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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 1-3 - Semaine du 9 Novembre 2020


misette

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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 1-3

Lévitique 2:13 : Pourquoi fallait-il offrir du sel avec toutes les offrandes ? (Éz 43:24 ; w04 15/5 22 § 1)..

« Toutes les offrandes de céréales que tu feras seront assaisonnées de sel ; veille à ce que le sel de l’alliance de ton Dieu ne manque pas sur ton offrande de céréales. Tu offriras du sel avec toutes tes offrandes »

Il ne s’agissait pas de rehausser la saveur de ce qui était sacrifié. Le sel est utilisé dans le monde entier comme agent de conservation. On l’ajoutait vraisemblablement aux offrandes pour symboliser l’absence de corruption ou de décomposition. w04 15/5 22 § 1

La Bible emploie l’expression “ alliance de sel ” pour indiquer le caractère permanent et immuable d’une alliance. Chez les anciens, manger le sel ensemble était un signe d’amitié et sous-entendait une fidélité durable ; manger du sel avec les sacrifices de communion était symbole de fidélité perpétuelle. - it-1 p77

La Bible mentionne le sel en tant qu’élément essentiel de l’alimentation humaine, en tant qu’assaisonnement. Sous la Loi mosaïque, tout ce qui était offert à Jéhovah sur l’autel devait être salé, non pour une question de saveur, mais sans aucun doute parce que le sel représentait le fait de n’être pas corrompu ni décomposé. De grandes quantités de sel étaient certainement stockées - it-2 p921

Étant donné le nombre de ses vertus et de ses utilisations, il n’est guère surprenant que le sel soit employé comme image dans la Bible. Sous la Loi mosaïque, par exemple, tout ce qui était offert à Jéhovah sur l’autel devait être salé. Ce n’était pas pour relever le goût des sacrifices, mais sans doute parce que le sel représentait le fait de n’être pas corrompu ni décomposé TG1999 15/8 p32

La Loi mosaïque prescrivait l’assaisonnement de tous les sacrifices : “ Tu mettras du sel sur toutes tes offrandes ; tu ne laisseras point ton offrande manquer de sel, signe de l’alliance de ton Dieu ; sur toutes tes offrandes tu mettras du sel. ” Pourquoi ? Le sel préserve, il empêche la putréfaction. Il était interdit d’offrir des choses en décomposition. Le sel, en empêchant toute altération par voie de décomposition, assurait la permanence. Il était utilisé dans une alliance pour en représenter l’immutabilité, la permanence. Chez les Anciens, c’était signe d’amitié que de manger du sel ensemble ; cela dénotait une fidélité et une loyauté éternelles. Celui qui sacrifiait des offrandes de communion sur l’autel de Jéhovah était regardé comme participant avec Jéhovah ; ainsi l’emploi du sel dans les sacrifices indiquait une participation au sel avec Dieu, ce qui symbolisait une loyauté éternelle. TG1957 p87

Lévitique 3:17 : Pourquoi était-il interdit aux Israélites de manger de la graisse, et qu’est-ce que cela nous enseigne ? (it-1 1003 ; w04 15/5 22 § 2).

« Vous ne devez manger d’aucune graisse ni d’aucun sang ; c’est une loi permanente de génération en génération partout où vous habiterez.” »

Puisque la graisse était considérée comme la partie la meilleure ou la plus riche d’un animal, le fait d’en interdire la consommation enseignait aux Israélites que la meilleure partie revenait à Jéhovah (Genèse 45:18). Cela nous rappelle que nous devrions donner à Jéhovah ce que nous avons de meilleur. - w04 15/5 22 § 2

La graisse était considérée comme la meilleure partie de l’animal. Cela ressort des expressions figurées telles que la “graisse du pays”, le “meilleur [littéralement, la graisse] en huile”, et “le meilleur [littéralement, la graisse] en moût et en blé”. (Gen. 45:18) Par conséquent, l’interdiction de manger la graisse servait évidemment à faire bien comprendre aux Israélites que ce qu’il y a de plus délicat dans la chair des animaux appartenait à Jéhovah et devait lui être offert en sacrifice. Manger la graisse reviendrait donc à s’approprier illégalement une chose consacrée à Jéhovah. Cela équivaudrait à usurper sur ses droits. Toutefois, la graisse d’une bête morte ou déchirée par une autre bête pouvait servir à un usage quelconque. – TG1973 p126

La loi sur la graisse Jéhovah donna aux Israélites des instructions relatives à l’usage de la graisse dans les sacrifices de communion. Lorsqu’ils présentaient des bovins ou des chèvres, ils devaient faire fumer sur l’autel la graisse qui recouvrait les lombes, les intestins et les rognons, ainsi que le tissu annexe graisseux qui est sur le foie. S’il s’agissait de moutons, la queue grasse tout entière devait également être offerte. (Les moutons de Syrie, de Palestine, d’Arabie et d’Égypte ont des queues grasses qui pèsent souvent 5 kg ou plus.) La Loi spécifiait : “ Toute la graisse appartient à Jéhovah [...] : vous ne devez manger aucune graisse ni aucun sang. ” — Lv 3:3-17.

La graisse devait brûler vivement et se consumer pour ainsi dire entièrement sur l’autel. Aucune graisse offerte sur l’autel ne devait y être laissée jusqu’au lendemain matin ; elle risquait de pourrir et de sentir mauvais, ce qui aurait été très inconvenant pour n’importe quelle partie des offrandes sacrées. La défense de manger de la graisse, mentionnée dans le Lévitique, n’est plus valide aujourd’hui, car nous ne sommes plus sous la loi de Moïse que Dieu a abolie par la mort de Jésus. – it-1 p1003 Graisse

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Quand un Israélite offrait un holocauste, il le faisait “ de son plein gré devant Jéhovah ”. (Lévitique 1:3) Ce sacrifice était une déclaration publique, un geste volontaire par lequel il reconnaissait les abondantes bénédictions de Jéhovah et son immense bonté de cœur envers ses serviteurs. Rappelons que l’holocauste avait ceci de particulier que l’animal sur l’autel était brûlé en entier, image de l’attachement complet et de l’offrande totale. Pareillement, nous montrons notre foi dans le sacrifice rédempteur et la gratitude qu’il nous inspire quand nous offrons volontairement et de tout cœur à Jéhovah notre “ sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de nos lèvres ”. – TG2000  15/8 p17 §17

La Loi de Moïse autorisait les Israélites à manger des animaux. De plus, elle exigeait qu’ils offrent des sacrifices d’animaux (Lévitique 1:5, 6). Mais Jéhovah n’a jamais permis à ses adorateurs d’être cruels avec les animaux. En fait, la Loi contenait des règles qui protégeaient les animaux de la cruauté. Et elle ordonnait aux Israélites de bien s’occuper de leurs animaux - lvs p238

Dans son amour, Jéhovah comprenait bien que tous ne pouvaient pas lui offrir des sacrifices de même valeur. Il n’exigeait des Israélites que ce qu’ils pouvaient donner. La Loi voulait que le sang d’un animal soit répandu ; c’était « une ombre des bonnes choses à venir » par l’intermédiaire de son Fils, Jésus. Les victimes sacrificielles elles-mêmes, des animaux sains et sans défaut offerts en holocauste ou comme sacrifices pour le péché, représentaient le sacrifice parfait et sans défaut du corps humain de Jésus Christ. Toutefois, Jéhovah n’était pas rigide. Par exemple, de la part de celui qui n’avait pas les moyens d’offrir un animal pris parmi le petit ou le gros bétail, il acceptait des tourterelles. Ainsi, même le pauvre avait la joie d’offrir des sacrifices à Jéhovah (Lév. 1:3, 10, 14). Mais quel que soit l’animal offert, deux choses étaient requises de celui qui faisait un sacrifice volontaire.

Premièrement, le donneur devait offrir ce qu’il avait de meilleur. Jéhovah l’avait dit aux Israélites : s’ils voulaient s’« attirer l’approbation », toutes leurs offrandes devaient être sans défaut. Si l’animal avait une tare, il ne serait pas considéré comme acceptable pour Jéhovah.

Deuxièmement, le donneur devait lui-même être pur et sans souillure. Celui qui voulait offrir un sacrifice volontaire mais se trouvait dans un état d’impureté devait d’abord retrouver l’approbation divine en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité. C’était une question sérieuse. Jéhovah avait bien précisé que toute personne qui, dans un état d’impureté, avait part à un sacrifice de communion (qui pouvait être une offrande volontaire) serait retranchée de son peuple. Par contre, quand il avait l’approbation de Jéhovah et que son offrande était sans tare, le donneur pouvait se réjouir « d’une grande joie »

Aujourd’hui aussi, beaucoup ont envie de se dépenser au service de Jéhovah, et Jéhovah s’en réjouit. Se dévouer pour ses compagnons est très gratifiant. Jéhovah nous encourage à donner le meilleur et sans retenue - TG2013 15/12 p11

Lévitique 2:11Pourquoi Jéhovah n’acceptait-il pas les offrandes de miel ?

Selon toute vraisemblance, le mot “miel” ne désigne pas dans ce passage la substance produite par les abeilles, mais un sirop de fruits, sans quoi le “miel” en question n’aurait pas été englobé dans les “prémices” ou ‘premiers fruits’. (Lévitique 2:12) Puisque ce “miel” ou sirop de fruits était susceptible de fermenter, il ne pouvait constituer une offrande agréable sur l’autel de Jéhovah. – TG2004  15/5 p25

Un repas de communion. Dans l’ancien Israël, un homme pouvait offrir un repas de communion. Il apportait un animal au sanctuaire, où on le tuait. Une partie de l’animal offert allait sur l’autel en “ odeur reposante pour Jéhovah ”. Une partie revenait au prêtre qui officiait, une autre partie aux prêtres fils d’Aaron, et l’offrant ainsi que sa maisonnée prenaient part au repas (Lv 3:1-16). Celui qui était ‘ impur ’ au regard de la Loi n’avait pas le droit de manger un sacrifice de communion sous peine d’être ‘ retranché de son peuple ’. —

De la même façon, le Repas du Seigneur est un repas de communion, car plusieurs personnes y ont part. Jéhovah Dieu est impliqué puisqu’il est l’Auteur de cette disposition, Jésus Christ est le sacrifice rédempteur, et ses frères spirituels mangent les emblèmes en tant que coparticipants. L’acte de manger à “ la table de Jéhovah ” signifierait qu’ils sont en paix avec Jéhovah. De fait, les sacrifices de communion étaient parfois appelés “ offrandes de paix ”. — Lv 3:1  - it-2 p761 Repas du Seigneur

 

 

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