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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 JANVIER - MATTHIEU 8-9


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 8-9

Mt 8:8-10 : Qu’apprenons-nous de la conversation qu’a eue Jésus avec un officier ? (w02 15/8 13 § 16).

« En réponse l’officier dit : “ Monsieur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais donne seulement l’ordre et mon serviteur sera guéri. 9 Car moi aussi je suis un homme placé sous une autorité, j’ai sous moi des soldats, et je dis à l’un : ‘ Va ! ’ et il va, et à un autre : ‘ Viens ! ’ et il vient, et à mon esclave : ‘ Fais ceci ! ’ et il le fait. ” 10 En entendant cela, Jésus fut stupéfait et dit à ceux qui le suivaient : “ Je vous dis la vérité : Chez personne en Israël je n’ai trouvé une si grande foi »

16 Pareillement, un jour où un officier (peut-être un Gentil, un Romain) lui a demandé de guérir un esclave, Jésus savait que ce soldat avait des défauts. Un officier, à l’époque, traînait probablement un passé entaché d’actes de violence, de meurtre, de faux culte. Mais Jésus s’est attaché à ce qui était bon chez cet homme : sa foi remarquable (Matthieu 8:5-13). Plus tard, quand il a parlé au malfaiteur attaché au poteau de supplice à côté de lui, Jésus ne lui a pas reproché son passé, mais l’a encouragé en lui donnant une espérance pour l’avenir (Luc 23:43). Jésus savait parfaitement qu’en considérant les autres de façon négative et critique on ne fait que les décourager. En s’évertuant à trouver ce qu’il y avait de bon chez les autres, il en a sans aucun doute encouragé beaucoup à progresser. – TG2002 15/8

La grande foi de l’officier qui sollicita Jésus en faveur de son serviteur reposait sur des faits, et sur ce fondement il avait déduit que Jésus n’avait qu’à ‘ donner l’ordre ’ pour que son serviteur soit guéri (Mt 8:5-10, 13). Toutefois, il convient de noter que Jésus guérissait tous ceux qui venaient à lui, sans exiger une foi grande ou petite selon leur maladie, sans manquer d’en guérir quelques-uns en prétextant ne pas pouvoir le faire parce que leur foi n’était pas assez forte. Jésus opéra ces guérisons pour servir de témoignage, pour donner un fondement à la foi. Dans sa propre région, où sévissait un grand manque de foi, il décida de ne pas faire beaucoup d’œuvres de puissance, non qu’il en eût été incapable, mais parce que les gens ne voulaient pas l’écouter et étaient indignes – it1 Foi

L’officier est convaincu que Jésus peut guérir son esclave paralysé. Cependant, soit qu’il se juge indigne, soit à cause de son origine gentile, au lieu d’inviter Jésus dans sa demeure, il envoie quelques anciens des Juifs lui dire : “ Monsieur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais donne seulement l’ordre et mon serviteur sera guéri. ” Devant une telle confiance en sa capacité de guérir à distance, Jésus affirme à la foule qui le suit : “ Je vous dis la vérité : Chez personne en Israël je n’ai trouvé une si grande foi. ” — Matthieu 8:5-10  Cet épisode met en lumière un aspect essentiel de la foi : avoir la foi, la vraie, ce n’est pas croire passivement, mais c’est aussi agir. “ La foi, si elle n’a pas d’œuvres, est morte en elle-même ”, a précisé Jacques, rédacteur de la Bible (Jacques 2:17). – TG2005 15/4

Mt 9:16, 17 : Que voulait faire comprendre Jésus avec ces deux illustrations ? ( jy 70 § 6).

« Personne ne coud un morceau d’étoffe non rétrécie à un vieux vêtement de dessus ; car toute la force du [morceau] tirerait sur le vêtement de dessus et la déchirure deviendrait pire. 17 On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres ; mais si on le fait, alors les outres éclatent, et le vin se répand et les outres sont perdues. Mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et l’un et l’autre se conservent. ”

Jésus aide les disciples de Jean à comprendre que personne ne devrait s’attendre à ce que ses disciples se conforment aux vieilles pratiques du judaïsme, telles que le jeûne. Il n’est pas venu raccommoder ou prolonger une forme de culte dépassée, près d’être abandonnée. Le culte que Jésus encourage ne se base pas sur le judaïsme de l’époque, avec ses traditions humaines. En fait, il n’essaie pas de coudre un morceau de tissu neuf sur un vieux vêtement, ni de mettre du vin nouveau dans de vieilles outres durcies. -  jy 70

Jésus expliqua pourquoi ses disciples ne se conformaient pas à toutes les vieilles coutumes et pratiques des Pharisiens. Il expliquait que la vérité du christianisme était trop puissante et trop active pour s’insérer dans le vieux système religieux du judaïsme qui manquait de vitalité et de souplesse et qui allait bientôt disparaître. It2 p467

Les disciples n’avaient pas lieu de jeûner tant qu’il était en vie. Mais, comme il l’annonça, ils jeûnèrent et menèrent deuil à sa mort, parce qu’ils ignoraient pourquoi elle avait été permise. En revanche, après avoir reçu l’esprit saint à la Pentecôte, ils furent éclairés et cessèrent de jeûner en signe de tristesse. – TG1989 15/7 p25

Jésus ajouta que nul ne rapièce un vieux vêtement avec du tissu non rétréci, car en tirant il le déchirerait davantage. Il fit aussi remarquer qu’on ne met pas du vin nouveau dans de vieilles outres. Une outre était faite d’une peau d’animal tannée, entièrement cousue, à l’exception de l’extrémité d’une patte. En fermentant, le vin nouveau produit du gaz carbonique, qui exerce une pression suffisante pour faire éclater les outres vieilles et desséchées. Pareillement, la vérité enseignée par le Christ était trop puissante pour le judaïsme, vieilli et inflexible. Par ailleurs, Jésus n’essayait pas de rapiécer ou de faire durer un système religieux usé, avec ses jeûnes traditionnels et autres rites. Dieu l’utilisa plutôt pour instituer un nouveau système de culte. Sans conteste, nous ne devons donc apporter aucun soutien aux mouvements œcuméniques ni perpétuer la fausse religion. - TG1989 15/7 p25

La fermentation du vin nouveau en particulier produisant du gaz carbonique qui exerce une pression sur l’outre, c’est fort à propos que Jésus Christ déclara : “ On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres mais si on le fait, alors les outres éclatent, et le vin se répand et les outres sont perdues. Mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et l’un et l’autre se conservent. ”. Jésus donna cet exemple lorsqu’il expliqua pourquoi ses disciples ne se conformaient pas à toutes les vieilles coutumes et pratiques des Pharisiens. Jésus entendait sans doute par là que la vérité du christianisme était trop puissante et trop active pour s’insérer dans le vieux système religieux du judaïsme qui manquait de vitalité et de souplesse et qui allait bientôt disparaître. – it2 Outres

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Pourquoi Jésus ne s’est pas dépêché - Jésus a appris que son cher ami Lazare est très malade. C’est un messager envoyé par Marie et Marthe, les sœurs de Lazare, qui lui a annoncé la nouvelle. — Matthieu 8:5-13. Quand le messager arrive auprès de Jésus et lui apprend la triste nouvelle, Jésus ne fait rien. Jésus sait que Lazare est mort de sa maladie. Jésus savait que, s’il attendait, il rendrait un plus grand témoignage à son Père, Jéhovah. Et comme il a choisi le meilleur moment, beaucoup se sont mis à croire en Dieu. Nous aussi, nous pouvons choisir le bon moment pour rendre témoignage au sujet des choses extraordinaires que Dieu a faites et fera encore. – TG2010 1/8 p14-15

En nous opposant à Satan, nous prenons position contre lui, mais aussi à tous ceux qui le soutiennent et rejettent la domination de Jéhovah. Parmi eux, il y a un grand groupe d’autres anges rebelles : les démons. Ils ont souvent montré qu’ils sont bien plus forts que les humains, et ils les ont fait beaucoup souffrir. Matthieu 8 :28-32. N’oublions jamais à quel point les démons et leur chef sont puissants. Matthieu 9 :34. Sans l’aide de Jéhovah, nous ne pourrions jamais gagner notre combat contre Satan. – TG2015 15/5 § 7

Les disciples sont terrifiés. La tempête les a surpris en pleine traversée. Les colères de la mer de Galilée n’ont pourtant rien pour les surprendre — plusieurs d’entre eux ne sont-ils pas pêcheurs de métier ? Mais, en l’occurrence, c’est “ une grande, une violente tempête de vent ”, et les flots sont déchaînés. On manœuvre fébrilement pour tenter de garder le cap, mais rien n’y fait. Les vagues déferlantes ‘ se jettent dans le bateau ’, qui commence à se remplir. À la poupe, malgré le vacarme, Jésus dort à poings fermés. Il se repose d’une journée harassante passée à enseigner les foules. Craignant pour leur vie, les disciples le réveillent : “ Seigneur, sauve-nous, nous sommes sur le point de périr ! ” — Marc 4:35-38 ; Matthieu 8:23-25.

Jésus n’est pas effrayé. Sûr de lui, il réprimande le vent et la mer : “ Silence ! Tais-toi ! ” Les éléments lui obéissent instantanément : la tempête tombe, les vagues s’apaisent, et ‘ un grand calme se fait ’. Une peur extraordinaire saisit alors les disciples. “ Qui donc est-il, celui-là ? ” se murmurent-ils l’un à l’autre. Oui, qui est cet homme capable de réprimander le vent et la mer comme on corrige un enfant turbulent ? — Marc 4:39-41 ; Matthieu 8:26, 27.

Jésus n’était pas un homme comme les autres. Pour lui et par son intermédiaire, Jéhovah s’est livré à de prodigieux actes de puissance. “ Christ la puissance de Dieu ”, écrira à juste titre l’apôtre Paul (1 Corinthiens 1:24). – cl chap9 §1-3

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Matthieu 8:3 « Alors, tendant la main, il le toucha, en disant : “ Je le veux. Deviens pur. ” Et aussitôt il fut purifié de sa lèpre ».

Jésus le toucha : La Loi mosaïque exigeait que les lépreux soient mis en quarantaine pour prévenir la contagion. Cependant,

les chefs religieux juifs imposaient d’autres règles. Par exemple, personne ne devait s’approcher à moins de quatre coudées (environ 1,80 mètre) d’un lépreux lépreux. Et en cas de vent, on ne devait pas s’en approcher à moins de 100 coudées (environ 45 mètres). À cause de telles règles, les lépreux étaient traités de façon cruelle. La tradition parle même en bien d’un rabbin qui se cachait des lépreux, et d’un autre qui leur jetait des pierres pour les tenir à distance. En revanche, Jésus était tellement ému par la situation tragique du lépreux qu’il a fait ce qui, pour les autres Juifs, était impensable : il a touché cet homme. Il a agi ainsi alors qu’il aurait pu le guérir par une simple parole (Mt 8:5-12). - nwtsty note d’étude

Je le veux : Jésus a non seulement pris bonne note de la requête, mais il a aussi exprimé le vif désir d’y répondre, montrant par là qu’il était animé par plus qu’un simple sens du devoir. - nwtsty note d’étude

Bien que très occupé, Jésus ne fut jamais insensible aux sentiments, aux besoins et à la condition des individus. Nous avons de nombreux exemples émouvants de l’intérêt que Jésus portait aux autres. Cette qualité nous pousse à l’aimer davantage en même temps qu’elle nous réconforte et nous affermit. L’attitude de Jésus à l’égard des personnes qui, aujourd’hui encore, ont besoin d’aide, ne saurait mieux s’exprimer que par cette réponse qu’il fit au lépreux: “Je le veux.” – TG1981 1/10

Cet homme prouve qu’il a une grande foi en Jésus. Et pourtant, à cause de sa maladie, il doit vraiment faire pitié. Comment Jésus va-t-il réagir? Quelle aurait été votre attitude? Ému de pitié, Jésus tend la main et touche cet homme, en disant: “Je le veux. Sois rendu pur.” Immédiatement, la lèpre disparaît de dessus lui.

Aimeriez-vous avoir pour roi quelqu’un d’aussi compatissant? L’attitude de Jésus envers ce lépreux nous permet d’avoir confiance qu’il réalisera cette prophétie biblique pendant son règne: “Il s’apitoiera sur le petit et le pauvre.” Oui, Jésus accomplira alors ce qui lui tient à cœur: aider tous les affligés – TG1986 15/4 p8-9

En chemin, un scribe dit à Jésus : « Enseignant, je te suivrai partout où tu iras. » « Les renards ont des tanières et les oiseaux ont des nids, lui répond Jésus, mais le Fils de l’homme n’a pas d’endroit où poser la tête » (Matthieu 8:19, 20). Il explique ainsi au scribe que s’il veut être son disciple, des difficultés l’attendent. Apparemment, le scribe est trop fier pour accepter ce mode de vie. Chacun de nous peut donc se demander : « Jusqu’où suis-je prêt à aller pour suivre Jésus ? » -jy chap65

Sur la terre, son ministère a été marqué par l’abnégation. Avec un désintéressement total, Jésus s’absorbait tellement dans son service qu’il en sacrifiait les commodités normales. “ Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des abris, a-t-il dit un jour, mais le Fils de l’homme n’a pas où poser la tête. ” (Matthieu 8:20). Excellent charpentier, il aurait pu se réserver un peu de temps pour se bâtir une maison confortable ou pour fabriquer de beaux meubles dont la vente lui aurait rapporté de l’argent. Mais il n’a pas employé ses dons à l’acquisition de biens matériels. – cl p291 § 6

Jésus était un homme d’une profonde empathie. Il comprenait et partageait les sentiments de ceux qui souffraient. Même s’il n’était pas dans leur situation, il ressentait véritablement leur peine. Une autre fois, un lépreux l’a imploré en ces termes : “ Si tu le veux, tu peux me rendre pur. ” Comment lui, un homme parfait qui n’avait jamais été malade, a-t-il réagi ? Il a compris ce que cet homme ressentait. La Bible dit qu’“ il fut pris de pitié ”. (Marc 1:40-42.) Ce qu’il a fait alors est proprement extraordinaire. Il n’ignorait pas que, selon la Loi, les lépreux étaient impurs, ce qui leur interdisait de se mêler à la population (Lévitique 13:45, 46). De plus, il était parfaitement capable de guérir cet homme à distance (Matthieu 8:5-13). Pourtant, il a choisi de tendre la main et de le toucher, en disant : “ Je le veux. Deviens pur. ” La lèpre a disparu instantanément. Quel magnifique exemple d’empathie. Nous qui sommes chrétiens, nous avons le devoir d’imiter l’empathie de Jésus. Il n’est pas toujours facile de partager les sentiments de celui qui souffre d’une maladie chronique ou d’une dépression, surtout quand on n’est jamais passé par là. Mais rappelons qu’il n’est pas nécessaire de vivre la même situation que quelqu’un pour lui manifester de l’empathie. Jésus comprenait les malades sans avoir lui-même été malade. Comment cultiver cette qualité ? En écoutant patiemment celui qui souffre lorsqu’il nous ouvre son cœur et nous dit ce qu’il ressent. cf chap15 § 5-7

Le Fils de l’homme - Jésus a utilisé cette expression plus que n’importe quelle autre pour se désigner (Matthieu 8:20). Il a ainsi indiqué qu’il n’était ni un ange matérialisé ni une incarnation. Il était un humain au plein sens du terme. Par son esprit saint, Dieu a transféré la vie de son Fils depuis le ciel vers la terre, provoquant la conception dans la matrice de la vierge Marie. En conséquence, Jésus est né humain parfait, sans péché – TG2010  1/ 4

 Jésus donnait la priorité au ministère. Il ne s’est pas ménagé, parcourant en Palestine des centaines de kilomètres à pied pour prêcher à autant de personnes que possible. Il a gardé une vie simple afin de consacrer plus de temps et d’attention au ministère (Mat. 8:20 « Mais Jésus lui dit : “ Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des abris, mais le Fils de l’homme n’a pas où poser la tête »). Pourquoi Jésus accordait-il tant d’importance au ministère ? Sa préoccupation principale était la sanctification du nom de Jéhovah. Ce qui l’incitait à faire la volonté de son Père céleste et à obéir à tous ses commandements, c’était l’amour qu’il avait pour lui. De plus, il se souciait sincèrement des gens et voulait les aider. Il est difficile de conserver la même priorité que Jésus, parce que le monde accapare notre temps et nous propose de nombreuses distractions. Par conséquent, nous devons vérifier les choses les plus importantes en prévoyant du temps pour nous préparer en vue du ministère et y participer. Nous nous efforcerons aussi de garder une vie simple et de ne pas user pleinement du monde. – km2010 Juillet

Les Pharisiens se concentraient sur ce que le pécheur avait fait plutôt que sur le genre de personne qu’il était. Quand des Pharisiens ont vu Jésus prendre un repas chez Matthieu, ils ont demandé à ses disciples : « Pourquoi votre enseignant mange-t-il avec des collecteurs d’impôts et des pécheurs ? » Jésus a répondu : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais ceux qui vont mal. Allez donc apprendre ce que signifie : “Je veux la miséricorde et non le sacrifice.” Car je suis venu appeler, non pas des justes, mais des pécheurs » (Mat. 9:9-13). Jésus était-il en train d’excuser des péchés graves ? Pas du tout ! D’ailleurs, l’encouragement à se repentir était un aspect important de sa prédication (Mat. 4:17). Quoi qu’il en soit, Jésus avait remarqué qu’au moins quelques-uns de ces collecteurs d’impôts et de ces pécheurs voulaient changer. Ces personnes n’étaient pas venues chez Matthieu seulement pour manger. Elles étaient là parce qu’elles suivaient Jésus (Marc 2:15). Malheureusement, la plupart des Pharisiens ne voyaient pas en ces personnes ce que Jésus voyait. Ils les considéraient comme des pécheurs qui ne changeraient jamais. Comme ils étaient différents du Dieu juste et miséricordieux qu’ils prétendaient adorer  - TG2017 Novembre p13 § 15

Matthieu 9:10 «Plus tard, tandis qu’il était étendu à table dans la maison, voici que beaucoup de collecteurs d’impôts et de pécheurs vinrent et ils s’étendaient à table avec Jésus et ses disciples »

Prenait un repas : Ou « était étendu à table ». S’étendre à table avec quelqu’un était le signe d’une relation étroite avec cette personne. Ainsi, normalement, les Juifs du temps de Jésus ne s’étendaient jamais à table, ou ne prenaient jamais un repas, avec des non-Juifs. - nwtsty note d’étude

Collecteurs d’impôts : Beaucoup de Juifs percevaient les impôts pour les autorités romaines. Le peuple haïssait ces Juifs parce qu’ils collaboraient avec une puissance étrangère méprisée, mais aussi parce qu’ils soutiraient plus que le taux officiel de l’impôt. Les Juifs évitaient généralement les collecteurs d’impôts car ils les mettaient au même niveau que les pécheurs et les prostituées (Mt 11:19 ; 21:32). - nwtsty note d’étude

En Palestine, il y avait donc de nombreux collecteurs d’impôts juifs. Ils étaient méprisés par leurs compatriotes, car ils exigeaient souvent plus que le taux imposé. En général, les autres Juifs évitaient toute fréquentation volontaire des collecteurs d’impôts, qu’ils rangeaient parmi les pécheurs notoires, au même titre que les prostituées. Si les collecteurs d’impôts étaient détestés, c’est aussi parce qu’ils servaient une puissance étrangère, Rome, et avaient des contacts étroits avec des Gentils “ impurs ”. Par conséquent, traiter comme un “ collecteur d’impôts ” un “ frère ” qui agissait en transgresseur impénitent signifiait ne pas le fréquenter volontairement. Jésus ne ferma pas les yeux sur la corruption qui régnait parmi les collecteurs d’impôts. Bien que cela lui ait valu d’être critiqué, il se montra prêt à aider spirituellement ceux d’entre eux qui désiraient l’entendre. Dans un de ses exemples, Jésus expliqua que le collecteur d’impôts qui reconnaissait humblement être pécheur et se repentait était plus juste que le Pharisien qui pensait orgueilleusement être juste (Lc 18:9-14). Des collecteurs d’impôts humbles et repentants (tels que Matthieu et Zachée) se virent offrir la possibilité de devenir membres du Royaume des cieux – it1 collecteur d’impôts

Matthieu 9:36 « En voyant les foules, il en eut pitié, parce qu’elles étaient dépouillées et éparpillées comme des brebis sans berger ».

Eut pitié : Le verbe grec splagkhnizomaï employé pour cette expression dérive d’un mot qui signifie « intestins » (splagkhna) et dénote un sentiment ressenti au plus profond de soi, une vive émotion. C’est un des mots grecs les plus puissants pour exprimer la compassion. - nwtsty note d’étude

À propos du terme grec traduit ici par “ eut pitié ”, un bibliste explique qu’il emporte l’idée d’“ un sentiment qui saisit l’homme au plus profond de son être ”. D’ailleurs, pour certains, il s’agit d’un des mots grecs les plus puissants pour exprimer un sentiment de compassion. ”- TG2007 15/12 p6

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