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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU -1er-7 avril 2019 - Recherchons des perles spirituelles - 1 CORINTHIENS 7-9


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                                                                                                   JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
                                                                                                                   1er-7 avril 2019
                                                                                                       Recherchons des perles spirituelles
                                                                                                               1 CORINTHIENS 7-9

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1Co 7:11 : Dans quels cas un chrétien peut-il envisager la séparation ? (lvs 251).


                                                                                                                   Le conseil divinement inspiré donné par Paul


 Lorsque l’union de deux conjoints chrétiens est menacée, les anciens peuvent les aider en attirant leur attention sur ces paroles de l’apôtre Paul: “Aux personnes mariées, je prescris, non pas moi, mais le Seigneur: que la femme ne se sépare pas de son mari; si toutefois elle se sépare, qu’elle ne se remarie pas ou qu’elle se réconcilie avec son mari; et que le mari ne quitte pas sa femme.” (1 Corinthiens 7:10, 11). Les chrétiens mariés parviendront à résoudre leurs difficultés en passant sur les imperfections de leur conjoint. Ils ne doivent pas penser que leurs difficultés sont si graves qu’ils ne peuvent les régler en priant sincèrement, en appliquant les principes bibliques et en faisant preuve d’amour, un fruit de l’esprit de Dieu. — Galates 5:22; 1 Corinthiens 13:4-8.
7 Et si des conjoints chrétiens se séparent malgré tout? Ils doivent ou ‘ne pas se remarier, ou se réconcilier’. À moins qu’un divorce ne soit obtenu pour motif de “fornication”, ni l’un ni l’autre n’est libre de se remarier au regard des Écritures. En raison de ce fait et de “la fréquence des cas de fornication”, il serait préférable pour eux de ‘se réconcilier’ sans tarder (1 Corinthiens 7:1, 2) w88 1/11 21, 27

La Bible n’encourage pas le divorce ou la séparation pour incompatibilité d’humeur. L’apôtre Paul écrivit sous inspiration : “Aux mariés je donne ces instructions, cependant non pas moi mais le Seigneur, qu’une femme ne se sépare pas de son mari ; mais si en fait elle se sépare, qu’elle demeure non mariée ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari ; et un mari ne doit pas quitter sa femme.” — I Cor. 7:10, 11.
Par conséquent, lorsque surgissent des difficultés dans le mariage, plutôt que de recourir à la séparation, une chrétienne devrait faire tout son possible pour améliorer ses relations avec son mari, pour les rendre plus affectueuses. Sachant que le mariage est une institution divine, un don du Créateur à l’humanité, elle fera en sorte que son union soit à la louange et à l’honneur de Jéhovah Dieu, qui en est l’Auteur. Elle veillera à ne jamais donner à son mari une raison quelconque de la quitter, car l’incroyant devrait pouvoir reconnaître que c’est au vrai christianisme qu’il doit d’avoir une compagne plus aimante, plus attentionnée et plus compréhensive. Cela est en harmonie avec le conseil suivant de l’apôtre Pierre : “Pareillement, vous, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, s’il y en a qui n’obéissent pas à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, ayant été témoins oculaires de votre conduite chaste avec profond respect.” — I Pierre 3:1, 2. w73 191


Dans quelle mesure une épouse chrétienne fidèle doit-elle s’opposer à une procédure de divorce engagée par son mari ?


Lorsqu’il a institué le premier mariage, Dieu a dit que le mari et la femme devaient “ s’attacher ” l’un à l’autre (Genèse 2:18-24). Aujourd’hui, les humains sont imparfaits, avec tous les problèmes que cela entraîne pour de nombreux couples, mais Dieu veut toujours que les conjoints restent attachés l’un à l’autre. L’apôtre Paul a écrit : “ Aux personnes mariées, je donne des instructions, non pas moi cependant, mais le Seigneur : qu’une femme ne se sépare pas de son mari ; mais si vraiment elle se sépare, qu’elle reste sans se marier ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari ; et un mari ne doit pas quitter sa femme. ” — 1 Corinthiens 7:10, 11.


Paul ne nie pas que les hommes et les femmes imparfaits décident parfois de quitter leur conjoint. Mais il dit que, si un conjoint se sépare, les deux doivent ‘ rester sans se marier ’. Pourquoi ? Parce que, même lorsque l’un des conjoints quitte l’autre, les liens du mariage subsistent aux yeux de Dieu. Paul pouvait l’affirmer parce que Jésus avait dit : “ Quiconque divorce d’avec sa femme — sauf pour motif de fornication [en grec pornéïa] — et se marie avec une autre, commet l’adultère. ” (Matthieu 19:9). Le seul motif permettant de divorcer en accord avec les Écritures est la “ fornication ”, c’est-à-dire l’immoralité sexuelle. Il semble que, dans le cas envisagé par Paul, aucun des conjoints ne se soit livré à l’immoralité. Par conséquent, malgré le départ du mari ou de la femme, le mariage est toujours valide aux yeux de Dieu. w00 15/12 28 

Genèse 2:24 doit être considéré dans son contexte. Le commandement divin qui y est consigné n’est pas une directive donnée pour une éventuelle séparation. La lettre de Paul aux Corinthiens montre clairement que Jéhovah tient le mariage en haute estime ; un couple devrait donc tout mettre en œuvre pour protéger son union. Il ne semble pas que Paul ait voulu définir deux normes : une pour la femme et une pour le mari. Les versets 10 et 11 encouragent les conjoints à ne pas partir, dans la mesure du possible. Par conséquent, il est raisonnable de penser que ce qui s’applique à une femme s’applique également à un mari.     g02 22/9 30


                                                    

                                                                                                                                                   Les problèmes conjugaux


Bien évidemment, tant que les humains seront imparfaits, la vie conjugale ne sera pas exempte de problèmes (I Corinthiens 7:28-34). Cependant, lorsque les conjoints sont tous les deux croyants, les liens qui les unissent ont de fortes chances d’être particulièrement solides, car ils reposent sur un excellent fondement. En effet, une telle famille tient compte de Jéhovah. Un mariage chrétien est dès lors comparable à “une corde triple [qui] ne se rompt pas rapidement”. (Ecclésiaste 4:12.) Si un désaccord ou quelque autre problème surgit, le mari et la femme peuvent l’exposer à Jéhovah dans la prière et s’en remettre à lui, certains qu’il les aidera. Ils trouveront souvent la solution en discutant calmement de ces anicroches entre eux, à la lumière de passages de la Bible comme I Corinthiens 13:4-8, Éphésiens 5:21-33 et Colossiens 3:12-14, 18, 19. Ainsi, ceux qui ont suivi le conseil biblique invitant les chrétiens à ‘se marier dans le Seigneur’ trouveront dans les Écritures un excellent fondement pour régler leurs différends. — I Corinthiens 7:39.


S’ils ne parviennent pas à trouver une solution satisfaisante tout seuls, le mari et la femme souhaiteront peut-être demander conseil à un ancien de la congrégation chrétienne pour connaître le point de vue de Jéhovah sur la question qui les préoccupe. Cela fait, ils devraient être en mesure non seulement de sauvegarder leur mariage, mais aussi de cultiver l’unité et l’amour qui, selon le dessein originel de Dieu, devraient régner entre époux. — Genèse 2:24; Proverbes 31:10-12, 28, 30; Matthieu 19:4-6.


Quelles situations peuvent amener un chrétien à se séparer de son conjoint ? Certaines femmes se sont séparées de leur mari parce qu’il refusait délibérément de subvenir aux besoins de sa famille. D’autres chrétiens ont pris cette décision parce qu’ils subissaient des violences physiques extrêmes ou parce que leur spiritualité était incontestablement en danger.
15 La décision de se séparer de son mari ou de sa femme est une décision personnelle. Toutefois, le chrétien dont le conjoint ne partage pas ses croyances doit examiner honnêtement la question dans la prière. Il se demandera par exemple : ‘ Mon conjoint est-il entièrement responsable de la mise en danger de ma spiritualité ? N’ai-je pas quelque peu négligé d’étudier la Bible, d’assister aux réunions et de participer au ministère ? ’


16 Le prix que nous attachons à notre amitié avec Dieu et au don qu’est le mariage doit nous retenir d’opter trop vite pour le divorce. Étant des serviteurs de Jéhovah, nous désirons sanctifier son nom par notre conduite. Voilà pourquoi nous ne chercherons jamais à nous défaire des liens qui nous unissent à notre conjoint en vue de nous remarier avec quelqu’un d’autre. — Jér. 17:9 ; Mal. 2:13-16.
17 Un chrétien marié avec un non-croyant doit s’efforcer sincèrement de préserver la solidité de leur union. Cependant, si malgré tous ses efforts son conjoint décide de le quitter, il ne devrait pas pour autant se culpabiliser. “ Si le non-croyant entreprend de se séparer, qu’il se sépare, a écrit Paul ; un frère ou une sœur ne sont pas asservis en pareil cas, mais Dieu vous a appelés à la paix. ” — 1 Cor. 7:15  w12 15/5 11


                                                                                                                                                  Les problèmes conjugaux


Bien évidemment, tant que les humains seront imparfaits, la vie conjugale ne sera pas exempte de problèmes (I Corinthiens 7:28-34). Cependant, lorsque les conjoints sont tous les deux croyants, les liens qui les unissent ont de fortes chances d’être particulièrement solides, car ils reposent sur un excellent fondement. En effet, une telle famille tient compte de Jéhovah. Un mariage chrétien est dès lors comparable à “une corde triple [qui] ne se rompt pas rapidement”. (Ecclésiaste 4:12.) Si un désaccord ou quelque autre problème surgit, le mari et la femme peuvent l’exposer à Jéhovah dans la prière et s’en remettre à lui, certains qu’il les aidera. Ils trouveront souvent la solution en discutant calmement de ces anicroches entre eux, à la lumière de passages de la Bible comme I Corinthiens 13:4-8, Éphésiens 5:21-33 et Colossiens 3:12-14, 18, 19. Ainsi, ceux qui ont suivi le conseil biblique invitant les chrétiens à ‘se marier dans le Seigneur’ trouveront dans les Écritures un excellent fondement pour régler leurs différends. — I Corinthiens 7:39.


S’ils ne parviennent pas à trouver une solution satisfaisante tout seuls, le mari et la femme souhaiteront peut-être demander conseil à un ancien de la congrégation chrétienne pour connaître le point de vue de Jéhovah sur la question qui les préoccupe. Cela fait, ils devraient être en mesure non seulement de sauvegarder leur mariage, mais aussi de cultiver l’unité et l’amour qui, selon le dessein originel de Dieu, devraient régner entre époux. — Genèse 2:24; Proverbes 31:10-12, 28, 30; Matthieu 19:4-6.


                                                                                                                                               Avec un conjoint non croyant


La situation peut être tout autre pour la personne qui devient croyante, mais dont le conjoint ne réagit pas favorablement au message du Royaume. Toutefois, même dans ce cas, le ménage peut rester heureux, à condition que le mari et la femme se témoignent mutuellement de l’amour. En outre, comme le déclara l’apôtre Pierre, la “conduite chaste accompagnée d’un profond respect” qui caractérise la chrétienne peut à la longue conquérir son mari non croyant. Réciproquement, un mari récemment converti peut avec le temps gagner sa femme à la vérité (I Pierre 3:1-7). Lorsque des problèmes plus graves se posent, le conjoint croyant devra s’efforcer de les résoudre en faisant preuve de patience, de tact et d’endurance, et en manifestant en toute circonstance “le fruit de l’esprit”. — Galates 5:22, 23.


Certains chrétiens essuient des insultes, des mauvais traitements, des menaces et des coups au sein de leur foyer. Mais cela doit-il les décider à quitter leur conjoint non croyant? L’apôtre Paul donne ce conseil: “Que la femme ne se sépare pas de son mari; si toutefois elle se sépare, qu’elle ne se remarie pas ou qu’elle se réconcilie avec son mari; et que le mari ne quitte pas sa femme.” Comme Paul le fait remarquer, il est bien de chercher à sauver le mariage dans l’intérêt spirituel des enfants le cas échéant. Sur le plan pratique, cette attitude peut aussi s’avérer matériellement profitable au conjoint croyant comme à ses enfants. Si toutefois les mauvais traitements devenaient insupportables ou s’il y avait vraiment danger de mort, le chrétien pourrait juger bon de ‘se séparer’. Cependant, son intention devrait être de ‘se réconcilier’ avec son conjoint par la suite (I Corinthiens 7:10-16). Cette ‘séparation’ ne constitue pas en soi un motif biblique de divorce autorisant le chrétien à se remarier. Toutefois, une séparation ou un divorce légaux peuvent en pareil cas représenter une certaine protection contre les mauvais traitements.


                                                                                                                                         Le divorce selon la Bible


Y a-t-il des situations dans lesquelles un chrétien peut aller plus loin et demander un divorce qui lui donnerait le droit de se remarier? Rappelons-nous avant tout que Jésus déclara: “Ce que Dieu a mis sous le même joug, que l’homme ne le sépare pas!” Néanmoins, il signala ensuite un motif valable de divorce, en disant: “Quiconque divorce avec sa femme, sauf pour motif de fornication, et se marie avec une autre, commet un adultère.” — Matthieu 19:6, 9; voir aussi 5:32.


Faut-il en déduire que si un chrétien se lasse de son mari ou de sa femme, ou ‘tombe amoureux’ d’une tierce personne, il peut en toute liberté tirer parti d’un cas de fornication pour changer de conjoint? Malheureusement, il est arrivé que des époux qui se disent croyants se servent en toute connaissance de cause de la fornication (en général sous la forme de l’adultère) comme d’un subterfuge pour rompre les liens bibliques du mariage. Sont-ils donc stupides au point de croire que Jéhovah ne connaît pas “les pensées et les intentions du cœur”? (Hébreux 4:12, 13.) Ceux-là semblent penser qu’ils peuvent commettre l’immoralité sexuelle délibérément, être exclus puis, environ un an après, “se repentir” en compagnie de leur nouveau conjoint pour être réintégrés dans la congrégation.


En pareil cas, cependant, il devra se passer pas mal de temps avant que les anciens puissent seulement prendre en considération une demande de réintégration de leur part. Les anciens consciencieux ne voudront pas se hâter. Le pécheur devrait donner des preuves très nettes attestant qu’il porte du fruit qui convient à la repentance. Même s’il est finalement réintégré, bien des années devront s’écouler avant que les anciens puissent décemment le recommander en vue de lui confier des privilèges spéciaux dans la congrégation, si tant est que cela arrive jamais; en tout cas, ce ne sera pas avant le décès ou le remariage du conjoint innocent (I Timothée 3:2, 12). Nous comprendrons mieux la gravité que ce genre d’adultère prémédité revêt aux yeux de Jéhovah si nous nous rappelons que sous la Loi qu’il avait donnée à Israël, Loi qui était une expression de sa justice, les adultères devaient être lapidés (Deutéronome 22:22). Et aujourd’hui encore, quelles que soient les décisions rendues par les congrégations, c’est Dieu qui demeure le Juge suprême. Or, “Dieu jugera les fornicateurs et les adultères”. — Hébreux 13:4.


                                                                                                                                    Comment sauvegarder le mariage


En vue de la protection des serviteurs de Jéhovah et dans l’espoir que ceux qui rencontrent des problèmes d’ordre moral se laisseront guider par la congrégation chrétienne pour honorer le mariage, tel qu’il a été institué par Jéhovah, nous traiterons explicitement certains aspects de la fornication. En cela, nous suivrons l’exemple des Écritures, qui sont elles-mêmes franches et directes même lorsqu’elles abordent ce genre de questions délicates ou intimes. — Voir Lévitique 20:10-23; Deutéronome 31:12; Matthieu 5:27, 28; Romains 1:26, 27; Jude 7.
Au lieu de chercher un prétexte pour pouvoir divorcer, les époux devraient s’efforcer par tous les moyens de sauvegarder l’unité de leur mariage. Si l’un d’eux commet l’immoralité sexuelle et se repent, son conjoint innocent pourra décider de lui pardonner par égard pour cette institution divine qu’est le mariage. Il fera dans ce cas preuve de miséricorde, imitant ainsi l’une des magnifiques qualités de Jéhovah. — Exode 34:6; voir Néhémie 9:17.w83 15/6 28-9

                                                                                                                                    Pour n’importe quel motif ?”


Au premier siècle de notre ère, il y eut une controverse entre les enseignants juifs à propos des motifs valables pour divorcer. Le code de lois juif, connu sous le nom de Mischna, a préservé la tradition suivante de cette époque : “L’école de Shammaï dit : Un homme ne peut divorcer avec sa femme, sauf s’il a constaté qu’elle était infidèle. (...) Et l’école d’Hillel dit : [Il peut divorcer avec elle] même si elle a manqué un plat qui lui était destiné (...). R[abbi] Akiba dit : Même s’il en trouve une autre plus jolie qu’elle.”


En raison de ces divergences d’opinions, que l’on retrouve à notre époque, des Pharisiens demandèrent à Jésus Christ : “Est-il permis à un homme de divorcer avec sa femme pour n’importe quel motif ?” (Mat. 19:3). Jésus répondit :
“N’avez-vous pas lu que celui qui les créa, dès le commencement les fit mâle et femelle, et qu’il a dit : ‘C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux seront une seule chair’ ? En conséquence, ce que Dieu a mis sous le même joug, que l’homme ne le sépare pas ! Je vous dis que quiconque divorce avec sa femme, sauf pour motif de fornication, et se marie avec une autre, commet un adultère.” — Mat 19:4-6, 9.


Le mot grec pornéïa, qui est traduit ici par “fornication”, inclut l’adultère, l’homosexualité et tout acte sexuel contre nature. Si donc un homme, ou une femme, commet l’une ou l’autre de ces choses, les Écritures autorisent le conjoint innocent à divorcer avec son conjoint infidèle et à se remarier. Toutefois, les Écritures n’obligent pas le conjoint innocent à divorcer.
Mais qu’en est-il maintenant si l’un des conjoints exerce des sévices sur l’autre, mais ne commet pas la “fornication” ? Le conseil suivant, consigné dans I Corinthiens 7:10, 11, est approprié : “Que la femme ne se sépare pas de son mari ; si toutefois elle se sépare, qu’elle ne se remarie pas ou qu’elle se réconcilie avec son mari ; et que le mari ne quitte pas sa femme.”
Ainsi, la Parole de Dieu permet de divorcer pour cause de “fornication” et elle autorise la séparation. Toutefois, elle n’encourage pas les conjoints à se séparer. Au contraire, elle les exhorte à faire des efforts pour rendre leur union plus heureuse ; elle les encourage à ‘se réconcilier’11     g76 22/5 7


1Co 7:36 : Pourquoi un chrétien devrait-il se marier uniquement après avoir « passé la fleur de la jeunesse » ? (w00 15/7 31 § 2).


                                                                                              Jeunes gens, les principes bibliques sont-ils le meilleur guide?


“Moi, Jéhovah, je suis ton Dieu, Celui qui t’enseigne pour que tu en tires profit, Celui qui te fait cheminer sur le chemin où tu dois marcher.” — Ésaïe 48:17.
“LES jours de notre jeunesse sont ceux de notre gloire”, écrivit un poète. De nombreux jeunes gens partagent cet avis, car la jeunesse est une époque exaltante où l’on échappe encore aux lourdes responsabilités de l’âge adulte. Mais aujourd’hui, beaucoup de jeunes s’empressent de goûter à tous les plaisirs, à ceux de leur âge comme à ceux des adultes. Leur attitude peut se résumer ainsi: “Nous ne voulons pas attendre; nous voulons goûter à tout maintenant.”


2 Cette recherche effrénée de toutes sortes de plaisirs par des êtres qui sont encore au “printemps de la vie” a conduit les jeunes à pratiquer ce qu’on appelle la fornication, c’est-à-dire les relations sexuelles avant le mariage, et cela dans des proportions encore inconnues dans l’histoire moderne. Cette avalanche d’amour libre a même fait des victimes parmi certains jeunes de la congrégation chrétienne. Vous qui faites partie de cette congrégation, vous vous demandez peut-être: “Mais pourquoi les jeunes ont-ils tant de mal à rester chastes, surtout dans ces ‘derniers jours’?” — Ecclésiaste 11:10; II Timothée 3:1-5.


                                                                                                                                                          Les pressions


3 Pendant l’adolescence, on assiste à un épanouissement du désir sexuel. Souvent, cette période, que la Bible appelle la “fleur de l’âge”, voit naître une puissante attirance pour l’autre sexe. Chez une jeune personne, l’apparition de désirs sexuels n’a rien d’anormal. Aujourd’hui, cependant, ce désir normal se trouve stimulé par les divertissements et les publicités qui exaltent le sexe. — I Corinthiens 7:36.; w82 15/5 18


                                                                                                                                                    La fleur de l’âge


L’adolescent entre dans une période de sa vie que la Bible appelle “la fleur de l’âge” et qui se traduit par l’épanouissement du désir sexuel (1 Corinthiens 7:36). Alors que les fonctions de reproduction se mettent en place, l’organisme libère de puissantes hormones qui agissent sur les organes reproducteurs. À cette époque, le jeune homme ou la jeune fille prend conscience des sensations agréables que peuvent lui procurer ces organes. Parfois, la curiosité et le caractère nouveau de ces sensations excitantes amènent certains à se livrer à des attouchements délibérés pour se procurer davantage de plaisir ou pour se décharger d’une forte tension.


En raison des changements de son organisme, un jeune homme ou une jeune fille peut ressentir une excitation sexuelle sans même le vouloir. Chez les garçons, par exemple, des tensions engendrées par des soucis, des craintes ou des déceptions diverses peuvent ébranler leur système nerveux sensible et provoquer une excitation sexuelle. À son tour, la production de sperme donne parfois lieu à des émissions nocturnes, accompagnées généralement de rêves érotiques, ou réveille le garçon dans un état d’excitation sexuelle. Des jeunes filles peuvent se retrouver tout aussi involontairement dans cette situation. Et une jeune femme pourra ressentir un puissant désir sexuel immédiatement avant ou après ses règles.
Si vous avez déjà observé chez vous de telles réactions involontaires, n’en soyez pas troublé; elles sont normales chez un jeune. Même si elles sont très intenses, ces sensations n’ont rien à voir avec la masturbation dans la mesure où elles sont essentiellement inconscientes. Avec le temps, vous passerez “la fleur de l’âge” et ces nouvelles sensations seront moins intenses. g87 8/11 18-19


                                                                                                                                     Le rôle de la puberté


L’une des raisons est que vous approchez de “la fleur de l’âge”, l’époque où les désirs sexuels sont le plus forts (1 Corinthiens 7:36). Explication du professeur Bettie Youngs: “Pendant la puberté, les taux d’hormones augmentent considérablement et déclenchent tous les changements physiques qui transforment un corps d’enfant en celui d’un adulte. L’élévation des taux d’hormones qui accompagne l’adolescence provoque de nombreux changements sur les plans affectif et comportemental g94 22/7 24-25

Par conséquent, les jeunes gens ne devraient pas se précipiter dans le mariage au moment où leurs pulsions sexuelles commencent à s’éveiller. Le mariage exige un engagement, et pour assumer une telle responsabilité la maturité est indispensable (Genèse 2:24). Mieux vaut attendre d’avoir “ passé la fleur de la jeunesse ”, la période où l’appel des sens est fort et risque de fausser le jugement (1 Corinthiens 7:36) w00 15/7 31

Si quelqu’un pense qu’il agit d’une manière incorrecte à l’égard de sa virginité, si celle-ci a passé la fleur de la jeunesse, et que cela doive se passer ainsi, qu’il fasse ce qu’il veut ; il ne pèche pas. Qu’ils se marient. ” (1 Corinthiens 7:36). Le mot grec (hupérakmos) traduit par “ passé la fleur de la jeunesse ” signifie littéralement “ au-delà du plus haut point ”, c’est-à-dire au-delà du moment où le désir sexuel est le plus ardent. Ainsi, les chrétiens qui sont restés célibataires plusieurs années et qui estiment ensuite devoir se marier sont entièrement libres de le faire avec une personne partageant leur foi. — 2 Corinthiens 6:14.     w96 15/10 14


Il faut de la maturité pour tenir cet engagement. C’est pourquoi Paul a conseillé aux chrétiens de ne pas se marier avant d’avoir “ passé la fleur de la jeunesse ”, période au cours de laquelle les pulsions sexuelles puissantes peuvent fausser le jugement (1 Corinthiens 7:36). Les jeunes changent rapidement en grandissant. Beaucoup de ceux qui se sont mariés très jeunes ont découvert après quelques années que leurs besoins et leurs aspirations ainsi que ceux de leur conjoint n’étaient plus les mêmes. Selon les statistiques, ceux qui se marient adolescents risquent beaucoup plus d’être malheureux et de divorcer que ceux qui attendent un peu. Ne soyez donc pas pressé de vous marier. Quelques années de célibat au début de l’âge adulte vous permettront d’acquérir une expérience précieuse qui fera de vous une personne mûre, plus apte à être un conjoint à la hauteur. Si vous remettez à plus tard la question du mariage, vous pourrez mieux vous connaître vous-même : ce qui est indispensable pour réussir votre mariage fy 15-16

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