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Perles spirituelles - Semaine du 9 Août 2021 - Deutéronome 24-26


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 24-26

Deutéronome 24:1 : Pourquoi ne faut-il pas en conclure que la Loi mosaïque rendait le divorce facile aux maris ? (it-1 657 § 5).

« Si un homme se marie avec une femme, mais qu’elle ne lui plaise pas parce qu’il a découvert quelque chose d’inconvenant à son sujet, il faudra qu’il rédige pour elle un acte de divorce, qu’il le lui donne et qu’il la renvoie de chez lui. »

L’acte de divorce. Il ne faut pas conclure des abus perpétrés plus tard que la concession faite à l’origine par la Loi mosaïque rendait le divorce facile pour le mari israélite. Pour divorcer, il était tenu d’observer certaines formalités. Il fallait rédiger un document, ‘ rédiger pour elle [sa femme] un acte de divorce ’. Le mari devait ‘ le lui mettre en main et la renvoyer de sa maison ’. (Dt 24:1.) Bien que les Écritures ne fournissent pas de détails supplémentaires sur cette procédure, il semble que les formalités à suivre comprenaient la consultation d’hommes dûment habilités, lesquels, éventuellement, tentaient d’abord une réconciliation. Le temps nécessaire pour préparer l’acte et pour que le divorce devienne légalement effectif donnait au mari l’occasion de reconsidérer sa décision. Il fallait qu’il y ait un motif de divorce, et les prescriptions correctement appliquées servaient logiquement à décourager les demandes de divorce inconsidérées. Cette procédure avait aussi pour effet de protéger les droits et les intérêts de la femme. Les Écritures ne révèlent pas le contenu de l’“ acte de divorce ”. - it-1 657 § 5

Même si Jéhovah n’a jamais voulu qu’un mari et sa femme divorcent, elle permettait à un Israélite de divorcer de sa femme s’il « découvrait quelque chose d’inconvenant à son sujet ». La Loi ne précisait pas de quel genre de faute il pouvait s’agir, mais ce devait être quelque chose de honteux et de grave, pas une faute légère. A l’époque de Jésus, beaucoup de Juifs divorçaient « pour n’importe quelle raison » (Mat. 19:3). Nous ne voudrions certainement pas avoir le même état d’esprit qu’eux. – TG2018/12 p11

Sous la Loi, un mari pouvait divorcer s’il trouvait chez sa femme quelque chose d’“ inconvenant ”. Bien sûr, il n’était pas question ici d’adultère, puisque cet acte était puni de mort. Il pouvait donc s’agir de fautes comme un grave manque de respect envers le mari ou envers la maison du père du mari, ou une attitude qui jetait l’opprobre sur la maisonnée. Le mari devait remettre à sa femme un acte de divorce, rédigé de sa main, ce qui sous-entend qu’aux yeux de la communauté il devait avoir des raisons suffisantes de divorcer. L’acte de divorce étant un document légal, cela laisse supposer que le mari devait consulter les anciens ou les autorités de la ville. Quelle était la raison d’être de ce document ? Les Écritures ne révèlent pas ce qu’un tel acte contenait, mais probablement servait-il à protéger les droits et les intérêts de la femme renvoyée. La femme pouvait alors se remarier, l’acte de divorce la protégeant de toute éventuelle accusation d’adultère – it-2 p224

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Même les lois militaires profitaient à la fois à la femme et au mari en exemptant le jeune marié pendant un an. Cette disposition permettait au couple d’exercer son droit d’avoir un enfant, ce qui était par la suite un grand réconfort pour la mère quand le mari était absent, et plus encore s’il perdait la vie dans une bataille. — Dt 20:7 ; 24:5. -  it-1 p874

24:6 — Pourquoi saisir ‘ comme gage le moulin à bras ou la meule de dessus ’ revenait-il à saisir “ une âme  ? Le moulin à bras et la meule de dessus représentaient l’“ âme ”, le moyen d’existence, d’une personne. Saisir l’un ou l’autre privait une famille entière de sa ration quotidienne de pain. On cuisait le pain tous les jours, et il fallait fréquemment moudre le grain pour obtenir de la farine. De ce fait, le pain quotidien de chaque famille dépendait du moulin à bras. C’est donc par miséricorde que Dieu interdisait la saisie de ce moulin ou de sa meule de dessus. En effet, quiconque contrevenait à cette loi privait une famille de son pain quotidien, ce qui équivalait à saisir une “âme” ou ses “moyens d’existence”- TG2004 15/9 p26

La Loi protégeait un débiteur. Il était interdit au créancier d’entrer dans la maison du débiteur pour saisir un gage ; il lui fallait attendre dehors que le débiteur le lui apporte (Dt 24:10, 11). On ne pouvait saisir comme gage ni le vêtement d’une veuve ni les objets indispensables, tels que le moulin à bras ou sa meule de dessus (Dt 24:6, 17). Comme le pauvre n’avait bien souvent qu’un vêtement de dessus (manteau), dont il s’enveloppait pour dormir, si le créancier prenait ce vêtement comme gage, il devait le rendre au coucher du soleil. —  Dt 24:12, 13. - it-1 p630

Les activités et les tâches courantes se poursuivaient jusqu’au coucher du soleil. À son approche, les hommes rentraient de leurs champs, leurs maîtres leur payaient leur salaire journalier, les femmes portaient chez elles une réserve d’eau pour la nuit, on fermait les portes des villes et les veilleurs entamaient la première des quatre veilles de la nuit, tandis qu’un peu partout dans la ville la lumière vacillante des lampes à huile commençait à luire dans les foyers Deut. 24 :15. Pour beaucoup, cependant, le travail reprenait après le repas du soir, car les hommes et les femmes laborieux faisaient du tissage et d’autres travaux d’intérieur.  Jésus et ses apôtres poursuivaient aussi parfois leur ministère et les activités qui s’y rapportaient jusque dans la nuit. – it-2 p131

Dans le cadre de la Loi, Dieu avait donné cette instruction: “Les pères ne devront pas être mis à mort à cause des enfants et les enfants ne devront pas être mis à mort à cause des pères. Chacun devra être mis à mort pour son propre péché.” Deutéronome 24:16. Les juges israélites devaient suivre ce principe lorsqu’ils s’occupaient d’affaires judiciaires. N’étant pas capables de lire dans les cœurs, ils devaient juger chaque homme en fonction de ses actes tels qu’ils étaient établis par les faits TG86 15/3 p31

QUELLES PERSONNES LA LOI PROTÉGEAIT-ELLE EN PARTICULIER ? La Loi protégeait particulièrement ceux qui ne pouvaient pas se défendre seuls, comme les orphelins, les veuves et les étrangers. Les juges en Israël avaient reçu cette instruction : « Tu ne dois pas fausser un jugement concernant un résident étranger ou un orphelin de père, et tu ne dois pas prendre en gage le vêtement d’une veuve » (Deut. 24:17). Jéhovah s’intéressait tendrement aux plus vulnérables. Et il punissait ceux qui les traitaient mal; Leçon : Jéhovah veut que ceux à qui il a donné une certaine autorité prennent tendrement soin de ceux qui leur sont confiés – TG2019/2 p24-25

La Loi que Dieu donna aux Israélites spécifiait qu’ils ne devaient pas moissonner entièrement la lisière de leurs champs, repasser sur les branches de l’olivier après l’avoir gaulé ni cueillir ce qui restait dans leurs vignes après la vendange. Même si une gerbe de céréales avait été oubliée dans le champ, ils ne devaient pas revenir la chercher. Le glanage était un droit que Dieu donnait au pauvre du pays, à l’affligé, au résident étranger, à l’orphelin de père et à la veuve. À l’époque de la récolte, ils avaient le droit de glaner dans les champs, les vergers et les vignes ; ils n’avaient donc pas à mendier leur pain ou n’en étaient pas réduits à voler. Dt 24:19-21. - it-1 p994

Coups - La Loi mosaïque prévoyait la punition par coups. On les donnait avec un bâton. Il appartenait aux juges de décider du nombre de coups à infliger, en fonction de la mauvaise action, mais aussi des mobiles, des circonstances, etc. La position était prescrite : “ Il faudra que le juge le fasse étendre par terre et frapper devant lui d’un nombre de coups qui corresponde à son action méchante. ” La punition était limitée à 40 coups (Dt 25:2, 3). La raison de cette limitation était que plus de 40 coups aurait déshonoré la personne aux yeux de ses compatriotes. C’est un des exemples qui montrent que la Loi donnée par l’intermédiaire de Moïse n’autorisait pas de punition cruelle ou exceptionnelle. La punition avait pour but de corriger, non de venger et de nuire, comme c’était le cas des punitions infligées chez les autres nations. Celui qui administrait les coups était puni s’il en donnait plus que le nombre légal. C’est pourquoi les Juifs limitèrent le nombre des coups à 39, afin de ne pas dépasser la limite par erreur, transgressant ainsi la loi. — it-1 p552-553

MUSELIÈRE - Appareil servant à recouvrir le museau d’un animal pour l’empêcher de mordre ou de manger.

En Palestine, il était fréquent d’utiliser des bovins quand il fallait battre une grande quantité de grain. On déliait d’abord les gerbes et on les étendait sur la surface tassée de l’aire de battage jusqu’à ce qu’il y en ait une couche épaisse. Après cela, un animal, ou plusieurs, piétinait le grain avec ses sabots, à moins que celui-ci ne soit battu au moyen d’un traîneau à battre ou d’un autre instrument que l’animal tirait sur les gerbes. La Loi mosaïque ordonnait : “ Tu ne dois pas museler le taureau pendant qu’il bat le grain. ” (Dt 25:4). Ainsi, l’animal n’était pas tenaillé par le désir de manger du grain alors qu’il dépensait son énergie à le battre. L’animal devait être traité avec bonté — it-2 p357

Le mariage léviratique était une coutume des temps bibliques qui voulait que, lorsqu’un homme décédait sans avoir eu de fils, un de ses frères épouse sa veuve pour lui engendrer une descendance afin de perpétuer sa lignée. On considérait que les enfants qui naissaient de cette union étaient les descendants de son frère décédé. (Deut. 25:5, 6). Le mot français « lévirat » vient d’un mot latin qui veut dire « beau-frère ». TG2014 15/8

La Bible nous certifie que Jéhovah Dieu hait l’injustice : “ Tout homme qui fait ces choses, tout homme qui commet l’injustice, est chose détestable pour Jéhovah ton Dieu. ” (Deutéronome 25:16). Dieu n’est pas responsable des injustices. Il a donné aux humains la liberté de choix. Malheureusement, beaucoup en font un mauvais usage et commettent des injustices. Bien que par le passé Dieu ait toléré l’injustice et la méchanceté, le moment viendra bientôt où il y mettra fin. – TG2014  1/ 4

Quand un Israélite plantait un arbre, il ne devait pas en manger le fruit durant les trois premières années ; la quatrième, tous les fruits devaient être voués à l’usage du sanctuaire (Lv 19:23-25 - Dt 26:2). Les années suivantes, les premiers fruits mûrs étaient pareillement voués à la maison de Jéhovah. — it-1 p154

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