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The Librarian

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  1. 141 Artemis d Ephese.JPG
     
    Artemis of Ephesus         CA 1202
     
    Sully 1st floor
     
    room 37 showcase 1 (3)
     
     
     
    The goddess’s body is sheathed in a narrow tunic,
    decorated with rows of superimposed breasts
    or bulls’ testicles, symbols of fertility.
     
    She is wearing a high calathos on her head. AR19
     
    A close relationship has been established with
    the ‘ Great Artemis of the Ephesians ‘ (Acts 19:28)
    and the major goddesses of other peoples.
     
    Unlike the virginal Greek Artemis, she was an
    opulent goddess of fertility and one
    of the mother-goddess figures.

     Artemis of Ephesus and mother-goddess figures.

    A famous statue shows her with a black face, hands and feet. The imposing temple that is dedicated to her is considered one of the Seven Wonders of the word. Significant trade was built up around her cult. AR13
     
     
    “Great is Ar´te·mis
    of the E·phe´sians!”
    Acts 19:28
       
    Close analogies exist between her and Cybele,
    the Phrygian goddess, as well as other female
    representations of divine power in the countries
    of Asia (Ma of Cappadocia, Astarte of Phoenicia,
    and Atargatis and Myletta of Syria).
     
    It could be said that all these divinities are merely variations of one and the same religious concept. AR14 She was represented with all the attributes of the Mother of the Gods and accordingly she wore a crown of towers, reminiscent of the Tower of Babel. AR15
     
    Ephesus was the crucible where the pagan cult of the mother-goddess was Christianised and transformed into the fervent worship of Mary, who became “Mother of God”. AR16AR17
     
    It was to the Christians of Ephesus that Paul the Apostle announced such a change of direction.  - Acts 20:17-30, 2 Thessalonians 2:3, note.
     
    Theatre of Ephesus  >
     
    In 431 AD, the third ecumenical council held in this city gave Mary the title of 'Theotokos’, a Greek word meaning ‘God-bearer’. The use of this title by the Church was a determining factor in the development of the Doctrine of Mary. The prototype of Feast of the Assumption processions could be seen in those made in honour of Cybele and Artemis. AR18
  2. 138 Artémis biche [].JPG

    Artémis à la biche, 
    dite « Diane de Versailles »

    MR 152

    Sully salle 17

    Déesse de la chasse chez les Grecs, 
    appelée Diane par les Romains, 
    Artémis est souvent représentée munie 
    d’un arc et accompagnée d’une biche.

    Son aspect de déesse lunaire
    est parfois évoqué par la lune et les étoiles
    entourant sa tête. Elle porte ici 
    une tunique retroussée jusqu’au genoux 
    afin de faciliter sa course.

    Cette statue, placée au centre de 
    la salle  construite pour Henri II, 
    est une allusion romantique 
    à la maîtresse du roi,
    Diane de Poitiers.

    Artémis à la biche, dite « Diane de Versailles »

    L’Artémis d’Ephèse ne saurait que de loin lui être assimilée (Actes 19:28). A l’opposé de l’Artémis grecque, virginale, elle est une opulente déesse de la Fécondité et l’une des figures des déesses-mères. Une statue renommée la représente avec le visage, les mains et les pieds noirs. L’imposant temple qui lui était dédié est considéré comme l’une des Sept Merveilles du monde. Ce temple était sacré dans tout le bassin méditerranéen et, comme on confiait d’énormes sommes d’argent à la garde d’Artémis, il est devenu aussi le centre bancaire le plus important d’Asie. Un commerce important s’établit autour de son culte. AR13

    L’Artémis d’Ephèse, une des figures des déesses-mères

    Le temple d'Ephèse d'Artémis était dédicacé à la déesse de la chasse.
    Seules les fondations et une colonne restent de ce temple qui autrefois faisait 130 m (425 pieds) de long, 65m (220 pieds) de large et 18m (60 pieds) de haut. Il contenait plus de 100 colonnes de marbre de quelque 17 mètres de haut
    et de 2 mètres de diamètre à la base. 

    Le ministère efficace de Paul dans 
    cette ville fut considéré comme une menace pour ce temple (Actes 19:27). 

    Ruines du temple d'Artémis
    www.BibléLieux.com
     
     
    On a établi un rapport étroit avec ‘ la grande Artémis des Ephésiens ’ (Actes 19:28) et les grandes déesses d’autres peuples. Elle présente d’étroites analogies avec Cybèle la déesse phrygienne et d’autres représentations féminines de la puissance divine dans les pays d’Asie (Ma de Cappadoce, Astarté de Phénicie, Atargatis (Br 4480) et Myletta de Syrie) et l’on peut penser que toutes ces divinités ne sont que des variantes AR14 d’un seul et même concept religieux.
     
      Artémis d’Ephèse     CA 1202

    Sully 1er étage

    salle 37 vitrine 1 (3)



    Le corps de la déesse est ici gainé
    dans une étroite tunique, ornée de rangées
    de seins superposés ou de testicules
    de taureaux, symboles de fécondité.

    Elle est coiffée d’un haut calathos. AR19

    On la représentait avec tous les
    attributs de la Mère des dieux
    et comme telle elle portait 
    une couronne de tours, ce qui 
    rappelle la tour de Babel. AR15

     Artémis d’Ephèse

     
     
    " Grande est 

    l'Artémis des Ephésiens! "

    Actes 19:28
     
        Ephèse fut le creuset où le culte païen de la déesse-mère fut christianisé et transformé en dévotion fervente vouée à Marie faite « Mère de Dieu » AR16AR17. C’est aux chrétiens d’Ephèse que l’apôtre Paul avait annoncé une telle dérive (Actes 20:17-30, 2 Thessaloniciens 2:3, note).
     

    En 431 le troisième concile œcuménique tenu dans cette ville proclama Marie ‘ Théotokos ’  mot grec qui signifie ‘ qui enfante Dieu ’. L’emploi de ce titre par l’Eglise fut déterminant dans le développement de la doctrine mariale.  AR110

    Les processions de l’Assomption pourraient trouver leur prototype dans celle faite en l’honneur de Cybèle et d’Artémis.  AR18

  3. 54 Prisme FAO19939 (Large) [].JPG

    AO 19939

    Richelieu salle 6 vitrine 4

    Connu pour ses déportations massives
    de populations, (on trouve sur ce texte 
    le récit des expéditions contre l’Elam, Tyr 
    et l’Egypte), Assurbanipal l’est encore
    plus pour son goût de la littérature,
    fait unique  chez les redoutables 
    monarques assyriens.

    Les fouilles entreprises en 1845 ont 
    mis au jour l’immense bibliothèque
    qu’il constitua à Ninive et qui comptait 
    quelque 22 000 textes et tablettes d’argile. 
    C’est de là qu’on a extrait les récits 
    assyriens de la création et du déluge.

    Prisme F du roi Assurbanipal

     
    La prise de Suse? capitale de l’Elam est évoquée sur ce prisme. Cet événement permet d’identifier ce roi au « grand et honorable Asnappar » d’ Esdras 4:10.

    Ce nom, qui figure dans une partie du livre rédigée en araméen, est vraisemblablement une forme abrégée du nom du roi d’Assyrie, avec pour lettre finale un r à la place du l, l’araméen comme le perse n’ayant pas de lettre l.  A2124

    Assurbanipal est cité dans la Bible en Esdras 4

    Voir aussi :
     
    Asnappar.jpg  
     
    Mort de Sardanapale  RF 2346
     
    Eugène DELACROIX
     
    Salon de 1827 
     
    H. : 3,92 m. ; L. : 4,96 m
    Denon 1er étage Mollien salle 77

     
    Dessous, esquisse du tableau
    (RF 2488) non visible
     
    Fort du succès du scandale provoqué
    au Salon précédent par les Massacres de 
    Scio
    , Delacroix récidive avec cette toile 
    grandiose, libre traduction en peinture 
    d'un poème de Byron, et qui apparut 
    comme l'une des plus éclatantes 
    manifestations du Romantisme.


    Sardanapale ou Assourbanipal, assiégé, 
    couché sur un lit au sommet d'un immense 
    bûcher, donne l'ordre d'égorger ses femmes,
    ses pages, ses chevaux. Aucun des objets
    qui avaient servi à ses plaisirs ne devaient 
    lui survivre.
      Asnappar%20esquisse.jpg
     
    Assourbanipal était le fils d’Ésar-Haddôn (Esdras 4:2) et le petit-fils de Sennachérib. Il fut contemporain de Manassé roi de Juda. Sous son règne, l’Empire assyrien connut son apogée. Apparemment désigné prince héritier trois ou quatre ans à l’avance, Assourbanipal monta sur le trône d’Assyrie à la mort de son père, tandis que Shamash-Shoum-Oukin, son frère, régnait à Babylone.
  4. 54 Prisme FAO19939 (Large) [].JPG

    AO 19939
      
    Richelieu room 6 showcase 4
     
      
     
    Known for his massive deportations
    of populations (we find in this text an account
    of expeditions against Elam, Tyre and Egypt),
    Ashurbanipal was even more 
    renowned for his taste for literature.
     
     
    Excavations unearthed an immense library
    that he formed in Nineveh and which included
    some 22,000 texts and clay tablets.

    King Ashurbanipal is mentioned in the Bible

    The capture of Susa, capital of Elam, is referred to in this prism. This event enabled this king to be identified with the ‘ great and honorable As´e·nap·par ’ of Ezra 4:10.
     
    This name, which features in a part of the book written in Aramaic, is clearly a shortened form of the name of the King of Assyria, with an ‘r’ at the end instead of an ‘l’, Aramaic like Persian not having the letter ‘l’.
     
  5. AO 9647 Hittite Louvre.jpg

    AO 9647


    Richelieu salle 5 vitrine 3



    Non visible actuellement


    L’amulette de Yozgat,

    avec sa haute tiare conique, représente une divinité hittite.


    Il s’agit peut-être de Teshub,
    dieu de l’orage.


    Cette figurine en or coulé manifeste sa parenté avec les statuettes syriennes des divinités de l’orage. 

    Malgré sa petite taille,
    elle est caractéristique de 
    l’art impérial hittite. A214

     
    Abraham eut affaire à ces descendants de Heth (Genèse 10:6,15) qui résidaient déjà en Canaan bien avant son arrivée. Les femmes hittites d’Esaü furent une « source d’amertume d’esprit pour Isaac et Rébecca » (Genèse 26:34). 

    C’est l’une des sept nations cananéennes nommées qui devaient être vouées à la destruction du fait de leur corruption (Lévitique 18:1-30). Ce peuple avait encore des rois et une force armée à l’époque de Joram (env 905 av. n.è.). - 2 Rois 7:6

    Les Hittites et la Bible

    On a essayé de trouver dans l’histoire profane une trace des Hittites  dont parle la Bible. Le problème est complexe. Et l’approche linguistique qui vise à les identifier à l’Empire hittite qui avait pour capitale Hattousa en Anatolie est incertaine et relève de la conjecture. Reste que les Hittites ont bien existé et que jusqu’au début du 19è siècle seule la Bible en faisait mention. A215
     
     
     
  6. AO 9647 Hittite Louvre.jpg
     
    AO 9647
     
    Richelieu room 5 showcase 3
     
    Not currently on display
      
     
    The Yozgat amulet, with its tall 
    conical tiara, shows a Hittite god – possibly Teshub the storm god.
     
    The relationship between this cast 
    gold figurine and Syrian storm god statuettes is clear.
     
    Despite its small size, it is characteristic of imperial Hittite art. A214A214
      
    Abraham had dealings with
    these descendants of Heth (Genesis 10:6, 15) who were already living in Canaan well before his arrival.
     
    The Hittite wives of Esau were
    a “source of bitterness of spirit 
    to Isaac and Rebekah” .
    - Genesis 26:34
     
    This was one of the seven named Canaanite nations which were destined to be destroyed due to their corruption (Leviticus 18:1-30). Its people still had kings and an army at the time of Joram (around 905 BCE). - 2 Kings 7:6

    The Hittites and the Bible

    Attempts have been made to find a trace in secular history of the Hittites the Bible speaks of. The problem is complex. And the linguistic approach which aims to identify them with the Hittite Empire that had Hattusa in Anatolia as its capital is uncertain and speculative. Still, there is no doubt that the Hittites did indeed exist and that, up until the early 19th Century, the Bible was the only place they were mentioned. A215
  7.  

    Splane.jpg.w180h213.jpg

    David H. Splane was born in 1944, became a full time minister of Jehovah's Witnesses in September 1963. After graduating from the 42nd class of Gilead, the missionary school, he was assigned to Senegal, Africa, then was a traveling Circuit Overseer 19 years in Canada.
    He wowed the brothers by speaking without notes, talking in an intense voice, while looking everyone in the eye. He received his calling at the time everyone who was being called were being told by their elders that it was very unlikely God would pick some ordinary person to replace an unfaithful king/priest.
    He started to partake as one of the anointed when he was 17 years old. (citation needed)
    His wife is named Linda J. Splane. They have been at Bethel world headquarters in Brooklyn since 1990 where he has worked in the Service Department and since 1998 helped the Writing Committee of the Writing Department.

    He is said to speak French and Spanish. He flew to Spain to speak about the closing of the branch there.
    He has often given an anti-higher education talk called "Four Figurative Giants" in which he claims that learning plumbing is better than learning computer science!

    He plays the piano and sings very well. He told us at a gathering, "I served as the liaison between the Governing Body and the music department at Bethel, for the production of the new song book."

     

     

     

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