Jump to content
The World News Media

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 AVRIL 2018 - MARC 1-2


misette

Recommended Posts

  • Member

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 AVRIL 2018 - MARC 1-2.docx

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 AVRIL 2018 - MARC 1-2.pdf

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 1-2

MARC 1:11 : Que signifient les paroles que Jéhovah a adressées à Jésus ? (nwtsty, notes d’étude).

« et une voix vint des cieux : “ Tu es mon Fils, le bien-aimé ; je t’ai agréé ». ”

Une voix venant du ciel dit : Le premier des trois épisodes où, dans les récits des Évangiles, Jéhovah a parlé directement à des humains (notes d’étude de Mc 9:7 ; Jean 12:28) - nwtsty, notes d’étude

Tu es mon Fils : En tant que créature spirituelle, Jésus était le Fils de Dieu (Jean 3:16). À partir de sa naissance en tant qu’humain, Jésus était un « fils de Dieu » tout comme l’homme parfait Adam l’avait été (Lc 1:35 ; 3:38). Toutefois, il semble logique de penser que, par ces paroles, Dieu ne se contentait pas de révéler qui était Jésus. Par cette déclaration accompagnée de l’effusion de l’esprit saint, Dieu indiquait de toute évidence que l’homme Jésus était engendré comme son Fils spirituel, qu’il était « né de nouveau » avec l’espérance de retourner vivre au ciel et oint par l’esprit pour être le Roi et le Grand Prêtre désigné par Dieu. (Jean 3:3-6 ; 6:51). nwtsty, notes d’étude

Tu as mon approbation : ou « je prends plaisir en toi ». La même expression est utilisée en Mt 12:18, qui est une citation de Is.42:1 au sujet du Messie, ou Christ, promis. L’effusion de l’esprit saint et la déclaration de Dieu concernant son Fils permettaient de faire savoir clairement que Jésus était le Messie promis. nwtsty, notes d’étude

Agréer : Ce verbe signifie “être satisfait, approuver, prendre plaisir à”, et le nom qui en dérive a pour sens “bienveillance, bon plaisir, faveur, désir”.  Ce terme n’est employé à propos de Jésus qu’après son baptême

Jéhovah s’est servi de son esprit saint, ou force agissante, pour engendrer Jésus comme son Fils spirituel, afin que celui-ci soit amené à la gloire céleste. Alors qu’il se trouvait seul avec Jean le baptiseur, Jésus fut immergé totalement dans l’eau pour montrer symboliquement qu’il présentait sa personne à Dieu. Jean a vu l’esprit saint descendre sur Jésus et il a entendu Jéhovah dire ouvertement qu’il agréait Jésus, que celui-ci était son Fils bien-aimé. C’est à ce moment-là et par le moyen de son esprit saint que Jéhovah a engendré Jésus comme premier des ‘ nombreux fils ’ devant ‘ être amenés à la gloire ’. TG1998  15/2  p13

MARC 2:27, 28 : Pourquoi Jésus s’est-il qualifié de « Seigneur [...] du sabbat » ? (nwtsty, note d’étude).

« Il leur dit encore : “ Le sabbat est venu à l’existence pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat ; 28 c’est pourquoi le Fils de l’homme est Seigneur même du sabbat ». ”

Seigneur [...] du sabbat : Jésus s’applique à lui-même cette expression (Mt 12:8 ; Lc 6:5), montrant qu’il pouvait disposer du sabbat pour accomplir l’oeuvre que son Père céleste lui avait confiée. (Comparer avec Jean 5:19 ; 10:37, 38.) Au cours du sabbat, Jésus a accompli certains de ses miracles les plus remarquables, comme guérir les malades (Lc 13:10-13 ; Jean 5:5-9 ; 9:1-14). Cela préfigurait de toute évidence le genre de soulagement qu’il apporterait au cours de son règne comparable à un repos de sabbat (Hé 10:1). nwtsty, notes d’étude

Il existe un sabbat dont Jésus doit devenir le Seigneur. En qualité de Seigneur des seigneurs, Christ dominera toute la terre pendant mille ans. Cela indique manifestement le genre de soulagement qu’il procurera quand il élèvera l’humanité à la perfection spirituelle et physique durant son Règne millénaire à venir, qui sera ainsi comme une période de repos sabbatique pour la terre et le genre humain – it2 Sabbat

2:28 — Pourquoi Jésus est-il appelé “ Seigneur même du sabbat  ? “ La Loi possède une ombre des bonnes choses à venir ”, a écrit l’apôtre Paul (Héb. 10:1). Comme le stipulait la Loi, le sabbat faisait suite à six jours de travail, et Jésus a réalisé nombre de ses guérisons ce jour-là. Cela préfigurait le repos paisible et d’autres bienfaits que l’humanité connaîtra sous le Règne millénaire du Christ, quand aura pris fin la domination oppressive de Satan. Par conséquent, le Roi de ce Royaume est aussi “ Seigneur du sabbat  - TG2008  15/2 p28

Pendant les mille ans que durera le règne sabbatique du Christ, la terre et ses habitants connaîtront une ère de paix. Ils se reposeront des guerres et de la violence qui ont caractérisé les six millénaires précédents. Les épées, symbole des guerres meurtrières, seront forgées en socs de charrue et les lances en faucilles pour la vendange. Durant ce Sabbat ou Jour de repos de mille ans, la vie ne sera pas monotone ; ce ne sera pas une époque d’inactivité. Le Seigneur du Sabbat, le Roi Jésus-Christ, ne restera pas sans rien faire et il ne livrera pas ses sujets à l’oisiveté. TG1970  p15

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Tandis que Jean le baptiseur préparait le chemin pour Jésus, il annonça que celui-ci ferait quelque chose de nouveau. Le récit rapporte: “Jean prêchait, disant: ‘Après moi vient quelqu’un de plus fort que moi; je ne suis pas digne de me baisser pour défaire les lanières de ses sandales. Moi je vous ai baptisés d’eau, mais lui vous baptisera d’esprit saint [litt. “avec de l’esprit saint”.’” (Marc 1:7, 8). Jusqu’alors, personne n’avait été baptisé avec de l’esprit saint. Il s’agissait là d’une disposition nouvelle qui faisait appel à l’esprit saint, et elle avait trait au dessein de Jéhovah, qui allait bientôt être révélé, de préparer des humains à régner dans les cieux. – TG1995 1/7 p9-10

Tout au long de son ministère sur la terre, Jésus a reçu de Jéhovah ce dont il avait besoin pour demeurer intègre jusqu’à son dernier souffle. Par exemple, juste après son baptême, qui a marqué le début de son ministère, il a entendu la voix de son Père qui l’agréait et qui confirmait son amour pour lui. Quand il a eu besoin de soutien, Jéhovah a envoyé des anges le fortifier. Quand il a affronté sa plus grande épreuve à la fin de sa vie sur la terre, Jéhovah a écouté avec faveur ses supplications et ses requêtes. Nul doute que tout cela fournissait à Jésus une aide qui fortifie. Marc 1:11,13. Pour nous également, Jéhovah tient à être Celui de qui nous vient principalement la force. Celui qui est à l’origine de toute l’énergie vive et de la vigueur peut devenir pour nous une aide qui fortifie en temps de détresse. La guerre, la pauvreté, la maladie, la mort ou nos imperfections nous mettent quelquefois à rude épreuve. Quand les tourments de la vie paraissent aussi redoutables qu’un “ puissant ennemi ”, Jéhovah peut être notre force et notre puissance. Il possède une force extraordinaire qu’il nous propose : son esprit saint. Par le moyen de son esprit, il peut donner “ de la force à celui qui est épuisé ”, au point que celui-ci soit capable de ‘ s’élever avec des ailes, comme les aigles. – TG2004  1/5 p22 §17,18

 

Jéhovah veut pour nous ce qu’il y a de mieux. Il nous donne tous les conseils nécessaires au bon moment. Bien que parfait, Jésus dépendait d’une communication régulière avec Jéhovah. Il le priait donc sans cesse. Jéhovah l’a soutenu et guidé de façon extraordinaire. Il a envoyé des anges le servir, lui a donné de l’esprit saint et l’a guidé dans le choix des 12 apôtres. Sa voix s’est fait entendre depuis les cieux, disant qu’il soutenait et approuvait son Fils – Marc 1 :12,13. Comme Jésus, il nous faut nous épancher auprès de Dieu en le priant. Par la prière, nous pouvons rester en étroite communication avec Jéhovah et parvenir à garder une conduite qui l’honore. Bien que ses conseils soient faciles à trouver, Jéhovah ne force personne à les suivre – TG2014  15/8 §15,16

Des anges ont apporté leur soutien à Jésus au début de son ministère terrestre (Marc 1:13 « Et il resta dans le désert quarante jours, tenté par Satan, et il était avec les bêtes sauvages, mais les anges le servaient »). Peu avant sa mort, un ange lui est apparu et ‘ l’a fortifié ’. Combien Jésus a dû apprécier le soutien que les anges lui ont apporté à ces moments critiques de sa vie. Les anges nous protègent-ils encore de nos jours ? Si nous adorons Jéhovah conformément à sa Parole, nous pouvons être sûrs que ces créatures invisibles et puissantes nous accordent leur protection. La Bible contient cette promesse : “ L’ange de Jéhovah campe autour de ceux qui le craignent, et il les délivre. ” Psaume 34:7.- TG2006  15/1

Avec quels sentiments les Israélites devaient-ils obéir ? Dans sa Loi, Dieu leur avait fait savoir qu’il ne prendrait pas plaisir en eux s’ils ne le servaient pas “ avec joie et allégresse de cœur ”. Jéhovah mérite plus qu’une obéissance machinale. Même des démons ou des animaux peuvent obéir machinalement à des ordres précis (Marc 1:27 « Eh bien, les gens furent tous si stupéfaits qu’ils se mirent à discuter entre eux et à dire : “ Qu’est-ce que ceci ? Un enseignement nouveau ! Avec pouvoir il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent » ). Obéir sincèrement à Dieu, c’est lui obéir par amour. La joie qui caractérise cette obéissance-là vient de la conviction que les commandements divins ne sont pas pesants et que Jéhovah “ devient celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. Héb. 11:6 – TG2010  15/9 §4

Ce que dit la Bible sur la prière est une preuve supplémentaire que Jéhovah remarque et estime les manifestations de notre attachement à sa personne Du temps de Jésus, de nombreux chefs religieux priaient en public, non parce qu’ils étaient sincèrement attachés à Dieu, mais parce qu’ils voulaient impressionner les hommes. Il va de soi que Jésus ne condamnait pas les prières publiques ; lui-même en a d’ailleurs prononcé en certaines circonstances. Le fait est que Jéhovah prend vraiment plaisir aux prières qui viennent de cœurs sincères, sans la moindre volonté d’impressionner autrui. À vrai dire, les prières que nous lui adressons en privé sont assez révélatrices de la profondeur de notre amour pour lui et de la confiance que nous lui accordons. Rien d’étonnant, donc, que Jésus ait souvent recherché des endroits retirés pour prier. Un jour, il fit cela “ tôt le matin, alors qu’il faisait encore sombre ”. Une autre fois, “ il monta dans la montagne, seul, pour prier ”. Et avant de choisir ses 12 apôtres, Jésus passa toute la nuit, seul, à prier. — Marc 1:35.

Imaginez l’attention que Jéhovah devait prêter à son Fils lorsqu’il épanchait son cœur auprès de lui ! Il est même arrivé que Jésus prie “ avec des cris puissants et des larmes —, et il a été entendu favorablement pour sa crainte de Dieu ”. Si nos prières sont empreintes de la même sincérité et motivées par le même désir profond de plaire à Dieu, nous pouvons être certains que notre Père céleste les écoute attentivement et qu’il prend plaisir en elles. Assurément, Jéhovah est près de tous ceux [...] qui l’invoquent avec fidélité ”. – TG2007  1/ 2 p19 §8,9

Jésus a consolé les gens en leur donnant de sages conseils, en les traitant avec bonté, et même, dans certains cas, en guérissant leurs maladies. Marc 1:40,41. Aujourd’hui, le Fils de Dieu n’est plus sur terre pour nous consoler en personne. Mais son Père, Jéhovah, « le Dieu de toute consolation », soutient toujours ceux qui en ont besoin. Moyens par lesquels Dieu console : La Bible, l’esprit saint qui est très puissant. Dieu peut s’en servir pour consoler n’importe qui, dans n’importe quelle situation, la prière – TG2016 n°16

Ce n’était pas pour attirer l’attention sur lui que Jésus faisait des miracles ; au contraire, il glorifiait Dieu, la Source de son pouvoir. Un jour, il se trouvait à Capernaüm dans une maison noire de monde. Un homme paralysé qui voulait se faire guérir ne pouvait pas entrer ; aussi ses amis l’ont-ils passé par le toit et descendu dans la maison sur une couchette. En voyant leur foi, Jésus a guéri le paralytique. Les personnes autour d’eux ‘ ont glorifié Dieu ’ et ont dit : “ Nous n’avons jamais rien vu de pareil. ” (Marc 2:1-4, 11, 12). Les miracles de Jésus attiraient la louange sur Jéhovah, son Dieu, et soulageaient ceux qui en avaient besoin. – TG1999  1/7

LES LIMITES DU POUVOIR DE SATAN - Satan et les démons ont d’autres limites. Par exemple, on ne lit nulle part dans la Bible qu’ils peuvent savoir ce qu’il y a dans notre esprit et dans notre cœur. Jéhovah et Jésus sont les seuls à avoir cette capacité  Marc 2:8. Mais faut-il avoir peur de dire certaines choses ou de prier à haute voix ? Satan ou les démons risquent-ils de se servir de ce qu’ils entendent pour nous causer du tort ? La réponse est non. Pourquoi ? Réfléchissons : Nous ne craignons pas d’accomplir de belles choses au service de Jéhovah simplement parce que Satan pourrait nous voir. Pareillement, nous ne devrions pas avoir peur de prier à haute voix simplement parce que Satan pourrait nous entendre. En fait, la Bible contient de nombreux exemples de serviteurs de Dieu qui ont prié à haute voix ; et elle ne dit nulle part qu’ils ont eu peur que Satan les entende. Si nous faisons le maximum pour que nos paroles et nos actions plaisent à Jéhovah, nous pouvons être sûrs qu’il ne laissera pas Satan nous causer un tort durable – TG2018/5 §16

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Marc 1:4 - Le baptême de Jean. Le fait même qu’il était connu sous le nom de “ Jean le Baptiste ” ou “ le baptiseur ” indique que c’est spécialement par lui que le baptême ou immersion dans l’eau fut porté à l’attention du peuple, et les Écritures attestent que son ministère et son baptême venaient de Dieu ; Jean n’agit pas de son propre chef – it-1 p263

1:4 - Matthieu appelle Jean “le Baptiste”. Matthieu, qui, à l’évidence, a écrit son récit à l’intention des Juifs, devait penser que ces derniers sauraient qui était “le Baptiste”. Il a utilisé cette expression comme une sorte de surnom. Jésus et ses disciples, de même que les serviteurs d’Hérode, employaient, eux aussi, l’appellation “Jean le Baptiste”. Le disciple Marc fait état d’une utilisation semblable de l’expression “le Baptiste”. Mais lorsqu’il présente Jean, Marc l’appelle “Jean le baptiseur”. Le terme grec que l’on trouve en Marc 1:4 diffère légèrement de celui qui figure dans les autres versets. On pourrait le rendre par “celui qui baptise”. Marc fait ici ressortir l’activité de Jean: il est celui qui baptise, le baptiseur. – TG1993 1/8 p31

1:7 « Et il prêchait, en disant : “ Après moi vient quelqu’un de plus fort que moi ; je ne suis pas digne de me baisser pour dénouer les lanières de ses sandales » Dénouer les lanières des sandales de quelqu’un ou lui porter ses sandales était considéré comme une de ces tâches serviles réservées le plus souvent aux esclaves. Jean employa cette image pour exprimer son infériorité par rapport à Christ. - it-2 p892

1:9 - Il convient d’être baptisé parce que Jésus a demandé à ses disciples de “ faire des disciples [...], les baptisant ”. Il a lui-même donné l’exemple en se faisant baptiser. De plus, le baptême est une étape importante pour ceux qui souhaitent être sauvés. Il ne faut pas en conclure pour autant que le baptême est une sorte d’assurance à laquelle vous souscrivez pour être couvert en cas de sinistre. Si vous vous faites baptiser, c’est parce que vous aimez Jéhovah et que vous voulez le servir. – TG2010  15/11 §13

1:10 -Au moment où Jésus fut baptisé puis oint par l’esprit saint de Dieu, cet esprit saint apparut “ sous une forme corporelle, comme une colombe ”, sa descente visible sur Jésus étant peut-être semblable à celle de la colombe qui s’approche de son perchoir en voletant. Le symbole était approprié en raison de l’innocence qui caractérise cet oiseau - it-1 p498

1:15 — Pour quelle action “ le temps fixé ” s’était-il accompli ? Jésus disait que le temps était venu pour lui de commencer son ministère. Le Royaume de Dieu s’était approché puisque Jésus, le Roi désigné, était là. Les personnes au cœur droit pouvaient réagir favorablement à sa prédication et faire les pas nécessaires pour avoir l’approbation de Dieu. TG2008 15/2 p28

Quand il était sur terre, Jésus avait une conscience aiguë de l’époque à laquelle il vivait et de ce qu’il lui fallait faire. En effet, il avait une vision claire de ses priorités et savait que le moment tant attendu de la réalisation de nombreuses prophéties messianiques était arrivé. Il devait prouver qu’il était le Messie promis. Il devait rendre pleinement témoignage au sujet du Royaume et rassembler ceux qui régneraient avec lui. Enfin, il devait poser le fondement de la congrégation chrétienne, qui se verrait confier la mission de prêcher et de faire des disciples jusqu’aux extrémités de la terre. Marc 1:15. – TG2010  15/12 p11 §2

Jésus a chargé Pierre, André et d’autres apôtres de “ devenir pêcheurs d’hommes ”, non pas avant, mais après cette pêche étonnante (Marc 1:16, 17). Autrement dit, Jésus ne leur a pas demandé de lui obéir aveuglément. Il leur a fourni une raison convaincante de lui obéir. De même que ces hommes ont obtenu des résultats surprenants en obéissant à l’ordre de Jésus de lâcher leurs filets, de même ils recevraient de grandes bénédictions en obéissant à l’ordre de Jésus de ‘ prendre des hommes ’.  Aujourd’hui, quand nous encourageons les autres à prendre part à l’œuvre qui consiste à faire des disciples, nous imitons Jésus. Nous ne leur demandons pas de faire simplement ce que nous leur disons. Nous leur fournissons des raisons convaincantes d’obéir à l’ordre du Christ. – TG2004  1/7 §6

Immédiatement, Pierre et André abandonnent leurs bateaux pour suivre Jésus, imités un peu plus tard par Jacques et Jean, les fils de Zébédée. Pendant près de trois ans, les quatre hommes vont accompagner Jésus dans ses tournées de prédication et recevoir une formation d’évangélisateurs (Marc 1:16, 18, 20, 38). À la fin de cette période, le 14 Nisan 33, Jésus leur annonce : “ Qui exerce la foi en moi, celui-là aussi fera les œuvres que je fais ; et il fera des œuvres plus grandes que celles-ci. ” (Jean 14:12). Autrement dit, comme lui, ses disciples rendront témoignage pleinement, mais eux le feront sur une échelle beaucoup plus importante. Ainsi qu’ils n’allaient pas tarder à l’apprendre, il s’agirait de donner le témoignage dans “ toutes les nations ” et jusqu’à “ l’achèvement du système de choses ”. Nous voilà arrivés à “ l’achèvement du système de choses. À la différence des premiers disciples, nous n’avons pas la possibilité d’accompagner Jésus pour le voir à l’œuvre. En revanche, nous pouvons bénéficier de sa formation en lisant dans la Bible comment il prêchait et quelles instructions il a données à ses disciples – TG2005  1/1 p12 §4

1:19 - Il fallait utiliser les filets avec précaution parce qu’ils coûtaient cher et leur entretien demandait beaucoup de travail. Un pêcheur passait énormément de temps à réparer, à laver et à sécher les filets — tâches qu’il accomplissait au retour de chaque sortie en mer (Luc 5:2). Quand Jésus les a invités à le suivre, Jacques et Jean, qui étaient frères, étaient assis dans leur bateau en train de réparer leurs filets. – TG2012 1/8 p20

Dans le Sermon sur la montagne, il a cité les Écritures hébraïques directement ou indirectement des dizaines de fois — et de mémoire. Cette façon de faire témoignait de son profond respect pour la Parole de Dieu. Ses auditeurs “ étaient frappés de sa manière d’enseigner, car voilà qu’il les enseignait en homme qui a pouvoir et non pas comme les scribes ”. (Marc 1:22.) Les scribes aimaient se référer à ce qu’on appelait la loi orale et citer d’éminents rabbins du passé. Jamais Jésus ne s’est appuyé sur la loi orale ou les rabbins. Pour lui, seule la Parole de Dieu faisait autorité. Combien de fois n’a-t-il pas dit : “ Il est écrit ”, ou utilisé une expression similaire, lorsqu’il enseignait ses disciples ou rectifiait des idées fausses - cf p101

Il arrivait, de temps à autre, que des humains sous l’emprise d’esprits impurs crient à la vue de Jésus. Il se contenait alors et recourait même au pouvoir que Dieu lui avait donné pour soulager ces personnes (Marc 1:23-28 ; 5:2-8, 15). Si certains s’emportent et crient contre nous dans le cadre de notre ministère, il nous faut nous aussi nous contenir et nous efforcer de réagir avec tact et douceur – TG200515/5 §12

L’exemple de désintéressement laissé par le Fils de Dieu a révélé ce qu’est la vraie grandeur. Jésus n’est pas venu sur la terre pour être servi, mais pour servir les autres. Il a guéri “ diverses maladies ” et a libéré des gens du pouvoir des démons. Il était sujet à la fatigue et avait besoin de temps pour se reposer, mais il a toujours fait passer les besoins des autres avant les siens ; il a toujours pris la peine de les réconforter (Marc 1:32-34) Son amour le poussait à aider les gens sur le plan spirituel et à parcourir des centaines de kilomètres sur des routes poussiéreuses pour prêcher la Bonne Nouvelle du Royaume (Marc 1:38, 39). De toute évidence, il était primordial à ses yeux de servir les autres – TG2004 1/8§10

Jésus n’a jamais négligé sa spiritualité. Quand il lui arrivait de devoir consacrer plus de temps que prévu aux foules venues pour l’écouter et être guéries, il ne s’en réservait pas moins des moments pour prier et méditer (Marc 1:35). De même aujourd’hui, un pionnier ou un proclamateur équilibré fait tout pour rester fort sur le plan spirituel. Quelle erreur ce serait de consacrer tout son temps à prêcher, sans se ménager un moment pour étudier la Bible en fonction de ses besoins et pour prier régulièrement – TG1996  15/5

Quel état d’esprit Jésus manifestait-il ? Il était humble. L’humilité le poussait à faire preuve d’abnégation dans le ministère. Dans son esprit, prêcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu était la chose la plus importante (Marc 1:38). Jésus considérait la Parole de Dieu comme l’autorité suprême. Il étudiait assidûment les Saintes Écritures afin de pouvoir les citer, les défendre et les expliquer. Si nous sommes humbles et assidus dans le ministère et dans notre étude biblique individuelle, notre mentalité ressemblera davantage à celle de Christ.- TG2014  15/10 § 17

Une autre preuve convaincante de l’amour que Jésus portait aux gens qu’il enseignait était son empressement à les servir. Dans sa vie préhumaine déjà, le Fils de Dieu avait toujours été attaché à l’humanité. Sur la terre, Jésus ne s’attendait pas à être servi. Au contraire, il a dit : “ Le Fils de l’homme est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup. ” (Matthieu 20:28).

Sa vie a été à la hauteur de ces paroles. Jésus comblait humblement les besoins des gens qu’il enseignait. Il se dépensait volontiers pour eux. Il a parcouru à pied la Terre promise dans tous les sens. Il a effectué des centaines de kilomètres au cours de ses tournées de prédication afin de rencontrer le plus de gens possible. À l’inverse des Pharisiens et des scribes orgueilleux, il est resté humble et abordable. Toutes sortes de gens venaient le trouver sans crainte. Bien que parfait, Jésus n’en était pas moins humain, sujet à la fatigue et à la faim. Mais même lorsqu’il était fatigué, qu’il avait besoin de repos ou de tranquillité pour prier, il faisait passer les besoins des autres avant les siens. Marc 1:35-39. Jésus a pu déclarer à bon droit : “ Je vous ai donné l’exemple. ”Jean 13:5-15 – TG2002 15/8 p14

Marc 1:40-42 - On note avec intérêt la réaction de Jésus lorsqu’un lépreux l’a approché pour le supplier de le guérir. Au lieu de chasser cet homme que tout le monde fuyait, Jésus a usé de compassion envers lui et a respecté sa dignité. Ce qu’il a vu, c’était un humain pitoyable qui avait besoin de secours. . Jésus sait que ce lépreux n’a pas le droit d’être là. Pourtant, il ne le renvoie pas. Le cœur ému, il a exprimé sa compassion en agissant de suite. Il a tendu la main, a touché le lépreux et l’a guéri. Jésus était parfaitement capable de guérir cet homme à distance. Pourtant, il a choisi de tendre la main et de le toucher. La lèpre a disparu instantanément.

La lèpre. Il s’agissait de la plus repoussante de toutes les maladies, et elle exigeait de sévères mesures de surveillance, notamment l’isolement prolongé ainsi que des examens attentifs et répétés afin de déterminer quand la guérison était acquise. . Il fallut donc une grande mesure de foi au lépreux impur qui dit à Jésus : “ Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. ” Non seulement Jésus le voulut bien, mais il montra aussi qu’il avait le pouvoir de guérir cette maladie repoussante en ordonnant : “ Deviens pur. ” Puis il recommanda à l’homme guéri : “ Va te montrer au prêtre et offre le don que Moïse a prescrit. ” Nous qui sommes des disciples de Jésus, que pouvons-nous faire pour refléter comme lui la dignité de notre Père ? Une manière d’imiter Jésus consiste à nous imprégner de l’idée que tous les humains, quels que soient leur rang social, leur état de santé ou leur âge, méritent l’honneur et le respect quand nous prêchons – TG2008 15/8 p15

1:44 — Pourquoi Jésus ne voulait-il pas que ses miracles soient rendus publics ? Plutôt que les gens tirent des conclusions à partir de rapports sensationnels ou peut-être déformés, Jésus voulait qu’ils constatent par eux-mêmes qu’il était le Christ, afin que ce soit sur ce constat qu’ils décident ou non de le suivre. - TG2008 15/2 p28

Jésus avait remarqué qu’au moins quelques-uns de ces collecteurs d’impôts et de ces pécheurs voulaient changer. Ces personnes n’étaient pas venues chez Matthieu seulement pour manger. Elles étaient là parce qu’elles suivaient Jésus (Marc 2:15). Malheureusement, la plupart des Pharisiens ne voyaient pas en ces personnes ce que Jésus voyait. Ils les considéraient comme des pécheurs qui ne changeraient jamais. Comme ils étaient différents du Dieu juste et miséricordieux qu’ils prétendaient adorer ! – TG2017 Novembre p16 §15

Quinze siècles plus tard, près de Jéricho reconstruite, Jésus Christ rendit la vue à un mendiant aveugle. En le suppliant d’avoir pitié de lui, cet homme reconnaissait que Jésus avait le soutien de Dieu. Pour leur part, la majorité des chefs religieux juifs et de leurs partisans refusaient de voir en ces miracles une preuve que Jésus accomplissait l’œuvre de Dieu, et ils le dénigraient (Marc 2:15, 16). Même quand ils eurent la preuve que Jésus, qu’ils avaient fait mettre à mort, avait été ressuscité, ils refusèrent d’y voir l’intervention de Dieu. Au contraire, ils furent les premiers à persécuter les disciples pour les empêcher d’“ annoncer la bonne nouvelle du Seigneur Jésus ”. Mais des Juifs, et plus tard beaucoup de non-Juifs, prêtèrent attention à ces événements et surent en tirer les bonnes conclusions. Ils discernèrent clairement que Dieu avait rejeté les dirigeants juifs présomptueux pour accorder son soutien aux disciples humbles de Jésus Christ. – TG2001  1/6 p12 §3

2:18. Marc donne des précisions sur des coutumes, des termes, des croyances et des lieux susceptibles de ne pas être connus des lecteurs non Juifs. Il explique que les Pharisiens “ avaient l’habitude de jeûner ”, que “ qorbân ” est “ un don voué à Dieu ”, que les Sadducéens “ disent qu’il n’y a pas de résurrection ” et que le temple était “ en face ” du “ mont des Oliviers ”. Puisque la généalogie du Messie n’intéresserait avant tout que des Juifs, il l’omet complètement. Marc nous laisse ici un bel exemple. Que nous prêchions ou que nous prononcions un exposé lors d’une réunion de la congrégation, nous devons prendre en considération le milieu d’où sont issus nos auditeurs. – TG2008 15/2 p28

2:18-21 - Quand Jésus expliqua pourquoi ses disciples ne jeûnaient pas comme les Pharisiens et les disciples de Jean, Christ Jésus fit remarquer que si on coud un morceau d’étoffe non rétrécie à un vieux vêtement, on agrandit la déchirure. Au lavage le morceau rétrécit, tire sur le vieux vêtement et le déchire. Cet exemple aurait dû aider les auditeurs de Jésus à comprendre qu’il était temps pour eux de le suivre et qu’il était mal de chercher à imposer leurs pratiques à ses disciples. Jésus aidait les disciples de Jean à comprendre que personne ne devait s’attendre à ce que les chrétiens se conforment aux vieilles pratiques du judaïsme, telles que le jeûne rituel. Il n’était pas venu pour rapiécer et prolonger d’anciens modes d’adoration usés jusqu’à la corde qui étaient prêts d’être abandonnés. Le christianisme ne serait pas modelé sur le judaïsme de l’époque ni sur ses traditions humaines. Non, il ne ressemblerait pas à une pièce neuve cousue sur un vieux vêtement, ni à du vin nouveau mis dans une vieille outre - it-1 p559

Satan ne peut pas forcer les gens à faire ce qu’ils ne veulent pas faire. Satan et les démons ont d’autres limites. Par exemple, on ne lit nulle part dans la Bible qu’ils peuvent savoir ce qu’il y a dans notre esprit et dans notre cœur. Jéhovah et Jésus sont les seuls à avoir cette capacité (Marc 2:8). Mais faut-il avoir peur de dire certaines choses ou de prier à haute voix ? Satan ou les démons risquent-ils de se servir de ce qu’ils entendent pour nous causer du tort ? La réponse est non. Pourquoi ? Réfléchissons : Nous ne craignons pas d’accomplir de belles choses au service de Jéhovah simplement parce que Satan pourrait nous voir. Pareillement, nous ne devrions pas avoir peur de prier à haute voix simplement parce que Satan pourrait nous entendre. En fait, la Bible contient de nombreux exemples de serviteurs de Dieu qui ont prié à haute voix ; et elle ne dit nulle part qu’ils ont eu peur que Satan les entende. Si nous faisons le maximum pour que nos paroles et nos actions plaisent à Jéhovah, nous pouvons être sûrs qu’il ne laissera pas Satan nous causer un tort durable. Nous devons connaître notre ennemi, mais nous ne devons pas nous laisser terrifier par lui. Avec l’aide de Jéhovah, même des humains imparfaits peuvent vaincre Satan. Si nous nous opposons à lui, il fuira loin de nous. – TG2018 Mai p26 §16,17

Link to comment
Share on other sites


  • Views 150
  • Replies 0
  • Created
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Popular Days

Top Posters In This Topic





×
×
  • Create New...

Important Information

Terms of Service Confirmation Terms of Use Privacy Policy Guidelines We have placed cookies on your device to help make this website better. You can adjust your cookie settings, otherwise we'll assume you're okay to continue.