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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 OCTOBRE 2017 - HOSHEA 1-7


misette

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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - Réunion du 16 au 22 octobre 2017 - HOSHEA 1-7.docx

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - Réunion du 16 au 22 octobre 2017 - HOSHEA 1-7.pdf

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : HOSHEA 1-7

Hoshea 1:7 : Quand la maison de Juda a-t-elle bénéficié de la miséricorde divine et a-t-elle été sauvée ? (w07 15/9 14 § 7)

Mais à la maison de Juda je ferai miséricorde ; oui, je les sauverai par Jéhovah leur Dieu, mais je ne les sauverai ni par l’arc, ni par l’épée, ni par la guerre, ni par les chevaux, ni par les cavaliers. ”

Cela s’est accompli en 732 avant notre ère, aux jours du roi Hizqiya. Cette année-là, Jéhovah mit un terme à la menace assyrienne dont Jérusalem était la cible en envoyant un ange tuer 185 000 soldats ennemis en une seule nuit. Jéhovah fit ainsi délivrer Juda, ni par l’arc, ni par l’épée, ni par la guerre, ni par les chevaux, ni par les cavaliers, mais par un ange TG2007

Au lieu de mettre leur confiance dans la puissance militaire, les chevaux et les chars, les Israélites devaient se tourner vers Jéhovah pour recevoir de l’aide et ne pas s’effrayer du matériel de guerre de leurs ennemis – it1 Cheval

 

Hoshea 2:18 : Quels sont les accomplissements passé et futur de ce verset ? (w05 15/11 20 § 16 ; g05 8/9 12 § 2)

« Oui, je conclurai pour eux en ce jour-là une alliance en ce qui concerne la bête sauvage des champs, la créature volante des cieux et la bête rampante du sol ; l’arc, l’épée et la guerre, je les briserai [et les éliminerai] du pays, et vraiment je les ferai se coucher en sécurité »

Le reste juif qui est retourné dans son pays a vécu en sécurité, sans avoir à craindre les animaux. Cette prophétie a connu aussi un accomplissement en 1919 de notre ère, quand les membres du reste de l’Israël spirituel ont été libérés de “ Babylone la Grande ”, l’empire mondial de la fausse religion. Ils résident depuis en sécurité et vivent dans un paradis spirituel aux côtés de leurs compagnons qui espèrent vivre éternellement sur la terre. Il n’existe pas de traits de caractère bestiaux parmi ces vrais chrétiens - w05 15/11 20 § 16

Toutes les vies qui peuplent notre planète goûteront à une nouvelle sorte d’harmonie, car Dieu enseignera à ses fidèles sujets humains comment s’occuper correctement de leur demeure terrestre. Il ‘ conclura même une alliance ’, en quelque sorte, avec tous les prédateurs, de façon à ce qu’ils se soumettent aux humains et vivent en paix avec eux - g05 8/9 12 § 2

 

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

 

Emplois symboliques. D’un bout à l’autre des Écritures, Jéhovah se compare à un mari. Il se considérait comme marié à la nation d’Israël. Quand Israël se rebellait contre Jéhovah en s’adonnant à l’idolâtrie ou à quelque autre péché contre lui, cette rébellion était qualifiée de prostitution, comme celle à laquelle se livre une femme infidèle, et elle fournissait à Dieu un motif de divorce. Hoshéa 2 - Pour représenter en termes frappants les relations entre Jéhovah et Israël. Jéhovah était un “ propriétaire-époux ” et son peuple était uni à lui au même titre qu’une femme est unie à son mari. Hoshéa 1:2-9 ; 2:5-7 ; 3:1-5 – it2 p221

 

Les Israélites, qui vivaient dans la prospérité, auraient pu utiliser le temps qui leur était laissé pour revenir à Jéhovah en apprenant à mieux le connaître et en recherchant ce qu’il approuvait. Mais ils étaient trop sûrs d’eux ; ils étaient convaincus que ‘ le malheur ne s’approcherait pas ou n’arriverait pas jusqu’à eux ’. (Amos 9:10.) On peut dire qu’ils ont oublié Jéhovah, puisqu’“ ils se sont rassasiés et [que] leur cœur a commencé de s’élever ”. (Hoshéa 13:6.) Ne pensons pas que c’est de l’histoire ancienne qui ne nous concerne pas. Remarquez pourquoi Jéhovah était en procès contre les Israélites : “ Parce que toi, tu as rejeté la connaissance, je te rejetterai, moi aussi, afin que tu ne me serves plus en qualité de prêtre. ” Ils étaient voués à Dieu ; les membres de leur famille l’étaient aussi. Mais, individuellement, ils n’avaient pas la véritable “ connaissance de Dieu ”. — Hoshéa 4:1, 6 -  Si nous ne voulons pas que notre situation matérielle prenne le pas sur nos relations avec Dieu, nous devons être conscients au quotidien que ce danger nous guette Livre Le jour de Jéhovah (jd) p57-62

 

Comme le verbe yadhaʽ (connaître), le principal mot hébreu rendu par “ connaissance ” (daʽath) emporte l’idée fondamentale de connaître des faits ou d’avoir des renseignements, mais il signifie parfois plus que cela. En Hoshéa 4:1, 6 on lit qu’à une certaine époque il n’y avait aucune “ connaissance de Dieu ” en Israël. Cela ne veut pas dire que le peuple ignorait que Jéhovah était Dieu, qu’il avait libéré et conduit les Israélites dans le passé. Non, mais en assassinant, en volant et en commettant l’adultère, les Israélites montraient qu’ils rejetaient la vraie connaissance puisqu’ils ne s’y conformaient pas. — Ho 4:2. - it-1 p512

 

Pourquoi Jéhovah s’est opposé à des personnages éminents au temps d’Hoshéa : “ Les princes de Juda sont devenus comme des gens qui reculent une frontière. Sur eux je déverserai ma fureur comme de l’eau. ” (Hoshéa 5:10). Quelle malversation Hoshéa dénonçait-il ? Un cultivateur judéen vivait de ses terres, dont les frontières, les limites, étaient marquées par des pierres ou des poteaux. ‘ Reculer une frontière ’ consistait à réduire la parcelle d’un cultivateur et à le priver d’une partie de son gagne-pain ; cela revenait à le voler. Hoshéa a comparé les princes de Juda, qui auraient dû défendre la justice, à ceux qui reculaient les bornes des terrains. De nos jours, ceux qui effectuent des transactions immobilières peuvent être tentés de ‘ reculer des frontières ’ afin de tromper les acheteurs. Néanmoins, le même principe s’applique aux marchands, aux employeurs, aux employés et aux clients, à quiconque passe un contrat ou un accord. Comme vous le savez, certains hommes d’affaires hésitent à mettre les clauses par écrit en se disant qu’ainsi il sera plus facile par la suite d’en faire moins que ce qui était convenu ou d’imposer de nouvelles exigences. D’autres rédigent un contrat, mais ajoutent des détails en petits caractères afin d’en tordre le sens à leur avantage, quitte à léser injustement l’autre partie. Croyez-vous que quelqu’un qui agit de cette manière, qu’il soit commerçant ou client, employeur ou employé, connaisse vraiment le Dieu de justice ? Jéhovah a dit dans sa Parole : “ Ne recule pas la frontière [...] des orphelins de père. Car leur Rédempteur est fort ; il plaidera leur cause avec toi. ” Proverbes 23:10, 11 - Livre Le jour de Jéhovah (jd) p74-75

 

La prophétie d’Hoshéa nous en apprend beaucoup sur la repentance et la miséricorde. En Hoshéa 6:1-3, nous lisons : “ Venez et revenons à Jéhovah, car il a déchiré, mais il nous guérira. Il a frappé sans relâche, mais il nous pansera. Il nous rendra la vie après deux jours. Le troisième jour, il nous fera lever, et nous vivrons devant lui. Et nous voulons connaître, nous voulons poursuivre, afin de connaître Jéhovah. Comme l’aurore, sa sortie est solidement établie. Et il viendra à nous comme une pluie torrentielle, comme une pluie printanière qui abreuve la terre. ” Dans son ensemble, la population des dix tribus du royaume d’Israël a-t-elle manifesté un repentir sincère et est-elle revenue à Jéhovah ? La réponse est non. Jéhovah dit par l’intermédiaire d’Hoshéa : “ Que te ferai-je, ô Éphraïm ? Que te ferai-je, ô Juda, alors que votre bonté de cœur est comme les nuages du matin et comme la rosée qui s’en va de bonne heure ? ” (Hoshéa 6:4). Vraiment, quel triste constat de la condition spirituelle déplorable du peuple de Dieu ! La bonté de cœur, autrement dit l’amour fidèle, avait presque disparu, comme la brume du matin se dissipe rapidement avec le lever du soleil. Apparemment, les Israélites faisaient semblant de se repentir, mais Jéhovah ne trouvait pas de raison de leur faire miséricorde. Quel était le problème ? Le repentir des Israélites ne venait pas vraiment du cœur.

Hoshéa 7:14 évoque le mécontentement de Jéhovah envers son peuple : “ Ils ne m’ont pas appelé à l’aide avec leur cœur, alors qu’ils hurlaient sur leurs lits. ” Le verset 16 ajoute : “ Ils ont entrepris de revenir, non pas vers quelque chose de haut ”, c’est-à-dire “ non pas vers une forme de culte élevée ”. (Note.) Les Israélites ne souhaitaient pas revenir au culte élevé de Jéhovah en opérant les changements qui étaient nécessaires pour rétablir leurs liens avec lui. Manifestement, ils ne voulaient pas vraiment marcher avec Dieu. - Les Israélites pratiquaient toujours le péché — plus exactement, un large éventail de péchés — notamment l’extorsion, le meurtre, le vol, l’idolâtrie et la passation d’alliances insensées avec d’autres nations. Au vu d’une condition spirituelle si déplorable, méritaient-ils la miséricorde ? Certainement pas !

Que nous apprennent sur le repentir et la miséricorde les paroles d’Hoshéa ? Le mauvais exemple des Israélites infidèles nous enseigne que, pour bénéficier de la miséricorde de Jéhovah, il faut démontrer un repentir sincère. Comment se manifeste ce repentir ? Des larmes ou des mots ne trompent pas Jéhovah. Une repentance uniquement verbale est hypocrite et vaine. Le repentir sincère se manifeste par des actes. S’il veut qu’il lui soit fait miséricorde, le transgresseur doit cesser complètement de pécher et accorder sa vie avec les normes supérieures du culte élevé de Jéhovah. – TG2005 15/11 p22-26

 

Les sacrifices seuls ne plaisent pas à Dieu. Nous lisons en Hoshéa 6:6 : “ C’est à la bonté de cœur que [moi, Jéhovah,] j’ai pris plaisir, et non au sacrifice ; et à la connaissance de Dieu plutôt qu’aux holocaustes. ” Ainsi, Jéhovah prend plaisir à la bonté de cœur, autrement dit à l’amour fidèle, et aussi, est-il dit, à la connaissance le concernant. Mais peut-être ces questions vous viennent-elles à l’esprit : ‘ Pourquoi ce verset dit-il que Jéhovah ne prend pas plaisir au “ sacrifice ” ni aux “ holocaustes ” ? N’étaient-ils pas une exigence de la Loi mosaïque ? ’

Les sacrifices et les offrandes étaient requis sous la Loi, mais les contemporains d’Hoshéa avaient un grave problème. Manifestement, des Israélites faisaient scrupuleusement des offrandes pour afficher leur piété. Mais dans le même temps ils pratiquaient le péché. Leur comportement indiquait qu’il n’y avait pas d’amour fidèle dans leur cœur. C’était aussi le signe qu’ils avaient rejeté la connaissance de Dieu, car ils ne vivaient pas en accord avec elle. S’ils n’avaient pas la bonne condition de cœur ni le bon mode de vie, à quoi servaient leurs sacrifices ? Leurs sacrifices étaient une insulte à Jéhovah Dieu. Les paroles d’Hoshéa comportent un avertissement pour beaucoup de prétendus croyants aujourd’hui. Ils font des offrandes à Dieu sous forme de pratiques religieuses. Mais leur culte a peu d’influence réelle, sinon aucune, sur leur conduite au quotidien. Ces gens-là plaisent-ils vraiment à Dieu s’ils n’ont pas envie d’acquérir une connaissance exacte de lui ni d’appliquer cette connaissance en renonçant à leurs pratiques pécheresses ? Les vrais chrétiens savent que les sacrifices seuls ne plaisent pas à Dieu. Il est vrai que nous n’offrons pas de sacrifices d’animaux à Jéhovah. Cependant, nous lui offrons “ un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de lèvres qui font une déclaration publique pour son nom ”. (Hébreux 13:15) Toutefois, notre sacrifice de louange n’est agréé de Jéhovah que s’il s’accompagne de la bonne motivation de cœur et d’une conduite conforme à la volonté divine. - TG2005 15/11 p22-26

 

Au sujet des Israélites infidèles, Jéhovah dit : “ Eux, comme l’homme tiré du sol, ils ont violé l’alliance. C’est là qu’ils m’ont trahi. ” (Hoshéa 6:7). Le mot hébreu rendu par ‘ trahir ’ signifie aussi ‘ tromper, être infidèle à ’. De l’emploi de ce terme en Hoshéa 6:7, un ouvrage de référence dit que c’est une “ métaphore conjugale qui donne un caractère personnel à la relation. [...] Il s’agit d’une situation personnelle dans laquelle l’amour a été bafoué ”.

Au sens figuré, Jéhovah considérait Israël comme sa femme en raison de son alliance avec la nation. Par conséquent, son peuple a en quelque sorte commis l’adultère en violant les termes de cette alliance. Dieu était comme un mari fidèle, mais son peuple l’a abandonné ! En quoi sommes-nous concernés ? Dieu est sensible au fait que nous marchions avec lui ou non. N’oublions jamais que “ Dieu est amour ” et que nos actions le touchent (1 Jean 4:16). Si nous agissons mal, nous risquons de faire de la peine à Jéhovah et nous lui déplaisons certainement. Cette pensée peut être un puissant frein à l’envie de céder à la tentation. – TG2005 15/11 p22-26 §14-17

La discipline, en tenir compte ou s’en moquer : Les conséquences - L’histoire des Israélites montre bien à quel point la perte peut être grande. Ils ne tinrent pas compte de la discipline qui leur venait sous la forme de blâmes et de corrections exprimés par l’intermédiaire des prophètes. Ils ne prêtèrent pas davantage attention à la discipline que Jéhovah leur imposait en les privant de sa protection et de sa bénédiction. Finalement, ils subirent la sévère discipline annoncée : la défaite et l’exil. Hoshéa 7:12-16 . À l’inverse, le respect de la discipline, associé à une crainte salutaire de Jéhovah, rend sage, capable d’utiliser correctement sa connaissance, et permet ainsi d’éviter beaucoup de douleurs et de souffrances. Lorsque quelqu’un s’y conforme, la discipline accueillie avec reconnaissance peut contribuer à prolonger sa vie présente et a la promesse d’un avenir éternel. La discipline devrait donc être tenue en haute estime – it1 Discipline

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

 

Quel privilège vous avez de connaître le Dieu qui accomplit les prophéties ! Vous pouvez grâce à cela vous trouver dans la condition au sujet de laquelle le prophète Hoshéa a écrit : “ Je te fiancerai à moi avec fidélité ; et à coup sûr tu connaîtras Jéhovah. ” Il décrivait la sécurité et les conditions paradisiaques dans lesquelles vivrait le peuple de Dieu à son retour de l’exil à Babylone. De la même manière à notre époque, le peuple de Dieu connaît la prospérité et la sécurité spirituelles ; il vit pour ainsi dire dans un paradis (Hoshéa 2:18-20). Depuis que vous vous êtes voué à Dieu, que vous êtes devenu Témoin de Jéhovah, vous portez son nom et vous voulez continuer de le porter – jd chap5 p56 §1

 

Aussi la prophétie pleine de chaleur consignée en Hoshéa 3:5 est-elle encourageante: “Les fils d’Israël reviendront et chercheront Jéhovah, leur Dieu, et David, leur roi; et ils viendront en frémissant vers Jéhovah et vers sa bonté, dans la période finale des jours.” Cette prophétie a connu un premier accomplissement en 537 avant notre ère, lorsque les Juifs exilés à Babylone sont revenus en Terre promise. À l’époque moderne, son accomplissement a commencé en 1919, quand le reste de l’Israël spirituel est sorti de l’organisation de Satan et s’est mis à chercher de tout cœur Jéhovah et sa bonté. Ces chrétiens ont compris que “David, leur roi”, régnait en la personne de Jésus Christ dans les cieux depuis 1914. Sous sa direction céleste, ils ont entrepris avec enthousiasme d’annoncer cette bonne nouvelle aux nations. Ils ont ainsi commencé à s’acquitter de la mission dont il est question en Matthieu 24:14 – TG1991 15/8 p17 §16,17

 

La conscience doit être éclairée, sans quoi elle risque de tromper. Elle n’est pas un guide sûr si elle n’est pas formée en accord avec des normes justes, selon la vérité. Sa formation peut être influencée en mal par l’environnement, les coutumes, le culte et les habitudes de l’endroit. Elle risque de juger telle question bonne ou mauvaise en fonction de ces valeurs ou de ces critères inexacts. Les Juifs, gravement trompés, combattirent contre Dieu parce qu’ils n’avaient pas une connaissance suffisante de sa Parole. Hoshéa 4:1-3. Seule une conscience convenablement formée par la Parole de Dieu peut évaluer correctement les choses de la vie et les remettre complètement en ordre. Le chrétien doit avoir une norme stable et droite — la norme de Dieu. – it1 Conscience

Les Écritures nous avertissent : “ Vin et vin doux, voilà ce qui ôte les bons mobiles. ” (Hoshéa 4:11). Comment cela ? Quand nous sommes sous l’influence trompeuse de l’alcool, les pensées et les désirs que nous chassons habituellement peuvent nous sembler acceptables, voire attirants. Notre détermination à nous attacher à ce qui est droit risque de s’émousser. L’alcool peut saper nos barrières morales et nous mener à la catastrophe spirituelle – km 2012 Octobre

LO-ROUHAMA (qui signifie « Celle à qui l’on n’avait] pas fait miséricorde ») Fille enfantée par Gomer, la femme d’Hoshéa. Jéhovah dit au prophète de donner ce nom à l’enfant parce qu’Il ne ‘ recommencerait plus à faire miséricorde à la maison d’Israël ’. Dieu signifia ainsi qu’il rejetait Israël dans son ensemble (Ho 1:6-8). Précédemment, à la naissance de Yizréel, il avait été précisé que Gomer ‘ lui avait donné [à Hoshéa] un fils ’ ; mais à propos de Lo-Rouhama il est seulement dit que Gomer “ devint de nouveau enceinte et mit au monde une fille ”, sans qu’il soit fait mention directe d’Hoshéa. Ainsi, bien que le récit ne le stipule pas, certains supposent que cette fille fut le fruit de l’adultère de Gomer et n’était pas l’enfant d’Hoshéa (Ho 1:2, 3). En Hoshéa 2:1, 23, il est fait allusion à son nom symbolique - it2 LO-ROUHAMA

Hoshéa 7:4-7 compare les Israélites adultères au four d’un boulanger, apparemment à cause des mauvais désirs qui brûlaient au-dedans d’eux. Pour s’être mêlé aux nations en adoptant leurs voies et en cherchant à contracter des alliances avec elles, Éphraïm (Israël) ressemblait également à un gâteau rond cuit d’un seul côté - it1 Four

Il y avait un autre problème dans le repentir d’Israël. En effet, les Israélites pratiquaient toujours le péché — plus exactement, un large éventail de péchés —, notamment l’extorsion, le meurtre, le vol, l’idolâtrie et la passation d’alliances insensées avec d’autres nations. En Hoshéa 7:4, les Israélites sont comparés à “ un four ” de boulanger, sans doute à cause des désirs mauvais qui brûlaient en eux. Au vu d’une condition spirituelle si déplorable, méritaient-ils la miséricorde ? Certainement pas ! Hoshéa dit à ces rebelles que Jéhovah “ se souviendra de leur faute ” et qu’“ il s’occupera de leurs péchés ”. (Hoshéa 9:9.) Pas de miséricorde pour eux 

Que nous apprennent sur le repentir et la miséricorde les paroles d’Hoshéa ? Le mauvais exemple des Israélites infidèles nous enseigne que, pour bénéficier de la miséricorde de Jéhovah, il faut démontrer un repentir sincère. Comment se manifeste ce repentir ? Des larmes ou des mots ne trompent pas Jéhovah. Le repentir sincère se manifeste par des actes. S’il veut qu’il lui soit fait miséricorde, le transgresseur doit cesser complètement de pécher et accorder sa vie avec les normes supérieures du culte élevé de Jéhovah. -TG2005 15/11 p22 § 8,9

 

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