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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 JANVIER 2018 - MATTHIEU 10-11


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 10-11

Mt 11:2, 3 : Pourquoi Jean le Baptiste a-t-il posé cette question ? (jy 96 § 2-3).

« Mais Jean, ayant entendu parler en prison des œuvres du Christ, envoya par le moyen de ses disciples 3 et lui dit : “ Es-tu Celui qui vient, ou devons-nous en attendre un autre ? ”

Cette question vous semble-t-elle étrange ? Jean est un homme fidèle ; après avoir baptisé Jésus presque deux ans auparavant, il a vu l’esprit de Dieu descendre sur lui. À ce moment-là, il a même entendu la voix de Dieu exprimer à Jésus son approbation. Nous n’avons aucune raison de penser que la foi de Jean s’est affaiblie. Sinon, Jésus n’en parlerait pas en termes si positifs, comme il va le faire en cette occasion. Mais si Jean n’a pas de doutes, pourquoi pose-t-il cette question ? jy

Jean veut peut-être tout simplement que Jésus confirme en personne qu’il est le Messie ; cela l’aiderait à endurer sa pénible situation en prison. Mais sa question a apparemment aussi un autre sens. Il connaît les prophéties des Écritures annonçant que l’Oint de Dieu serait un roi et un libérateur. Mais Jésus est baptisé depuis de nombreux mois maintenant, et Jean est encore en prison. Il demande donc si quelqu’un d’autre doit venir, un successeur de Jésus, qui achèvera de réaliser tout ce que le Messie est censé accomplir. - jy

Plutôt que de simplement dire aux disciples de Jean : « Bien sûr, je suis celui qui devait venir », Jésus donne des preuves qu’il a le soutien de Dieu en guérissant de nombreuses personnes atteintes de diverses maladies

Le fait que Jésus opérait non seulement des guérisons mais aussi d’autres œuvres miraculeuses rapportées dans les Évangiles prouvait qu’il était “ Celui qui vient ”, le Messie promis. Il n’était pas nécessaire d’en “ attendre un autre ”.

Apparemment, Jean le baptiseur et ses disciples s’attendaient eux aussi à ce que le Messie soit un roi terrestre. Jean savait que Jésus était le Messie et le Fils de Dieu, puisqu’il avait assisté à son onction d’esprit saint et qu’il avait entendu la voix de Dieu l’agréer. Jean ne manquait pas de foi (Mt 11:11). C’est pourquoi sa question : “ Devons-nous en attendre encore un autre ? ” voulait peut-être dire : ‘ Devons-nous en attendre encore un autre qui réalisera tous les espoirs des Juifs ? ’ En réponse, Christ fit valoir les œuvres qu’il accomplissait (ces choses ayant été prédites dans les Écritures hébraïques), puis conclut en disant : “ Et heureux celui qui n’a pas trébuché à mon sujet. ” Cette réponse, tout en laissant entendre qu’il faudrait de la foi et du discernement, donna satisfaction à Jean et le réconforta, puisqu’elle l’assurait que Jésus était Celui qui accomplirait les promesses de Dieu. Également, avant son ascension, les disciples de Jésus pensaient que c’était à leur époque qu’il délivrerait Israël de la domination des Gentils et qu’il établirait le Royaume (rétablirait le règne de la lignée davidique) sur la terre - it-2 p273

Mt 11:16-19 : Comment devons-nous comprendre ces versets ? (jy 98 § 1-2).

“ À qui comparerai-je cette génération ? Elle est semblable à des petits enfants assis sur les places de marché, qui interpellent leurs camarades de jeux, 17 en disant : ‘ Nous vous avons joué de la flûte, mais vous n’avez pas dansé ; nous nous sommes lamentés, mais vous ne vous êtes pas frappé la poitrine de chagrin. ’ 18 Pareillement, Jean est venu ne mangeant ni ne buvant, pourtant on dit : ‘ Il a un démon ’ ; 19 le Fils de l’homme est venu mangeant et buvant, cependant on dit : ‘ Voyez ! Un homme glouton et buveur de vin, un ami des collecteurs d’impôts et des pécheurs. ’ Cependant, la sagesse se révèle juste par ses œuvres. ”

Jésus a beaucoup d’estime pour Jean le Baptiste, mais comment la plupart des gens le considèrent-ils ? Jésus compare « cette génération », c’est-à-dire les gens vivant à son époque, « à des enfants assis sur une place de marché, qui crient à leurs camarades de jeux : “Nous vous avons joué de la flûte, mais vous n’avez pas dansé. Nous nous sommes lamentés, mais vous ne vous êtes pas frappé la poitrine de chagrin” » (Matthieu 11:16, 17). En Palestine, des enfants jouaient parfois sur les places de marché - jy

Que veut dire Jésus ? Il explique : « Jean est venu ; et comme il ne mange pas et ne boit pas, les gens disent : “Il a un démon.” Le Fils de l’homme est venu ; lui, mange et boit, mais les gens disent : “Regardez ! C’est un glouton et un ivrogne, un ami des collecteurs d’impôts et des pécheurs” » (Matthieu 11:18, 19). Jean mène la vie simple d’un naziréen, s’abstenant même de boire du vin, et pourtant cette génération prétend qu’il est démonisé (Nombres 6:2, 3 ; Luc 1:15). Jésus, lui, vit comme les autres : il mange et boit modérément, mais on l’accuse de faire des excès. Il semble donc impossible de satisfaire cette génération. - jy

Jésus les compare à de jeunes enfants sur les places de marché qui refusent de danser quand d’autres jouent de la flûte, ou qui n’ont pas de chagrin quand d’autres se lamentent. « Cependant, ajoute-t-il, la sagesse se reconnaît à ses œuvres » (Matthieu 11:16, 19). Jean et Jésus montrent en effet par leurs « œuvres » que les accusations portées contre eux sont fausses

Il ressort des paroles de Jésus qu’on discerne si quelqu’un possède la vraie sagesse (un signe indéniable de maturité) aux œuvres qu’il accomplit et aux résultats qu’il obtient

Une des accusations calomnieuses que ses adversaires portèrent contre Jésus Christ pour le discréditer était la suivante : “ Voyez ! Un homme glouton et buveur de vin. ” Jésus réfuta simplement cette fausse accusation par ces mots : “ La sagesse se révèle juste par ses œuvres ” ou : “ par tous ses enfants. ” (Mt 11:19 ; Lc 7:34, 35). En d’autres termes, Jésus disait : ‘ Regardez mes œuvres et ma conduite justes, et vous saurez que l’accusation est fausse - it-1 p995

Jésus a continué d’accomplir la volonté de son Père avec zèle, convaincu que ceux qui cherchaient la vérité reconnaîtraient la valeur de la bonne nouvelle. Nous ne nous laisserons pas décourager si nous nous rappelons que le Fils de Dieu lui-même a été mal reçu – km2010 Juillet

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Pour que nous restions en vie d’un point de vue spirituel, l’aide de l’esprit de Dieu est absolument nécessaire. Ne pas réclamer cette aide à Dieu pourrait être fatal. Voilà pourquoi nous demandons à Dieu de l’esprit saint avec une persistance audacieuse. C’est uniquement ainsi que nous conserverons la force d’‘ endurer jusqu’à la fin ’. Matthieu 10:22  N’oubliez pas une chose : plus nous serons conscients d’avoir besoin de l’aide de Dieu, plus nos prières pour demander de l’esprit saint seront persistantes. TG2006 15/12 p20§9,10

La Bible enseigne expressément que Dieu attache de la valeur à chacun de ses serviteurs. Jésus a dit : “ Ne vend-on pas deux moineaux pour une pièce de monnaie de peu de valeur ? Pourtant, pas un d’entre eux ne tombera à terre à l’insu de votre Père. Mais les cheveux mêmes de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc pas peur : vous valez plus que beaucoup de moineaux. ” (Matthieu 10:29-31). Que signifiaient ces paroles pour les contemporains de Jésus ?

Peut-être vous demandez-vous qui aurait l’idée d’acheter un moineau. En fait, à l’époque le moineau était l’oiseau comestible le moins cher. Notez qu’avec une pièce de peu de valeur on en achetait deux. Plus tard, Jésus fera même remarquer qu’avec deux pièces de monnaie on en obtenait, non pas quatre, mais cinq. Le cinquième était offert, comme s’il n’avait aucune valeur. Peut-être ces oiseaux n’avaient-ils aucune valeur pour les hommes. Mais pour le Créateur ? “ Pas un d’entre eux [pas même le moineau supplémentaire] n’est oublié devant Dieu ”, a précisé Jésus (Luc 12:6, 7). Saisissez-vous maintenant ce qu’il voulait dire ? Si Jéhovah accorde une telle valeur à un seul moineau, quel prix doit avoir un humain ! Comme Jésus l’a expliqué, Jéhovah connaît absolument tout de nous. Il compte même nos cheveux ! - cl 241-242 § 4,5

Ce n’est pas seulement face à l’opposition ou à la persécution que nous ne devons pas avoir peur, mais également s’il nous arrive de douter que Jéhovah nous aime. Il nous faut acquérir la conviction que la rançon payée par Christ s’applique à nous personnellement (Galates 2:20). Nous parviendrons alors à nous approcher de Jéhovah sans peur. Si nous nous sentons indignes de son amour, rappelons-nous ce que Jésus a dit à ses disciples : “ Ne vend-on pas deux moineaux pour une pièce de monnaie de peu de valeur ? Pourtant, pas un d’entre eux ne tombera à terre à l’insu de votre Père. Mais les cheveux mêmes de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc pas peur : vous valez plus que beaucoup de moineaux. ” — Matthieu 10:29-31. – TG2006 1/5 p15

Moineaux : Le mot grec strouthion est un diminutif qui désigne n’importe quel petit oiseau mais qu’on employait souvent pour les moineaux, le moins cher des oiseaux vendus pour la consommation. - nwtsty notes d’étude

Moineau : Les moineaux étaient les moins chers des oiseaux vendus pour la consommation. On pouvait en acheter deux pour le salaire de 45 minutes de travail. Le terme grec peut désigner des petits oiseaux de toutes sortes, notamment une variété de moineau domestique (Passer domesticus biblicus) et le moineau espagnol (Passer hispaniolensis), des oiseaux toujours abondants en Israël.- nwtsty multimédia

Pour une pièce de monnaie de peu de valeur : Litt. « pour un assariôn », qui était, pour un homme, le salaire de 45 minutes de travail. À cette occasion, lors de sa troisième tournée en Galilée, Jésus dit que deux moineaux coûtent un assariôn. En une autre occasion, manifestement environ un an plus tard durant son ministère en Judée, Jésus dit qu’on pouvait avoir cinq moineaux pour deux fois ce prix (Lc 12:6). En comparant ces récits, nous apprenons que les moineaux étaient si insignifiants pour les vendeurs que le cinquième était donné gratuitement. - nwtsty notes d’étude

Même vos cheveux sont tous comptés : L’être humain a en moyenne plus de 100 000 cheveux sur la tête. Le fait que Jéhovah connaisse des détails aussi infimes donne la garantie qu’il s’intéresse vraiment à chaque disciple du Christ - nwtsty notes d’étude

Notre cher Père nous connaît parfaitement. Il peut même compter les cheveux de notre tête (Mat. 10:30). Et il nous assure qu’il sait ce que les « hommes intègres » traversent. De toute évidence, Jéhovah remarque nos difficultés, et il peut nous donner la force d’endurer chacune d’elles.  TG2018 janvier p4 §4

Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout (Mat. 10:37). Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. Voyons maintenant quelques situations d’opposition familiale, et voyons comment les surmonter. – TG2017 octobre p13 § 6

Voulez-vous connaître la vérité sur Dieu : qui il est, ce qu’il aime et quelle est sa volonté ? Dans sa Parole, la Bible, Jéhovah Dieu révèle l’entière vérité sur sa personne. Mais pour comprendre pleinement cette vérité, lire la Bible ne suffit pas. Pourquoi ? Parce que comprendre la vérité divine est un honneur : ce n’est pas accordé à tout le monde. Considérons ce que Jésus, le Fils de Dieu, a dit à ce sujet (Matthieu 11:25 « En ce temps-là, Jésus dit alors : “ Je te loue publiquement, Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intellectuels, et que tu les as révélées aux tout-petits »). Ce verset commence par : « En ce temps-là, Jésus dit alors. » Ce que Jésus est sur le point de dire a donc certainement un rapport direct avec ce qui s’est passé juste avant : Il a reproché aux habitants de trois villes de Galilée de ne pas s’être repentis alors qu’il avait accompli devant eux des œuvres de puissance (Matthieu 11:20-24). Sans doute vous demandez-vous : « Comment ont-ils pu voir les miracles de Jésus et ne pas accepter ni appliquer les vérités qu’il enseignait ? » L’indifférence de ces personnes était due à l’insensibilité de leur cœur, à leur entêtement  - TG2013 1/1 p9 §1,2

Jéhovah ‘ connaissait pleinement ’ son Fils parce qu’il le fréquentait intimement depuis des temps considérables (Mt 11:27) et il pouvait donc le charger d’accomplir les prophéties infaillibles de sa Parole. Ainsi, Dieu ne garantissait pas arbitrairement ou automatiquement le ‘ succès à coup sûr ’ pour son Fils simplement en lui attribuant le rôle du Messie annoncé comme le voudrait la doctrine de la prédestination. . En réalisant les prophéties et en révélant les desseins de Dieu, ainsi que par ce qu’il dit, ce qu’il fit et ce qu’il fut, il fournit le fondement inébranlable sur lequel doit reposer la foi véritable.– it2 Jésus Christ

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Quelle formation Jésus a-t-il donnée à ses apôtres ? Selon Matthieu chapitre 10, il leur a communiqué des instructions précises, telles que :

- l’endroit où prêcher (versets 5, 6),

- le message à transmettre (verset 7),

- la nécessité de faire confiance à Jéhovah (versets 9, 10),

- la manière d’aborder les gens (versets 11-13).

C’est grâce à ces instructions précises que les apôtres ont pu être le fer de lance de la prédication de la bonne nouvelle au Ier siècle. Qu’en est-il de nos jours ? Chef du Royaume de Dieu, Jésus a confié à ses disciples la plus lourde des missions, celle de prêcher. Nous a-t-il formés pour cela ? Absolument. Du ciel, il a veillé à ce que nous apprenions comment prêcher à l’extérieur de la congrégation et comment assumer des responsabilités particulières à l’intérieur. Voilà bien longtemps que l’organisation de Jéhovah se sert des assemblées et des réunions de la congrégation. Mais depuis les années 1940, le siège mondial fait en sorte que cette formation soit également dispensée au moyen de diverses écoles.- kr chap17 p182 §6,7

Les disciples devaient mettre leur confiance en Jéhovah. Jésus leur a dit en effet : “ Ne vous procurez ni or, ni argent, ni cuivre pour vos bourses de ceinture, ni sac à provisions pour le voyage, ni deux vêtements de dessous, ni sandales, ni bâton ; car l’ouvrier mérite sa nourriture. ” (Matthieu 10:9, 10). Les voyageurs avaient l’habitude de se munir d’une bourse de ceinture où mettre leur argent, d’un sac à provisions et d’une paire de sandales de rechange.

En donnant pour instruction de ne pas s’inquiéter de ce genre de choses, Jésus disait en quelque sorte : ‘ Faites entièrement confiance à Jéhovah ; il subviendra à vos besoins. ’ Jéhovah prendrait soin des prédicateurs en incitant les personnes réceptives à la Bonne nouvelle à leur témoigner l’hospitalité coutumière en Israël. – cf chap9 p87-97 §11

Si quelqu’un ne vous accueille pas ou n’écoute pas vos paroles, — quand vous sortirez de cette maison ou de cette ville, secouez la poussière de vos pieds.” — Matthieu 10:14. Jésus conseilla à ses disciples de ‘secouer la poussière de leurs pieds’ en quittant une maison ou une ville qui manifesterait un total désintérêt pour le Royaume de Jéhovah. Qu’entendait-il par là? En secouant la poussière de ses pieds, le disciple signifiait qu’il déclinait toute responsabilité quant aux conséquences que subirait quelqu’un qui ne s’était pas intéressé au message de Dieu. Autrement dit, les disciples de Jésus quittaient en paix cette maison ou cette ville, en les abandonnant aux conséquences que Dieu finirait par amener sur elles. Les proclamateurs devraient partir calmement et laisser à Jéhovah le soin de déterminer les conséquences du refus – TG1988 15/7

Un moyen de rester neutres est d’être « prudents comme des serpents et pourtant innocents comme des colombes » face à des situations difficiles (Matthieu 10:16, 17). Nous nous montrons prudents en anticipant les dangers et innocents en ne permettant pas qu’ils nous mènent à des compromissions – TG2016 Avril p29

Que voulait donc dire Jésus quand il a encouragé ses disciples à être “ prudents comme des serpents et pourtant innocents comme des colombes ” ?  Matthieu 10:16. Jésus était en train de donner des conseils en rapport avec la prédication et l’enseignement. Ses disciples devaient s’attendre à un accueil partagé : si quelques personnes allaient écouter avec intérêt, d’autres rejetteraient la bonne nouvelle. Certains persécuteraient même les vrais serviteurs de Dieu (Matthieu 10:17-23).

Quelle leçon les serviteurs de Dieu peuvent-ils tirer des paroles de Jésus consignées en Matthieu 10:16 ? Aujourd’hui, la réaction des gens à la bonne nouvelle n’est guère différente de celle du Ier siècle. Devant la persécution, le vrai chrétien doit allier la clairvoyance du serpent à la pureté de la colombe. Il ne recourt jamais à la tromperie ou à la malhonnêteté. Il annonce au contraire le message du Royaume sans se corrompre, avec franchise et en toute honnêteté. Il arrive, par exemple, que des collègues de travail, des camarades d’école ou même des membres de la famille fassent des remarques désobligeantes sur nos croyances de Témoins de Jéhovah. La première réaction consisterait à répondre du tac au tac et à dénigrer à notre tour les croyances des personnes en question. Mais est-ce se montrer innocent ? Difficilement. En revanche, si nous prouvons à nos détracteurs que leurs commentaires ne modifient en rien notre comportement agréable, il y a des chances que leur attitude change. Agir ainsi, c’est se montrer à la fois avisé et sans tache, ‘ prudent comme le serpent, mais innocent comme la colombe ’. – TG1996 15/7 p22-23

Jésus a dit à ses disciples : « Vous serez traînés devant des gouverneurs et des rois à cause de moi, en témoignage pour eux et pour les nations » (Mat. 10:18). C’est un privilège de représenter Jésus ainsi. Nos efforts pour défendre la bonne nouvelle peuvent aboutir à des victoires juridiques. Bien sûr, quelles que soient les décisions d’humains imparfaits, notre droit de prêcher la bonne nouvelle nous vient en définitive de Jéhovah. Et seul le Royaume de Dieu nous soulagera durablement de l’oppression et de l’injustice – TG2016 Septembre

Pendant 2 ans, Jésus a passé beaucoup de temps à enseigner ces 12 apôtres. Il les a enseignés par ses paroles et par ses actions. Il savait qu’ils avaient beaucoup de choses à apprendre. D’ailleurs, pendant cette période, on les appelait encore « disciples », c’est-à-dire élèves. (Matthieu 11:1). Jésus a donné à chacun de ces hommes des conseils et une formation complète pour la prédication. (Matthieu 10:1-42). On voit bien qu’il préparait ses apôtres pour une mission très importante après sa mort, une fois qu’il serait retourné au ciel. – TG2013 15/7 p15-19 §6

Jésus a dit: “Le frère livrera son frère à la mort.” Il ne parlait pas ici de frères spirituels, pas plus qu’il ne parlait de pères ou d’enfants spirituels juste après dans ce même verset 21: “Le père livrera son enfant, et les enfants se dresseront contre les parents et les feront mourir.” Jésus voulait dire que les apôtres pouvaient s’attendre à de l’hostilité ou à de l’opposition même de la part de membres de leur famille. — Matthieu 10:35, 36. Nous recherchons les personnes qui s’intéressent au message ou qui en sont dignes. Il nous faut être prudent. Les adversaires sont nombreux. Parfois, des membres de leur famille, des voisins ou des collègues de travail créent de graves ennuis aux personnes sincères, surtout à celles qui se mettent à suivre les voies du christianisme véritable – TG1991 15/5 p31

“ Celui qui me renie devant les hommes, a-t-il prévenu, je le renierai moi aussi devant mon Père qui est dans les cieux. ” (Matthieu 10:33). Jésus ne renie pas celui qui commet une erreur malgré son désir sincère d’être fidèle. À titre d’exemple, bien que l’apôtre Pierre l’ait renié trois fois, Jésus lui a pardonné parce qu’il s’était repenti. En revanche, Jésus renie bel et bien les individus ou les institutions qui se révèlent être des loups en vêtements de brebis, qui prétendent le suivre, mais rejettent sciemment et obstinément ses enseignements. À propos de ces faux enseignants, Jésus a dit : “ C’est à leurs fruits que vous reconnaîtrez ces hommes. Matthieu 7:15-20.-   TG2006 1/3 p6

Matthieu chapitre 10 contient les instructions que Jésus a données à ses 12 apôtres. Il ne s’est pas contenté de généralités, il a mentionné des points précis. Les apôtres l’ont écouté leur expliquer comment prêcher efficacement. Puis le groupe est parti prêcher. Ayant pu observer les méthodes de Jésus, ils sont vite devenus des enseignants habiles de la vérité biblique (Mat. 11:1). Pareillement, nous pouvons faire de nos étudiants de la Bible des proclamateurs efficaces de la bonne nouvelle. - TG16 août p27 § 7

10:34-38 — Est-ce le message des Écritures qui brise les familles ? Absolument pas. Les divisions sont plutôt causées par la prise de position des membres de la famille qui ne sont pas Témoins. Ces personnes peuvent choisir de s’opposer au christianisme ou de le rejeter, suscitant ainsi des divisions dans la famille. — Luc 12:51-53. - TG2008 15/1

11:2-6 — Si, pour avoir entendu Dieu approuver son Fils à haute voix, Jean savait que Jésus était le Messie, pourquoi a-t-il demandé à Jésus s’il était “ Celui qui vient  ? Jean a peut-être posé cette question pour que Jésus confirme personnellement son identité. Par ailleurs, Jean voulait savoir si “ un autre ” viendrait, investi du pouvoir royal, et satisferait tous les espoirs des Juifs. La réponse de Jésus indiquait qu’il n’aurait pas de successeur. - TG2008 15/1

Jésus affirme à la foule que Jean est plus qu’un prophète. Il explique : « Vraiment je vous le dis, de tous les hommes, personne n’a été plus grand que Jean le Baptiste. Mais un petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui » (Matthieu 11:11).

En disant qu’un petit dans le royaume des cieux est plus grand que Jean, Jésus montre que ce dernier n’en fera pas partie. Jean a préparé la voie pour Jésus, mais il est mort avant que Christ ouvre la voie menant au ciel. Cependant, Jean, qui est un fidèle prophète de Dieu, sera un sujet terrestre du Royaume. – jy chap38 p96

Matthieu 11:28 « Venez à moi, vous tous qui peinez et qui êtes chargés, et moi je vous réconforterai ».

Portez une lourde charge : Ceux que Jésus invite à le rejoindre étaient accablés par l’inquiétude et par le dur travail. Le culte qu’ils rendaient à Jéhovah était devenu pesant à cause de toutes les traditions humaines qui avaient été ajoutées à la Loi de Moïse (Mt 23:4). Même le sabbat, censé être une source de réconfort, était devenu pesant - nwtsty note d’étude

Je vous réconforterai : Le mot grec pour « réconforterai » désigne le repos et le soulagement que l’on ressent après un dur travail qui permettent de reprendre des forces. Le contexte montre que prendre le « joug » de Jésus (Mt 11:29), c’est être prêt à servir, et non se reposer. Le verbe grec à l’actif avec Jésus en sujet signifie que Jésus détend ceux qui sont fatigués et leur redonne de l’énergie afin qu’ils puissent porter son joug léger et facile à porter. - nwtsty note d’étude

“ Venez à moi, [...] et moi je vous réconforterai. ” (Mat. 11:28). Ces paroles pleines de charme reflètent le profond amour que Jésus éprouvait pour les gens. En tant que ministres chrétiens, nous désirons imiter Jésus en manifestant notre amour aux personnes lassées de vivre dans un monde cruel. Comment y parvenir lorsque nous prêchons la bonne nouvelle ? Par nos paroles,  par nos actions : L’intérêt que nous portons aux gens peut se traduire par un sourire sincère, chaleureux et une voix amicale, en les écoutant attentivement, en tenant compte de leurs inquiétudes  - km2007janvier

Matthieu 11:29 « Prenez sur vous mon joug et apprenez de moi, car je suis doux de caractère et humble de cœur, et vous trouverez du réconfort pour vos âmes ».

Prenez sur vous mon joug : Jésus a employé le mot « joug » au sens figuré pour parler de soumission à une autorité et à une direction donnée. S’il pensait à un joug double, celui que Dieu a placé sur Jésus, c’est qu’il invitait ses disciples à se mettre avec lui sous le même joug et qu’il les aiderait. Dans ce cas, l’expression peut être rendue par : « Placez-vous sous mon joug avec moi. » Si le joug est celui que Jésus lui-même place sur les autres, alors il est question de se soumettre, en tant que disciple de Christ, à son autorité et à sa direction - nwtsty note d’étude

Pour adresser l’une de ses plus tendres invitations, Jésus a cité un instrument produit par un charpentier. “ Prenez sur vous mon joug et apprenez de moi ”, a-t-il lancé. “ Mon joug est doux et ma charge est légère. ” (Matthieu 11:29, 30). À n’en pas douter, Jésus savait comment façonner un joug qui ne blessait pas, qui était “ doux ”, ou bien ajusté -  TG2010 1/8 p26

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 JANVIER 2018 - MATTHIEU 10-11.docx

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