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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 AOUT 2018 - LUC 17-18


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 17-18

Luc 17:7-10 : Que nous enseigne cet exemple de Jésus ? (nwtsty, note d’étude de Luc 17:10).

« Si l’un de vous a un serviteur qui laboure ses terres ou qui garde son troupeau, lui dit-il, quand il rentre des champs : “Viens tout de suite te mettre à table” ? Ne lui dit-il pas plutôt : “Prépare-moi quelque chose à manger, mets un tablier et sers-moi jusqu’à ce que j’aie fini de manger et de boire. Après tu pourras manger et boire.”  Aura-t-il de la reconnaissance envers ce serviteur parce qu’il a fait ce qui lui était demandé ? Non. De même, quand vous aurez fait tout ce qui vous est demandé, dites : “Nous ne sommes que des esclaves, nous ne méritons rien. Nous n’avons fait que ce que nous devions faire.” »

Nous ne méritons rien : ou « nous sommes bons à rien », litt. « inutiles, sans valeur ». Jésus ne voulait pas dire que les esclaves, ses disciples, doivent se considérer comme inutiles ou sans valeur. Dans le contexte, « nous ne méritons rien » signifie que les disciples doivent se considérer avec modestie, ne pas estimer qu’ils méritent des félicitations particulières. Selon des biblistes, le terme employé ici est une hyperbole signifiant « nous ne sommes que des esclaves qui ne méritons pas d’attention particulière ». - nwtsty, note d’étude de Luc 17:10

Souvent, les esclaves qui travaillaient dans les champs de leur maître lui servaient également son repas du soir. Non seulement ils trouvaient normal d’attendre que leur maître ait fini de manger pour se restaurer à leur tour, mais ils se disputaient même fréquemment pour savoir lequel d’entre eux aurait l’honneur de le servir. Ils ne considéraient pas cela comme une corvée supplémentaire, mais comme quelque chose à quoi leur maître avait droit. - it-1 p839

L’idée qui ressort de la parabole de Jésus, c’est qu’un esclave ne peut pas faire comme il veut ni s’occuper en priorité de son bien-être. En nous vouant à Dieu et en choisissant de devenir ses esclaves, nous avons accepté de faire passer sa volonté avant la nôtre. Nous sommes tenus de soumettre notre volonté à celle de Dieu. Aucun de nous ne peut à bon droit se vanter d’avoir fait ce qui n’est autre que notre devoir, “ce que nous devions faire”. Un serviteur de Dieu ne devrait donc jamais considérer qu’il fait une faveur à Dieu en le servant. Au contraire, il devrait toujours se souvenir du privilège qui est le sien de l’adorer comme l’un des hommes de confiance de Sa maison.- TG2005 15/3 p18-19 §12

Jésus nous aide à mieux comprendre la relation maître-esclave. Dans un exemple donné à ses disciples, il parle d’un esclave qui rentre de sa journée de travail. Son maître lui propose-t-il de venir s’étendre tout de suite à table ? Certainement pas. Il lui dit plutôt : “ Prépare-moi quelque chose à manger, mets un tablier et sers-moi jusqu’à ce que j’aie fini de manger et de boire. Après tu pourras manger et boire.” Par quelle leçon Jésus conclut-il ? “ De même, quand vous aurez fait tout ce qui vous est demandé, dites : “Nous ne sommes que des esclaves, nous ne méritons rien*. Nous n’avons fait que ce que nous devions faire ”Luc 17:7-10. Bien entendu, Jéhovah accorde du prix à nos efforts pour le servir. La Bible nous le garantit : “ Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom. ” (Héb. 6:10). Jéhovah n’est en aucun cas déraisonnable dans ses attentes. De plus, ce qu’il nous demande tourne toujours à notre avantage et n’est jamais trop difficile. Cela dit, comme le souligne l’exemple de Jésus, un esclave ne cherche pas à se faire plaisir en donnant la priorité à ses intérêts. Retenons qu’en nous vouant à Dieu, nous choisissons de faire passer ses intérêts à la première place dans notre vie. Rappelons-nous que ce que nous faisons n’est rien à côté de ce que Jésus a fait. Et pourtant, Jésus était humble.

TG2012 15/12  p10 §9,10

Luc 18:8 : À quel genre de foi Jésus fait-il allusion dans ce verset ? (nwtsty, note d’étude).

« Je vous le dis, il fera en sorte que justice leur soit rendue rapidement. Toutefois, quand le Fils de l’homme arrivera, trouvera-t-il vraiment ce genre de foi sur la terre ? »

Ce genre de foi : Litt. « la foi ». Dans le grec, l’emploi de l’article défini avant le mot traduit par « foi » indique que Jésus ne parlait pas de la foi au sens général, mais d’une foi particulière, comme celle de la veuve de son illustration (Luc 18:1-8). Cette foi englobe la confiance dans le pouvoir de la prière, ainsi que la certitude que Dieu fera en sorte que justice soit rendue à ceux qu’il a choisis. Manifestement, Jésus a laissé sans réponse sa question à propos de la foi pour que ses disciples réfléchissent à la qualité de leur propre foi. Son illustration sur la prière et la foi était particulièrement appropriée puisque Jésus venait de parler des épreuves qui attendaient ses disciples (Luc 17:22-37). - nwtsty, note d’étude

Quelle leçon nous enseigne l’exemple de Jésus mettant en scène une veuve et un juge - Cet exemple souligne la nécessité de prier. Contrairement au juge, Jéhovah est juste et souhaite nous offrir son aide. Par ailleurs, nous devrions imiter la foi de la veuve.

L’expression “ cette foi ” montre que Jésus faisait allusion, non pas à la foi en général, mais à une foi particulière, celle que possédait la veuve. Jésus n’a pas répondu à sa question. Il souhaitait que ses disciples réfléchissent à la qualité de leur propre foi. Faiblissait-elle peu à peu, de sorte qu’ils couraient le risque de revenir vers les choses qu’ils avaient laissées derrière eux ? Ou bien possédaient-ils la même sorte de foi que celle de la veuve ? Nous aussi, nous devrions nous demander : ‘ Quel genre de foi “ le Fils de l’homme ” trouve-t-il dans mon cœur ? ’

Si nous voulons être de ceux qui obtiendront justice de la part de Jéhovah, nous devons imiter la veuve. Quel genre de foi possédait-elle ? Elle a montré sa foi en “ allant sans cesse vers le juge, en disant : ‘ Fais en sorte que j’obtienne justice. ’ ” Cette veuve a insisté auprès d’un homme injuste pour que justice lui soit rendue. Les serviteurs de Dieu peuvent être certains d’obtenir justice de la part de Jéhovah, même si cela doit prendre plus de temps qu’ils ne le pensaient. En outre, ils montrent leur confiance dans les promesses divines en priant avec insistance, en ‘ criant vers Jéhovah jour et nuit ’. (Luc 18:7.) Oui, si un chrétien cessait de prier pour que justice soit rendue, il montrerait par là qu’il a perdu la certitude que Jéhovah va agir en faveur de ses serviteurs.

Nous trouvons des raisons supplémentaires de persévérer dans la prière quand nous réfléchissons à la situation particulière de la veuve. Voyez en quoi sa situation était différente de la nôtre. La veuve ne cessait de solliciter le juge alors que personne ne l’avait encouragée à le faire. En revanche, la Parole de Dieu nous presse de “ persévérer dans la prière ”. (Romains 12:12.) La veuve n’avait aucune garantie que ses demandes seraient acceptées. En revanche, Jéhovah nous assure que justice sera faite. Par l’intermédiaire de son prophète, il affirme : “ Même si elle venait à tarder, continue à l’attendre ; car elle se réalisera à coup sûr. Elle ne sera pas en retard. ” (Habacuc 2:3). La veuve n’avait personne qui plaide en sa faveur, personne qui ajoute du poids à sa requête. En revanche, nous avons un personnage puissant qui nous aide, Jésus, “ qui est à la droite de Dieu, qui sollicite aussi pour nous ”. Dès lors, si la veuve n’a pas cessé de supplier le juge, en dépit des circonstances défavorables, pour que justice soit rendue, à combien plus forte raison devrions-nous garder une foi ferme dans la venue du jour de jugement de Jéhovah !

L’exemple de la veuve nous enseigne qu’il existe un lien étroit entre la prière et la foi, et que la persistance dans la prière met notre foi à l’abri des influences susceptibles de l’affaiblir. Bien entendu, cela ne veut pas dire que le simple fait de prononcer beaucoup de prières soit un remède miracle contre le manque de foi. Nos prières nous rapprochent de notre Créateur et fortifient notre foi quand elles sont motivées par la certitude que nous dépendons entièrement de Dieu. Et puisque la foi est indispensable au salut, il n’est pas surprenant que Jésus ait estimé nécessaire d’encourager ses disciples à “ prier toujours et à ne pas renoncer ”. (Luc 18:1) Évidemment, la venue du “ grand jour de Jéhovah ” ne dépend pas de nos prières. Ce jour arrivera, que nous priions pour lui ou non. Par contre, la profondeur de notre foi et la régularité de nos prières détermineront si, à titre individuel, nous obtiendrons justice et survivrons à la guerre de Dieu.

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Sur terre, Jésus Christ a imité son Père à la perfection pour ce qui est de la miséricorde. C’est par pitié que Jésus a fait de nombreux miracles pour soulager des aveugles, des possédés, des lépreux et des parents dont les enfants souffraient. - Luc 17:12, 13. Les exemples que Jéhovah Dieu et Jésus Christ nous donnent montrent que la miséricorde comporte deux aspects : un sentiment de compassion ou de pitié pour les affligés et une intervention destinée à soulager. Être miséricordieux, c’est avoir ces deux réactions. Dans les Écritures, la miséricorde désigne donc le plus souvent la considération bienveillante qui se traduit par des actes – TG2007  15/9 p22 §6

Un cadeau extraordinaire devrait nous pousser à exprimer notre reconnaissance. C’est ce que Jésus a mis en évidence après avoir guéri dix hommes atteints d’une maladie handicapante et, à l’époque, incurable. L’un des dix hommes est « revenu sur ses pas, glorifiant Dieu d’une voix forte ». Jésus a alors demandé : « Les dix ont été purifiés, n’est-ce pas ? Où sont donc les neuf autres ? » (Luc 17:12-17). La leçon ? Nous pouvons vite oublier les marques de bonté dont nous faisons l’objet.

La rançon ne ressemble à aucun autre cadeau. Elle est de loin le plus beau des dons jamais offerts. Par conséquent, comment devriez-vous réagir à ce que Dieu a fait pour vous – TG2017/2 p6

Les chefs de la chrétienté ne prêchent pas le Royaume de Dieu. Et s’ils le font, beaucoup disent que c’est un sentiment ou une condition de cœur du chrétien (Luc 17:21). Ils n’aident pas les gens à comprendre que le Royaume de Dieu est un gouvernement céleste dirigé par Jésus Christ, qu’il est la solution à tous les problèmes de l’humanité et qu’il supprimera bientôt toute méchanceté de la terre. Ils préfèrent se souvenir de Jésus comme d’un bébé, à Noël, et comme d’un homme agonisant, à Pâques. Manifestement, ils ignorent ce qu’il accomplira en tant que nouveau Dirigeant de la terre. Puisqu’ils ont perdu de vue le message qu’ils sont censés prêcher, doit-on s’étonner qu’ils aient également perdu de vue le mobile qui devrait les y pousser ? – TG2016 Mai p10 §7

Aux jours de Noé, Jéhovah a fait venir la destruction sur l’humanité à cause des actes d’extrême violence que commettaient des hommes méchants soutenus par les Nephilim. Qu’en est-il aujourd’hui ? La terre est-elle moins violente qu’à l’époque ? Loin de là ! Qui plus est, les gens d’aujourd’hui, comme ceux du temps de Noé, se consacrent avant tout à leurs affaires, s’efforcent de mener une vie “ normale ” et refusent de tenir compte des avertissements qu’on leur adresse (Luc 17:26, 27). Dès lors, avons-nous des raisons de douter que Jéhovah fera de nouveau venir la destruction sur l’humanité ? Non – TG2005 1/9 p21 §9

Aujourd’hui, nous approchons d’une autre destruction, celle du présent système de choses méchant lors du grand jour de Jéhovah (Luc 17:26-30)  Il est normal d’aspirer à la fin de la méchanceté. Cependant, il serait très facile d’adopter le même état d’esprit que Jonas, de nous désintéresser du sort des personnes susceptibles de se repentir. Ce risque est particulièrement grand si nous rencontrons constamment des individus qui se montrent indifférents, hostiles, voire agressifs lorsque nous venons leur communiquer le message du Royaume. Nous pourrions oublier ceux que Jéhovah fera encore sortir de ce système de choses mauvais. Si un examen de conscience honnête révèle que notre état d’esprit ressemble un tant soit peu à celui de Jonas, prions Dieu de nous aider à conformer notre point de vue au sien. – TG2003 15/7 p18 §11,12

Certains ne désirent pas que le jour de Jéhovah vienne. Ils ne souhaitent pas que leur quotidien soit perturbé. Ils ne veulent pas avoir de comptes à rendre à Jéhovah au sujet de leur mode de vie égoïste. En raison de “ leur désir ”, ces moqueurs préfèrent fermer les yeux sur le fait qu’autrefois Jéhovah est intervenu dans les affaires humaines. Jésus et Pierre ont fait allusion à deux de ces événements, les “ jours de Noé ” et les “ jours de Lot ”. (Luc 17:26-30 ; 2 Pierre 2:5-9.) Avant le déluge, personne n’a tenu compte de l’avertissement transmis par Noé. De même, avant la destruction de Sodome et de Gomorrhe, Lot est passé aux yeux de ses gendres “ pour quelqu’un qui plaisante ”. Genèse 19:14.

Aujourd’hui, rien n’a changé. Mais voyez la réaction de Jéhovah face à cette indifférence : “ Je m’occuperai des hommes qui se figent sur leur lie et qui disent dans leur cœur : ‘ Jéhovah ne fera pas de bien, et il ne fera pas de mal. ’ Oui, leur fortune deviendra un objet de pillage, et leurs maisons, une solitude désolée. Ils bâtiront des maisons, mais ils ne les habiteront pas ; ils planteront des vignes, mais ils n’en boiront pas le vin. ” (Sophonie 1:12, 13). Les gens ont beau continuer de mener une vie “ normale ”, ils ne tireront aucun bénéfice durable de leur travail. Pour quelle raison ? Parce que le jour de Jéhovah viendra d’une manière soudaine, et qu’aucune des richesses matérielles qu’ils auront accumulées ne pourra alors les sauver. – TG2006 15/12 p16 §8-10

“ Ils mangeaient, ils buvaient, ils achetaient, ils vendaient, ils plantaient, ils bâtissaient. Mais le jour où Lot est sorti de Sodome, il est tombé du ciel une pluie de feu et de soufre et elle les a tous détruits. ” (Luc 17:28, 29). Quand les anges l’ont averti de l’imminence de la destruction, Lot a bien essayé de parler à ses gendres. Mais ‘ il passa à leurs yeux pour quelqu’un qui plaisante  Jésus a prédit qu’il en serait de “ la présence du Fils de l’homme ” comme des jours de Noé et de Lot (Luc 17:30). De fait, c’est bien l’insouciance qui caractérise la société moderne. Faisons attention que cette mentalité ne déteigne pas sur nous. Il n’y a évidemment rien de mal à profiter des plaisirs de la table avec modération ni à se marier, ce qui est une disposition divine. Mais si le manger, le boire ou notre mariage ont pris le pas sur les activités spirituelles, peut-on dire que nous sommes prêts pour le jour redoutable de Jéhovah ? – TG2003 15/12 p20 §5,6

 

 

La Bible encourage les vrais chrétiens à ne pas perdre confiance dans la valeur de la prière. Jésus a pris l’exemple d’une veuve pauvre qui allait sans cesse voir un juge injuste pour obtenir gain de cause dans une affaire (Luc 18:1-3). Au début, le juge refusait de l’aider. Puis un jour, il s’est dit : « Je ne crains pas Dieu et je ne respecte personne, mais parce que cette veuve n’arrête pas de me harceler, je vais faire en sorte qu’elle obtienne justice. Sinon, elle continuera de venir et m’épuisera à force de réclamer” » » (Luc 18:4, 5). D’après le texte dans la langue originale, le juge a prêté attention à la veuve pour qu’elle ne vienne pas le « frapper sous l’œil » figurément parlant, c’est-à-dire « nuire à sa réputation ». Si même un juge injuste, par peur qu’on salisse sa réputation, est prêt à aider une veuve pauvre, à combien plus forte raison notre Dieu attentionné rendra-t-il justice à ceux « qui crient vers lui jour et nuit » ! Comme l’a dit Jésus, Dieu « fera que justice leur soit rendue rapidement » (Luc 18:6-8).

Même si nous sommes parfois fatigués de demander de l’aide ou une faveur, ne renonçons pas. Par notre persévérance dans la prière, nous montrons à Dieu que nous désirons sincèrement le voir agir dans notre vie. Nous apprenons également à discerner les réponses de Dieu, et cela nous rapproche de lui. Soyons certains que Jéhovah répondra à nos demandes légitimes si nous continuons de prier en étant convaincus qu’il nous écoutera ! – TG2014 1/ 4 p7

En Éphésiens 2:7, on lit que Dieu démontrerait sa faveur imméritée « dans les systèmes de choses à venir ». Nul doute que le nouveau système de choses prévu par Jéhovah sur la terre verra « l’extraordinaire richesse de sa faveur imméritée » (Luc 18:29, 30). L’une des plus grandes démonstrations sur terre de son incomparable faveur sera la résurrection des humains qui sont dans le « shéol », c’est-à-dire la tombe. Les fidèles du passé décédés avant la mort sacrificielle de Christ, ainsi que les « autres brebis » qui meurent fidèles durant les derniers jours, seront ramenés à la vie pour continuer de servir Jéhovah. – TG2016 Juillet  p26 §15

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Un principe important relatif au pardon ressort des paroles de Jésus rapportées en Luc 17:3, 4 : « Faites attention à vous. Si ton frère commet un péché, réprimande-le+, et s’il se repent, pardonne-lui+. Même s’il pèche contre toi sept fois par jour et que sept fois il revienne te dire : “Je me repens”, tu dois lui pardonner. » En cas de péché grave, l’offensé est encouragé à pardonner s’il y a repentir sincère. C’est ainsi que Jéhovah lui-même voit les choses; pour bénéficier de son pardon, il faut se repentir sincèrement. – RV1995  8/8 p10

Un jour, les apôtres ont eu le sentiment de manquer de foi, aussi ont-ils demandé à Jésus : “ Donne-nous plus de foi. ” (Luc 17:5). Leur requête sincère a été exaucée, tout particulièrement le jour de la Pentecôte 33 de notre ère, quand l’esprit saint promis est venu sur les disciples et leur a procuré une compréhension accrue de la Parole et du dessein de Dieu. Avec une foi affermie, les disciples ont entrepris une campagne de prédication qui, malgré l’opposition, a fait connaître la bonne nouvelle à “ toute la création qui est sous le ciel ”. Colossiens 1:23.

Nous aussi, pour affermir notre foi et persévérer dans notre ministère, nous devons étudier et méditer les Écritures, sans oublier de prier Dieu de nous accorder l’esprit saint. Ce n’est qu’à la condition d’implanter la vérité divine dans notre esprit et notre cœur que nous posséderons cette foi qui procure le courage nécessaire pour continuer à mener notre guerre spirituelle et remporter la victoire – TG2006 10/1 p18 §8

Jésus a dit que la plupart des gens ne seraient « pas attentifs » à sa présence et qu’ils continueraient de vaquer à leurs occupations jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Ainsi, les Écritures n’indiquent pas que, durant les derniers jours, les conditions mondiales deviendraient graves au point que les gens seraient obligés de croire que la fin est proche (Luc 17:20).

Par contre, pour qu’il atteigne son but, le signe à aspects multiples devrait être suffisamment évident pour retenir l’attention de ceux qui, selon le conseil de Jésus, seraient en train de « veiller » (Mat. 24:27, 42). Et ce signe est manifeste depuis 1914, moment depuis lequel ses différents aspects s’accomplissent. Il est donc clair que « l’achèvement du système de choses » (une période limitée qui précède et comprendra la destruction de ce système mauvais) est en cours.

Ainsi, pourquoi les chrétiens d’aujourd’hui doivent-ils continuer d’attendre ? Parce que nous obéissons à Jésus Christ, mais aussi parce que nous discernons le signe de sa présence. Loin d’être crédules, nous fondons nos attentes sur des preuves bibliques solides qui nous poussent à rester vigilants et éveillés, oui, à continuer d’attendre la fin de ce système mauvais. – TG2015 15/8 §7-9

Jésus craignait que ses disciples ne se laissent distraire par le monde de Satan, peut-être même au point de ‘ revenir vers les choses qui sont derrière ’. (Luc 17:22, 31.) C’est effectivement ce qui est arrivé à certains chrétiens. Pendant des années, ils ont attendu avec impatience que Jéhovah anéantisse ce monde mauvais. Mais, ne voyant pas Armaguédon venir au moment où ils le pensaient, ils se sont découragés. Petit à petit, ils ont perdu la certitude que le jour de Jéhovah est proche. Ils ont délaissé progressivement la prédication et se sont tellement absorbés dans les banalités de l’existence qu’il ne leur est plus resté de temps pour les questions spirituelles. C’est ainsi qu’ils ont fini par ‘ revenir vers les choses qui sont derrière ’. TG2006 15/12 p25-26 §5

Avant de relater son exemple, Jésus déclare que les signes attestant sa présence comme roi intronisé seraient aussi manifestes que “ l’éclair ” qui “ brille d’une région sous le ciel à une autre région sous le ciel ”. (Luc 17:24) Jésus indique par ces mots que, de même que l’éclair se voit sur une vaste étendue, de même les signes de sa présence dans la puissance du Royaume pourront être vus clairement par tous ceux qui souhaiteront les observer. Et pourtant, la plupart des gens vivant “ au temps de la fin ” ne prêteraient pas attention à ces preuves flagrantes (Daniel 12:4). Pourquoi ? Pour la même raison que celle pour laquelle les contemporains de Noé et de Lot n’ont pas tenu compte des avertissements de Jéhovah. À cette époque, les gens ‘ mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient et bâtissaient, jusqu’au jour où ils ont été détruits ’. (Luc 17:26-29.) Ils ont perdu la vie parce qu’ils étaient trop absorbés dans leurs activités quotidiennes pour prêter attention à la volonté de Dieu. Pareillement aujourd’hui, les gens sont en général tellement pris par leurs affaires qu’ils ne voient pas les signes de la fin imminente de ce monde éloigné de Dieu.  Luc 17:30. -             TG2006 15/12 p25-26 §4

Les Pharisiens s’enorgueillissaient de leur prétendue justice et méprisaient le peuple - Leur suffisance est illustrée dans une parabole de Jésus  Le pharisien, debout, s’est mis à prier ainsi en lui-même : “Ô Dieu, je te remercie parce que je ne suis pas comme tous les autres — qui sont extorqueurs, injustes, adultères — ou même comme ce collecteur d’impôts.  Je jeûne deux fois par semaine et je donne le dixième de tout ce que j’acquiers.” Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à une certaine distance et ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel. Il se frappait la poitrine en disant : “Ô Dieu, aie pitié de moi*, qui suis un pécheur

Jésus a fait l’éloge de l’humilité du collecteur d’impôts : « Je vous le dis, cet homme est redescendu chez lui s’étant révélé plus juste que le pharisien. Car celui qui s’élève sera humilié, mais celui qui s’humilie sera élevé » Luc 18 :11-14.

Bien que les collecteurs d’impôts aient eu la réputation d’être malhonnêtes, Jésus a cherché à aider ceux qui l’écoutaient. Au moins deux d’entre eux (Matthieu et Zachée) sont devenus ses disciples. S’il nous arrive de nous croire meilleurs que les autres parce qu’ils ont des défaillances ou des faiblesses, ou encore en raison de nos aptitudes ou des responsabilités que Dieu nous a confiées, ressaisissons-nous rapidement. Les Écritures disent en effet : “ L’amour est patient et bon. L’amour n’est pas jaloux, il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil…. » Questions de méditation : Est-ce que je reconnais que je suis pécheur et que mon salut dépend de la faveur imméritée de Jéhovah ? Ou bien est-ce que j’estime que mes nombreuses années de fidélité, mes responsabilités dans l’organisation de Dieu ou mes aptitudes naturelles me rendent supérieur aux autres ? – TG2012  15/5 p28

Les Pharisiens, eux, n’avaient pas envie de faire miséricorde aux autres. D’après des ouvrages de référence juifs, ils refusaient par exemple de pardonner à quelqu’un qui faisait plus de trois fois la même faute contre eux. Pour montrer que leur état d’esprit était mauvais, Jésus a raconté l’illustration d’un Pharisien et d’un collecteur d’impôts en train de prier l’un à côté de l’autre. Le collecteur demande humblement pardon à Dieu. Mais le Pharisien dit : « Ô Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes : extorqueurs, injustes, adultères, ou bien encore comme ce collecteur d’impôts. » C’est parce que les Pharisiens « considéraient les autres comme rien » qu’ils n’étaient pas prêts à pardonner (Luc 18:9-14). – TG2017 Novembre p13 §6

Quand Jésus Christ a expliqué qu’il serait plus difficile à un riche d’entrer dans le Royaume qu’à un chameau d’entrer par le trou d’une aiguille, pensait-il à un chameau et à une aiguille au sens littéral ? Jésus parlait d’une aiguille à coudre. Le fait qu’on ait retrouvé dans la région des aiguilles en os ou en métal, d’origine ancienne, prouve qu’elles devaient être couramment utilisées. Luc 18:25 lève toute ambiguïté sur les paroles de Jésus, car il les rend ainsi : “ Il est plus facile à un chameau d’entrer par le trou d’une aiguille à coudre qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. ”Jésus parlait bien d’une aiguille et d’un chameau au sens littéral. Il a utilisé cet exemple pour démontrer une impossibilité. Mais voulait-il dire qu’aucun riche n’entrerait dans le Royaume ? Non, car sa déclaration n’était pas à prendre au pied de la lettre. Il a employé une hyperbole pour montrer que, tout comme il n’est pas possible à un chameau de passer par le trou d’une aiguille, de même il est impossible à un riche d’entrer dans le Royaume s’il reste attaché à ses richesses et s’il ne donne pas à Jéhovah la priorité dans sa vie. Jésus a tenu ces propos peu de temps après qu’un jeune chef riche a refusé l’insigne privilège de devenir son disciple (Luc 18:18-24). Celui qui préfère ses richesses aux choses spirituelles ne doit pas s’attendre à hériter de la vie éternelle sous le Royaume. Par conséquent, une personne riche qui est consciente de sa pauvreté spirituelle et qui recherche l’aide de Dieu peut obtenir le salut – TG2004 15/5 p29-31

Dans le Sermon sur la montagne, Jésus a dit : « Réjouissez-vous et bondissez de joie, puisque votre récompense est grande dans les cieux ; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont vécu avant vous » (Mat. 5:12). Outre ceux qui recevront une récompense dans les cieux, ceux qui ont la perspective de vivre éternellement sur une terre paradisiaque ont tout lieu de « se réjouir » et de « bondir de joie » (Ps. 37:11 ; Luc 18:30). Qu’elle soit céleste ou terrestre, notre espérance peut se révéler « une ancre pour l’âme, à la fois sûre et ferme » (Héb. 6:17-20). Tout comme une ancre stabilise un bateau dans la tempête, notre espérance certaine d’une récompense peut nous aider à garder notre stabilité émotionnelle, mentale et spirituelle. Elle peut nous donner la force d’endurer les épreuves. – TG2016 Décembre p24 §7

 

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