même je comprenne bien les enseignements bibliques »
    La mère : « En 1976, on a déménagé au Portugal pour servir où il y avait besoin de renfort.
    Notre fils aîné avait 4 ans 1/ 2, Maria avait 3 ans 1/ 2 et Benjamin 1 an 1/ 2 ».
    Le fils aîné : « Je me souviens quand on est arrivés. On habitait à la campagne.
    Maria : « C’était une toute petite congrégation et donc tout petits, il fallait qu’on participe aux réunions ».
    Benjamin : « Nos parents voulaient mettre les intérêts spirituels à la 1ère place dans leur vie.
    Ils ne voulaient pas se contenter de nous dire qu’il fallait mettre les intérêts du Royaume en 1er, ce qu’ils voulaient, c’était nous montrer comment le faire ».
    Maria : »Ils n’attendaient pas le culte familial pour nous parler de Jéhovah et de choses spirituelles.
    Je me souviens que parfois en rentrant à pied des réunions, nos parents nous aidaient à chercher les constellations ; c’était l’occasion de parler de Jéhovah ».
    Le père : « En Deutéronome chapitre 6, il est dit qu’on doit constamment parler à nos enfants.
    C’est bien de leur parler de Dieu et de les aider à le voir comme une personne réelle qui a un lien avec tout ce qui nous entoure.
    J’avais vraiment envie de leur montrer qu’apprendre à connaître Dieu n’a rien de triste ni d’ennuyeux ; au contraire, ça nous procure beaucoup de joie ».
    Benjamin : « Bien sûr, on n’était pas parfaits. J’ai fait beaucoup de bêtises. Mais mes parents ne m’ont jamais dit : « Fais ce qu’on te dit, un point c’est tout. Ils ont toujours essayé de nous expliquer les raisons bibliques »
    Le père : « Mes parents m’ont élevé en me donnant des ordres : « Tu dois faire ça. Tu dois. C’est comme ça qu’il faut faire ». Mais j’ai compris que dans la Bible, Dieu ne se contente pas de donner des lois : il les explique.
    Il donne des tas d’explications, il donne des raisons pour tout. En enseignant mes enfants, je dois dire que j’ai beaucoup appris moi aussi »
    Maria : « On ne s’est jamais sentis obligés d’aller aux réunions ou d’aller prêcher. On le faisait parce qu’on en avait envie.
    Le fils aîné : « Un jour, mon père m’a donné une Bible neuve. Il avait écrit à l’intérieur : « Puisse ce livre être toujours la force qui te pousse à agir dans ta vie ». Plusieurs fois, il m’a dit : « Je t’en supplie, ne renonce jamais, jamais à ton service. Jéhovah est ton Père et tu dois le servir toute ta vie »
    Le père : « Comme tous les parents, le Tout-Puissant a des enfants qui lui ont désobéi.
    Dieu ne force personne. Il respecte beaucoup notre libre arbitre. On voulait que nos enfants construisent leur propre avenir.
    Je me suis toujours dit que mes enfants ne m’appartenaient pas mais que c’est Jéhovah qui nous les a gentiment confiés pour que nous puissions en prendre soin. Une fois qu’on a fait notre part, on les laisse prendre leur envol ».
    Le fils aîné : « Mes parents nous ont toujours encouragés à être dans le service à plein temps même si il fallait déménager loin de la maison.
    Maria : « Mon mari et moi, nous sommes missionnaires à Klaipèda en Lituanie.
    Je serai toujours reconnaissante d’avoir pu utiliser ma jeunesse au service de Jéhovah, et de ne pas avoir gaspillé mon temps à travailler pour ce monde ».
    Benjamin : « Ma femme et moi, nous servons au Béthel du Portugal.
    Si Jéhovah est heureux, si mes parents sont heureux, alors moi aussi je suis heureux.
    Je suis certain qu’ils aiment ce que nous faisons. Ça les rend heureux ».
    Le père : « Nous nous réjouissons parce ce que nos enfants donnent le meilleur d’eux-mêmes à leur Créateur et ils le réjouissent. Jéhovah le mérite bien »
    La mère : « Bien sûr que nos enfants nous manquent.
    On aimerait les avoir avec nous mais on est très heureux qu’ils aient le privilège de servir Jéhovah comme ils le font ».
     
    Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère :
    Comment leur enfance a-t-elle influencé la façon dont ils ont élevé leurs enfants ?
     

     
    Quels beaux souvenirs d’enfance leurs enfants ont-ils ?
     

    Comment Abilio et Ulla se sont-ils efforcés d’appliquer Deutéronome 6:6, 7 ?
    Pourquoi n’ont-ils pas simplement imposé des règles à leurs enfants ?
    Comment ont-ils aidé leurs enfants à prendre de bonnes décisions ?

    Pourquoi peut-on dire qu’ils ont manifesté l’esprit de sacrifice en encourageant leurs enfants à être dans le service à plein temps ? bt 178 § 19


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    Je te remercie pour ton message, c'est encourageant.
    Nous avons besoin de cette nourriture spirituelle à la fin de ce système de choses pour avoir une foi solide
  12. Thanks
    misette got a reaction from jpl in Vidéo par écrit -Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle - Semaine du 24 Décembre 2018   
    Vidéo par écrit : Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle
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    Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle

    Frère Sanderson : « Nous sommes très peu à avoir participé à la traduction de la Bible mais nous pouvons tous communiquer son message et aider les autres à acquérir la connaissance exacte de Jéhovah.

    Dans la vidéo suivante, vous allez voir l’importance qu’une famille a donné à certaines activités théocratiques et les efforts que chacun de ses membres a dû faire pour devenir aussi zélé.

    « D’accord, on sait déjà comment cette histoire va se terminer. Ce n’est pas vraiment une surprise ».

    « Mais voulez-vous savoir comment nous en sommes arrivé à ce résultat ? Jamais je n’aurai pensé que notre famille aurait besoin d’améliorer son ministère ».

    Ma femme et ma fille étaient toutes d’eux pionnières permanentes, mon fils était un proclamateur qui s’épanouissait dans la vérité et de mon côté, mon emploi ne me permettait pas de devenir pionnier pour l’instant mais je faisais de mon mieux pour soutenir ma famille.

    J’ai toujours pensé que la meilleure façon de les soutenir était simplement de prêcher avec eux le plus souvent possible mais je me suis vite rendu compte que ça ne suffisait pas.

    Le responsable de notre groupe de prédication s’est efforcé de prêcher avec nous régulièrement ces dernières semaines et il m’a gentiment fait part de quelques observations.

    Il avait remarqué que nous prêchions beaucoup mais que nous faisions de moins en moins de nouvelles visites et en dehors de l’étude que j’avais avec chacun de mes enfants, personne dans la famille ne donnait de cours biblique.

    Je lui ai demandé ce que nous pouvions faire pour essayer d’améliorer la qualité de notre ministère. Il m’a montré les paroles de Paul en Romains 15 :19 « J’ai prêché pleinement la bonne nouvelle concernant le Christ »

    Il nous a suggéré de nous intéresser au ministère de Paul au cours de notre prochain culte familial et de voir ce que son exemple pouvait nous apprendre.

    En examinant le ministère de Paul, on s’est rendu compte que pour être plus efficace, il nous fallait de la hardiesse

    Ephésiens 6 :19 dit « Priez aussi pour moi, afin que les mots me soient donnés quand j’ouvre la bouche, pour que je puisse parler courageusement lorsque je fais connaître le saint secret de la bonne nouvelle ».

    Rina a remarqué que Paul raisonnait de manière convaincante avec les personnes et Keiko a aimé la façon dont Paul cherchait à établir un terrain d’entente avec ses interlocuteurs. Un jour, il a même utilisé un autel à un dieu inconnu pour diriger la discussion vers Jéhovah.

    Et enfin, Haruto a cité un verset de 2 Timothée qui dit que Paul était « un ouvrier qui n’avait à rougir de rien et qui exposait correctement la Parole de la vérité ». Et il utilisait donc les Ecritures habilement quand il rendait témoignage.

    Je vous l’avais dit. Vous connaissez la fin de l’histoire.

    Je suis devenu pionnier auxiliaire.

    Nous avons maintenant à présent plusieurs nouvelles visites et quelques études qui progressent bien.

    Mais comment sommes-nous arrivé à ce résultat ? Nous avons beaucoup appris de l’exemple de Paul qui prêchait pleinement la bonne nouvelle.

     
    Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère   :

    Dans quels domaines du ministère cette famille devait-elle s’améliorer ?

    Quels points forts du ministère de l’apôtre Paul a-t-elle imités ?

    Quels bienfaits en a-t-elle retirés ?

    Quelles idées pourrais-tu utiliser pour ton culte familial ?


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  13. Thanks
    misette got a reaction from jpl in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 24 DECEMBRE 2018 - ACTES 17-18   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 17-18

    Actes 18:18 : Que peut-on dire à propos du vœu que Paul a fait ? (w08 15/5 32 § 5).

    « Paul resta là encore de nombreux jours, puis il fit ses adieux aux frères et embarqua pour la Syrie, accompagné de Priscille et Aquilas. Il s’était fait tondre la tête à Cenchrées »

    Quel vœu Paul a-t-il fait ? Certains spécialistes avancent l’idée que Paul avait fait vœu de naziréat (Nombres. 6:1-21). Pourtant, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. Par ailleurs, les Écritures ne disent pas si Paul avait fait ce vœu avant ou après sa conversion ni s’il venait de le faire ou s’il était sur le point de s’en libérer. Quoi qu’il en soit, l’engagement que Paul avait pris n’était en rien un péché. - w08 15/5 32 § 5

    L’apôtre Paul fit un vœu, dont on ignore s’il s’agissait d’un vœu de naziréat ou non ; il n’est pas non plus précisé s’il avait fait ce vœu avant de devenir chrétien. Son vœu arriva peut-être à son terme au moment où il se fit tondre la tête à Cenchrées  – it-2 p1166

    Un ouvrage de référence suppose qu’en se faisant couper les cheveux court Paul a voulu “ exprimer sa reconnaissance à Dieu pour sa protection, qui lui avait permis d’achever son ministère à Corinthe ”. – bt p152

    Actes 18:21 : Quand nous poursuivons des objectifs spirituels, comment imiter Paul ? (nwtsty, note d’étude)

    « Et leur fit ses adieux, disant : « Je reviendrai vous voir, si Jéhovah le veut. » Quittant Éphèse en bateau »

    Si Jéhovah le veut : Expression qui souligne la nécessité de tenir compte de la volonté de Dieu quand on fait ou qu’on prévoit de faire quelque chose. L’apôtre Paul gardait ce principe bien présent à l’esprit (1Co 4:19 ; 16:7 ; Hé 6:3). Le disciple Jacques, quant à lui, a encouragé ses lecteurs à dire : « Si Jéhovah le veut, nous vivrons et ferons ceci ou cela » (Jacques 4:15). De telles expressions ne devraient pas être prises à la légère ; une personne qui dit sincèrement « si Jéhovah le veut » doit s’efforcer d’agir en accord avec la volonté de Jéhovah. On ne doit pas nécessairement dire cette expression à voix haute ; on se contente souvent de la dire intérieurement

    (voir aussi Actes 21:14 « Comme il n’y avait pas moyen de le dissuader, nous n’avons plus insisté, et nous avons dit : « Que la volonté de Jéhovah se fasse. » Ceux qui essayaient de détourner Paul de son intention n’ont pas insisté pour qu’il se range à leur avis. Ils l’ont écouté et ont cédé, reconnaissant et acceptant la volonté de Jéhovah, même si c’était difficile pour eux. Paul avait pris une voie qui le mènerait à la mort. Cela lui serait plus facile si ceux qui l’aimaient ne tentaient pas de le dissuader. Ce récit nous enseigne une leçon très utile : Ne tentons jamais de dissuader les autres de mener une vie d’abnégation au service de Dieu. On peut appliquer cette leçon à bien des situations, et pas seulement à celles qui mettent en danger la vie de quelqu’un. - bt p178

    Alors que l’apôtre Paul séjournait à Césarée, le prophète Agabus lui a dit que s’il poursuivait sa route jusqu’à Jérusalem, il finirait par être arrêté. Il pourrait même être tué. Craignant le pire, les frères ont supplié Paul de ne pas y aller. Mais l’apôtre ne s’est pas laissé dissuader. Il n’était ni trop sûr de lui ni paralysé par la peur. Il faisait totalement confiance à Jéhovah et était prêt à accomplir sa mission, peu importe l’issue qu’Il permettrait. Devant cette réponse, les frères ont modestement cessé de s’opposer à la décision de Paul d’aller à Jérusalem – TG2017/1 §13  et app. A5) - nwtsty, note d’étude

    Paul admettait certainement qu’il y avait beaucoup de prédication à effectuer à Éphèse. Il envisageait de revenir, mais il préférait laisser Jéhovah en décider. N’est-ce pas un bon exemple à retenir ? Lorsque nous poursuivons des objectifs spirituels, nous devons agir. Cependant, nous devons toujours nous fier à la direction de Jéhovah et chercher à nous conformer à sa volonté. – bt p154

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Que notre moindre souffle, notre existence même, nous les devons à notre Créateur (Actes 17:28). La vie, la beauté de la nature, les joies de l’amour et de l’amitié, le plaisir de goûter, de toucher, d’entendre et de sentir : ce sont des cadeaux de Dieu ! Tout ce bien que Dieu nous fait nous pousse à le considérer comme un véritable ami, digne de notre confiance. – TG2013  1/5


    Qu’est-ce que le Jour du Jugement ? La Bible dit que Dieu “ a fixé un jour où il va juger la terre habitée ”. (Actes 17:31) Le Jour du Jugement sera une période de mille ans durant laquelle les hommes auront la possibilité de retrouver ce qu’Adam et Ève ont perdu. Remarquez que, selon Actes 17:31, cité plus haut, ce “ jour ” concerne les personnes qui vivent sur “ la terre habitée ”. Celles qui recevront un jugement favorable vivront sur la terre, éternellement et dans des conditions parfaites. Le Jour du Jugement contribue donc à l’accomplissement du dessein originel de Dieu pour l’homme et pour la planète. -  RV2010/1  p10

    Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Quand nous donnons un commentaire, il n’attend pas de nous que nous parlions tous aussi bien qu’Apollos ou que nous soyons tous aussi convaincants que Paul (Actes 18:24). Ce qu’il souhaite, c’est que nous fassions de notre mieux. – TG2018/1  §5

    Qu’était l’autel dédié à “ un Dieu inconnu ” que l’apôtre Paul a vu à Athènes ? — Actes 17:23. ▪ Plusieurs auteurs grecs de l’Antiquité évoquent de tels autels. Pausanias, historien et géographe du IIe siècle de notre ère, affirme par exemple qu’il se trouvait à Olympie “ un autel des Dieux inconnus ”. L’orateur et philosophe Philostrate signale quant à lui que l’on trouvait à Athènes des “ autels élevés même aux Dieux inconnus ”.Diogène Laërce, auteur du IIIe siècle de notre ère, rapporte une légende remontant au VIe ou au VIIe siècle avant notre ère qui expliquerait l’origine des “ autels anonymes ”, ou comment un certain Épiménide aurait réussi à enrayer la peste sévissant à Athènes : “ Ayant pris des brebis [...], il les conduisit sur l’Aréopage. Et là il les laissa aller où elles voulaient, après avoir ordonné à ses assistants d’offrir, là où chacune d’elles se coucherait, un sacrifice au dieu du voisinage. Et c’est ainsi que le mal cessa. C’est pourquoi encore aujourd’hui il est possible de découvrir dans les dèmes d’Athènes des autels anonymes, en souvenir de la propitiation qui fut alors célébrée. ” Selon un dictionnaire biblique, Athènes “ comptait une telle multitude de divinités les plus diverses [...] que les Grecs pouvaient toujours redouter le ressentiment de celle qu’on aurait oubliée par mégarde ”. Ce serait là une autre explication possible de cette coutume – TG2012  1/3

    Dieu n’habite pas dans des temples faits à la main - Paul avait certainement l’habitude des temples d’Athéna, car il y en avait dans de nombreuses villes où il était passé durant ses voyages missionnaires. Athéna était renommée pour être la déesse de la guerre et de la sagesse, mais aussi “ la déesse pacifique des arts et des savoirs techniques ”. Le temple d’Athéna le plus célèbre était le Parthénon, construit à Athènes, ville qui doit son nom à la déesse. Ce temple, que l’on donne pour un des plus grands du monde antique, abritait une statue d’Athéna haute de 12 mètres, en or et en ivoire. Quand Paul s’est rendu à Athènes, cet édifice de marbre blanc dominait déjà la ville depuis quelque 500 ans. Avec le Parthénon en arrière-plan, Paul a prêché à un groupe d’Athéniens au sujet du ‘ Dieu qui n’habite pas dans des temples faits à la main ’. (Actes 17:23, 24.) La majesté des temples qui lui étaient dédiés et la splendeur de ses représentations rendaient peut-être Athéna plus impressionnante aux yeux des auditeurs de Paul qu’un Dieu invisible qu’ils ne connaissaient pas. Pourtant, comme Paul l’a souligné, on ne devrait pas penser que le Créateur des humains soit “ semblable à de l’or ou à de l’argent ou à de la pierre, semblable à quelque chose qui a été sculpté par [...] l’homme ”. — Actes 17:29. – TG2004  15/1

    La capacité d’adaptation de Paul a été fortement mise à l’épreuve quand il a prêché aux Athéniens. L’introduction de dieux étrangers ou de nouvelles coutumes religieuses était interdite par les lois grecques et romaines. L’amour que Paul éprouvait pour les gens l’a poussé à examiner soigneusement leurs pratiques religieuses. À Athènes, il avait remarqué un autel gravé des mots “ À un Dieu inconnu ”. Il a mentionné ce détail dans son témoignage (Actes 17:22, 23). Quelle excellente façon d’introduire son message avec amabilité et respect – TG2002  ¼

    “ Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui s’y trouvent, étant — comme l’est Celui-ci — Seigneur du ciel et de la terre, n’habite pas dans des temples faits à la main ; il n’est pas non plus servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quelque chose, parce que c’est lui qui donne à tous la vie et le souffle et toutes choses. ” — Actes 17:24, 25. Paul attire ici l’attention sur Jéhovah, à qui nous devons la vie. Il le fait avec tact, l’appelant le “ Seigneur du ciel et de la terre ”. Nous avons un privilège immense, celui d’aider les personnes sincères de diverses origines culturelles et religieuses à comprendre que toute forme de vie provient de Jéhovah Dieu. Ps. 36:9. – TG2010  15/7 p30


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Ne nous contentons pas de lire les versets ; expliquons-les. Paul avait l’habitude d’‘ expliquer et de prouver ’ ce qu’il enseignait “ en citant des passages ”. (Actes 17:3.) Un texte biblique contient souvent plus d’une idée, d’où parfois la nécessité d’isoler les expressions qui se rapportent à la discussion. Un moyen consiste à répéter les mots-clés ou à poser des questions qui amèneront votre interlocuteur à les identifier. Expliquez-lui ensuite le sens de cette partie du verset. Ceci fait, aidez-le à voir comment le texte s’applique à lui. Raisonnons à partir des Écritures de manière convaincante. Recourant à des exhortations sincères et à la logique, Paul ‘ raisonnait avec ses auditeurs à partir des Écritures ’ de manière convaincante (Actes 17:2, 4). Comme lui, efforcez-vous de toucher votre interlocuteur. ‘ Puisez ’ dans son cœur grâce à des questions aimables qui traduisent l’intérêt que vous lui portez – TG2010   15/2 p14 §16,17

    LA PAROLE DE DIEU OFFRE UNE PROTECTION SÛRE - Des Juifs de la ville macédonienne de Bérée avaient l’habitude d’« examiner soigneusement les Écritures chaque jour ». Lorsque Paul leur a prêché la bonne nouvelle, ils ont comparé son enseignement avec leur connaissance des Écritures. Résultat, beaucoup furent convaincus qu’il disait la vérité et « devinrent croyants » (Actes 17:10-12). Ce fait montre que la lecture quotidienne de la Bible favorise une foi forte en Jéhovah. Si nous voulons entrer dans le monde nouveau de Dieu, une telle foi, « l’attente assurée de choses qu’on espère », est indispensable  - TG2013  15/4 §16

    Au départ, comment avons-nous bâti une foi forte ? “ La foi naît de ce qu’on a entendu ”, a écrit l’apôtre Paul (Romains 10:17). Il voulait dire que nous bâtissons tout d’abord notre foi et notre confiance en Jéhovah, dans ses promesses et dans son organisation en nous nourrissant de Sa Parole. Évidemment, nous n’avons pas pris pour argent comptant tout ce que nous avons entendu. Nous avons imité les habitants de Bérée, “ examinant soigneusement les Écritures chaque jour pour voir si ces choses étaient ainsi ”. (Actes 17:11.) Nous avons ‘ éprouvé personnellement ce qu’est la volonté de Dieu, bonne, agréable et parfaite ’, et avons vérifié la véracité de ce qui nous était dit. Depuis, discernant toujours plus clairement que la Parole de Dieu et ses promesses sont infaillibles, nous avons vraisemblablement affermi notre foi. – TG2001  1/7

    Quel est le moyen le plus efficace pour répandre le message du Royaume ? Jésus, qui savait comment rencontrer le plus de personnes, a envoyé ses disciples dans les villes, les villages et les maisons des gens. Après sa mort et sa résurrection, ils ont continué à prêcher “ de maison en maison ”. (Actes 5:42.) Comme Jésus, ils prêchaient aussi dans n’importe quel endroit où se trouvaient des gens, y compris dans des lieux publics (Actes 17:17). Aujourd’hui, les Témoins de Jéhovah emploient les mêmes méthodes. – TG2012  1/6

    À l’arrivée de l’apôtre à Corinthe, Aquila et Priscille lui proposèrent volontiers l’hospitalité, mais aussi du travail, car ils avaient en commun le métier de fabricants de tentes. — Actes 18:2, 3. La fabrication de tentes était un travail pénible. Il fallait couper des pièces raides et rugueuses, de cuir ou d’une autre matière, puis les coudre. Selon l’historien Fernando Bea, “ le travail exigeait dextérité et soin ”, car on employait “ des matériaux grossiers et résistants destinés à protéger du soleil et de la pluie le voyageur qui campait, ou à bâcher les marchandises dans les cales des navires ”. L’apôtre Paul ne dépendait pas de l’hospitalité. Il avait appris un métier qui nécessitait de longues heures d’un dur travail, mais qui ne procurait qu’un petit salaire. Aquila et Priscille étaient manifestement heureux de faire le maximum pour faciliter le service missionnaire de Paul. Combien de fois les trois amis ont dû faire une pause pour donner un témoignage informel à des clients ou à des passants ! Bien que la fabrication de tentes fût une activité humble et épuisante, ils étaient heureux de l’effectuer, et travaillaient même “ nuit et jour ” afin de promouvoir les intérêts divins. Dans le même esprit, de nombreux chrétiens de notre époque subviennent à leurs besoins grâce à un travail à temps partiel ou saisonnier, et consacrent la plupart du temps qui leur reste à aider autrui à entendre la bonne nouvelle. – TG1996  15/12 p22

    Comment Aquila et Priscille étaient-ils devenus des enseignants de la Parole de Dieu aussi compétents ? Outre leur assiduité dans l’étude individuelle et l’assistance aux réunions, la fréquentation étroite de l’apôtre Paul a dû beaucoup les aider. À Corinthe, Paul avait habité chez eux pendant 18 mois. Ils travaillaient ensemble à fabriquer et à réparer des tentes - Actes 18:2, 3). On imagine les conversations profondes qu’ils devaient avoir sur les Écritures. Quel coup de fouet la compagnie de Paul a dû donner à leur spiritualité ! “ Qui marche avec les sages deviendra sage ”, dit Proverbes 13:20. Cette bonne compagnie leur a permis d’améliorer leurs habitudes spirituelles Que retirons-nous de cet examen d’Actes 18 :2,3 ? Tout comme Aquila et Priscille ont appris de Paul, nous pouvons améliorer notre capacité à faire des disciples en suivant l’exemple de bons enseignants de la Parole de Dieu. Observons comment ils s’y prennent pour toucher le cœur de leurs interlocuteurs en enseignant avec habileté et persuasion. Ces qualités nous aideront à faire des disciples – TG2003  15/11 p19 §7,10

    L’apôtre Paul appliquait ce principe dans son enseignement. Quand il était à Corinthe, “ il faisait un discours dans la synagogue chaque sabbat et persuadait Juifs et Grecs ”. (Actes 18:4.) Selon un linguiste, le mot grec rendu ici par ‘ persuader ’ signifie “ provoquer un changement de pensées en invoquant la raison ou des considérations d’ordre moral ”. Par la force de ses arguments, Paul amenait certains de ses auditeurs à modifier jusqu’à leur façon de penser. Son pouvoir de persuasion était tel qu’il faisait peur à ses ennemis. Tout cela n’avait cependant rien à voir avec un étalage de facultés personnelles tout humaines. Puisque tous les chrétiens reçoivent l’aide de l’esprit de Jéhovah Dieu, tous peuvent devenir des enseignants persuasifs. Savoir écouter pour connaître ce qu’il y a dans le cœur de ceux que nous enseignons. Etre simple quand nous examinons des sujets profonds, s’efforcer d’être clair. Mettre l’accent sur les versets-clés. Se servir de questions pertinentes, judicieuses. Utiliser des exemples bien choisis qui touchent le cœur. Quel privilège nous avons d’être utilisés par Jéhovah pour enseigner  - TG1999  15/3  p15

    Si Paul a un tant soit peu hésité à poursuivre son ministère à Corinthe, ses doutes se sont dissipés la nuit où le Seigneur Jésus lui est apparu en vision et lui a dit : “ N’aie pas peur, mais continue à parler et ne te tais pas, parce que moi je suis avec toi, et personne ne t’attaquera pour te faire du mal ; car j’ai beaucoup de gens dans cette ville. ” (Actes 18:9, 10). Quel encouragement ! Le Seigneur en personne lui assurait qu’il le protégerait du mal et qu’il y avait dans la ville beaucoup de personnes dignes de la bonne nouvelle. Qu’a fait Paul alors ? On lit : “ Il demeura là un an et six mois, enseignant parmi eux la parole de Dieu. ” — Actes 18:11. Il est bon de garder en mémoire cette parole, surtout quand on rejette notre message. N’oublions jamais que Jéhovah lit dans les cœurs et attire à lui les gens sincères. C’est là pour nous un bel encouragement à rester actifs dans le ministère. – bt p152

    Corinthe abritait une communauté juive relativement importante ; c’est donc à la synagogue que Paul y a d’abord prêché. Mais quand il s’est avéré que les Juifs s’opposaient à son message, il s’est tourné vers la population gentile (Actes 18:1-6). Et quelle population ! Ville de commerce cosmopolite et bourdonnante d’activité, Corinthe était connue dans tout le monde gréco-romain pour ses mœurs relâchées. L’expression “ vivre à la corinthienne ” signifiait d’ailleurs vivre dans la débauche. C’est pourtant après que les Juifs eurent rejeté la prédication de Paul que Christ est apparu à l’apôtre pour lui dire : “ N’aie pas peur, mais continue à parler [...] ; car j’ai beaucoup de gens dans cette ville. ” (Actes 18:9, 10). Et en effet. Paul a fondé une congrégation à Corinthe, congrégation dont certains membres avaient pourtant vécu auparavant “ à la corinthienne ”. — 1 Corinthiens 6:9-11. Aujourd’hui comme au 1er siècle, la prédication de la bonne nouvelle s’étend désormais à tous les continents et à la plupart des îles, et, comme Paul, nous avons affaire à “ toutes sortes d’hommes ”. Quand nous prêchons, il n’est pas rare que nous rencontrions des personnes déçues par les religions. Il y en a cependant parmi elles qui craignent Dieu ; certaines, en effet, croient à son existence et s’efforcent de mener une vie droite. À l’image des Juifs du Ier siècle, les membres de ces Églises sont parfois très attachés à leurs traditions religieuses. Nous sommes cependant heureux de rechercher ceux qui ont une bonne condition de cœur et de bâtir sur la connaissance plus ou moins grande qu’ils ont déjà de la Bible. Même si leur clergé s’oppose parfois à nous et nous persécute, nous n’éprouvons envers eux ni condescendance ni mépris. Nous sommes conscients que, même s’ils n’ont pas la connaissance exacte, certains peuvent avoir “ du zèle pour Dieu ”. Imitant Jésus et Paul, nous manifestons un amour sincère envers nos semblables, et nous désirons ardemment qu’ils soient sauvés – TG1997  1/11 p11

    Aquila et sa femme Priscille, deux chrétiens qui avaient entendu Apollos s’exprimer avec hardiesse dans la synagogue, l’ont pris avec eux et ont complété sa connaissance de la vérité. (Actes 18:24-26.) Apollos, juif d’Alexandrie (Égypte), remarquable d’éloquence et très versé dans les Écritures hébraïques. Il dut recevoir le témoignage soit de disciples de Jean le baptiseur, soit de témoins chrétiens avant la Pentecôte, car il “ ne connaissait que le baptême de Jean ”. (Ac 18:24, 25.) Néanmoins, l’ardeur de ses convictions était telle qu’en arrivant à Éphèse, vers l’an 52 de n. ère, il se mit à prêcher dans la synagogue. C’est là qu’il rencontra Aquila et Priscille, qui comblèrent quelques lacunes dans sa compréhension des enseignements chrétiens. C’était une belle preuve d’amour de leur part. Sans doute ont-ils abordé le sujet avec tact et bienveillance pour ne pas lui donner l’impression qu’ils le critiquaient. En effet, Apollos n’avait rien à se reprocher ; simplement, il n’avait pas entendu parler des débuts de la congrégation chrétienne. Il a certainement été reconnaissant à ses nouveaux compagnons de lui avoir fait part de ces détails précieux. Grâce à cette connaissance affinée, il a été d’une grande aide pour ses frères et sœurs d’Achaïe, et sa prédication a eu d’excellents résultats. Actes 18:27, 28. Aujourd’hui, beaucoup de chrétiens restent très reconnaissants à ceux qui les ont aidés à comprendre la Bible. De nombreuses amitiés inébranlables se sont nouées entre des étudiants et leurs enseignants. En général, pour enseigner la vérité à quelqu’un, il faut lui accorder régulièrement du temps, et cela pendant des mois. Pourtant, les proclamateurs consentent ces sacrifices parce qu’ils savent qu’il en va de la vie des gens. Et puis, quelle joie de voir quelqu’un comprendre la vérité, s’y conformer et consacrer sa vie au service de Jéhovah  - TG2010 15/6  p11 §4,5

    Les premiers résultats du ministère d’Apollos à Corinthe furent excellents. Le livre des Actes rapporte que, “ lorsqu’il fut arrivé là, il aida beaucoup ceux qui avaient cru à cause de la faveur imméritée de Dieu ; car, avec force et en public, il prouvait pleinement que les Juifs avaient tort, tandis qu’il démontrait par les Écritures que Jésus était le Christ ”. — Actes 18:27, 28. Apollos se mit au service de la congrégation et encouragea les frères par sa préparation et son zèle. Quel était le secret de son succès ? Apollos avait certainement des aptitudes naturelles et le courage nécessaire pour affronter les Juifs dans un débat public. Mais, chose plus importante, il raisonnait en se servant des Écritures. Apollos est un excellent exemple pour tous ceux qui prêchent la bonne nouvelle aujourd’hui, et, d’une manière générale, pour tous ceux qui veulent progresser spirituellement. Nous n’avons peut-être pas son éloquence, mais nous pouvons certainement nous efforcer de l’imiter dans un autre domaine : la connaissance et la bonne utilisation des Écritures, afin de pouvoir aider les personnes qui cherchent sincèrement la vérité. Par son exemple de zèle dans l’activité, Apollos “ aida beaucoup ceux qui avaient cru ”. (Actes 18:27.) Il se distinguait par son humilité, son esprit de sacrifice et sa volonté de servir les autres. Il comprenait parfaitement qu’il n’y a aucune place dans la congrégation chrétienne pour les rivalités et l’ambition ; nous sommes tous des “ compagnons de travail de Dieu ”. – TG1996  1/10  p21-22


    Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle

    Frère Sanderson : « Nous sommes très peu à avoir participé à la traduction de la Bible mais nous pouvons tous communiquer son message et aider les autres à acquérir la connaissance exacte de Jéhovah.

    Dans la vidéo suivante, vous allez voir l’importance qu’une famille a donné à certaines activités théocratiques et les efforts que chacun de ses membres a dû faire pour devenir aussi zélé.

    « D’accord, on sait déjà comment cette histoire va se terminer. Ce n’est pas vraiment une surprise ».

    « Mais voulez-vous savoir comment nous en sommes arrivé à ce résultat ? Jamais je n’aurai pensé que notre famille aurait besoin d’améliorer son ministère ».

    Ma femme et ma fille étaient toutes d’eux pionnières permanentes, mon fils était un proclamateur qui s’épanouissait dans la vérité et de mon côté, mon emploi ne me permettait pas de devenir pionnier pour l’instant mais je faisais de mon mieux pour soutenir ma famille.

    J’ai toujours pensé que la meilleure façon de les soutenir était simplement de prêcher avec eux le plus souvent possible mais je me suis vite rendu compte que ça ne suffisait pas.

    Le responsable de notre groupe de prédication s’est efforcé de prêcher avec nous régulièrement ces dernières semaines et il m’a gentiment fait part de quelques observations.

    Il avait remarqué que nous prêchions beaucoup mais que nous faisions de moins en moins de nouvelles visites et en dehors de l’étude que j’avais avec chacun de mes enfants, personne dans la famille ne donnait de cours biblique.

    Je lui ai demandé ce que nous pouvions faire pour essayer d’améliorer la qualité de notre ministère. Il m’a montré les paroles de Paul en Romains 15 :19 « J’ai prêché pleinement la bonne nouvelle concernant le Christ »

    Il nous a suggéré de nous intéresser au ministère de Paul au cours de notre prochain culte familial et de voir ce que son exemple pouvait nous apprendre.

    En examinant le ministère de Paul, on s’est rendu compte que pour être plus efficace, il nous fallait de la hardiesse

    Ephésiens 6 :19 dit « Priez aussi pour moi, afin que les mots me soient donnés quand j’ouvre la bouche, pour que je puisse parler courageusement lorsque je fais connaître le saint secret de la bonne nouvelle ».

    Rina a remarqué que Paul raisonnait de manière convaincante avec les personnes et Keiko a aimé la façon dont Paul cherchait à établir un terrain d’entente avec ses interlocuteurs. Un jour, il a même utilisé un autel à un dieu inconnu pour diriger la discussion vers Jéhovah.

    Et enfin, Haruto a cité un verset de 2 Timothée qui dit que Paul était « un ouvrier qui n’avait à rougir de rien et qui exposait correctement la Parole de la vérité ». Et il utilisait donc les Ecritures habilement quand il rendait témoignage.

    Je vous l’avais dit. Vous connaissez la fin de l’histoire.

    Je suis devenu pionnier auxiliaire.

    Nous avons maintenant à présent plusieurs nouvelles visites et quelques études qui progressent bien.

    Mais comment sommes-nous arrivé à ce résultat ? Nous avons beaucoup appris de l’exemple de Paul qui prêchait pleinement la bonne nouvelle.

     
    Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère   :

    Dans quels domaines du ministère cette famille devait-elle s’améliorer ?

    Quels points forts du ministère de l’apôtre Paul a-t-elle imités ?

    Quels bienfaits en a-t-elle retirés ?

    Quelles idées pourrais-tu utiliser pour ton culte familial ?
    jwb_F_201701_05_r240P.mp4
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    Dans le journal La Dépêche   Actualités Santé Publié le 13/12/2018 à 19:31
    Encore trop de transfusions sanguines, jugent des médecins
    Santé
      AFP) - On effectue encore trop de transfusions sanguines lors des opérations en France, estiment des professionnels de santé, qui ont présenté jeudi des recommandations pour limiter ce geste médical coûteux et parfois risqué aux cas où il est vraiment inévitable.
    "La transfusion a déjà beaucoup diminué au cours des 20 dernières années", a expliqué à l'AFP le Pr Xavier Capdevila, président de la Société française d'anesthésie et de réanimation (SFAR), qui intervenait à un colloque à l'Académie de médecine.
    D'environ 45% de patients transfusés dans des chirurgies programmées avec un risque hémorragique important, on est passé à "des chiffres de transfusion qui sont plus autour de 10-13%, ce qui est encore beaucoup", a-t-il ajouté.
    Dans plus de la moitié des cas (59%), la décision de transfuser est "probablement inappropriée", et dans près d'un tiers (29%), sa pertinence pour le patient est "incertaine", selon une analyse réalisée en 2011 par des experts internationaux du sujet.
    Or la transfusion entraîne des risques de complications non négligeables pour le patient. Selon plusieurs études, les patients transfusés au cours d'une opération ont ensuite un risque plus élevé de mortalité, d'infection, d'AVC ou encore de thrombose veineuse, rappellent les intervenants au colloque.
    De plus, l'usage de ces produits sanguins coûte cher aux hôpitaux - environ 250 euros la poche de sang, sans compter les coûts liés à la prolongation de la durée d'hospitalisation.
    Selon Pascal Paubet, chercheur en économie de la santé et chef du service santé publique à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, l'assurance maladie pourrait économiser près de 200 millions d'euros par an pour la seule chirurgie orthopédique en appliquant une stratégie désignée au niveau international sous le terme de "patient blood management" (gestion personnalisée du capital sanguin).
    Cette stratégie consiste notamment à traiter en amont de l'opération les patients anémiés, par des injections de fer ou l'administration d'érythropoïétine (EPO). Lorsque le taux d'hémoglobine dans le sang est trop faible, la probabilité de devoir transfuser en cas de saignement est en effet beaucoup plus élevée.
    Les professionnels de santé formulent aussi plusieurs recommandations pour limiter les saignements pendant l'opération (utilisation de produits antihémorragiques, chirurgie mini-invasive qui limite les incisions, etc.).
    Enfin, après l'opération, le suivi du patient doit "l'aider à optimiser son hémoglobine ou l'aider à supporter son anémie en cas d'hémoglobine un peu basse", a ajouté le Pr Capdevila.
    Ces recommandations sont reprises dans un livre blanc, élaboré par sept sociétés savantes, notamment de médecins anesthésistes et de chirurgiens orthopédiques et thoraciques.
    Si des initiatives en ce sens existent en France, notamment au CHU d'Angers, les auteurs du livre blanc espèrent la mise en place d'expérimentations officielles, avant un éventuel programme au niveau national.
    https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/13/2924242-encore-trop-de-transfusions-sanguines-jugent-des-medecins.html&ct=ga&cd=CAEYACoTMzM3MTUyNzgxNzE4NjQ3NTA0NzIZOGZhNWFiN2UzNWViNzRmODpmcjpmcjpGUg&usg=AFQjCNGTrF2757gdLblpwmz4HXM3VKL2Lw
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    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 DECEMBRE 2018 - ACTES 15-16.docx
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 DECEMBRE 2018 - ACTES 15-16.pdf
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 15-16.

    Actes 16:6-9 : Quelle leçon pouvons-nous retirer de ce récit si nous voulons étendre notre ministère ? (w12 15/1 10 § 8).

    Ils traversèrent aussi la Phrygie et la Galatie, parce que l’esprit saint leur avait interdit de dire la parole dans la province d’Asie. Et quand ils arrivèrent en Mysie, ils essayèrent d’entrer en Bithynie, mais l’esprit de Jésus ne le leur permit pas.  Ils passèrent donc à côté de la Mysie et descendirent à Troas. Et pendant la nuit, une vision apparut à Paul : un Macédonien se tenait là, debout, et le suppliait : « Passe en Macédoine et aide-nous ! »

    Que retenir de ce récit ? L’esprit de Dieu est intervenu après le départ de Paul pour l’Asie. Jésus est intervenu après que Paul a approché de la Bithynie. Enfin, Jésus a dirigé Paul vers la Macédoine après son arrivée à Troas. Jésus, le Chef de la congrégation, peut agir envers nous d’une façon similaire (Col. 1:18). Par exemple, envisagez-vous depuis quelque temps de devenir pionnier ou de vous déplacer là où il y a besoin de plus de proclamateurs ? Il se pourrait que Jésus vous guide par le moyen de l’esprit de Dieu seulement après que vous aurez pris des mesures précises pour atteindre votre objectif. Le conducteur d’une voiture ne peut lui faire prendre un virage que si elle roule. De même, si nous voulons étendre notre ministère, Jésus ne peut nous diriger qu’à condition que nous avancions, que nous fassions de réels efforts pour réaliser notre objectif. - w12  15/1 10 § 8

    “ Passe en Macédoine et aide-nous. ” (Actes 16:9). Ces paroles de l’homme qui était apparu en vision à l’apôtre Paul indiquaient que la bonne nouvelle du Royaume de Dieu devait être annoncée dans un nouveau territoire, dans des villes qui se situent maintenant en Grèce. – TG2005  15/4

    La capacité d’adaptation de Paul a été fortement mise à l’épreuve quand il a prêché aux Athéniens. L’introduction de dieux étrangers ou de nouvelles coutumes religieuses était interdite par les lois grecques et romaines. L’amour que Paul éprouvait pour les gens l’a poussé à examiner soigneusement leurs pratiques religieuses. À Athènes, il avait remarqué un autel gravé des mots “ À un Dieu inconnu ”. Il a mentionné ce détail dans son témoignage. Quelle excellente façon d’introduire son message avec amabilité et respect. Quelle joie Paul a dû ressentir en repensant aux résultats de son activité en tant qu’apôtre des nations – TG2002  1/4

    Paul a montré son amour pour le ministère en saisissant toutes les occasions de parler aux gens. Nous aussi, comme les apôtres et les premiers chrétiens, nous prêchons de façon informelle, en public et de maison en maison. Si notre situation le permet, nous cherchons des moyens d’augmenter notre ministère, en étant par exemple pionniers auxiliaires ou permanents. Nous pouvons aussi apprendre une autre langue, ou déménager dans une autre région soit dans notre pays, soit à l’étranger  TG2017/6

    Chaque année, des assemblées soutiennent avec joie des campagnes de prédication menées dans des territoires isolés (Actes 16:9). Un nombre toujours plus grand de pionniers, jeunes et zélés, sont le fer de lance de cette activité. Ils se rendent dans des régions éloignées – TG2006  15/6

    Actes 16:37 : Comment l’apôtre Paul s’est-il servi de sa citoyenneté romaine pour faire connaître la bonne nouvelle ? (nwtsty ; it-1 554 § 3).

    Mais Paul leur dit : « Ils nous ont flagellés en public sans que nous ayons été condamnés, nous, des Romains, et ils nous ont jetés en prison. Et maintenant ils veulent nous mettre dehors en secret ? Il n’en est pas question ! Qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir. »

    nous, des Romains : C’est-à-dire des citoyens romains. Paul était citoyen romain, et il semble que c’était aussi le cas de Silas. La loi romaine déclarait qu’un citoyen avait toujours droit à un procès en règle et ne devait jamais être puni publiquement sans avoir été condamné.

    La citoyenneté romaine accordait à une personne certains droits et privilèges dans tout l’empire. Un citoyen romain était soumis à la loi romaine, non aux lois des villes de province. S’il était accusé, il pouvait accepter d’être jugé selon les lois locales, mais il avait toujours le droit d’être entendu par un tribunal romain.

    Si l’acte dont on l’accusait méritait la mort, il pouvait en appeler à l’empereur. L’apôtre Paul a beaucoup prêché dans l’Empire romain. La Bible rapporte trois épisodes au cours desquels il a fait jouer ses droits de citoyen romain. Il s’agit là du premier épisode : à Philippes, Paul signale aux magistrats qu’en le battant ils ont transgressé ses droits. Les deux autres épisodes sont rapportés en Actes 22:25 et 25:11.

    Coups - Paul fut flagellé avec des verges à Philippes. Il retourna la situation contre ses persécuteurs, profitant de l’occasion pour défendre la bonne nouvelle qu’il prêchait et la faire reconnaître en justice. Il avait été battu en public et jeté en prison, mais quand les magistrats se rendirent compte qu’il était citoyen romain, ils eurent très peur, car, non contents d’avoir flagellé un citoyen romain, ils l’avaient fait sans procès ni condamnation. En la circonstance également, Paul et Silas avaient été traités publiquement en malfaiteurs. C’est pourquoi, lorsque les magistrats ordonnèrent au geôlier de relâcher Paul et Silas, Paul répondit : « Ils nous ont flagellés en public sans que nous ayons été condamnés : des hommes qui sont des Romains, et ils nous ont jetés en prison ; et maintenant ils nous mettent dehors en secret ? Eh bien, non ! Qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir.» Il fallait que les magistrats reconnaissent personnellement leur faute. « Les officiers de police rapportèrent ces paroles aux magistrats civils. Ceux-ci prirent peur quand ils apprirent que ces hommes étaient Romains. Ils vinrent donc les supplier et, après les avoir fait sortir, ils les prièrent de quitter la ville » (Actes 16:22-40). Il apparut ainsi que la prédication de la bonne nouvelle ne violait pas la loi, puisque par leur action les magistrats eux-mêmes reconnaissaient publiquement que Paul et Silas n’avaient rien fait de mal. Paul agit de la sorte parce qu’il désirait « faire reconnaître la bonne nouvelle en justice » (Ph 1:7).

    Né dans une famille juive au cœur d’une ville hellénistique et romaine, Saul appartenait à trois mondes. Cette origine cosmopolite et multilingue l’aida certainement à devenir “ toutes choses pour des gens de toutes sortes ”. Son droit de cité romaine lui permit plus tard de défendre son ministère en justice et de porter la bonne nouvelle devant la plus haute autorité de l’Empire romain. Quand il fut canalisé dans la bonne direction, le zèle de Saul fut des plus utile dans la diffusion du message du Royaume vers des territoires lointains. Quand Saul eut compris ce que Jésus attendait de lui, il ne recula pas. Il fit tout son possible pour promouvoir les intérêts du Royaume. – TG1999  15/5 p29

    Les lois gouvernementales ont souvent facilité la prédication des chrétiens. Au Ier siècle, l’Empire romain dominait le monde, et ses lois écrites exerçaient une grande influence sur la vie quotidienne des gens. Ces lois offraient des protections qui ont servi aux premiers chrétiens. Cela a été le cas de Paul qui, en en ayant appelé à la loi romaine, a été libéré de prison et a échappé à la flagellation. Il en va de même aujourd’hui dans de nombreux pays. Même s’il existe des individus qui cherchent à ‘ façonner le malheur par décret ’, les lois écrites de la plupart des États considèrent la liberté de religion comme un droit fondamental. Conscients que les Témoins de Jéhovah ne représentent aucune menace pour l’ordre social, de nombreux gouvernements ont accordé à notre œuvre une reconnaissance légale. Aux États-Unis, où s’effectue une grande partie de nos activités d’impression, les lois en place ont permis à La Tour de Garde d’être imprimée sans discontinuer depuis 130 ans et d’être lue dans le monde entier. TG1999  15/8 p19 §12,13

    Paul possédait un autre atout. Il était citoyen romain et il a également utilisé cette qualité pour favoriser l’expansion de la bonne nouvelle. À Philippes, ses compagnons et lui ont été frappés et jetés en prison sans procès. Il était illégal de traiter ainsi un citoyen romain, et quand Paul a porté ce fait à l’attention des autorités, elles lui ont permis de rester et d’accomplir son ministère dans la congrégation avant de partir pour sa destination suivante. Plus tard, lors de sa comparution devant le gouverneur Festus, Paul a profité de sa citoyenneté romaine pour en appeler à César. Il a ainsi pu défendre la bonne nouvelle devant la plus haute autorité de l’Empire romain. – TG1992  1/11 p21


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah Dieu rejeta finalement l’Israël selon la chair, nation infidèle. Mais son nom devait subsister au sein de la nouvelle nation de l’Israël spirituel, la congrégation chrétienne, même quand cette nouvelle nation commencerait à compter comme membres des non-Juifs. C’est pourquoi, alors qu’il présidait une assemblée chrétienne à Jérusalem, le disciple Jacques déclara que Dieu s’était “ occupé des nations [non juives] pour tirer d’entre elles un peuple pour son nom ”. Pour prouver que cela avait été prédit, Jacques cita ensuite une prophétie du livre d’Amos dans laquelle figure le nom de Jéhovah. Actes 15:2, 12-14 ; Amos 9:11, 12. – it1 Jéhovah

    Ce nom est important pour ceux qui connaissent Dieu. Dans le passé, le peuple de Dieu avait compris que sa protection et son salut étaient liés au nom de Dieu. « Le nom de Jéhovah est une tour fortifiée. Le juste y court et obtient protection » (Proverbes 18:10). « Tous ceux qui feront appel au nom de Jéhovah seront sauvés » (Joël 2:32). La Bible montre que le nom de Dieu serait un moyen de reconnaître ceux qui le servent. « Simon a raconté minutieusement comment, pour la première fois, Dieu s’est occupé des nations pour tirer d’entre elles un peuple pour son nom » Actes 15:14. – wp2019/1 p4

    Le collège central du 1er siècle a un jour envoyé une lettre importante aux assemblées. Après avoir cité des choses dont les chrétiens doivent s’abstenir, la lettre se terminait ainsi : « Si vous vous gardez soigneusement de ces choses, vous prospérerez. Portez-vous bien ! » (Actes 15:29). Ces derniers mots, une formule de politesse, peuvent aussi être rendus par « soyez forts ». C’est sûr, nous souhaitons « prospérer », bien nous porter, être forts pour servir notre grand Dieu. – TG201515/12 p23 §17


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Treize ans après que Corneille, un Gentil incirconcis, est devenu chrétien, des frères d’origine juive continuaient à dire que la circoncision était obligatoire (Actes 15:1, 2). À Antioche, des frères ont eu un grave désaccord à ce sujet. Il a donc été décidé que Paul irait à Jérusalem pour présenter cette question au collège central. Mais qui était à l’origine de cette décision ? Paul explique : « J’y suis monté à la suite d’une révélation. » Manifestement, c’était Christ qui dirigeait les choses pour que la question soit réglée par le collège central (Gal. 2:1-3). Guidé par Christ, le collège central a clairement établi que les chrétiens d’origine non juive n’étaient pas obligés de se faire circoncire (Actes 15:19, 20). Pourtant, des années après cette décision, de nombreux chrétiens d’origine juive continuaient à faire circoncire leurs fils. Il faut parfois du temps pour s’adapter à un changement. Certains chrétiens d’origine juive avaient du mal à accepter l’idée qu’ils n’étaient plus soumis à la Loi. Pour eux, la circoncision avait toujours été le signe qu’ils avaient une relation privilégiée avec Dieu. D’autres avaient peur d’être persécutés par les Juifs s’ils se montraient différents d’eux. Mais au moyen des lettres de Paul, Christ a fourni des directives qui aideraient ces chrétiens à s’adapter au changement.Aujourd’hui encore, Christ est le Chef de l’assemblée. C’est pourquoi, si nous ne comprenons pas certains changements que fait l’organisation, pensons à la façon dont Christ a guidé le peuple de Dieu dans le passé. Que ce soit à l’époque de Josué ou à celle des apôtres, la façon de diriger de Jésus a toujours protégé le peuple de Dieu, et fortifié sa foi et son unité TG2018/10p22

    Un joug sur le cou évoquait la servitude, la soumission ou l’esclavage Actes 15 :10 « Alors pourquoi maintenant mettez-vous Dieu à l’épreuve en imposant aux disciples de porter un joug que ni nos ancêtres ni nous n’avons été capables de porter ? » Les expressions “ au cou raide ” ou ‘ cou durci ’, qui reviennent fréquemment, évoquent un esprit rebelle et obstiné. En guise d’avertissement, les Écritures disent qu’“ un homme qui a été repris maintes fois, mais qui durcit son cou, sera brisé soudain, et cela sans guérison ”. – it1 p550

    La Loi donnée à la nation d’Israël était un joug, car elle lui imposait des obligations et des responsabilités envers Jéhovah Dieu. La Loi étant sainte, juste et bonne, ce qu’elle prescrivait ne nuisait pas aux Israélites. Néanmoins, en raison de leur état de pécheurs et de leur imperfection, ils furent incapables de la garder parfaitement, et elle se révéla donc un joug que ‘ ni eux ni leurs ancêtres n’ont été capables de porter ’ (puisqu’ils furent condamnés pour avoir rompu la Loi). C’est ce que Pierre expliqua quand il montra qu’il n’était pas nécessaire d’imposer aux chrétiens d’origine non juive d’observer “ la loi de Moïse ”. (Actes 15:4-11.) Ce ne fut pas la Loi en elle-même qui fit venir l’esclavage, mais le péché. Par conséquent, si une personne essayait d’obtenir la vie en gardant parfaitement la Loi mosaïque, non seulement cela serait impossible, mais encore cela signifierait qu’elle se laisserait “ mettre de nouveau sous le joug de l’esclavage ”. En effet, étant pécheresse et esclave du péché, elle serait condamnée par la Loi, qui n’offrait pas de sacrifice vraiment efficace pour les péchés, ce que fit la rançon payée par Christ - it-2 p60

    En disant : “ Ma décision est donc ”, Jacques imposait-il aux autres frères son autorité, peut-être de président de séance, et décidait-il arbitrairement de ce qu’il fallait faire ? Pas du tout ! L’expression grecque rendue par “ ma décision est ” pourrait aussi signifier “ je juge ” ou “ je suis d’avis ”. Loin de régenter le groupe, Jacques proposait à sa réflexion une ligne de conduite fondée sur les témoignages entendus et sur les indications des Écritures relatives au sujet. La proposition de Jacques était-elle bonne ? Oui, à l’évidence, puisque les apôtres et les anciens l’ont ensuite adoptée. Quels en seraient les avantages ? D’un côté, la conduite préconisée aurait l’effet de “ ne pas inquiéter ” les chrétiens gentils, autrement dit de “ ne pas leur créer de difficultés ”, en ne leur imposant pas les exigences de la Loi mosaïque Actes 15:19 «  Ma décision est donc de ne pas créer de problèmes aux gens des nations qui se tournent vers Dieu » -     Cette décision respecterait la conscience des chrétiens juifs qui, pendant des années, avaient entendu “ Moïse lut à haute voix dans les synagogues chaque sabbat ”. (Actes 15:21.) La conduite préconisée renforcerait sûrement le lien entre les chrétiens juifs et les chrétiens gentils. Mais surtout, elle plairait à Jéhovah Dieu, car elle cadrerait avec la progression de son dessein. Quelle belle manière de régler un problème qui menaçait l’unité et la sérénité de la congrégation entière du peuple de Dieu ! Et quel excellent exemple pour la congrégation chrétienne actuelle – bt p111

    Ils envoyèrent des hommes choisis ’ (Actes 15:22-29) Le collège central de Jérusalem venait de prendre une décision unanime relativement à la circoncision. Toutefois, pour que les frères des congrégations agissent à l’unisson, il fallait leur communiquer cette décision de façon claire, positive et encourageante. Quel était le meilleur moyen de le faire ? Le récit explique : “ Alors les apôtres et les anciens, ainsi que toute l’assemblée, décidèrent d’envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabé, des hommes choisis parmi eux. Ils envoyèrent Judas, qu’on appelait Barsabas, et Silas, qui exerçaient tous les deux des responsabilités parmi les frères ” En outre, ils ont préparé une lettre qu’ils ont confiée à ces hommes pour qu’elle soit lue dans toutes les congrégations d’Antioche, de la Syrie et de la Cilicie. — Actes 15:22-26. Étant “ des hommes en vue parmi les frères ”, Judas et Silas étaient pleinement aptes à servir de représentants du collège central. En voyant arriver une délégation de quatre frères, les congrégations comprendraient bien que le message apporté n’était pas qu’une réponse à l’interrogation de départ, mais des instructions expresses du collège central. La présence de Judas et de Silas, les “ hommes choisis ”, rapprocherait les chrétiens juifs de Jérusalem des chrétiens gentils des congrégations. Quelle mesure sage et bienveillante ! Elle a certainement favorisé la paix et l’harmonie dans le peuple de Dieu La lettre donnait des instructions claires pour les chrétiens gentils, non seulement au sujet de la circoncision, mais aussi de ce qu’ils devaient faire pour avoir la faveur et la bénédiction de Jéhovah. Aujourd’hui, l’unité de croyance et d’action règne parmi les Témoins de Jéhovah. Comment cette unité est-elle possible, surtout compte tenu du désordre et de l’esprit de division qui sévissent dans le monde actuel ? Elle résulte principalement des instructions claires et fermes que Jésus Christ, le Chef de l’assemblée, nous fournit par l’intermédiaire de “ l’esclave fidèle et avisé ”. Elle résulte aussi de la coopération sans réserve de l’ensemble des frères dans le monde avec le Collège central. – bt p111

    La Bible rapporte qu’à un certain moment, il y a eu « une violente explosion de colère » entre eux. Pourquoi ? Le récit ne laisse pas entendre que c’était à cause d’un conflit de personnalité. En fait, les deux hommes ont eu un désaccord : Barnabé pensait que Jean Marc avait les qualités pour être missionnaire, et Paul pensait le contraire (Actes 15:36-40). Malgré leurs personnalités différentes, Paul et Barnabé avaient collaboré ensemble avant cet évènement. Et tout porte à croire qu’ils ont réglé leur désaccord puisque, d’après le récit, Jean Marc a plus tard servi aux côtés de Paul. Les différences de personnalité ne sont donc pas forcément source de conflit. C’était vrai à l’époque de Paul et ça l’est toujours aujourd’hui – TG2017/6 p16

    Rappelons ce qui s’est passé un jour entre Paul et Barnabé. Depuis des années, ces hommes collaboraient pour faire connaître la bonne nouvelle. Ils avaient tous deux de grandes qualités. Pourtant, ce jour-là, il se produisit entre eux “ une violente explosion de colère, si bien qu’ils se séparèrent l’un de l’autre ”. (Actes 15:36-39.) Cet incident souligne que même des adorateurs fidèles de Dieu peuvent avoir un différend. Que faire pour éviter qu’un malentendu ne dégénère en altercation et que nous restions en froid avec notre frère ou notre sœur ? Comme l’indique l’expression “ une violente explosion de colère ”, la dispute entre Paul et Barnabé a été brusque et grave. Si, au cours d’une conversation, un chrétien sent la colère monter, il a tout intérêt à écouter ce conseil de Jacques : “ Tout homme doit être prompt à entendre, lent à parler, lent à la colère ; car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu. ” (Jacq. 1:19, 20). En fonction des circonstances, il s’efforcera de changer de sujet, de remettre la conversation à plus tard ou de prendre congé, avant que les esprits ne s’échauffent – TG2011  15/4  p23-24

    Paul et ses compagnons donnèrent un excellent exemple pour ce qui est d’accepter la direction de l’esprit saint (16:6-10). Peut-être au moyen de révélations audibles, de rêves ou de visions, l’esprit les empêcha de prêcher dans le district d’Asie et dans la province de Bithynie, régions où la bonne nouvelle allait pénétrer par la suite. Pourquoi l’esprit interdit-il aux missionnaires d’y entrer plus tôt? Les ouvriers étaient peu nombreux, et l’esprit les guidait vers des territoires plus productifs, en Europe. Si donc, de nos jours, l’accès à un territoire est fermé, les Témoins de Jéhovah prêchent ailleurs, convaincus que l’esprit de Dieu les guide vers les “brebis”. – TG1990  15/6 p15

    Paul et Silas alors qu’ils étaient en prison à Philippes, on lit en Actes 16:25 : “ Vers le milieu de la nuit Paul et Silas priaient et louaient Dieu par des chants ; oui, les prisonniers les entendaient. ” Détail intéressant, ils ne faisaient pas que prier : ils chantaient ! Et ils chantaient assez fort pour être entendus des autres prisonniers ! La plupart d’entre nous n’ont pas des voix exercées, mais cela ne devrait pas nous empêcher de chanter, surtout quand nous traversons des moments difficiles. Cet épisode nous apprend autre chose encore sur la personnalité de Silas. Il était joyeux d’avoir souffert avec Paul à cause du nom de Christ -  TG2012  1/8 p29

    LE GEÔLIER DEVIENT CROYANT: Quand un tremblement de terre a ouvert la porte de la prison et défait les liens des détenus, le geôlier philippien était prêt à se supprimer (Actes 16:25-27). Pourquoi? Parce que la loi romaine stipulait qu’un geôlier qui laissait des prisonniers s’échapper subissait la sentence à leur place. Cet homme préférait apparemment se suicider plutôt que de mourir sous la torture, le sort réservé probablement à certains prisonniers. Cependant, il a accepté la bonne nouvelle du Royaume, et “sur-le-champ ils furent tous baptisés, lui et les siens”. Actes 16:28-34.- TG1990  5/5 p. 25, encadré]


     
    Elle a son propre présentoir    
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    Dans le journal La Dépêche   Actualités Santé Publié le 13/12/2018 à 19:31
    Encore trop de transfusions sanguines, jugent des médecins
    Santé
      AFP) - On effectue encore trop de transfusions sanguines lors des opérations en France, estiment des professionnels de santé, qui ont présenté jeudi des recommandations pour limiter ce geste médical coûteux et parfois risqué aux cas où il est vraiment inévitable.
    "La transfusion a déjà beaucoup diminué au cours des 20 dernières années", a expliqué à l'AFP le Pr Xavier Capdevila, président de la Société française d'anesthésie et de réanimation (SFAR), qui intervenait à un colloque à l'Académie de médecine.
    D'environ 45% de patients transfusés dans des chirurgies programmées avec un risque hémorragique important, on est passé à "des chiffres de transfusion qui sont plus autour de 10-13%, ce qui est encore beaucoup", a-t-il ajouté.
    Dans plus de la moitié des cas (59%), la décision de transfuser est "probablement inappropriée", et dans près d'un tiers (29%), sa pertinence pour le patient est "incertaine", selon une analyse réalisée en 2011 par des experts internationaux du sujet.
    Or la transfusion entraîne des risques de complications non négligeables pour le patient. Selon plusieurs études, les patients transfusés au cours d'une opération ont ensuite un risque plus élevé de mortalité, d'infection, d'AVC ou encore de thrombose veineuse, rappellent les intervenants au colloque.
    De plus, l'usage de ces produits sanguins coûte cher aux hôpitaux - environ 250 euros la poche de sang, sans compter les coûts liés à la prolongation de la durée d'hospitalisation.
    Selon Pascal Paubet, chercheur en économie de la santé et chef du service santé publique à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, l'assurance maladie pourrait économiser près de 200 millions d'euros par an pour la seule chirurgie orthopédique en appliquant une stratégie désignée au niveau international sous le terme de "patient blood management" (gestion personnalisée du capital sanguin).
    Cette stratégie consiste notamment à traiter en amont de l'opération les patients anémiés, par des injections de fer ou l'administration d'érythropoïétine (EPO). Lorsque le taux d'hémoglobine dans le sang est trop faible, la probabilité de devoir transfuser en cas de saignement est en effet beaucoup plus élevée.
    Les professionnels de santé formulent aussi plusieurs recommandations pour limiter les saignements pendant l'opération (utilisation de produits antihémorragiques, chirurgie mini-invasive qui limite les incisions, etc.).
    Enfin, après l'opération, le suivi du patient doit "l'aider à optimiser son hémoglobine ou l'aider à supporter son anémie en cas d'hémoglobine un peu basse", a ajouté le Pr Capdevila.
    Ces recommandations sont reprises dans un livre blanc, élaboré par sept sociétés savantes, notamment de médecins anesthésistes et de chirurgiens orthopédiques et thoraciques.
    Si des initiatives en ce sens existent en France, notamment au CHU d'Angers, les auteurs du livre blanc espèrent la mise en place d'expérimentations officielles, avant un éventuel programme au niveau national.
    https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/13/2924242-encore-trop-de-transfusions-sanguines-jugent-des-medecins.html&ct=ga&cd=CAEYACoTMzM3MTUyNzgxNzE4NjQ3NTA0NzIZOGZhNWFiN2UzNWViNzRmODpmcjpmcjpGUg&usg=AFQjCNGTrF2757gdLblpwmz4HXM3VKL2Lw
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 12-14

    Actes 12:21-23 : Qu’apprenons-nous de ce qui est arrivé à Hérode ? (w08 15/5 32 § 7)

    « Au jour fixé, Hérode se revêtit de vêtements royaux, s’assit au tribunal et prononça un discours. Alors l’assistance se mit à crier : « Voix d’un dieu, non d’un homme ! » À l’instant même, l’ange de Jéhovah* le frappa, parce qu’il n’avait pas attribué la gloire à Dieu ; il fut dévoré par les vers et mourut »

    Hérode a volontiers accepté la gloire qui n’aurait dû être attribuée qu’à Dieu seul. Quel contraste avec la réaction immédiate de Paul et de Barnabé qui ont refusé énergiquement un honneur et des louanges qui ne leur étaient pas dus !  Nous ne devrions pas désirer la gloire, quoi que nous fassions au service de Jéhovah.

    Lors d’un évènement diplomatique, Hérode s’est revêtu « de vêtements royaux ». La foule en adoration s’est écriée : « Voix d’un dieu, et non d’un homme ! » Hérode a manifestement savouré ces éloges. Que s’est-il passé ensuite ? « À l’instant même, l’ange de Jéhovah le frappa, parce qu’il n’avait pas donné la gloire à Dieu ; et il fut dévoré par les vers et expira » (Actes 12:21-23). Aucun observateur objectif ne pouvait parvenir à la conclusion qu’Hérode avait été choisi par Jéhovah. Jésus, en revanche, a donné des preuves convaincantes qu’il avait été établi par Dieu, et il a constamment honoré Jéhovah, reconnaissant en lui le Conducteur suprême de Son peuple. – TG2017/2 p18 §20

    L’historien Josèphe a lui aussi narré l’épisode, mais de façon plus détaillée. Il décrit l’homme donnant son discours dans “ une robe toute faite d’argent ”. Il ajoute que le roi “ fut saisi d’une subite douleur d’intestins qui, dès le début, fut extrêmement vive ”, et qu’il expira cinq jours plus tard. – g2011/4 p10

    Avons-nous quelque habileté à prononcer des discours ou à enseigner les vérités bibliques ? Alors, attribuons à Dieu le mérite de ce qu’il nous permet de faire. — 1 Cor. 4:6, 7 ; Jacq. 4:6. – TG2008  15/2 p7

    Sa maladie et sa mort. Très vraisemblablement à cause de sa vie licencieuse, Hérode finit par être atteint d’une maladie répugnante accompagnée de fièvre et, pour citer Josèphe, “ il éprouvait une insupportable démangeaison de toute la peau, de continuelles tranchées, un œdème des pieds pareil à celui des hydropiques ; en outre la tuméfaction du bas-ventre et une gangrène des parties sexuelles qui engendrait des vers, enfin l’asthme, la suffocation, des crampes de tous les membres ”. — Guerre des Juifs, I, 656 (XXXIII, 5). Les chronologistes situent la mort du roi Hérode Agrippa Ier en 44 de n. è., alors qu’il avait 54 ans et qu’il avait régné trois ans sur toute la Judée.  – it1 Hérode


    Actes 13:9 : Pourquoi Saul était-il « aussi appelé Paul » ? (nwtsty).

    « Alors Saul, aussi appelé Paul, fut rempli d’esprit saint et, le fixant du regard »

    Saul  aussi appelé Paul : À partir de ce verset, Saul est appelé Paul. De par sa naissance, l’apôtre était Hébreu et citoyen romain. Il est donc probable que, dès l’enfance, il a porté à la fois le nom hébreu Saul et le nom romain Paul. Il était courant chez les Juifs de l’époque, en particulier chez ceux qui ne vivaient pas en Israël, de porter deux noms (Ac 12:12 ; 13:1). Des membres de la famille de Paul avaient eux aussi un nom romain ou un nom grec (Rm 16:7, 21). En tant qu’« apôtre des nations », Paul était chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs (Rm 11:13).

    Il a apparemment décidé d’utiliser son nom romain, peut-être parce que cela lui paraissait plus adapté (Ac 9:15 ; Ga 2:7, 8). Certains ont émis l’idée qu’il aurait adopté ce nom romain en l’honneur de Sergius Paulus ; mais c’est peu probable, car Paul a continué de porter ce nom même après avoir quitté Chypre. Pour d’autres, Paul aurait évité d’utiliser son nom hébreu parce que, prononcé à la grecque, il ressemblait à un mot grec désignant une personne (ou un animal) qui se pavane.

    Paul : Dans les Écritures grecques chrétiennes, le nom Paulos, qui est dérivé du latin Paulus et qui signifie « petit », est employé 157 fois pour désigner l’apôtre Paul et une fois pour désigner le proconsul de Chypre nommé Sergius Paulus (Actes 13:7).

    Quand Saul de Tarse reçut-il le nom de Paul, et pourquoi ? il semble raisonnable de penser que les deux noms, Saul et Paul, ont été donnés dès son enfance à celui qui devint plus tard l’apôtre Paul. Certains ont même émis l’idée que les parents du futur apôtre Paul avaient choisi ce nom de Saul à cause de sa signification : “demandé” ou “désiré” Quelle que soit la raison qui motiva le choix de ce nom juif, Paul, avant de devenir apôtre, avait l’habitude de se faire appeler par son nom hébreu, Saul, quand il se trouvait au milieu de ses compagnons juifs, et plus particulièrement à l’époque où il faisait ses études de Pharisien et vivait comme tel. Etant donné que ses parents juifs habitaient Tarse, une ville romaine libre, on comprend qu’ils aient pu donner à leur fils un nom romain, Paulus ou Paul, qui signifie “Petit”. Certains parents de Paul avaient aussi des noms romains et grecs. pour les Juifs de ce temps-là, et notamment pour ceux qui habitaient en dehors d’Israël, il n’était pas rare d’avoir deux noms. La Bible nous parle du disciple Siméon, qui était appelé Niger, et de Jean, qui était surnommé Marc. Dans le cas de Saul, un nom romain était particulièrement approprié du fait qu’il était né citoyen romain. – TG1968  15/11 p702

    Dans les années qui ont suivi sa conversion au christianisme, cet apôtre semble avoir été connu principalement sous son nom hébreu, Saul. Toutefois, plus de dix ans après, lors de son premier voyage missionnaire, vers 47/48 de notre ère, il a semble-t-il préféré utiliser son nom romain, Paul. Comme il avait été chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs, il a peut-être pensé que son nom romain passerait mieux. Il est aussi possible qu’il ait opté pour le nom Paul parce que la prononciation grecque de son nom hébreu, Saul, ressemblait fortement à celle d’un mot grec qui avait un sens péjoratif. Quoi qu’il en soit, Paul a montré qu’il était prêt à “ devenir toutes choses pour des gens de toutes sortes, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns ”. – TG2008  1/3 p12


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Tandis qu’il passe sa dernière nuit en prison, Pierre dort profondément entre ses deux gardiens. Il va alors vivre quelque chose d’extraordinaire. (Actes 12:7-11.) Une vive lumière inonde sa cellule : un ange, de toute évidence invisible pour les gardes, se tient là. Il secoue l’apôtre afin de le réveiller. Et voilà que tombent les chaînes qui entravent ses mains ! L’ange le mène hors de sa cellule, en passant tout près des gardes postés dehors, et lui fait franchir une imposante porte en fer, qui s’ouvre “ d’elle-même ”. Une fois qu’ils sont dehors, l’ange disparaît. Pierre est libre ! Notre foi n’est-elle pas fortifiée quand nous voyons ce dont Jéhovah est capable pour secourir ses serviteurs ? Bien sûr, à notre époque, nous ne nous attendons pas à ce qu’il nous délivre miraculeusement. Cependant, nous ne doutons pas qu’il emploie sa puissance en faveur de ses serviteurs. Grâce à son esprit, nous pouvons être de taille à lutter contre n’importe quelle difficulté. D’autre part, Jéhovah donnera bientôt à son Fils le pouvoir de libérer des millions de personnes de la plus impitoyable des prisons : la mort. Notre foi dans les promesses de Jéhovah nous insuffle un courage hors du commun face aux épreuves. – TG2012  15/1 p12 §15,16

    D’après Actes 13:38-41, à Antioche l’apôtre Paul a montré à des Juifs ce que signifiait le rejet de Jésus et de son sacrifice rédempteur. Citant Habacuc 1:5 dans les termes de la Septante, Paul a lancé cet avertissement : “ Prenez [...] garde que ne vienne sur vous ce qui est dit dans les Prophètes : ‘ Regardez, gens pleins de mépris, et étonnez-vous de cela, et disparaissez, parce que je fais une œuvre en vos jours, une œuvre que vous ne croirez absolument pas, même si quelqu’un vous la raconte en détail. ’ ” Conformément à la citation de Paul, un deuxième accomplissement de Habacuc 1:5 a eu lieu quand les armées romaines ont détruit Jérusalem et son temple en 70 de notre ère. Pour les Juifs du temps de Habacuc, l’“ œuvre ” de Dieu qui consistait à faire détruire Jérusalem par les Babyloniens était impensable ; en effet, la ville était le siège du culte de Jéhovah et l’endroit où son roi oint était intronisé. Pour ces raisons, Jérusalem n’avait jamais été détruite. Son temple n’avait jamais été incendié. La maison royale de David n’avait jamais été renversée. Il était inconcevable que Jéhovah permette de telles choses. Pourtant, par l’intermédiaire de Habacuc, Dieu a annoncé on ne peut plus clairement que ces événements stupéfiants se produiraient. Et l’Histoire atteste qu’ils sont survenus comme cela était prédit Jéhovah va-t-il faire une “ œuvre ” incroyable à notre époque ? Soyez-en certain, même si cela semble inconcevable à ceux qui en doutent. Cette fois, l’œuvre incroyable de Jéhovah sera la destruction de la chrétienté. Comme Juda dans l’Antiquité, elle prétend adorer Dieu, mais elle est devenue foncièrement corrompue. Jéhovah veillera à ce que tout vestige du système religieux de la chrétienté disparaisse prochainement, de même que l’ensemble de “ Babylone la Grande ”- TG2000  1/ 2

    Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie. Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. – TG2013  1/5 p14

    Quand nous regardons tout ce que Dieu a créé sur terre, nous comprenons ce qu’il ressent pour nous. Comme l’a dit l’apôtre Paul, Dieu ‘n’a pas manqué de donner des témoignages de ce qu’il est en faisant du bien : il nous a donné pluies du ciel et saisons fertiles, nous a rassasiés de nourriture et a rempli nos cœurs de joie de vivre’ (Actes 14:17). Dieu ne nous a pas donné juste ce dont nous avons besoin pour rester en vie. Il nous a donné généreusement tant en quantité qu’en diversité pour que nous profitions pleinement de la vie. Et tout cela n’est qu’un aperçu de ce qu’il avait prévu pour nous à l’origine. WP19 n°1 p10

    Le monde approchant de sa fin, les serviteurs de Jéhovah peuvent s’attendre à une intensification des épreuves et des dangers (Actes 14:22). Mais si nous cultivons dès maintenant une confiance totale en Jéhovah, nous aurons l’espérance de vivre dans le monde nouveau promis, que ce soit en franchissant la grande tribulation ou en bénéficiant de la résurrection. Ne laissons jamais le manque de confiance compromettre nos précieuses relations avec Jéhovah. –TG2001  1/6

    Comment, en ces derniers jours, Jéhovah attire-t-il les gens et leur ouvre-t-il la “ porte de la foi ” ? (Actes 14:27) Essentiellement en faisant annoncer par ses Témoins ses messages de salut et de jugement contre le système de choses méchant. Cette proclamation mondiale provoque actuellement parmi les nations une secousse, présage de la destruction qui se produira bientôt lorsque le jugement sera exécuté. Simultanément, les humains qui sont ‘ précieux ’ aux yeux de Dieu sont attirés hors de ce système et ils trouvent protection à l’intérieur de sa “ maison ”, le vrai culte. Comme au 1er siècle, il charge parfois ses anges de diriger ses Témoins vers les humains sincères qui l’ont appelé à l’aide. En découvrant les dispositions merveilleuses que Dieu a prises en leur faveur par l’intermédiaire de son Fils, Jésus Christ, certains se sentent attirés vers lui en raison de son amour. En effet, Dieu attire donc les gens vers lui et vers son Fils par sa “ bonté de cœur ”, son “ amour fidèle ” – TG1999  15/7 §6,7

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Quand on leur a dit que Pierre, qu’ils croyaient en prison, était à la porte, pourquoi les disciples ont-ils répondu : “ C’est son ange ” ? — Actes 12:15. Les disciples ont sans doute supposé, à tort, qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. Examinons le contexte de ce passage. Pierre a été arrêté par Hérode, lequel a déjà fait mettre à mort Jacques. Les disciples sont donc fondés à croire que Pierre est promis au même sort. Dans sa prison, l’apôtre est enchaîné et gardé par quatre escouades de quatre soldats chacune. Une nuit, il est libéré miraculeusement par un ange, qui le conduit hors de la prison. Lorsqu’il finit par comprendre ce qui s’est passé, Pierre dit : “ Maintenant je sais vraiment que Jéhovah a envoyé son ange et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode. ” — Actes 12:1-11.

    Il se rend aussitôt à la maison de Marie la mère de Jean Marc, où de nombreux disciples se trouvent réunis. Quand il frappe au battant du portail, une servante nommée Rhode vient répondre. Reconnaissant la voix de l’apôtre, la servante court annoncer la nouvelle aux autres, laissant Pierre sur le pas de la porte ! Tout d’abord, les disciples, incrédules, concluent à tort : “ C’est son ange. ” — Actes 12:12-15. Ils savaient qu’au cours de l’Histoire des anges avaient secouru personnellement des serviteurs de Dieu. Toujours est-il que, lorsque les disciples ont dit : “ C’est son ange ”, ils supposaient probablement qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. – TG2005  1/6 p31

    Quand l’apôtre Paul prêchait à Antioche, il a rencontré un groupe de Juifs qui n’aimaient pas la vérité. Ils ont essayé de l’entraîner dans un débat en le contredisant par des blasphèmes, mais Paul leur a simplement rétorqué : “ Puisque vous [...] rejetez [la parole de Dieu] et ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, voyez, nous nous tournons vers les nations. ” — Actes 13:45, 46. Dans nos efforts pour que la bonne nouvelle du Royaume touche les personnes sincères, prenons garde de ne pas nous lancer dans des débats ou des controverses avec les moqueurs. Jésus Christ a fait cette recommandation à ses disciples : “ Quand vous entrerez dans la maison, saluez la maisonnée ; et si la maison en est digne, que la paix que vous lui souhaitez vienne sur elle ; mais si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne sur vous. Partout où quelqu’un ne vous recevra pas ou n’écoutera pas vos paroles, en sortant de cette maison ou de cette ville secouez la poussière de vos pieds. ” — Matthieu 10:12-14. – TG2005  15/5

    Les Écritures évoquent des individus qui, tout en étant encore incroyants, “ étaient dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ”. Ils devinrent par la suite croyants (Actes 13:48). Nous ne pouvons absolument pas savoir si une personne est dans la disposition qu’il faut à moins de lui avoir exposé le témoignage, peut-être bien des fois. Conscients de cela, nous traitons “ avec douceur et profond respect ” ceux qui n’ont pas encore accepté le message de salut en espérant qu’il s’en trouvera encore parmi eux qui réagiront au message de vie. – TG2000 1/7 p12 §15

    Vous êtes-vous déjà senti découragé parce que les personnes de votre territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, vous pouvez comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens (Actes 14:21). Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté (Actes 14:19). Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. Comme Paul, nous prêchons aux gens parce que nous nous soucions sincèrement d’eux et que nous voulons les aider – W18 P Mai p12 §4,5

    Les chrétiens apprenaient à connaître les autres membres de la congrégation et à les aimer. Loin de trouver cette association pesante, ils constataient qu’elle les bâtissait et les fortifiait. — Actes 14:27 – TG2000  1/1

    Au 1er siècle, les anciens qui se déplaçaient de lieu en lieu jouaient un grand rôle pour affermir les congrégations. Ils donnaient les conseils qui s’avéraient nécessaires. Ils apportaient les instructions provenant du collège central. Ils racontaient également des faits qui s’étaient produits dans différents territoires, montrant ainsi comment d’autres personnes avaient pu connaître la bonne nouvelle (Actes 14:27, 28). Les visites régulières que font les responsables itinérants aujourd’hui favorisent également la croissance spirituelle de tous. Cependant, pour en retirer un maximum de bienfaits, nous devons personnellement avoir un bon état d’esprit et soutenir pleinement les activités organisées durant chacune de ces visites. km86/8
     


     
     

    Jéhovah t’aidera

    Au baptême de son fils aîné

    Son fils cadet lui pose la question « C’est quand, ton tour, papa ? »

    Notre famille a reçu la visite des Témoins de Jéhovah pour la première fois, il y a quelques années.

    Rachel a été la première à étudier et puis très vite, on s’est tous mis à étudier.

    Pour la première fois, nous apprenions ce que la Bible enseigne réellement. On a rapidement commencé à prêcher, enfin presque toute la famille. Je savais que c’était la vérité, mais je ne savais pas si je pouvais être à la hauteur de tout ce que Jéhovah demande.

    En prédication, réflexion d’une personne : « Ah non, partez ! »

    Et si je décevais tout le monde, et si je décevais Jéhovah ?


    Un ancien, qui très gentil, qui s’appelle, Ben, a vu que c’était difficile pour moi. Il a pris l’initiative de m’aider.

    Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui au tout début, t’a attiré vers Jéhovah ? » C’est de découvrir que Jéhovah n’est pas un Dieu dur ou exigeant mais que c’est un Dieu plein d’amour.

    Ben était d’accord avec moi. Il m’a dit : « Quand on fait de son mieux pour servir Jéhovah, il fait le reste »

    Il m’a expliqué que Jéhovah connaît bien nos limites et qu’il n’attend pas de nous la perfection, il est toujours là pour nous aider parce qu’il veut nous voir réussir.

    Ensuite, il m’a lu Isaïe 41 :10 « N’aie pas peur, car je suis avec toi. Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu. Je te rendrai fort. Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, main qui fait justice.”

    Je n’ai pas besoin d’être parfait pour servir Jéhovah. Je dois juste l’aimer et lui faire confiance et c’est Lui qui fera le reste.

     
    Questions :

    ˙ Quelles craintes peuvent retenir un étudiant de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser ?

    ˙ Comment les anciens peuvent-ils aider les étudiants à faire des progrès spirituels ?

    ˙ Qu’est-ce qu’Isaïe 41:10 nous apprend sur Jéhovah ?

    ˙ Quelles qualités nous permettront de servir Jéhovah  d’une manière qu’il approuve, même si nous sommes imparfaits ?



     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) :  ACTES 4-5

    Actes 4:11 : Pourquoi Jésus est-il appelé « la principale pierre d’angle » ? (it-2 591 § 2)

    « Ce Jésus est “la pierre que vous, les bâtisseurs, avez considérée comme sans valeur et qui est devenue la principale pierre d’angle”

    Pierre angulaire : Psaume 118:22 révèle que la pierre rejetée par les bâtisseurs deviendrait « la tête de l’angle »

    (Héb. : ro_sh pinnah).

    Jésus cita cette prophétie et se l’appliqua, s’appelant « la principale pierre angulaire »

    (gr. : képhalê gônias, tête de l’angle) (Mt 21:42 ; Mc 12:10, 11 ; Lc 20:17).

    La pierre la plus élevée d’un édifice est bien en vue, tout comme l’est Jésus Christ, la pierre de couronnement de la congrégation chrétienne composée des oints, laquelle est comparée à un temple spirituel.

    Pierre appliqua lui aussi Psaume 118:22 à Christ, montrant qu’il était « la pierre » rejetée par les hommes, mais choisie par Dieu pour devenir « la tête de l’angle » (Ac 4:8-12 ; voir aussi 1P 2:4-7).

    Mais Dieu avait inspiré à un psalmiste ces paroles : “ La pierre que les bâtisseurs ont rejetée est devenue la tête de l’angle. Cela est venu de Jéhovah lui-même. ” (Ps. 118:22, 23). Jésus a attiré l’attention de ses adversaires religieux sur cette prophétie, et Pierre a affirmé qu’elle s’était accomplie en la personne de “ Jésus Christ le Nazaréen ”. Jésus est devenu la “ pierre angulaire de fondement ” de la congrégation chrétienne. Bien qu’il ait été rejeté par les impies, il n’en est pas moins ‘ choisi, précieux, auprès de Dieu ’. — 1 Pierre 2:4-6. – TG2011  15/8  p12 §4

    Si Jésus était rejeté et tué, comment pourrait-il devenir la « tête de l’angle » ? Il ne le pourrait qu’à condition d’être ressuscité. C’est ce que Jésus lui-même a indiqué au moyen de cet exemple : Un propriétaire a envoyé des messagers aux cultivateurs qui travaillaient pour lui. Les cultivateurs ont maltraité les messagers. Finalement, le propriétaire a envoyé son propre fils, en espérant que les cultivateurs l’écouteraient. Mais ils l’ont tué. Après avoir raconté cette histoire, Jésus a cité les paroles prophétiques de Psaume 118:22 (Luc 20:9-17). L’apôtre Pierre a fait ce même lien quand il a dit clairement aux chefs, aux anciens et aux scribes rassemblés à Jérusalem : « Jésus Christ le Nazaréen que vous avez attaché sur un poteau, mais que Dieu a relevé d’entre les morts, [...] est “la pierre considérée comme rien par vous, les bâtisseurs, et qui est devenue la tête de l’angle” » (Actes 3:15 ; 4:5-11 ; 1 Pierre 2:5-7).

    La prophétie de Psaume 118:22 annonçait donc une résurrection qui aurait lieu des centaines d’années plus tard. Le Messie serait rejeté et mourrait, mais il serait ramené à la vie pour devenir la tête de l’angle. Et en effet, après sa résurrection, Jésus est devenu le seul « par lequel nous devons être sauvés »  - TG2017/12 §8

    Pierre placée à l’angle d’un bâtiment, à l’intersection de deux murs qu’elle sert à réunir et à fixer solidement l’un à l’autre, d’où sa grande importance. Taillées d’habitude en blocs rectangulaires, les pierres angulaires sont posées alternativement en longueur et en largeur depuis les fondations jusqu’au sommet, ou jusqu’au toit, d’un édifice. Ainsi, les pierres formant un angle de mur présentent une alternance de chants et de bouts.

    La principale pierre angulaire était la pierre angulaire de fondement. En général, celle qu’on choisissait pour les bâtiments publics ou pour les murailles d’une ville était particulièrement solide. La pierre angulaire de fondement servait de repère pour la mise en place des autres pierres qui étaient alignées au moyen d’un fil à plomb tombant jusqu’à elle. Pour qu’un bâtiment soit bien construit, toutes les autres pierres devaient être alignées par rapport à la pierre angulaire de fondement, qui était parfois de grande taille. La pierre angulaire de fondement assurait également la cohésion des différentes parties d’une construction.

    Actes 5:1 : Pourquoi Ananias et Saphira ont-ils vendu une propriété ? (w13 1/3 15 § 4

    « Un homme du nom d’Ananias et sa femme, Saphira, vendirent aussi une propriété »

    Ananias et sa femme vendent un champ pour gagner de l’argent. Ils veulent l’utiliser pour aider ceux qui viennent de se faire baptiser. Quand Ananias apporte l’argent aux apôtres, il dit que c’est la totalité de ce qu’il a gagné. Mais c’est faux ! Il a gardé une partie de l’argent pour lui ! Dieu le fait savoir à Pierre. Alors Pierre dit à Ananias : « Tu as voulu tromper, non pas les hommes, mais Dieu. » À l’instant même, Ananias tombe au sol, mort ! Trois heures plus tard, sa femme arrive. Elle n’est pas au courant de ce qui s’est passé. Elle aussi ment, puis tombe raide morte. - w13 1/3 15 § 4

    Ananias et Sapphira, qui avaient vendu un champ, n’ont apporté aux apôtres qu’une partie des revenus de la vente, tout en prétendant en offrir la totalité. Bien entendu, ils étaient libres de donner ce qu’ils voulaient, mais leurs mobiles étaient mauvais, et leur manière d’agir malhonnête. Ils comptaient faire bonne impression en laissant croire qu’ils offraient plus qu’ils ne donnaient en réalité. Sous l’inspiration de l’esprit saint, l’apôtre Pierre a dévoilé leur malhonnêteté et leur hypocrisie, après quoi Jéhovah les a fait mourir. Actes 5:1-10.

    Si jamais nous sommes tentés de déformer la vérité dans le but d’être bien vus, l’histoire d’Ananias et de Sapphira devrait nous rappeler à la raison. Il est toujours possible de tromper des humains, mais pas Jéhovah (Hébreux 4:13). Sans cesse les Écritures nous exhortent à être honnêtes les uns envers les autres, car les menteurs n’auront pas leur place sur la terre quand elle aura été débarrassée de l’injustice. . La raison de cela ne devrait pas nous échapper : l’instigateur de tout mensonge n’est autre que Satan le Diable – TG2006  15/6 p27 §10,11

    Les couples chrétiens doivent eux aussi veiller à ne pas transgresser les lois de Dieu en couvrant les péchés graves de l’un ou de l’autre. Ils se rappelleront le cas d’Ananias et de Sapphira qui tentèrent vainement de cacher leur faute grave (Actes 5:1-11). Les anciens feront eux-mêmes attention à ne pas protéger l’un d’eux ou un serviteur ministériel si celui-ci a commis un péché grave qui pourrait motiver son exclusion. Ils suivront le principe que l’apôtre Paul a énoncé en ces termes: “N’impose hâtivement les mains à personne; ne participe pas non plus aux péchés d’autrui; garde-toi chaste.”  1 Timothée 5:22.

    TG1985 15/11 p21 §19

    Ananias et Sapphira ont péché en ce qu’ils ont fait preuve d’hypocrisie en mentant, et ont essayé de duper la congrégation chrétienne, usant ainsi ‘de tromperie envers l’esprit saint et envers Dieu’. (Actes 5:3, 4.) C’était la manifestation d’un cœur méchant, et cela leur a valu un jugement plus sévère – TG1995 15/4

    Ananias et sa femme Sapphira faisaient partie de la congrégation naissante de Jérusalem. Après la Pentecôte 33, une caisse commune avait été constituée pour venir en aide aux nouveaux croyants originaires de pays lointains qui avaient prolongé leur séjour à Jérusalem. Le fonds de secours était alimenté par des offrandes volontaires. Ananias a vendu un champ et a offert une partie de l’argent, ce dont sa femme était parfaitement au courant. Seulement, il a prétendu avoir remis tout le montant de la vente. Ce couple espérait certainement se faire une belle renommée dans la congrégation. Mais leur geste était une tromperie. De façon miraculeuse, Jéhovah a révélé la supercherie à l’apôtre Pierre, qui a convaincu Ananias de mensonge. À l’instant même, “ Ananias tomba et expira ”. Peu de temps après, Sapphira est elle aussi morte. — Actes 5:1-11.

    Ananias et Sapphira n’ont pas été victimes d’une faiblesse passagère. Ils avaient ‘ projeté le mal ’ et ont menti pour essayer de duper les apôtres. Ce qui est plus grave encore, c’est qu’ils ont ‘ voulu tromper l’esprit saint et Dieu ’. Il ressort clairement de la réaction de Jéhovah qu’il tient à protéger la congrégation contre les hypocrites. Vraiment, “ c’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ” ! — Héb. 10:31. – TG2008  15/10 p6 §14,15

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah est le Souverain légitime de l’univers, autrement dit il a le droit d’en être le Chef. Pour quelles raisons ? Premièrement, parce qu’il est le Dieu Tout-Puissant et le Créateur. (Actes 4:24) Puisque Jéhovah a tout créé, il a totalement le droit de dominer sur les humains et sur les créatures spirituelles. En tant qu’humains, nous devons nous placer sous l’autorité juste de Jéhovah.

    Deuxièmement, Jéhovah est le Souverain légitime parce qu’il exerce son autorité avec une justice parfaite. Puisque la justice et la droiture sont les fondements de sa souveraineté, nous pouvons être convaincus que toutes ses lois, tous ses principes et toutes ses décisions sont justes

    Troisièmement, Jéhovah est le Souverain légitime parce qu’il a la connaissance et la sagesse nécessaires pour prendre soin de l’univers – TG2017 Juin p17 §3, 5,6

    Les chrétiens devraient-ils prier Jésus ? - Non. Jésus nous a enseigné à prier Jéhovah, et c’est ce que lui-même faisait. Par conséquent, les premiers disciples priaient Dieu ; ils ne priaient pas Jésus (Actes 4:24).  – TG2015  15/6 p32

    QUI LES PREMIERS CHRÉTIENS PRIAIENT-ILS ? Au cours des semaines qui ont suivi le retour de Jésus au ciel, ses disciples ont été menacés et persécutés par leurs ennemis (Actes 4:18). Ils ont bien sûr recherché de l’aide dans la prière. Mais à qui se sont-ils adressés ? « D’un commun accord ils élevèrent la voix vers Dieu », le priant « par le nom de son saint serviteur Jésus » de continuer à les aider (Actes 4:24, 30). Ainsi, les disciples ont suivi les instructions qu’ils avaient reçues : ils ont adressé leur prière à Dieu, et non à Jésus. Comme les premiers chrétiens, nous pouvons montrer notre amour pour Jésus en suivant ses conseils au sujet de la prière – TG2015  1/1

    Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres* ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière (Actes 4:29, 31).

    Il en va de même aujourd’hui. Grâce à notre endurance dans la prédication, nous restons les amis de Jésus. De plus, nous pouvons être sûrs que Jéhovah est prêt à répondre à nos appels à l’aide quand nous rencontrons des difficultés dans la prédication (Phil. 4:13). Comme nous sommes reconnaissants que Jésus soit notre ami et que Jéhovah réponde à nos prières ! Ces dons de Jéhovah nous procurent la force de continuer à produire du fruit – TG2018 Mai p17 §17,18

    Quand on est persécuté. De tout temps, des dirigeants humains ont persécuté les serviteurs de Jéhovah. Ils peuvent nous accuser de différentes choses, mais la vraie raison de leur colère, c’est que nous choisissons d’« obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5:29). Il arrivera peut-être qu’on se moque de nous, qu’on nous envoie en prison ou même qu’on nous maltraite physiquement. Mais avec l’aide de Jéhovah, plutôt que de nous venger, nous garderons notre douceur. TG2019/2§11

    Quelqu’un peut vivre une situation pénible, mais quand même ressentir de la joie. Par exemple, après avoir été battus pour avoir parlé du Christ, les apôtres « s’en allèrent de devant le Sanhédrin, se réjouissant parce qu’ils avaient été jugés dignes d’être déshonorés pour son nom » (Actes 5:41). Ils ne se réjouissaient pas d’avoir été battus, mais d’être restés fidèles à Dieu.

    La joie véritable n’est pas une qualité que nous possédons à la naissance, et elle ne se développe pas automatiquement. Pourquoi cela ? Parce qu’elle fait partie du fruit de l’esprit saint de Dieu. C’est une qualité de « la personnalité nouvelle », que l’esprit saint nous aide à développer pleinement. Si nous cultivons la joie, nous réussirons plus facilement à surmonter nos difficultés. – TG2018 Février p28

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Lorsque l’apôtre Paul s’adressait à de nouveaux convertis, il présentait le message de la bonne nouvelle avec simplicité. Il était très instruit, mais il n’utilisait pas pour autant un vocabulaire recherché. La simplicité de la vérité biblique attire et convainc les personnes sincères. Pas besoin d’être un intellectuel pour la comprendre.  Actes 4:13 – TG2008  15/1 p8§11

    Parfois, nous nous retenons d’exprimer nos croyances en raison d’une faiblesse ou d’une nature timide. Soyons certains que Jéhovah comprend nos limites. Toutefois, quand une occasion se présente, prions-le de nous donner le courage de parler (Actes 4:29, 31). De plus, lorsque nous étudions individuellement et méditons, pourquoi ne pas nous fixer l’objectif d’accorder davantage de prix à la bonne nouvelle ?  Nous serons ainsi poussés à la proclamer avec zèle – km2013/1 §4

    D’où venaient les offrandes des serviteurs de Jéhovah du passé ? Les serviteurs de Jéhovah du passé n’ont pas tous offert la même chose. Les Israélites qui ont soutenu la construction du tabernacle ont probablement offert des choses de valeur qu’ils avaient emportées d’Égypte (Ex. 3:21, 22 ; 35:22-24). Au 1er siècle, des chrétiens ont vendu certains de leurs biens, comme leurs champs ou leurs maisons, et ont apporté l’argent de la vente aux apôtres. Les apôtres ont ensuite distribué cet argent aux frères et sœurs qui en avaient besoin (Actes 4:34, 35). D’autres chrétiens mettaient régulièrement de l’argent de côté, puis l’offraient pour soutenir l’œuvre (1 Cor. 16:2). Ainsi, tous pouvaient donner quelque chose, du plus pauvre au plus riche

    Nous pouvons tous donner quelque chose pour soutenir les activités de l’organisation de Jéhovah en ces derniers jours. Que dire si tu as le sentiment que tes offrandes sont tellement petites qu’elles n’ont pas d’importance ? En fait, l’argent utilisé par l’organisation vient en majorité de nombreux petits dons, et non de quelques grosses offrandes. Nos frères et sœurs, y compris ceux qui n’ont pas beaucoup d’argent, imitent les chrétiens de Macédoine. – TG2018 Janvier p17 §9,11

    Paul a montré son amour pour le ministère en saisissant toutes les occasions de parler aux gens. Nous aussi, comme les apôtres et les premiers chrétiens, nous prêchons de façon informelle, en public et de maison en maison (Actes 5:42). Si nous considérons notre ministère comme un trésor, nous continuerons de prêcher malgré la persécution, comme Paul. Si nous considérons le ministère comme un trésor que Jéhovah nous offre, nous ne prêcherons pas pour « faire des heures ». Au contraire, nous fournirons de grands efforts pour « rendre pleinement témoignage à la bonne nouvelle » - TG2017 Juin p17§9,11

    4:13 — Pierre et Jean étaient-ils analphabètes ou sans instruction ? Non. C’est parce qu’ils n’avaient pas reçu de formation religieuse dans une école rabbinique qu’on les considérait comme “ sans instruction ” et “ ordinaires ”. Pourtant, ils étaient des prédicateurs efficaces de la bonne nouvelle, car ils s’attachaient à suivre l’exemple de Jésus. Suis-je à la hauteur ? S’il vous arrive de vous poser cette question au sujet de la prédication, ne vous découragez pas ! Ce n’est pas notre niveau d’instruction ou des capacités naturelles hors du commun qui nous qualifient pour le ministère.– km2013/6

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    « Le présentoir mobile : ses bienfaits à l’échelle mondiale »

    En 2001, avec l’accord du Collège central, les frères de France ont expérimenté plusieurs méthodes de témoignage public notamment à l’aide de présentoirs mobiles et il y a eu d’excellents résultats.

    C’est ainsi qu’en 2011, un projet pilote de témoignage avec des présentoirs mobiles, a été approuvé pour la ville de New York aux Etats-Unis.

    Dans le quartier de Manhattan à New York, il y avait 1 Témoin de Jéhovah pour 657 habitants. Ce quartier était donc idéal. Une nouvelle forme de témoignage a commencé à être testée à Manhattan. Pendant un an, des élèves de ce qu’était alors l’Ecole biblique pour couples chrétiens y ont participé. On utilisait à ce moment-là, différentes tables de présentation, mais il était évident, qu’un présentoir mobile présentait beaucoup d’avantages.

    Aujourd’hui, Les Témoins de Jéhovah sont connus pour leur témoignage public  effectué à l’aide de présentoirs mobiles où ils exposent leurs publications. Cette méthode permet de diffuser la Bible dans de nombreux endroits et de la rendre facilement accessible à d’innombrables personnes. Ces présentoirs ont différentes affiches qui ont pour but d’attirer l’attention vers nos publications les plus connues, d’inviter les personnes à accepter un cours biblique gratuit à domicile et de diriger l’attention des passants sur notre site Internet.

    Voici quelques exemples des bons résultats obtenus avec cette méthode.

    « Je m’appelle Mi Jung You. J’ai rencontré Les Témoins de Jéhovah pour la première fois il y a plus de vingt ans. J’ai commencé à étudier le livre Vous pouvez vivre éternellement mais environ un mois plus tard, j’ai dû arrêter l’étude. Après ça, je prenais les revues mais je n’ai jamais repris mon étude de la Bible. En juin 2014, j’ai vu un présentoir mobile. J’ai compris qu’il appartenait aux Témoins de Jéhovah. Il y avait beaucoup de publications qui m’intéressaient. J’ai demandé si je pouvais en prendre un exemplaire de chaque.

    Nous avons échangé nos numéros et quelques semaines plus tard, le frère m’a contacté. J’ai recommencé à étudier la Bible avec le couple et un mois plus tard, j’ai commencé à assister régulièrement aux réunions. Je me suis fait baptiser en octobre 2015 et je suis devenue pionnière auxiliaire juste après pendant dix mois. Je suis maintenant pionnière permanente. Le témoignage public m’a aidé à trouver la vérité et il me permet de rencontrer des personnes qui comme moi s’intéressent à la Bible. J’aime beaucoup cette forme de témoignage. 

    Autre témoignage : Je m’appelle Jacob Salomé. Je suis routier. J’ai passé une grande partie de ma vie à voyager dans tout le Pérou. Du coup ça se passait mal avec la femme avec qui je vivais. J’étais jamais à la maison et je vivais pour ainsi dire dans mon camion. Je voyais les Témoins de Jéhovah prêcher près des bus et comme j’étais toujours en train de conduire, je ne pouvais pas me garer ni même leur parler.

    Un jour j’ai vu des Témoins qui prêchaient sur une place publique. Je suis allé leur demander ce que la Bible dit sur la vie de famille. Ça été un tournant pour ma vie. Avec ma compagne, on a commencé à assister aux réunions, on s’est marié et on s’est fait baptisé. Maintenant, on est Témoins de Jéhovah.

    Autre exemple : Un jour, au présentoir mobile, Annies et moi, on a rencontré le jeune Sudharshan. Annies lui a montré le dépliant « Les morts revivront-ils un jour ? » Surpris, il a dit « Comment s’est possible ? ». Quand Annies lui a expliqué Actes 24 :15, il s’est exclamé « Je suis chrétien et je ne le savais même pas ».

    Je lui ai demandé : « Vous voudriez en savoir plus sur les magnifiques promesses de la Bible »

    Il a répondu « Là maintenant, c’est possible ? ». Alors on a examiné le 1er chapitre du livre « Qu’enseigne la Bible ». C’est comme ça que ça à commencer.

    Sudharshan est venu avec son ami Sagar. Puis Sagar avec Shiva et Srikanth. Tous les trois assistent régulièrement à nos réunions. Sagar a même refusé une offre d’emploi incompatible avec les principes bibliques.

    Un seul dépliant a permis de commencer plusieurs cours bibliques. C’est évident, Jéhovah bénit cette forme de témoignage public.

    Il n’y a pas de doute. Le présentoir mobile est un outil qui nous aide à prêcher la Bonne nouvelle du Royaume de Dieu dans toute la terre habitée en témoignage pour toutes les nations.

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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 18-19

    Jean 19:30 : Que signifie l’expression « Jésus [...] rendit son esprit » ? (nwtsty).

    « Quand il eut pris le vin aigre, Jésus dit : « Cela s’est accompli ! » et, inclinant la tête, il rendit son esprit »

    Il rendit son esprit : ou « il expira », « il cessa de respirer ». Le terme « esprit » (grec pneuma) peut désigner ici le « souffle » ou la « force vitale ». Cette compréhension est en harmonie avec l’emploi du verbe grec ékpnéô (litt. « rendre un souffle ») dans les versets parallèles Marc 15:37 et Luc 23:46 (où il est rendu par « expira » dans le texte et par « rendit son dernier souffle » dans la note). Certains pensent que l’emploi du terme grec traduit par « rendit » signifie que Jésus a volontairement arrêté de lutter pour rester en vie, car tout s’était accompli. Quoi qu’il en soit, il a volontairement « répandu sa vie jusqu’à la mort » (Is 53:12 ; Jean 10:11). – nwtsty

    Jésus confia  sa vie à Jéhovah, convaincu qu’il allait le ressusciter. Avec une pleine confiance en son Père, Christ inclina la tête et mourut. – jy chap132

    Jean 19:31 : Quelle preuve a-t-on que Jésus est mort le 14 nisan 33 de notre ère ? (nwtsty).

    « Comme c’était le jour de la Préparation, les Juifs demandèrent à Pilate de faire briser les jambes des suppliciés et de faire enlever les corps, pour que les corps ne restent pas sur les poteaux de supplice le sabbat (car ce sabbat était un grand sabbat) »

    Ce sabbat était un grand sabbat : Le 15 nisan était le lendemain de la Pâque et, peu importe le jour de la semaine où il tombait, ce jour était toujours un sabbat (Lv 23:5-7). Quand ce sabbat spécial coïncidait avec le sabbat hebdomadaire (c’est-à-dire le septième jour de la semaine juive, qui débutait le vendredi au coucher du soleil et s’achevait le samedi au coucher du soleil), c’était « un grand sabbat ». Le lendemain de la mort de Jésus était un grand sabbat, la mort de Jésus a donc eu lieu un vendredi. La seule année entre 31 et 33 de n. è. où le 14 nisan était un vendredi est l’année 33. Ce fait vient appuyer la conclusion que Jésus a dû mourir le 14 nisan 33. – nwtsty

    Chez les Juifs, chaque semaine, le samedi était un jour de repos qu’on appelait sabbat. Le lendemain de la Pâque, le 15 Nisan, était le premier jour de la fête des Gâteaux sans levain. C’était aussi un sabbat. Quand 2 sabbats tombaient le même jour, on appelait ce jour un « grand » sabbat. En l’an 33, le 15 Nisan a été un grand sabbat parce que c’était un samedi – TG2013  15/12 p17

    On peut encore avancer une autre preuve pour démontrer que le ministère de Jésus a bien duré trois ans et demi. Le texte de Jean 19:31 nous permet de conclure que Jésus est mort un vendredi, car il indique que le lendemain était un “grand” sabbat. En effet, quand le sabbat hebdomadaire correspondait au premier jour de la fête des gâteaux non fermentés, fête qui durait une semaine, lequel premier jour était lui aussi un sabbat, il s’agissait logiquement d’un “grand” sabbat (Lév. 23:6, 7). Or, la Pâque, quatorzième jour de Nisan, n’est tombée un vendredi ni en 31 ni en 32, mais en 33. C’est donc bien le 14 Nisan de l’an 33 que Jésus est mort, ce qui fait que son ministère a duré trois ans et demi. – TG1976  15/10 p630

    Une autre date certaine des Écritures grecques est celle du 14 Nisan de l’an 33, jour où Jésus fut cloué au bois. Les Écritures montrent pertinemment, dans Jean 19:31, que Jésus est mort un jour correspondant à notre vendredi, car le lendemain (15 Nisan), est-il dit, était un grand sabbat. Cela signifie que deux sabbats légaux tombaient sur le même samedi : 1o le sabbat hebdomadaire juif, selon Exode 20:10, et 2o selon la loi mosaïque, le 15 Nisan devait être un jour de repos, quel que fût le jour sur lequel il tombait, comme l’indique Lévitique 23:6, 7. Ce double sabbat ayant lieu le même jour ne se produisait qu’à des intervalles de quelques années. Cela indique que, selon les Écritures, Jésus mourut un vendredi après-midi. TG1955  15/6 p190

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jésus Christ prenait plaisir à louer Jéhovah publiquement — dans les synagogues, lors des fêtes au temple de Dieu à Jérusalem, et avec ses disciples (Jean 18:20). Quelle joie, quel privilège, d’imiter Jésus en louant Jéhovah à chaque occasion avec nos compagnons, et ce particulièrement maintenant que nous ‘ voyons approcher le jour ’ ! – TG2007  1/3 p23 §14

    La Bible est franche sur les faiblesses d’humains dont Jéhovah s’est autrefois servi pour diriger son peuple. Par exemple, Pierre, bien qu’ayant reçu une importante responsabilité dans la congrégation chrétienne du Ier siècle, il a commis de graves erreurs (Jean 18:27). Depuis Adam et Ève, aucun humain excepté Jésus n’a été parfait.

    Pourquoi Jéhovah a-t-il veillé à ce que les rédacteurs bibliques rapportent les erreurs d’hommes qu’il avait investis d’une autorité ? Pour montrer, entre autres choses, qu’il est capable de guider son peuple au moyen d’humains imparfaits. Il a d’ailleurs toujours procédé de cette manière.  – TG2013  15/11 p25 §12,13

    Jéhovah accorde-t-il de l’importance aux détails ? Tout à fait. Réfléchissez à ceci : Dans l’Antiquité, les Israélites avaient reçu l’ordre de ne briser aucun os de l’agneau pascal (Exode 12:46). Ce n’était peut-être qu’un détail. D’ailleurs, comprenaient-ils pourquoi ils ne devaient pas briser un seul de ses os ? Probablement pas. Mais Jéhovah savait que ce détail prédisait que lorsque le Messie serait mis à mort sur le poteau de supplice, pas un seul de ses os ne serait brisé (Jean 19:31-33, 36).

    Que nous enseignent les paroles de Jésus ? Que nous aussi nous pouvons être pleinement confiants dans le fait que toutes les promesses de Jéhovah se réaliseront jusque dans les moindres détails. – wp2017 n°4 p13

    Lorsqu’il est passé en jugement devant Ponce Pilate, Jésus a dit : “ Mon royaume ne fait pas partie de ce monde. Si mon royaume faisait partie de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais voilà, mon royaume n’est pas d’ici. ” (Jean 18:36). Jésus savait qu’il deviendrait un jour un Roi céleste et qu’il ne serait pas intronisé par des humains, mais par Jéhovah.  Le Royaume est le moyen par lequel le nom de Jéhovah sera sanctifié, sa souveraineté justifiée et sa volonté faite sur la terre comme dans le ciel – TG2002  1/11 p15-16 §5

    Et Marie ? A-t-elle encore été honorée par la suite ? Jéhovah a-t-il continué à la récompenser d’élever Jésus et d’en prendre soin ? Oui. Il a veillé à ce que certaines de ses paroles et de ses actions soient rapportées dans la Bible. Apparemment, Marie n’a pas pu accompagner Jésus pendant les trois ans et demi où il a prêché. Elle est donc passée à côté de belles expériences. Quoi qu’il en soit, elle a pu être avec Jésus lorsque celui-ci est mort (Jean 19:26). Et, plus tard, quand l’esprit saint a été répandu sur les disciples lors de la Pentecôte, elle était présente (Actes 1:13, 14). Par conséquent, elle a sûrement été ointe comme les autres disciples. Si c’est le cas, elle a reçu la possibilité de vivre au ciel avec Jésus pour toujours. Quelle belle récompense pour son service fidèle ! – TG2018 Juillet p10 §14

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Notre modèle, Jésus, a fait preuve de hardiesse de bien des manières. Par exemple, malgré la haine de ceux qui détenaient pouvoir et influence, il n’a pas adouci le message que Dieu voulait transmettre aux humains. Il n’a pas craint de dénoncer les faux enseignements des puissants chefs religieux, imbus de leur propre justice. Il leur a déclaré sans détour qu’ils étaient condamnés. Face à une troupe de soldats, dans le jardin de Gethsémané, Jésus a courageusement dit qui il était (Jean 18:3-8). Plus tard, amené devant le Sanhédrin, il n’a pas hésité à affirmer qu’il était le Christ et le Fils de Dieu, même s’il savait que le grand prêtre qui l’interrogeait cherchait une occasion de le condamner à mort. Voilà qui réclamait bien du courage ! Cela étant, Jésus a déclaré à Pilate : “ C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. ” (Jean 18:37). Jéhovah avait mandaté Jésus pour prêcher la bonne nouvelle, et Jésus était heureux de le faire parce qu’il aimait son Père céleste. . Par ailleurs, Jésus aimait profondément les gens. Il savait que leur vie n’était pas facile. C’est parce que, nous aussi, nous aimons Dieu et notre prochain que nous prêchons avec hardiesse.  –TG2009  15/7 p23 §9,10

    Tout au long de son ministère, Jésus a fait preuve d’un courage remarquable. La nuit précédant sa mort, lorsqu’on est venu l’arrêter, il s’est de suite fait connaître aux soldats afin de protéger ses disciples : “ Si [...] c’est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci. ” (Jean 18:8). Quelques instants plus tard, il a demandé à Pierre de ranger son épée, montrant par-là que son courage ne reposait pas sur les armes, mais sur Jéhovah. — Jean 18:11. Jésus n’a pas eu peur de démasquer les chefs religieux impitoyables et la fausseté de leurs enseignements. Tous les disciples de Jésus auront inévitablement des épreuves. Pour y résister, chacun de nous doit affermir sa foi. Le courage de Jésus n’était pas simplement de la bravoure ; c’est surtout la foi qui lui donnait du courage. Nous aussi, nous puiserons notre courage dans la foi. Il nous faut pour cela, comme Jésus, nourrir notre esprit des enseignements qui constituent le fondement de la foi en lisant et en étudiant la Bible chaque jour, et aussi en assistant aux réunions. . Il nous faut également méditer, c’est-à-dire soumettre ces enseignements à une longue et profonde réflexion ; c’est ainsi que nous les faisons pénétrer dans notre cœur. Pour avoir le courage d’agir, nous devons posséder une foi vivante. Il nous faut donc demander à Dieu de nous accorder son esprit saint, car la foi est une facette du fruit de cet esprit – TG2009  15/9 p14 §12-16

    Peu avant sa mort, il a répondu à des chefs religieux juifs qui l’interrogeaient sur ses méthodes d’enseignement: “C’est au grand jour que j’ai parlé au monde. J’ai toujours enseigné en synagogue et dans le temple, où se réunissent tous les Juifs; et je n’ai rien dit en secret.” — Jean 18:20.

    Nous pouvons noter que le message de Jésus s’adresse à un bien plus vaste auditoire que les seuls habitants de la Palestine? Il intéresse le monde entier. Jésus n’a pas dit: ‘J’ai parlé à tout le peuple’, c’est-à-dire à tous les Juifs. Dans un but prophétique, il a plutôt choisi d’employer le terme “monde”. Ainsi, Jésus ne prêchait pas une doctrine ésotérique; son message était universel. – RV1988  8/11 p19

    Le grand prêtre Anne a passé outre à la règle selon laquelle les accusations capitales devaient être jugées de jour, et non de nuit. De plus, tout examen des faits aurait dû avoir lieu en audience publique, et non à huis clos. Sachant que l’interrogatoire d’Anne était illégal, Jésus lui a répondu : “ Pourquoi m’interroges-tu ? Interroge ceux qui ont entendu ce que je leur ai dit. Écoute ! Ceux-là savent ce que j’ai dit. ” (Jean 18:21). Anne aurait dû questionner les témoins, plutôt que l’accusé. La remarque de Jésus aurait poussé un juge honnête à respecter la procédure prévue, mais Anne ne se souciait pas de la justice. – TG2011  1/4 p19

    Pourquoi Jésus a-t-il dit : « Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix » ? Parce qu’il voulait aider certains de ses auditeurs à comprendre qu’en devenant ses disciples, ils auraient des difficultés. En effet, son message pouvait diviser les gens. Évidemment, son intention était de proclamer la vérité de Dieu, pas de briser des familles (Jean 18:37). Mais ce serait difficile pour les disciples d’obéir fidèlement à ses enseignements si leurs amis ou leurs proches rejetaient la vérité.

    Jésus a montré que l’opposition familiale faisait partie des souffrances que ses disciples devaient être prêts à subir. Pour être dignes de lui, c’est-à-dire pour lui plaire, ses disciples ont supporté que leurs proches se moquent d’eux ou même les rejettent. Mais ils ont gagné beaucoup plus qu’ils n’ont perdu.

    Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout. Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. – TG2017 Octobre p13 §3,4

    “ Qu’est-ce que la vérité ? ” - C’est le gouverneur romain Ponce Pilate qui, d’un ton désabusé, a posé cette question à Jésus. Il ne cherchait pas de réponse, et Jésus ne lui en a pas donné. Pilate pensait sans doute que la vérité était trop difficile à saisir. — Jean 18:38. Cette attitude dédaigneuse à l’égard de la vérité se retrouve chez beaucoup de nos contemporains, y compris des chefs religieux, des enseignants et des hommes politiques. Ils pensent que la vérité, particulièrement dans les domaines moral et spirituel, n’est pas absolue, mais relative et changeante. Cela sous-entend que chacun peut déterminer par lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. Cela autorise aussi à rejeter, sous prétexte qu’elles seraient périmées, les valeurs et les normes morales respectées par les générations précédentes. – TG2007 1/10 p32 

    Rendre témoignage à la vérité. ” Lorsque Pilate lui demanda : “ Alors, tu es un roi ? ” Jésus lui répondit : “ C’est toi qui dis que je suis un roi. C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui est du côté de la vérité écoute ma voix. ” (Jean 18:37). La vérité à laquelle Jésus rendit témoignage n’était pas simplement la vérité en général. C’était la vérité capitale sur ce qu’étaient et ce que sont les desseins de Dieu, vérité fondée sur une réalité fondamentale : la volonté souveraine de Dieu et sa capacité d’accomplir cette volonté. Par son ministère, Jésus révéla que cette vérité renfermée dans le “ saint secret ” est le Royaume de Dieu qui a pour Roi-Prêtre sur le trône Jésus Christ, le “ fils de David ”Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26

    Jésus, notre Modèle - De tous ceux qui ont servi Dieu animés d’un sentiment d’urgence, Jésus Christ est assurément le plus bel exemple. Il faut dire qu’il avait seulement trois ans et demi devant lui, et tant à faire ! Il a pourtant accompli plus de choses que n’importe qui d’autre en faveur du vrai culte. Il a fait connaître le nom et le dessein de son Père, prêché la bonne nouvelle du Royaume, dévoilé l’hypocrisie et les faux enseignements des chefs religieux, et défendu la souveraineté de Jéhovah au point de le payer de sa vie. Tandis qu’il parcourait le pays, il n’a jamais ménagé ses efforts ; il enseignait les gens, il les aidait et les guérissait. Personne n’en a jamais fait autant en un laps de temps si court. Personne ne s’est investi comme lui.  Jean 18:37.- TG2010  15/12 p9 §5

    Le type de flagellation qu’on lui a infligé provoquait, dit-on, “ des déchirures longues et profondes qui saignaient abondamment ”. On l’a cloué à un poteau, mode d’exécution qui entraînait “ une mort lente dans un maximum de souffrances ”. Essayez d’imaginer la douleur atroce qu’il a ressentie quand on lui a transpercé les mains et les pieds avec de grands clous (Jean 19:1, 16-18). Et celle, indicible, qui l’a submergé quand on a redressé le poteau, que tout son corps s’est trouvé suspendu aux clous et que son dos lacéré est venu racler le bois rugueux. Et n’oublions pas qu’il a enduré ce supplice, alors qu’il était en proie à l’accablement moral.

    Que pourrions-nous avoir à endurer, nous qui suivons le Christ ? Jésus a dit : “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] prenne son poteau de supplice et me suive continuellement. ” (Matthieu 16:24). Le “ poteau de supplice ” désigne ici la souffrance, la honte, voire la mort. Suivre le Christ n’est pas la voie de la facilité. Nos principes chrétiens nous rendent différents. Comme nous ne faisons pas partie du monde, il a de la haine pour nous. Néanmoins, nous sommes prêts à prendre notre poteau de supplice, prêts à souffrir, et même à mourir — plutôt que de renoncer à suivre notre Modèle. – cf p68

    Pourquoi Ponce Pilate a-t-il eu peur en entendant qu’on accusait Jésus de s’être “ fait fils de Dieu ” ? — Jean 19:7.

    Le sénat romain avait, à titre posthume, élevé Jules César au rang de dieu. Octavien, son fils adoptif et successeur sur le trône, fut ensuite appelé divi filius, ce qui en latin signifie “ fils d’un divin ” ou “ fils de Dieu ”. Cette appellation finit par devenir une distinction solennelle accordée aux empereurs. C’est ce que confirme une multitude d’inscriptions sur des pièces de monnaie, statues, autels et temples romains. Ainsi, en reprochant à Jésus de se faire “ fils de Dieu ”, les Juifs l’accusaient en fait de s’octroyer un titre officiel, ce qui revenait à de la sédition.

    Au moment du procès de Jésus, c’est Tibère qui avait hérité du titre de divi filius. Cet empereur avait la réputation effrayante de mettre à mort tous ceux qu’il considérait comme ses ennemis. Le gouverneur romain Pilate eut donc “ encore plus peur ” parce que les Juifs insinuaient qu’il manquerait de loyauté envers César s’il ne condamnait pas Jésus. Cédant à la pression, il ordonna finalement son exécution. — Jean 19:8, 12-16. – TG2008 1/6 p27

    Jean 19:11 — Jésus songeait-il à Judas Iscariote lorsqu’il a parlé à Pilate de l’homme qui l’avait livré à lui ? Il semble y avoir lieu de croire que Jésus avait à l’esprit tous ceux qui partageaient la responsabilité de sa mise à mort, et pas seulement Judas ou quelque autre individu en particulier. S’étaient rendus coupables de ce péché Judas, “ les prêtres en chef et le Sanhédrin tout entier ”, et même “ les foules ” que l’on avait persuadées de demander la libération de Barabbas. – TG2008 15/4 p32

    Pilate essaya de disculper Jésus afin de le relâcher, mais les chefs juifs crièrent : “ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ” (Jean 19:12). L’expression “ ami de César ” était un titre honorifique souvent conféré aux gouverneurs des provinces, mais en l’occurrence les chefs juifs l’utilisèrent vraisemblablement dans un sens large, insinuant que Pilate s’exposait à être accusé de tolérer la haute trahison. La crainte d’un empereur jaloux fut un facteur déterminant dans la décision de Pilate de condamner à mort un innocent. Dans le même temps, les prêtres proclamèrent leur fidélité au trône impérial en disant : “ Nous n’avons de roi que César ”, rejetant ainsi toute domination théocratique (Jean 19:13-16). Ils s’élevèrent en vain contre le titre de “ Roi des Juifs ” que Pilate avait apposé sur le poteau de Jésus (Jean 19:19-22). Il était coutumier chez les Romains d’indiquer sur un panneau le crime pour lequel un malfaiteur était condamné. - it-1 p 414-415

    “ Pilate continua à chercher un moyen de [...] relâcher [Jésus]. Mais les Juifs crièrent, en disant : ‘ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ’ ” (Jean 19:12). Le César de l’époque était l’empereur Tibère, réputé pour exécuter tout homme qu’il considérait comme infidèle — même un fonctionnaire de haut rang. Ayant déjà irrité les Juifs, Pilate ne pouvait risquer d’autres frictions, encore moins une accusation d’infidélité. Les mots de la foule équivalaient à une menace voilée, à un chantage ; Pilate a eu peur. Il a cédé sous la pression et a fait attacher Jésus, un innocent, sur un poteau. — Jean 19:16. - Jésus était innocent. Pourtant, il savait que sa mort était nécessaire au salut des humains obéissants (Matthieu 20:28). Il aimait tant la justice qu’il s’est soumis à l’injustice la plus criante de toute l’Histoire. Il l’a fait pour des pécheurs comme nous. Ne l’oublions jamais – TG2011  1/ 4 p22

    Bien que n’étant pas la langue du peuple, le latin était la langue de la Rome impériale et, par conséquent, la langue officielle de la Palestine lorsque Jésus Christ était sur la terre. Il n’est dès lors pas étonnant de trouver quelques latinismes dans les Écritures grecques chrétiennes. Le mot “ latin ” lui-même ne figure qu’une seule fois dans la Bible, en Jean 19:20, où il est dit que l’inscription placée au-dessus de Jésus sur le poteau de supplice était rédigée en hébreu, en grec et en latin. - it-2 p116

    Pourquoi le vêtement intérieur de Jésus intéressait-il tant les soldats romains ?

    Les quatre soldats qui ont surveillé l’exécution de Jésus se sont partagé ses vêtements. “ Mais, lit-on en Jean 19:23, le vêtement intérieur de Jésus était sans couture, tissé depuis le haut dans toute sa longueur. ” Plutôt que de le déchirer en quatre, les soldats ont décidé de le tirer aux sorts. Comment ce genre de vêtement était-il fabriqué ?

    Le vêtement intérieur désignerait une tunique en lin ou en laine semblable à une chemise, et qui descendait jusqu’aux genoux ou aux chevilles. Généralement, pour confectionner un tel vêtement, on superposait deux carrés ou deux rectangles de tissu qu’on cousait ensemble sur trois côtés, en laissant des trous pour la tête et les bras.

    Une tunique plus onéreuse était fabriquée selon le même procédé, si ce n’est qu’on employait “ un seul grand morceau d’étoffe, plié en deux, avec un trou au milieu pour la tête ”, explique le livre Jésus et son époque (angl.). Le tissu était ourlé. Ce genre de tunique ne nécessitait plus que deux coutures sur les côtés.

    Les vêtements dénués de couture comme celui que portait Jésus n’étaient fabriqués qu’en Palestine. Ils étaient tissés sur un métier de haute lice, qui comportait deux jeux de fils de chaîne verticaux, placés l’un à l’avant de la traverse de l’appareil et l’autre à l’arrière. Le tisserand faisait passer sa navette — chargée du fil de trame horizontal — de l’avant à l’arrière du tissu, réalisant, selon les termes d’un ouvrage de référence, “ une étoffe tubulaire ”. Sans doute était-il rare de posséder une tunique sans couture, ce qui explique l’intérêt des soldats pour celle de Jésus. – TG2009  1/7 p22

    On jetterait les sorts sur les vêtements du Messie. “ Ils se partagent mes vêtements, a écrit David, et sur mes habits ils jettent les sorts. ” (Ps. 22:18). Ces paroles prophétiques se sont réalisées, comme le confirme le récit biblique : ‘ Quand ils eurent attaché Jésus sur un poteau, les soldats romains distribuèrent ses vêtements de dessus en jetant les sorts. ’ Jean 19:23, 24. TG2011 15/8 p15

    Jean 19:25-27 relate un exemple particulièrement émouvant de son amour empreint d’abnégation. La scène se passe l’après-midi de sa mort, tandis qu’il agonise sur le poteau de supplice. Songez à tout ce qui doit le préoccuper à ce moment : ses disciples, l’œuvre de prédication et, surtout, son intégrité et l’effet qu’elle aura sur le nom de son Père. L’avenir de l’humanité tout entière dépend de lui ! Pourtant, peu avant d’expirer, Jésus pense également à sa mère, Marie, qui est, semble-t-il, déjà veuve. Il demande à l’apôtre Jean de veiller sur elle comme sur sa propre mère, ce que l’apôtre fera en la prenant chez lui. Jésus s’est soucié des besoins physiques et spirituels de sa mère. Quelle tendre manifestation d’amour désintéressé !        – cf chap29 §7

    Pour abréger les souffrances des criminels condamnés à mourir sur le poteau, les Romains avaient, semble-t-il, coutume de leur donner le coup de grâce en leur brisant les jambes. À la requête des Juifs, les soldats brisèrent les jambes des hommes attachés sur des poteaux à côté de Jésus Christ, mais, constatant que Jésus était déjà mort, ils ne brisèrent pas les siennes. C’est ainsi que s’accomplit la prophétie consignée en Psaume 34:20. — Jean 19:31-36  - it-1 p1236

    À la mort de Jésus Christ, Nicodème apporta “ un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres ”. Le récit ajoute : “ Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” (Jean 19:39, 40). Toutefois, cela ne s’appelait pas précisément un embaumement, et c’était différent des procédés d’embaumement employés par les Égyptiens. Ce fut la manière habituelle de préparer le corps pour l’enterrement, sans aucun doute semblable à ce qu’on avait fait pour préparer Lazare à l’inhumation - it-1 p736

     

  21. Thanks
    misette got a reaction from jmix in RECHERCHONS DESPERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 OCTOBRE 2018 - JEAN 13-14   
    Il faudra de plus en plus s'encourager pour faire face aux épreuves que nous rencontrerons et comme montre ces deux images en dessous il faudra de plus en plus rester éveiller spirituellement
    l'importance de la nourriture spirituelle   Que la lumière spirituelle pénètre bien dans notre demeure       et que les reflets de cette lumière coulent à flot par toutes les publications qu'on dispose              
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 13-14

    Jean 14:6 : En quel sens Jésus est-il « le chemin, la vérité et la vie » ? (nwtsty).

    « Jésus lui répondit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne peut aller vers le Père si ce n’est par moi »

    Je suis le chemin, la vérité et la vie : Jésus est le chemin parce que c’est uniquement par lui qu’on doit passer pour prier Dieu. Mais aussi parce qu’il permet aux humains d’accéder à la réconciliation avec Dieu (Jean 16:23 ; Rm 5:8). Jésus est la vérité parce qu’il parlait et vivait en accord avec la vérité.

    Il a aussi réalisé de nombreuses prophéties qui mettent en évidence le rôle central qu’il joue dans l’accomplissement du projet de Dieu. Ces prophéties « sont devenues “oui” ont été réalisées par son moyen » (2Co 1:20). Jésus est la vie parce qu’en offrant sa vie en rançon, il permet à l’humanité d’obtenir « la vraie vie », c’est-à-dire « la vie éternelle »

    Il sera aussi « la vie » pour des millions de personnes qui seront ressuscitées avec la possibilité de vivre pour toujours dans le paradis. - nwtsty

    Son rôle essentiel dans le dessein de Dieu. Jéhovah Dieu jugea bon de faire de son Fils premier-né l’élément principal ou central de la réalisation de tous Ses desseins, l’élément vers lequel la lumière de toutes les prophéties convergerait et de qui cette lumière rayonnerait, la solution à tous les problèmes causés par la rébellion de Satan et le fondement sur lequel Dieu bâtirait toutes ses réalisations futures pour le bien éternel de sa famille universelle, au ciel et sur la terre. it-2 p24

    Pour remplir son ministère, qui consistait à rendre témoignage à la vérité, Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26

    Que signifie l’affirmation selon laquelle Jésus Christ est lui-même “ la vérité ” ? De même que son Père Jéhovah, Jésus Christ est “ plein de faveur imméritée et de vérité ”. Pendant qu’il était sur la terre, il disait toujours la vérité telle qu’il l’avait reçue de son Père ; “ Il n’a pas commis de péché, et on n’a pas trouvé de tromperie dans sa bouche. ” Jésus exposait les choses telles qu’elles étaient réellement. En plus d’être ‘ plein de vérité ’, Jésus fut lui-même “ la vérité ”, et la vérité vint par lui. - it-2 p1136

    Jésus Christ est “ le chemin ”. En quel sens ? En ce sens que nous ne pouvons nous approcher de Dieu que par Jésus. Ainsi, dans le domaine de la prière, nous avons l’assurance que le Père nous accordera tout ce que nous demandons, selon sa volonté, si nous prions par Jésus (Jean 15:16). Mais Jésus est aussi “ le chemin ” dans un autre domaine. Il se trouve que l’humanité a été séparée de Dieu à cause du péché (Is. 59:2). C’est pour cette raison que Jésus a donné “ son âme comme rançon en échange de beaucoup ”. Comme l’explique la Bible, “ le sang de Jésus [...] nous purifie de tout péché ”. (1 Jean 1:7.) De ce fait, le Fils nous donne accès à la réconciliation avec Dieu ; C’est donc en exerçant la foi en Jésus et en lui obéissant que nous pouvons obtenir l’approbation de Dieu

    Jésus est également “ la vérité ”. En effet, il enseignait toujours la vérité et vivait en accord avec elle. De plus, toutes les prophéties relatives au Messie — et elles sont nombreuses — se sont réalisées en sa personne. “ Quel que soit le nombre des promesses de Dieu, a écrit l’apôtre Paul, elles sont devenues Oui par son moyen. ” (2 Cor. 1:20). Ce qui, dans la Loi mosaïque, n’était qu’“ une ombre des bonnes choses à venir ” est devenu réalité en Christ Jésus. Toutes les prophéties convergeaient vers Jésus, et toutes ont apporté des éclaircissements sur le rôle essentiel qu’il joue dans l’accomplissement du dessein de Jéhovah. Par conséquent, si nous voulons recevoir les bénédictions qui découlent de la réalisation de ce dessein, nous devons suivre le Messie.

    Jésus est “ la vie ”. Effectivement, il a racheté l’humanité avec son sang ; la vie éternelle est un don de Dieu “ par Christ Jésus notre Seigneur ”. (Rom. 6:23.) Jésus représente aussi “ la vie ” pour ceux qui sont morts. . Songez à ce qu’il accomplira en sa qualité de Grand Prêtre : durant le règne millénaire, il obtiendra pour les humains obéissants la délivrance éternelle du péché et de la mort.

    Ainsi, ce que Jésus a dit à Thomas nous concerne au plus haut point. Pour nous aussi, Jésus est le chemin, et la vérité, et la vie. Il est celui que Dieu a envoyé dans le monde pour que, par son intermédiaire, le monde soit sauvé. En outre, personne ne peut venir vers le Père sinon par lui. À ce propos, la Bible dit clairement : “ Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a pas d’autre nom sous le ciel qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devons être sauvés. ” (Actes 4:12). En conséquence, quelles qu’aient été nos croyances par le passé, la sagesse consiste à croire en Jésus et à le suivre de manière à obtenir la vie. – TG2009  15/5 p31-32

    Jean 14:12 En quel sens ceux qui exercent la foi en Jésus font-ils « des oeuvres plus grandes » que lui ? (nwtsty).

    « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : celui qui exerce la foi en moi fera aussi les œuvres que je fais ; et il fera des œuvres plus grandes que celles-ci, parce que je m’en vais vers le Père ».

    Oeuvres plus grandes que celles-ci : Ici, Jésus n’est pas en train de parler de miracles, il ne dit pas que ses disciples accompliraient des miracles plus grands que les siens.

    Il reconnaissait plutôt humblement qu’ils effectueraient une oeuvre de prédication et d’enseignement sur une plus grande échelle que lui : ses disciples parcourraient un territoire plus large, ils toucheraient plus de personnes et prêcheraient sur une plus longue période. Les paroles de Jésus montrent clairement qu’il souhaitait que ses disciples poursuivent son oeuvre. - nwtsty

    Christ ne voulait pas dire que ses disciples accompliraient des œuvres d’un caractère plus miraculeux que les siennes. Selon le récit biblique, aucun d’entre eux ne fit de miracle plus extraordinaire que celui de Jésus qui avait ressuscité Lazare mort depuis quatre jours (Jn 11:38-44). Mais puisque Jésus s’en allait vers le Père et que ses disciples recevraient l’esprit saint pour être ses témoins “ non seulement à Jérusalem, mais aussi dans toute la Judée et la Samarie, et jusque dans la région la plus lointaine de la terre ” (Ac 1:8), ses disciples, donc, auraient un territoire plus étendu et travailleraient plus longtemps que Jésus. C’est en ce sens qu’ils feraient des œuvres plus grandes que lui. - it-2 p1096

    Aujourd’hui, les serviteurs de Dieu accomplissent des œuvres chrétiennes dans une mesure encore jamais atteinte. Plus de 8 500 000 personnes espèrent bientôt passer vivantes la grande tribulation. Jamais autant de fidèles adorateurs de Dieu n’ont prêché dans autant de pays ! Jéhovah a veillé à ce que les paroles prophétiques de Jésus relatives à “ des œuvres plus grandes ” deviennent réalité. – TG2011  15/1 p32

    Jésus n’a pas caché qu’il resterait beaucoup à faire après sa mort. . Puisqu’il retournait au ciel, il appartiendrait aux apôtres — mais aussi à tout futur disciple — de poursuivre l’œuvre de prédication et d’enseignement. Avec humilité, il a annoncé que leurs œuvres seraient “ plus grandes ” que les siennes. En quel sens ? Considérons trois aspects.

    Premièrement, ses disciples allaient couvrir un territoire plus grand. Aujourd’hui, leur témoignage a atteint les extrémités de la terre ; leur message est proclamé largement au-delà des frontières à l’intérieur desquelles Jésus prêchait.

    Deuxièmement, ses disciples allaient toucher plus de personnes. D’une poignée qu’ils étaient, ils n’ont pas tardé à se compter par milliers. Aujourd’hui, ils sont des millions, auxquels se joignent chaque année des milliers et des milliers de nouveaux baptisés.

    Troisièmement, ses disciples allaient prêcher sur une période plus longue — en fait jusqu’à nos jours, soit près de 2 000 ans, alors que le ministère de Jésus n’a duré que trois ans et demi.

    En déclarant que ses disciples feraient “ des œuvres plus grandes ” que les siennes, Jésus leur exprimait sa confiance. Il remettait entre leurs mains une œuvre capitale à ses yeux, celle de prêcher et d’enseigner “ la bonne nouvelle du royaume de Dieu ”. Il ne doutait pas qu’ils l’accompliraient fidèlement. Qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Quand nous nous dépensons avec zèle et sincérité dans le ministère, nous confirmons que la confiance de Jésus était fondée. N’est-ce pas un remarquable privilège ? – cf p88-89

    Nous pouvons faire des œuvres plus grandes -  

    En parcourant davantage de territoire : La sphère d’activité de Jésus s’était limitée à la Palestine ; pourtant, il a dit à ses premiers disciples d’être ses témoins “ jusque dans la région la plus lointaine de la terre ”, c’est-à-dire beaucoup plus loin que la région où lui-même avait prêché (Actes 1:8). L’œuvre de prédication qu’il a commencée est actuellement accomplie dans le monde entier, soit dans 240 pays. Y participons-nous pleinement en parcourant le territoire de notre assemblée ?

    En touchant davantage de gens : Les disciples à qui Jésus a confié l’œuvre de prédication étaient assez peu nombreux. Toutefois, en 33 de notre ère, le jour de la Pentecôte, grâce à leur prédication zélée, quelque trois mille âmes ont accepté la vérité et se sont fait baptiser. Le rassemblement de ceux qui sont “ dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ” se poursuit à notre époque où, en moyenne, 1 000 personnes se font baptiser chaque jour. Faisons-nous tout notre possible pour toucher des personnes sincères partout où elles se trouvent et pour cultiver leur intérêt aussi vite que possible ?

    En prêchant plus longtemps : Le ministère terrestre de Jésus n’a duré que trois ans et demi. La plupart d’entre nous prêchons depuis plus de temps que cela. Qu’il nous soit donné de continuer encore longtemps ou non, nous sommes reconnaissants d’aider chaque nouveau disciple à s’engager sur la route qui mène à la vie. Avons-nous chaque mois beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur ?

    En véritables disciples de Jésus, nous pouvons être confiants qu’avec son aide nous continuerons à faire des œuvres plus grandes – km1998/9 p1

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    En 33 de n. ère, Jésus a clairement annoncé que ceux qui régneraient avec lui dans le Royaume de Dieu seraient pris de la terre pour vivre au ciel en tant qu’esprits. Sur le coup, ses disciples n’ont pas compris cette révélation Jésus Christ promit à ses disciples qu’il s’en allait leur préparer une place dans la ‘ maison de son Père ’ ; il parlait ici de la demeure céleste de Jéhovah. Ce n’est qu’après la Pentecôte 33, quand ils ont été oints de l’esprit de Dieu, que ces futurs rois ont vraiment compris que leurs trônes seraient dans les cieux — Jean 14:2-5  - kr p35 - it2 p190

    Nous avons tendance à imiter les gens dont nous admirons la personnalité et le comportement. De tous les humains que la terre ait portés, personne n’est plus digne d’être imité que Jésus Christ. Pourquoi ? Lui-même a dit : « Qui m’a vu a vu le Père aussi » (Jean 14:9). Effectivement, Jésus imite si parfaitement son Père qu’observer le Fils revient à voir le Père. Ainsi donc, si nous imitons Jésus — ses qualités et son comportement —, nous nous rapprochons de Jéhovah, le plus grand Personnage de l’univers. Quelle récompense ! – TG2015  15/2 p5

    Rien ne saurait être plus précieux à nos yeux que d’être aimés par Jéhovah et par son Fils, Christ Jésus. Cependant, pour connaître et sentir cet amour, il nous faut faire quelque chose. Jésus a déclaré en effet la dernière nuit qu’il a passée avec ses disciples : “ Qui a mes commandements et les observe, c’est celui-là qui m’aime. Et qui m’aime sera aimé de mon Père, et moi je l’aimerai et me montrerai clairement à lui. ” (Jean 14:21). Puisque nous attachons du prix à nos relations avec Dieu et avec son Fils, nous obéissons joyeusement à leurs commandements. Au nombre de ces commandements figurent le nouveau, celui de montrer un amour empreint d’abnégation, ainsi que l’ordre donné par Jésus après sa résurrection, “ de prêcher au peuple et d’attester pleinement ”, en s’efforçant de ‘ faire des disciples ’ des gens qui acceptent la bonne nouvelle – TG2002  2/1 p16§9

    À condition que nous soyons humbles et disposés à nous fier à lui, Jéhovah nous fournit un guide sûr, son esprit saint. Jésus a expliqué à ses disciples : “ L’assistant, l’esprit saint, que le Père enverra en mon nom, celui-là vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites. ” (Jean 14:26). Si nous prions et étudions régulièrement la Parole de Dieu, notamment les enseignements de Christ, l’esprit saint augmentera notre compréhension de la sagesse de Jéhovah, afin que nous puissions aller dans le sens de sa volonté. En outre, à supposer que nous nous trouvions subitement à la croisée des chemins, l’esprit nous montrera la direction à prendre. Il nous rappellera des principes bibliques que nous connaissons et nous permettra de discerner quelle voie ces principes nous invitent à emprunter – TG2011  15/12 p14-15

    Jean 14:26 . L’esprit saint de Jéhovah agit comme un enseignant et stimule la mémoire. Il intervient aussi pour révéler des vérités. Il peut donc nous aider à croître en connaissance, en sagesse, en perspicacité, en jugement et en capacité de réflexion. Nous devrions par conséquent persévérer dans la prière, notamment pour solliciter cet esprit – TG2008  15/4 p32

    Pour s’élever et planer sur de longues distances, l’aigle n’utilise pas ses seules forces. Il se laisse porter par des colonnes d’air chaud qui l’entraînent vers le haut, ce qui lui permet de conserver son énergie. Alors face à un problème qui te semble insurmontable, pense à l’aigle. Supplie Jéhovah de te « porter » au moyen de « l’assistant, l’esprit saint » (Jean 14:26). Nous pouvons lui demander son esprit saint à chaque fois que nous en avons besoin – TG2018 Janvier p7§11

    Jésus a fait savoir à ses apôtres que l’esprit agirait de deux façons. Peu de temps avant sa mort, il leur a dit : “ L’assistant, l’esprit saint, que le Père enverra en mon nom, celui-là vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites. ” (Jean 14:26).

    D’une part, l’esprit saint allait enseigner les chrétiens, leur permettre de comprendre des choses jusque-là obscures. En leur faisant comprendre des choses qu’ils avaient précédemment entendues de la bouche de Jésus sans bien en saisir le sens. Et d’autre part, il allait les aider à se rappeler ce qui leur avait été expliqué pour qu’ils puissent bien l’appliquer. L’esprit allait-il continuer d’enseigner les chrétiens et de leur rappeler ce qu’ils avaient appris ? Allait-il continuer de les aider à comprendre les “ choses profondes de Dieu ” ? Oui. Aujourd’hui, quand arrive le moment de faire la lumière sur une question biblique, l’esprit saint aide les représentants de “ l’esclave fidèle et avisé ” demeurant au siège mondial à discerner des vérités profondes qui n’ont pas encore été comprises. Les membres du Collège central déterminent alors ensemble si certaines explications méritent d’être réexaminées. Ils arrêtent une décision et, au besoin, publient pour le plus grand bien de tous l’explication revue et corrigée. Si, avec le temps, des éclaircissements supplémentaires s’avèrent nécessaires, ils sont exposés en toute franchise.- TG2010  15/7 p20-21 

    De même, la paix que Jésus Christ donna à ses disciples, paix fondée sur la foi qu’ils exerçaient en lui, le Fils de Dieu, calma leurs cœurs et leurs esprits. Bien que Jésus leur ait expliqué que le moment approchait où il ne serait plus avec eux en personne, ils n’avaient aucune raison de s’inquiéter ou de céder à la peur. Il ne les laisserait pas sans aide, mais il leur promit de leur envoyer l’esprit saint. — Jean 14:26, 27. “ La paix de Dieu ”, c’est-à-dire le calme et la tranquillité qui résultent des relations précieuses que le chrétien entretient avec Jéhovah Dieu, protège son cœur et ses facultés mentales de l’inquiétude au sujet de ses besoins. Il a l’assurance que Jéhovah pourvoit aux besoins de ses serviteurs et qu’il répond à leurs prières, ce qui apaise son cœur et son esprit - it-2 p474

    Ce soir-là, Jésus a parlé clairement de l’imminence de sa mort. Il a également expliqué pourquoi il allait se soumettre à cette fin atroce, raison que Jean est le seul à avoir rapportée : “ Afin que le monde sache que j’aime le Père, oui comme le Père m’a donné ordre de faire, ainsi je fais. Levez-vous, partons d’ici. ” — Jean 14:31.

    “ J’aime le Père. ” Rien ne lui importait davantage. Non qu’il ait répété ces mots à tout propos ; en fait, Jean 14:31 est le seul verset où Jésus formule aussi explicitement son amour pour son Père. Jésus ne se contentait pas d’éprouver de l’amour pour son Père ni de dire : “ J’aime le Père. ” Mais il vivait ces paroles. Son amour pour le Père transparaissait dans chacun de ses actes. Son courage, son obéissance, son endurance en étaient autant de manifestations. Cet amour motivait son ministère tout entier. Aucun humain n’a aimé Jéhovah autant que Jésus. Aucun ne l’a égalé dans l’obéissance à ce qu’il a lui-même appelé le plus grand des commandements divins, à savoir : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée, et de toute ta force. ” - cf p129

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Il faut encore que les apôtres se défassent d’une certaine jalousie et d’un certain orgueil mêlés d’ambition. Aussi Jésus se ceint-il d’un linge et se met-il à leur laver les pieds. Ce n’est pas là un geste de fausse humilité, comme celui que le pape de la chrétienté renouvelle chaque année à Rome. Certainement pas! La véritable humilité est un don de soi venant d’une ‘humilité d’esprit qui amène à considérer les autres comme supérieurs’. Au début, Pierre, ne comprenant pas la leçon, refuse que Jésus lui lave les pieds. Étant corrigé, il demande à Jésus de lui laver tout le corps (Jean 13:1-10). Cependant, Pierre a dû tirer profit de cet enseignement. En effet, des années après, nous le trouvons conseillant les autres d’une bonne manière (1 Pierre 3:8, 9; 5:5). Combien il est important que tous, aujourd’hui, nous nous comportions en humbles esclaves du Christ – TG1992 1/3 p17 §4

    Il semble donc manifeste qu’à l’époque où Judas fut choisi comme apôtre son cœur ne présentait aucun signe d’inclination à la traîtrise. Judas permit à une ‘ racine vénéneuse de pousser ’ et de le souiller, ce qui l’amena à faire défection et à accepter, non pas la direction de Dieu, mais celle du Diable qui le conduisit au vol et à la traîtrise (Jean 13:2). Lorsque cette défection atteignit un certain degré, Jésus put lui-même la déceler dans le cœur de Judas et prédire qu’il le livrerait. -Jean 13:10, 11.     - it-2 646

    Jésus “ se leva du repas et déposa ses vêtements de dessus, écrit Jean. Et, prenant une serviette, il s’en ceignit. Après quoi, il versa de l’eau dans un bassin et commença à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec la serviette dont il était ceint ”. — Jean 13:4, 5. Sous le climat chaud du Proche-Orient de l’époque, on chemine généralement sur des routes poussiéreuses chaussé de sandales ouvertes. Chez les gens du commun, l’hôte vous accueille en vous fournissant des bassins et de l’eau pour que vous vous laviez les pieds. Chez les plus aisés, c’est un esclave qui effectue le lavement des pieds. Dans la chambre haute, personne n’a invité Jésus et ses apôtres. Il n’y a donc pas d’hôte pour fournir les bassins ni d’esclave pour effectuer le lavement des pieds. Lorsque Jésus se met à leur laver les pieds, les apôtres se sentent gênés. Il y a de quoi, c’est le plus grand d’entre eux qui accomplit la plus humble tâche. Jésus n’institue pas ici un rite. Il aide ses apôtres à changer de mentalité, c’est-à-dire cultiver l’humilité et être disposés à effectuer les tâches les plus humbles pour le bien de leurs frères. Manifestement, ils ont compris la leçon.

    Une leçon pour nous - En lavant les pieds de ses disciples, Jésus a donné une puissante leçon d’humilité. En effet, les chrétiens ne devraient pas se croire si importants qu’ils doivent toujours être servis ; ils ne devraient pas non plus rechercher l’honneur et le prestige, mais plutôt suivre l’exemple de Jésus qui “ est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup ”. (Matthieu 20:28.) Ils devraient donc se servir mutuellement en étant prêts à effectuer les tâches les plus humbles. – TG1999 1/3 p30-31

    Pourquoi Jésus a-t-il lavé les pieds de ses apôtres ?

    Jadis, en Israël, beaucoup de gens du peuple vaquaient à leurs occupations pieds nus. Les chaussures, pour ceux qui en portaient, étaient des sandales, qui n’étaient guère plus que des semelles attachées aux pieds et aux chevilles. En raison de la poussière et de la boue des routes et des champs, il était difficile de ne pas se salir les pieds.

    Il était par conséquent d’usage d’enlever ses sandales avant d’entrer chez quelqu’un. L’hospitalité voulait qu’on lave les pieds d’un invité. C’était soit le maître de maison, soit un serviteur qui s’en chargeait. La Bible contient de nombreuses mentions de cette coutume répandue. Par exemple, Abraham a dit à des hommes qui s’étaient présentés devant sa tente : “ Qu’on prenne un peu d’eau, s’il vous plaît, et vous devrez vous faire laver les pieds. Puis étendez-vous sous l’arbre. Que j’aille chercher un morceau de pain, et ranimez votre cœur. ” — Genèse 18:4, 5.

    Ces divers renseignements permettent de comprendre pourquoi Jésus a lavé les pieds de ses disciples au cours de sa dernière Pâque avec eux. Ce soir-là, il n’y avait ni maître de maison ni serviteur pour effectuer cette tâche, et manifestement aucun des disciples ne s’était porté volontaire. Aussi, quand Jésus a pris un bassin d’eau et une serviette, puis a lavé et séché les pieds de ses apôtres, il leur a donné une leçon d’amour et d’humilité. — Jean 13:5-17. – TG2009 1/1 p19 

    Christ lave les pieds de ses disciples. Lorsqu’il leur lava les pieds, lui, leur Maître, Jésus Christ donna à ses disciples une leçon d’humilité et de dévouement à l’égard les uns des autres (Jean 13:5-14). Ce jour-là, il dit : “ Celui qui s’est baigné n’a besoin que de se faire laver les pieds, mais il est entièrement pur. ” Il songeait sans aucun doute au fait qu’il suffisait de marcher, ne serait-ce qu’un peu, pour avoir les pieds poussiéreux, ce qui obligeait à se les laver fréquemment, même si on s’était baigné auparavant. Aux jours du ministère de Jésus sur la terre, les prêtres et les Lévites en service de garde au temple, après s’être plongés dans l’eau tôt le matin, n’avaient pas besoin de se relaver dans la journée, sauf les mains et les. Apparemment, en disant : “ Vous, vous êtes purs, mais pas tous allusion à Judas ”, Jésus donna à ses actions à ce moment précis une signification spirituelle supplémentaire (Jean 13:10, 11). Selon Éphésiens 5:25, 26, Jésus purifia la congrégation chrétienne avec “ le bain d’eau par le moyen de la parole ” de vérité. Logiquement, les disciples fidèles de Jésus devaient comme lui se préoccuper humblement non seulement des besoins physiques de leurs frères, mais aussi et surtout de leurs besoins spirituels. Ainsi, les chrétiens s’aideraient mutuellement à rester purs vis-à-vis des tentations et des pièges susceptibles de les contaminer quotidiennement, puisqu’ils marchaient dans le monde. - it-2 p581

    Lorsque Jésus Christ était sur la terre, ses disciples ne furent pas les seuls à l’appeler “ Seigneur ”, ou “ Monsieur ”. (Mt 8:2 ; Jn 4:11.) Dans ces cas, ces expressions étaient principalement un titre respectueux ou marquant la civilité. Cependant, à ses apôtres Jésus montra que l’appeler “ Seigneur ” impliquait plus que cela. Il dit : “ Vous m’appelez, vous, ‘ Enseignant ’ et ‘ Seigneur ’, et vous avez raison, car je le suis. ” (Jean 13:13). Étant ses disciples, les apôtres étaient ses élèves. C’est pourquoi il était leur Seigneur, ou Maître. - it-2 p917

    Le Messie devait être trahi par l’un de ses intimes. David a déclaré prophétiquement : “ L’homme en paix avec moi, en qui j’avais confiance, et qui mangeait mon pain, a grandi son talon contre moi. ” (Ps. 41:9). À l’époque, manger du pain avec quelqu’un était un signe d’amitié (Gen. 31:54). Judas Iscariote s’est donc révélé un traître de la pire espèce. Jésus a signalé à ses apôtres que les paroles de David se réalisaient quand, faisant allusion à celui qui le trahissait, il leur a dit : “ Je ne parle pas de vous tous ; je connais ceux que j’ai choisis. Mais c’est afin que l’Écriture s’accomplisse : ‘ Celui qui se nourrissait de mon pain a levé son talon contre moi. ’ ” — Jean 13:18. – TG2011  15/8 p13 §5

    “ Petits enfants. ” (Jean 13:33). C’est en ces termes tendres et bienveillants que Jésus s’est adressé à ses apôtres la veille de sa mort. Rien n’indique, dans les Évangiles, qu’il les ait appelés ainsi auparavant. Mais, en cette soirée particulière, il a eu envie d’employer cette expression affectueuse pour leur dire l’amour qu’il éprouvait à leur égard. D’ailleurs, ce soir-là, il a parlé une trentaine de fois de l’amour. Pourquoi a-t-il insisté autant sur cette qualité ? Jésus a expliqué pourquoi l’amour est si important. “ Par là, a-t-il annoncé, tous sauront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour entre vous. ” - (Jean 13:35).  Il est impossible d’être un disciple du Christ sans manifester l’amour fraternel. Les vrais chrétiens se reconnaissent, non à un vêtement distinctif ni à des coutumes insolites, mais à l’amour chaleureux et tendre qu’ils se témoignent mutuellement. Cet amour qui sort de l’ordinaire constitue la deuxième des trois conditions principales à remplir pour être un disciple du Christ – TG2003 1/2 p13

    Jésus put dire à ses disciples : “ Encore un peu de temps et le monde ne m’apercevra plus. ” Il est vrai que ses disciples l’apercevraient, le verraient, déjà parce qu’il leur apparaîtrait après sa résurrection, mais aussi parce qu’en temps voulu, ressuscités, ils le rejoindraient dans les cieux où ils ‘ verraient la gloire que son Père lui aurait donnée ’. (Jean 14:19) Mais le monde en général ne l’aperçut plus, car après avoir été ressuscité créature spirituelle (1P 3:18) Jésus n’apparut qu’à ses disciples. Eux seuls également, et pas le monde, virent son ascension, et les anges présents leur assurèrent que le retour de Jésus se ferait de “ la même manière ”  c’est-à-dire sans exhibition publique, mais discernée uniquement par ses disciples fidèles - it-2 p650

    En Jean 14:27, nous lisons ces paroles de Jésus à ses disciples : “ Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Que votre cœur ne se trouble ni ne faiblisse de peur. ” En quoi la paix de Jésus est-elle différente de celle du monde ? En premier lieu, la paix de Jésus avait un lien étroit avec le message du Royaume qu’il proclamait. Il savait que le gouvernement céleste juste qu’il composerait avec 144 000 rois adjoints saurait éliminer et la guerre et les fauteurs de guerre. Il savait aussi que ce gouvernement établirait les conditions paradisiaques paisibles qu’il promit plus tard au malfaiteur qui mourut à ses côtés. Jésus savait également que son Royaume apporterait la consolation à toutes les personnes frappées par le deuil qui exercent la foi en lui. La paix de Jésus a trait en effet à l’espérance merveilleuse et réconfortante de la résurrection. Attendez-vous un tel moment ? – TG1997 15/4 p12

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    Je m'excuse ça concerne la semaine du 22 octobre
    COMMENT AUGMENTER SA JOIE - Un chrétien déjà joyeux peut-il ressentir encore plus de joie ? Jésus a dit : « Ces choses, je vous les ai dites pour que ma joie soit en vous et que votre joie devienne complète » (Jean 15:11). Ces paroles indiquent que notre joie peut grandir. On peut comparer la joie à un feu : pour être plus fort, un feu a besoin de bois. Pareillement, pour être plus joyeux, nous avons besoin d’esprit saint. En effet, c’est l’esprit saint qui produit en nous la joie. Prions donc régulièrement pour recevoir de l’esprit saint et méditons sur la Bible, qui est inspirée par cet esprit – TG2018/2
     
     
    Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, Jésus, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière – TG2018/5
     
     
     
     
    La première demande mentionnée par Jésus dans la prière modèle concerne la sanctification du nom de Jéhovah. Son nom représente toute l’étendue de son excellence, de sa majesté et de sa sainteté. Dans une autre prière, Jésus a appelé Jéhovah « Père saint » (Jean 17:11). Jéhovah étant saint, tous les principes et les lois qui proviennent de lui sont saints. Pourtant, dans le jardin d’Éden, Satan a sournoisement mis en question le droit de Dieu d’établir des normes pour les humains. En mentant à propos de Jéhovah, il a diffamé son nom sacré – TG2017/2
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 11-12

    Jean 11:49 : Par qui Caïphe a-t-il été nommé grand prêtre, et combien de temps a-t-il occupé cette fonction ? (nwtsty).

    « Mais l’un d’entre eux, Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là, leur dit : « Vous n’y connaissez rien »

    Grand prêtre : Quand Israël était une nation indépendante, le grand prêtre occupait sa fonction toute sa vie (Nb 35:25). Mais, pendant l’occupation romaine, les dirigeants désignés par Rome avaient l’autorité pour nommer le grand prêtre ou le destituer de sa fonction (voir lexique (Grand prêtre) (Nom que la Loi de Moïse donnait au prêtre qui avait la fonction la plus élevée, celui qui représentait le peuple devant Dieu et supervisait l’activité des autres prêtres. Il était aussi appelé « prêtre  en chef » Lui seul avait le droit d’entrer dans le Très-Saint, la salle qui se trouvait au fond du tabernacle et plus tard du Temple. Il ne le faisait qu’une fois par an, le jour de la Réconciliation. Jésus lui aussi est appelé « grand prêtre ».

    Caïphe, qui a été nommé par les Romains, était un diplomate habile qui a gardé sa fonction plus longtemps que ses derniers prédécesseurs. Il a été nommé vers 18 de n. è. et a gardé sa fonction jusqu’en 36 environ. Quand Jean dit que Caïphe était grand prêtre cette année-là, il faisait référence à l’an 33 et il voulait probablement dire que Caïphe était encore grand prêtre l’année marquante où Jésus a été exécuté (voir app. B12 pour savoir où se situait peut-être la maison de Caïphe) Elle se situait à Jérusalem au sud du côté de la Vallée Hinnom, une maison imposante.  Dans la maison de Caïphe siégea un tribunal - nwtsty

    Le retour à la vie de Lazare porte un coup sévère aux sadducéens, qui ne croient pas à la résurrection. Caïphe, lui-même sadducéen, prend maintenant la parole : « Vous n’y connaissez rien, et vous n’avez pas compris qu’il est dans votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple plutôt que la nation entière soit détruite » (Jean 11:49, 50 ; Actes 5:17 ; 23:8).

    Caïphe ne dit pas cela « de lui-même » : c’est Dieu qui l’a poussé à prononcer ces paroles en raison de sa fonction de grand prêtre. D’après lui, il faudrait tuer Jésus pour l’empêcher de saper davantage l’autorité et l’influence des chefs religieux juifs. Mais sa prophétie indique qu’en mourant, Jésus fournira une rançon, non seulement pour les Juifs, mais aussi pour tous « les enfants de Dieu qui [sont] dispersés » (Jean 11:51, 52). – jy chap91

    Jean 12:42 : Pourquoi certains Juifs avaient-ils peur de reconnaître que Jésus était le Christ ? (nwtsty).

    « Cependant, même parmi les chefs, beaucoup eurent vraiment foi en lui ; mais ils ne l’avouaient pas à cause des pharisiens, pour ne pas être expulsés de la synagogue « 

    Les chefs : Ici, le mot grec traduit par « chefs » désigne apparemment les membres de la cour suprême des Juifs,

    le sanhédrin. Ce mot est aussi utilisé en Jean 3:1 pour parler de Nicodème, un membre de cette cour. - nwtsty

    Expulsés de la synagogue : ou « excommuniés », « interdits de synagogue ». L’adjectif grec aposunagôgos n’est employé qu’en Jean 9:22 ; 12:42 ; et 16:2. Quand une personne était expulsée de la synagogue, elle était méprisée et mise à l’écart de la société.

    Être ainsi coupé de la communauté juive avait de graves conséquences économiques sur la famille. Les synagogues étaient principalement utilisées pour donner l’enseignement, mais il arrivait également qu’elles servent de tribunaux locaux qui avaient l’autorité pour prononcer la peine du supplice du fouet et l’excommunication. - nwtsty

    Des chefs (sans doute membres du Sanhédrin, la Cour suprême juive) étaient nombreux à avoir foi en Jésus, entre autres Nicodème et Joseph d’Arimathée, ils dissimulaient leur foi par crainte  . Mais des chefs ne déclaraient pas leur foi, de crainte d’être expulsés de la synagogue et de perdre la position qu’ils y occupaient. Ils se privaient vraiment de beaucoup. La peur de l’homme en a retenu plus d’un de devenir chrétien.– TG1989 1/12 p8-9

    Quand Jésus était sur la terre, l’influence des Pharisiens était si forte que des hommes éminents craignaient de reconnaître ouvertement qu’il était bien le Christ.

    Les Pharisiens voulaient faire croire au peuple qu’il était plus important de s’attirer l’approbation des hommes que celle de Dieu. Les Pharisiens s’étaient érigés en directeurs de conscience qui édictaient leurs propres règles et jugeaient ensuite autrui selon qu’il s’y conformait ou non. Ceux qui suivaient les Pharisiens perdaient l’usage de leur conscience éduquée par les Écritures, devenant en réalité esclaves des hommes. – TG1995  15/6 §13

    L’orgueil les empêchait d’accepter Jésus. Pourtant, la Bible dit que “même parmi les chefs, beaucoup eurent vraiment foi en lui; mais, à cause des Pharisiens, ils ne le confessaient pas, pour ne pas être expulsés de la synagogue; car ils aimaient la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu”. Ces hommes avaient l’intime conviction que Jésus détenait la vérité, mais ils refusaient de devenir ses disciples par crainte des hommes. Ces chefs estimaient tout à fait inconvenant de sacrifier leur position sociale, politique et religieuse pour suivre le Christ. Ces personnes étaient trop fières pour pratiquer une religion qui exigeait d’elles qu’elles ‘prennent leur poteau de supplice et suivent Jésus’ avec humilité. Contrairement aux intellectuels de l’époque, ceux qui étaient comparables à des tout-petits se montrèrent réceptifs à la vérité. – TG1988  1/7

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    La Bible compare souvent la mort à un sommeil (Jean 11:11-14). Dieu est capable de « réveiller » les morts, tout comme nous pouvons réveiller quelqu’un qui dort. La Bible rapporte plusieurs résurrections, nous fournissant ainsi de solides raisons de croire que les morts seront ressuscités. Jean 11:39-44 – wp16 n°1 p16

    QUI JÉSUS NOUS A-T-IL ENSEIGNÉ À PRIER ? Jésus nous a ainsi enseigné à prier celui qui est à la fois son Père et notre Père, Jéhovah Dieu. Conformément à ce qu’il a enseigné, Jésus a lui-même prié  “Père, je te remercie de ce que tu m’as entendu” » (Jean 11:41). En priant son Père céleste, le « Seigneur du ciel et de la terre », Jésus nous a laissé à tous un exemple concret à suivre. TG2015  1/1 p14

    Les chrétiens devraient-ils prier Jésus ? Non. Jésus nous a enseigné à prier Jéhovah, et c’est ce que lui-même faisait - Jean 11:41. Par conséquent, les premiers disciples priaient Dieu ; ils ne priaient pas Jésus – TG2015  15/6 p32

     

    Tout au long de sa vie terrestre, même lorsqu’il a été exécuté d’une façon humiliante, Jésus a montré ce que voulait dire se consacrer au service du vrai Dieu avec ardeur et lui être totalement fidèle. Ses prières attestaient de la révérence qu’il avait pour son Père céleste plein d’amour ( Jean 12:27, 28). C’est pourquoi, par son esprit, Jéhovah a incité Paul à parler d’“ attachement à Dieu ” lorsqu’il a évoqué la vie exemplaire que Jésus a menée. Notre nature pécheresse nous empêche de manifester un parfait attachement à Dieu. Nous pouvons toutefois poursuivre cet attachement. Cela exige que nous suivions le plus fidèlement possible le modèle que Christ nous a laissé. Poursuivre l’attachement à Dieu exige que nous tenions compte, au quotidien, des normes justes de Dieu. – TG2008  15/6 p11 §8,9

    L’esprit de Dieu a stimulé la mémoire des disciples en leur rappelant ce que Jésus leur avait enseigné. Ainsi, les prophéties qui annonçaient la mort et la résurrection du Christ ont pris soudain tout leur sens (Jean 12:16). Avec les paroles de Jésus bien présentes à l’esprit, les apôtres ont pu défendre hardiment leur position devant des rois, des magistrats et autres chefs religieux. Aujourd’hui, Les Témoins de Jéhovah se laissent guider par l’esprit saint de Dieu. Conscients que Jéhovah se sert de son esprit pour affiner progressivement leur vision spirituelle, ils sont prêts à opérer tous les changements qu’impose chaque nouvelle compréhension – TG2000  1/ 4 p8

    Parmi les foules se trouvant à Jérusalem figuraient quelques Grecs prosélytes qui, manifestement très impressionnés par Jésus, ont demandé à l’apôtre Philippe de les introduire auprès de lui. Mais Jésus n’a pas voulu se laisser distraire des questions plus importantes dont il devait s’occuper. Il ne voulait certainement pas tenter de se rendre populaire pour échapper à une mort sacrificielle entre les mains des ennemis de Dieu. Après avoir expliqué qu’il allait bientôt mourir, il a donc dit à André et à Philippe : « Qui est attaché à son âme la détruit, mais qui a de la haine pour son âme dans ce monde la préservera pour la vie éternelle. » Au lieu de satisfaire la curiosité de ces prosélytes, il a recommandé à ses disciples d’imiter son esprit de sacrifice et leur a promis : « Si quelqu’un veut me servir, le Père l’honorera. » Philippe a sûrement rapporté ce message positif aux concernés (Jean 12:20-26). – TG201515/10 p21 §13

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Quand nous perdons un être cher, il est naturel de pleurer parce qu’il va nous manquer. Jésus avait de l’affection pour Lazare. Toutefois, il s’est laissé aller aux larmes non à cause de la mort de son ami, mais par compassion pour les endeuillés, comme le montre le contexte (Jean 11:36).

    Pourquoi Jésus s’est-il laissé aller aux larmes ? Là encore, la réponse se trouve dans le contexte. Quand Jésus et Marie, la sœur de Lazare, se retrouvèrent, et qu’il la vit pleurer, elle, ainsi que ceux qui l’accompagnaient, Jésus « gémit dans l’esprit et se troubla ». Il fut si ému par leur chagrin qu’il « gémit dans l’esprit ». Voilà pourquoi « Jésus se laissa aller aux larmes. Ses amis accablés de douleur l’a profondément attristé (Jean 11:33, 35).

    Jésus savait qu’il allait ressusciter Lazare. Il s’est pourtant laissé aller aux larmes parce qu’il éprouvait un profond amour et une grande compassion pour ses amis. De même, l’empathie nous poussera certainement à « pleure[r] avec ceux qui pleurent » (Rom. 12:15). Manifester ainsi sa douleur ne signifie pas manquer de foi dans l’espérance de la résurrection. Assurément, en pleurant spontanément alors même qu’il était sur le point de ressusciter Lazare, Jésus nous a laissé un bel exemple de compassion envers les endeuillés – TG2013  15/9 p32

    Quand des religions se mêlent de politique, cela mène souvent à la violence. Jésus a enseigné à ses disciples qu’ils devaient rester complètement neutres dans les affaires politiques. C’est une des raisons pour lesquelles les prêtres en chef et les pharisiens voulaient le tuer. Ils avaient peur que les gens l’écoutent et arrêtent de les suivre, ce qui les priverait de leur pouvoir religieux et politique. Ils se sont dit entre eux : « Si nous le laissons ainsi, ils auront tous foi en lui, et les Romains viendront enlever et notre lieu et notre nation » (Jean 11:48). Le grand prêtre Caïphe a donc organisé un complot pour tuer Jésus (Jean 11:49-53). Les questions politiques entraînent des réactions vives, divisent les gens et mènent à la violence. Mais pour notre part, nous restons unis et en paix. Quand Jéhovah voit à quel point ce monde est divisé, il doit être très heureux de constater que ses adorateurs, eux, sont unis. Nous pouvons contribuer à notre unité de trois façons : 1) en comptant sur le Royaume de Dieu pour réparer toutes les injustices, 2) en refusant de prendre parti dans les affaires politiques et 3) en rejetant la violence – TG2018 Juin p3 §13,16,17

    Pourquoi l’huile parfumée que Marie a utilisée était-elle si chère ? Quelques jours avant la mort de Jésus, Marie, la sœur de Lazare, “ vint avec un récipient d’albâtre rempli d’huile parfumée, un nard authentique, très cher  ”, et versa l’huile sur Jésus  Jean 12:3-5. Selon les récits de Marc et de Jean, ce parfum valait trois cents deniers, ce qui représentait environ le salaire annuel de l’ouvrier moyen. Marie avait incontestablement fait un cadeau très coûteux, mais approprié. Pour quelle raison ? Cette femme, qui peu de temps auparavant avait vu Jésus ressusciter son frère Lazare qu’elle aimait tant, voulait manifester sa reconnaissance. — Jean 11:32-45. – TG2008  1/5 p31

    Durant leurs campagnes de prédication, ni Jésus ni ses apôtres ne se livraient à une activité professionnelle. Ils n’avaient donc probablement pas les moyens d’acheter toute la nourriture et les autres nécessités pour leur groupe, qui devait compter une vingtaine de personnes. Bien qu’ils aient sans doute été reçus avec hospitalité, ils possédaient une « caisse », ce qui suggère qu’ils ne dépendaient pas en permanence de l’hospitalité des gens (Jean 12:6). Jeanne et les autres femmes faisaient sans doute des offrandes pour couvrir des dépenses.

    Les Écritures ne disent pas expressément que Jeanne a fait des offrandes financières. Mais cette femme a fait ce qu’elle a pu, ce qui nous enseigne ceci : c’est à nous de voir ce que nous donnerons, ou même si nous donnerons quelque chose, pour soutenir les intérêts du Royaume. Ce qui compte aux yeux de Dieu, c’est que nous fassions ce que nous pouvons, avec joie – TG2015  15/8 p29

    La pauvreté disparaîtra-t-elle un jour ? Jésus Christ a déclaré à ses disciples : “ Les pauvres, [...] vous les avez toujours avec vous. ” (Jean 12:8). Est-ce à dire que la pauvreté et ses tristes conséquences existeront indéfiniment ? Non, car, si Jésus n’a pas promis à ses disciples qu’ils deviendraient tous riches, nous ne devons pas pour autant en conclure que les pauvres n’ont aucun espoir.

    Même si les efforts humains ont rarement abouti et si les promesses de mettre fin à la pauvreté ont souvent été vaines, la Parole de Dieu, la Bible, affirme qu’il n’y aura bientôt plus de nécessiteux. Jésus a en effet annoncé “ de bonnes nouvelles aux pauvres ”. (Luc 4:18.) Parmi ces bonnes nouvelles, figure la promesse que la pauvreté aura une fin. Cette fin surviendra lorsque le Royaume de Dieu aura établi la justice sur la terre. – TG2003  15/3 p32

    Les chefs religieux juifs étaient eux aussi au courant des nombreux miracles opérés par Jésus. Après la résurrection de Lazare, ils ont même reconnu : “ Cet homme accomplit beaucoup de signes. ” Mais voir Lazare de nouveau vivant a-t-il adouci leur cœur ? Cela leur a-t-il donné la foi ? Pas le moins du monde ! Ils ont au contraire comploté et la mort de Jésus et celle de Lazare. Jean 12:10. Même l’intervention directe de Dieu n’a pas implanté la foi chez ces hommes méchants. Alors qu’en une certaine occasion Jésus se trouvait dans l’enceinte du temple, il a prié ainsi à voix haute : “ Père, glorifie ton nom. ” En réponse, la voix de Jéhovah s’est fait entendre du ciel : “ Et je l’ai glorifié, et je le glorifierai de nouveau. ” Cet événement miraculeux n’a cependant pas fait naître la foi dans le cœur de la foule présente. La Bible dit en effet : “ Bien qu’il eût accompli tant de signes devant eux, ils n’avaient pas foi en lui. ” — Jean 12:28-30, 37. Aveuglés par leurs idées préconçues et leur égoïsme, ils n’ont pas saisi la portée des miracles de Jésus. Ce sont bien souvent l’ambition, l’orgueil et l’avidité qui ferment le cœur. – TG1997  15/3 p4

    Satan le Diable trompe les humains. Il est « le chef de ce monde ». Jésus a rappelé cela 3 fois à ses disciples peu de temps avant de mourir (Jean 12:31). Le Diable a toujours utilisé la fausse religion pour tromper les humains. C’est pourquoi beaucoup aujourd’hui ne font pas attention aux prophéties bibliques qui montrent clairement que la fin de ce monde est très proche. En effet, Satan a « aveuglé l’intelligence des incrédules ». En conséquence, quand nous expliquons aux gens que la fin de ce monde est proche et que Jésus règne en ce moment, beaucoup ne veulent pas écouter. Souvent, ils disent : « Ça ne m’intéresse pas. » Même si beaucoup d’humains ne s’intéressent pas aux prophéties bibliques, ne laissons pas leur état d’esprit nous décourager. Nous savons pourquoi c’est important de veiller. Bientôt, Satan trompera les humains en leur faisant croire qu’il y a « la paix et la sécurité » dans le monde. Puis le jour de Jéhovah viendra d’un coup, et ils auront un choc. Et nous ? Pour être prêts pour ce jour et ne pas nous laisser tromper comme tout le monde, nous devons rester « éveillés » et garder notre « bon sens ». C’est pourquoi nous devons lire la Bible chaque jour et méditer sur ce que Jéhovah nous dit. – TG2016 Juillet p10 §11,12

    Les signes prouvant que Jésus était le Messie ne manquaient pas. Bien qu’il eût réalisé autant de signes devant les foules, elles n’avaient pas foi en lui. Ceux qui avaient sous les yeux la preuve que Jésus était le Messie, mais ne le reconnaissaient pas comme tel, étaient spirituellement aveugles. Leurs cœurs étaient endurcis et insensibles à la vérité. — Jean 12:37-41. Qu’en est-il aujourd’hui ? Certains disent : “ Je ne crois que ce que je vois. ” Mais cette façon de penser est-elle vraiment sage ? Les prophéties bibliques indiquent que Jésus a déjà été intronisé dans les cieux à la tête du Royaume messianique. Puisqu’il est invisible, nous avons besoin d’un signe qui nous aide à prendre conscience de cette entrée en fonctions qui a marqué le début des derniers jours du système de choses méchant. Reconnaissez-vous le signe ? Matthieu 24:3. – TG1996  15/11 p28

    Grâce à l’exemple et à l’enseignement de Jésus, les apôtres ont appris à aimer « des hommes de toutes sortes » Jean 12:32 Même s’il leur a fallu du temps, ils ont changé leur façon de voir les autres. Ils en sont venus à avoir la réputation de s’aimer les uns les autres. En revêtant « la personnalité nouvelle », ces chrétiens ont appris à voir tous les humains comme Jéhovah les voit, c’est-à-dire comme égaux. Nous aussi, nous aurons peut-être besoin de temps pour nous débarrasser de préjugés. À mesure que nous approcherons de la fin de ce monde méchant, les divisions, la haine et les préjugés seront de plus en plus courants. Mais nous qui servons Jéhovah, nous recherchons « la sagesse d’en haut », qui nous aide à être impartiaux et pacifiques. Nous sommes heureux de nouer des amitiés avec des personnes d’autres pays, d’accepter leurs façons de faire et peut-être même d’apprendre leur langue – TG2018 juin p8 §16, 17,19
    A bien se nourrir - Bon appétit      



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